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Peut-on être catholique et pro-avortement ?

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock

La veille de la Marche pour la Vie à Washington DC, un graffiti a été projeté sur la Basilique de l’Immaculée Conception « Pro-choice Catholics, you are not alone », « Catholiques pro-choix, vous n’êtes pas seuls. »

Mais des catholiques peuvent-ils se considérer pro-avortement ?

La position de l’Église Catholique est claire : elle défend fermement la vie humaine depuis la conception et elle excommunie automatiquement tous ceux qui recourent à l’avortement ou qui le soutiennent politiquement.

D’un autre côté, de nombreux politiciens (tel que notre premier ministre) qui se disent catholiques appuient fermement l’avortement. Aux États-Unis, selon Catholic Accountability Project, 57 % des membres « catholiques » du Sénat et de la Chambre des députés sont pro-avortement et Biden l’est aussi.

Mais peut-on vraiment...

Être pro-avortement et croire à la dignité de la vie humaine ?

Être pro-avortement et adhérer au cinquième commandement, « tu ne tueras pas » ?

Être pro-avortement et dire « Je crois en Dieu » alors que Dieu est l’auteur de la vie ?

L’avortement est tout simplement incompatible avec le catholicisme. Et le fait que des catholiques sont parfois persécutés pour leur opposition à l’avortement vient confirmer cette opposition. Crux rapporte que deux ecclésiastiques au Mexique ont « été inculpés après avoir encouragé les catholiques à voter pour la défense de la vie, de la famille et du bien commun lors des élections fédérales de 2021. »

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Biden réitère son soutien au « droit » à l’avortement


Joe Biden.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gage Skidmore/Flickr

La réaction de Twitter aux 150 000 manifestants présents à la Marche pour la Vie était un silence sélectif. Quant à Biden, sa réaction était un déni sélectif. Devant une protestation de 150 000 personnes, devant cette réclamation de liberté pour les enfants à naître, le président des États-Unis n’a que réaffirmé sa position pro-mort.

« Le président américain Joe Biden et sa vice-présidente, Kamala Harris, ont promis samedi [22 janvier] d’utiliser tous les moyens à leur disposition pour défendre le droit à l’avortement... “Le droit constitutionnel établi dans Roe v. Wade” en 1973 “est attaqué comme jamais auparavant”, ont-ils dit dans un communiqué à l’occasion du 49e anniversaire de cet arrêt historique » », rapporte Radio-Canada.

De plus, le deuxième président catholique aux États-Unis a écrit qu’il continuerait à travailler avec le Congrès sur la Women’s Health Protection Act, la loi sur la protection de la santé des femmes qui renforce l’accès à l’avortement.

Au nom de la santé, Biden favorise l’avortement, qui est selon Claude Tresmontant, « le plus abominable des crimes, car il porte contre des êtres que l’on prive ainsi de leur vie entière, de leur temps de développement »

Au nom de la santé, l’acte le plus contraire à la santé est permis et dans ce pays « libre », la liberté est refusée au plus vulnérable.

L’ancienne directrice des communications stratégiques de l’administration Trump, Mercedes Schlapp a déclaré dans une entrevue, « En tant que catholiques, nous devons faire entendre notre voix, nous devons rester forts et nous devons dire au président que ce n’est pas bien. Nous devons défendre l’enfant à naître. »

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Marche pour la Vie à Washington DC — plus de 150 000 manifestants


Marche pour la Vie à Washington, 21 janvier 2022.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gualberto Garcia Jones/LifeSiteNews

Plus de 150 000 participants ont marché lors de la 49e marche pour la Vie à Washington DC vendredi 21 janvier.

Twitter a complètement ignoré ce succès évident, préférant souligner l’anniversaire de Roe.

Les deux ONG, MSI Reproductive Choices et International Planned Parenthood Federation, ont manifesté leur inquiétude devant le possible renversement de Roe vs Wade. Ils craignent « une onde de choc capable de “se répercuter dans le monde entier, enhardissant davantage les activistes anti-genre et anti-avortement” » rapporte FSSPX.News « MSI alerte l’opinion sur le risque de ce qui serait le “recul le plus important du droit à l’avortement dans l’histoire des États-Unis” ».

Quant à la présidente de la Marche pour la Vie, elle a affirmé lors du ralliement avant la marche, « Nous espérons et nous prions que cette année 2022 amènera un changement historique pour la vie. »

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Aujourd’hui : Marche pour la Vie à Washington DC

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)

Aujourd’hui, vendredi 21 janvier, des Américains et des personnes venues de partout dans le monde se sont réunis pour marcher pour la vie à Washington DC.

Ces dizaines de milliers de personnes marchent dans l’espoir de retourner Roe vs Wade, le jugement responsable de plus de 60 millions d’avortements aux États-Unis.

Le 22 janvier 1973, la Cour Suprême des États-Unis a légalisé l’avortement dans l’affaire Roe vs Wade. Depuis cette décision, des milliers de pro-vie protestent devant la Maison-Blanche chaque année dans la plus grande manifestation des droits de l’homme au monde.

Lors de cette 49e marche, la présidente de la Marche pour la Vie, Jeanne Mancini, a affirmé, « Roe is not settled Law ! », Roe n’est pas réglé !

La Marche pour la Vie ne défend pas seulement les millions d’enfants à naître victimes de l’avortement, mais aussi le futur des États-Unis et de toutes ses futures générations. La victoire doit être gagnée, et les enfants à naître doivent être défendus.

Comme l’a rappelé le sénateur du Dakota du Nord, le caractère sacré de la vie humaine n’est pas un combat politique, c’est un combat pour l’humanité elle-même.

Soyons sûrs, avec le sénateur John Thune, qu’« au final, le bien et la justice prévaudront, parce que nous avons la Vérité de notre côté ».

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Une femme enceinte et sans-abri reçoit de l’aide

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock

Récemment, une femme travaillant dans un milieu communautaire a contacté notre service Enceinte et inquiète. C’était au sujet d’une femme sans-abri en difficulté.

Elle avait une déficience mentale et était enceinte. Elle devait être hébergée et aidée.

Campagne Québec-Vie, par le biais de son service Enceinte et inquiète, l’a redirigée vers la Mission Bon Accueil. L’organisme de services sociaux situé à Montréal offre le service Cœur à Sœur qui, à travers un « plan de vie personnalisé », « aide les jeunes mères d’enfants âgés de 0 à 5 ans et les femmes enceintes de 15 à 30 ans à reprendre le contrôle sur leurs vies. »

Cette femme se trouvait dans une situation tragique et impossible. Tant d’autres femmes se retrouvent dans un état semblable, un état auquel il ne semble pas avoir de solution.

Mais il y a toujours une solution, et il y a toujours de l’espoir. Une pensée, une prière confiante ; qui sait ce qui a mené cette femme enceinte vers une voie d’espérance.

Certes, le futur de cette mère et de son enfant ne sera pas sans obstacle. Ils n’auront pas une « vie en rose » (elle est d’ailleurs utopique et inexistante). Mais ils auront obtenu le soutien, et surtout l’espoir, qui transforment une existence impossible en une remontée possible.

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Lancement de l’Initiative Le Québec prie — des dizaines de groupes le 19 janvier !


Groupe de chapelet tenu, dans le cadre de l'Initiative Le Québec prie, devant l'église Saint-Charles-Borromée à Saint-Charles-de-Bellechasse, le 19 janvier 2022.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)

Pour une première lancée, elle était puissante ! Mercredi soir lInitiative Le Québec prie a donné son premier coup d’envoi de chapelets publics au Québec, confiant la situation actuelle de la société à Notre-Dame.

La carte des chapelets indique maintenant 43 chapelets au Québec !

Selon les messages sur le groupe Telegram émis tout au long de la soirée, environ 175 personnes se sont unies à travers le Québec en priant publiquement le chapelet le 19 janvier.

Certaines personnes priaient seules « en union avec tout le Québec », d’autres en famille, et d’autres par groupes allant jusqu’à trente participants ; des groupes différents séparés par la distance, réunis dans des régions différentes, mais unies par la même Foi.

Un membre a témoigné, « Au Petit Sanctuaire de Notre-Dame du Cap (l’église où la statue de la Sainte Vierge a ouvert les yeux devant le bon Père Frédéric... C’était une joie d’être unis à chacun pour demander de nouvelles grâces dans ce lieu bénit qui en a reçu tant par la Sainte Vierge. »

Comme l’a partagé l’un des membres du groupe, l’expérience a permis aux membres de réaliser « que le Catholicisme est encore bien en vie au Québec » !

Après ce premier succès, le groupe continue à s’agrandir et à étendre son ardeur, ayant comme objectif de « doubler le nombre d’endroits chaque semaine ! » Aidez-nous à atteindre cet objectif en rejoignant le groupe Telegram Initiative Le Québec prie.

« Persévérons ! Le ciel nous fera miséricorde et donnera la paix à notre pays » a encouragé un membre.

À Gatineau.


Devant l'église Saint-Gérard-des-Laurentides, Shawinigan.


Devant l'église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours, Sherbrooke.


Notre-Dame-du-Bon-Conseil.

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La nouvelle présidente du Parlement européen compromet ses valeurs pro-vie


Roberta Metsola, nouvelle présidente du Parlement européen.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : European People's Party/Flickr

L’espoir que représentait la nouvelle présidente du Parlement européen pour le mouvement pro-vie n’était malheureusement qu’un mirage. Hier, lors de son élection, cette mère de quatre enfants a sacrifié ses convictions personnelles pour le pouvoir.

Lors d’une conférence de presse hier, Roberta Metsola a déclaré : « Le Parlement européen est sans ambiguïté sur tous les droits en matière de santé sexuelle et reproductive. Il a demandé à plusieurs reprises que ces droits soient mieux protégés. Le mois dernier encore, nous avons souligné que l’accès aux services de santé sexuelle et reproductive est un élément essentiel pour parvenir à l’égalité des sexes et éliminer la violence sexiste. C’est la position du Parlement et je peux vous confirmer que je me suis engagée auprès de vous tous à ce que ce soit la position que je promouvrai et que j’ai déjà défendue lorsque j’ai été chargée, en tant que vice-présidente, de représenter la présidence du Parlement. »

Cette déclaration indique clairement un changement de position et une forte défense de « droits » qui ne sont pas des droits, puisqu’ils violent le droit fondamental à la vie.

Dans le passé, cette catholique pratiquante votait toujours contre les résolutions visant à promouvoir l’avortement dans l’UE, comme le note Jeanne Smits sur LifeSiteNews. Mais aujourd’hui, elle compromet son courage moral pour laisser place à une faiblesse diplomatique.

Le site Benoît-et-moi rapporte, « Sur l’avortement, la conscience, les combats et les convictions de Roberta Metsola ont été mis de côté, la position et le rôle ont pris le dessus : la nouvelle Metsola est abortiste et soutiendra ces résolutions parlementaires insensées qui mortifient des pays comme la Pologne et sa propre patrie, Malte, où l’avortement est interdit. »

Quant à l’avenir de l’UE, il risque de continuer dans sa descente vers la corruption de toute valeur humaine. Une dirigeante qui n’affirme pas publiquement les droits des enfants à naître et qui affirme publiquement au contraire les « droits » LGBT ne sortira pas l’UE de son injustice et de sa perversité ; loin de là.

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La nouvelle présidente du Parlement européen est pro-vie


Roberta Metsola, nouvelle présidente du Parlement européen.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : European Parliament/Flickr

Le mardi 18 janvier, Roberta Metsola a été élue présidente du Parlement européen. Originaire de Malte, cette femme de quatre garçons est résolument pro-vie. « “Maman”, c’est le premier mot que Roberta Metsola utilise pour se décrire dans sa biographie Instagram », rapporte Médias Presse Info.

L’OBS affirme que Metsola, « s’oppose systématiquement depuis dix ans aux résolutions défendant le droit à l’avortement, dans la droite ligne de son pays, le dernier en Europe à interdire l’IVG. »

La première valeur énumérée dans les valeurs fondamentales de l’Union Européenne est la dignité de la personne humaine. La Charte des droits fondamentaux indique clairement que « La dignité humaine est inviolable. Elle doit être respectée et protégée », et que « Toute personne a droit à la vie. »

Si le Parlement européen dit avoir de telles valeurs, il n’est pas choquant que sa présidente adhère aux valeurs de la vie et de la dignité humaine. Pourtant, « Les convictions de cette mère de quatre enfants lui ont valu les critiques de certains de ses collègues eurodéputés. »

Bien qu’elle défende les droits légitimes de l’enfant à naître, la nouvelle présidente supporte malheureusement les « droits LGBT ».

Le Parlement européen priorise la dignité humaine tout en affirmant que « les droits des personnes LGBTIQ sont des droits humains » N’y-a-t-il pas là une contradiction frappante puisqu’accorder aux personnes LGBT le « droit » de vivre selon ces standards immoraux n’est que les priver de leur dignité humaine ?

Le mode de vie LGBT, un mode de vie immoral et contre-nature, n’est pas compatible avec la dignité à laquelle est appelé tout être humain. L’homme n’est pas qu’un animal ; l’homme est un animal rationnel qui est destiné à atteindre un idéal — une mission que n’ont pas les animaux — et ainsi à vivre selon la dignité humaine et non la bassesse animale promue par l’idéologie LGBT.

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La CEDH impose aux membres de l’UE la reconnaissance des « familles » LGBT

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Daniel Jędzura/Adobe Stock

L’Union européenne a redéfini la famille ; et ce faisant, elle l’a dissolu.

Médias-Presse Info rapporte que, « La Cour européenne de justice a décidé ... d’imposer à tous les États membres de l’Union que les “parents” de même sexe et leurs enfants soient reconnus comme une famille dans tous les États membres. »

L’institution de la famille composée d’un père et d’une mère n’est pas une invention ni une convention sociale. Elle n’est pas définie ainsi par hasard. Comme le dit Peter Baklinski dans son article Pourquoi les pro-vie refusent la redéfinition du mariage des lobbys gais ?, « L’environnement qui est le plus propice à l’épanouissement de la personne humaine — sans exception — est la famille humaine composée d’un homme et d’une femme unis dans une union à vie... »

Pourtant, « le tyran européen veut imposer un nouveau modèle de famille et de progéniture, un point c’est tout, du droit il fait table rase quand cela l’arrange. » Du droit des enfants d’avoir une famille stable, équilibrée, et favorable à leur développement, il s’en moque.

Pour le chef de l’équipe juridique de l’ILGA européenne, un lobby Lgbtqi international, cette décision est un, « témoignage réel que l’UE est une union d’égalité ». Il a déclaré que, « nous avons hâte de voir les familles arc-en-ciel jouir de leur droit à la liberté de mouvement et d’autres droits fondamentaux sur un pied d’égalité avec tout le monde. »

Comment peut-il prétendre obtenir un « droit à la liberté de mouvement » alors que ce « droit » ouvre grand la porte à l’emprisonnement des enfants dans une « famille » artificielle et nocive ?

Pour la révolution arc-en-ciel tout comme pour l’avortement, les chefs d’État écoutent et défendent ceux qui crient le plus fort (les fanatiques pro-LGBT et féministes), au lieu de défendre les victimes de telles folies (les enfants à naître et les enfants des « familles » LGBT).

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Plus de fécondation in vitro au Québec

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Andriy Bezuglov/Adobe Stock

« Un bébé quand je veux, si je veux, comme je veux. Le bébé dépend de mon désir. “L’enfant désiré, malheureusement, passe par l’élimination des enfants non désirés” », rappelle un article percutant du Magazine Familles Chrétiennes.

Au Québec, cette déformation de la nature promue par la fécondation in vitro devient plus accessible dans les cliniques privées.

Selon Le Journal de Montréal, « En conflit avec les cliniques de fertilité qui rejettent le tarif prévu par le programme public de procréation assistée, Québec accorde un permis à un nouvel établissement privé... Située à Montréal, la clinique privée OriginElle pourra désormais offrir un traitement de FIV gratuit aux couples infertiles. »

Au lieu de subventionner la maternité et mettre fin à cette pratique, le gouvernement « accorde une subvention de 3900 $ aux médecins qui pratiquent une FIV... »

Le ministre délégué aux Services sociaux ne manque pas d’ambition dans son projet, « Il y a (aussi) possibilité d’ouvrir une clinique (de fertilité) au CHU de Québec, une au CHU de Sherbrooke, et si on voit que certaines cliniques privées ne participent pas, on va aller de l’avant avec ces projets-là également. Pour moi, c’est important que toutes les femmes reçoivent le service le plus rapidement possible et dans la gratuité ».

La fécondation in vitro tente d’effacer la dignité et le respect de la personne humaine en transformant l’enfant à naître en un produit, un produit congelé et même jetable dans certains cas. « Supposons un embryon conçu in vitro ; on conçoit dix embryons, on en supprime trois parce qu’ils ne conviennent pas, on en congèle trois et on en implante trois. On fait une réduction embryonnaire et un seul bébé naît (Benoît Bayle). » Lorsque les hommes dépassent les lois de la nature, ils deviennent tout simplement inhumains.

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