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Un évêque québécois dénonce le passeport sanitaire


Guy Desrochers, évêque de Pembroke (Ontario et Québec).

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Site du Diocèse de Pembroke

Lundi 20 décembre, Mgr Guy Desrochers a remis en question le passeport sanitaire dans sa déclaration aux fidèles du diocèse de Pembroke.

Sa déclaration va droit au but : pourquoi des passeports vaccinaux obligatoires pour les lieux de culte ? « … veuillez prendre note que les évêques du Québec n’ont même pas été consultés avant la publication de cette annonce qui m’apparaît totalement injuste pour une partie de nos fidèles, et qui, de toute évidence, ne comporte aucun fondement scientifique, puisque même les vaccinés peuvent être contaminés et en contaminer d’autres, comme l’ont révélé les scientifiques et les médias encore dernièrement. Si tel est le cas, comment pouvons-nous justifier cette idée d’imposer un passeport vaccinal, comme si, par magie, on pouvait ainsi éviter la contamination ? »

S’appuyant sur le droit canonique lui-même, l’évêque québécois rappelle que l’État ne doit pas enfreindre les lois de l’Église, « Je me demande sérieusement si la ligne de séparation entre ce que l’État peut et ne peut pas dicter aux diverses communautés religieuses ne vient pas d’être franchie avec cette obligation de présenter des passeports vaccinaux à l’entrée de nos églises. Le Code de droit canonique est pourtant clair : aucun fidèle ne doit être privé des sacrements. »

Lançant un puissant appel à ses fidèles, Mgr Desrochers les invite à oser, « interpeller vos représentants de gouvernement à modifier cette loi qui outrepasse en fait le rôle et le devoir qu’ils doivent jouer dans notre société. Leur rôle est terrestre, et nous reconnaissons que c’est Dieu lui-même qui leur a confié cette responsabilité, mais le nôtre est céleste, car le Christ lui-même nous confie la gérance spirituelle de son Royaume. Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu, nous dit notre Maître et Sauveur. »

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« Avançons ensemble », vraiment ?


Justin Trudeau.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Lovers Lounge/Flickr

L’un des engagements de la plateforme électorale du parti libéral en août 2021 était de ne « plus accorder un statut d’organisme de bienfaisance à des organisations antiavortement (par exemple, les centres de crise de grossesse) qui fournissent des services de consultation malhonnêtes aux femmes au sujet de leurs droits et des options qui sont à leur disposition à toutes les étapes de la grossesse. »

Trudeau réalisa cet engagement le 16 décembre en rendant, « inadmissibles au statut d’organisme de bienfaisance les organisations anti-avortement ».

Qu’en est-il devenu du titre de la plateforme électorale, Forward for Everyone ou Avançons Ensemble ? En attaquant directement les organismes qui tentent de sauver les enfants à naître, Trudeau ignore catégoriquement les plus de 80 000 Canadiens tués chaque année. Comment pouvons-nous avancer ensemble lorsque les futurs bâtisseurs de demain sont lâchement supprimés ?

Ainsi, sous prétexte que les organismes pro-vie diffusent des fausses informations sur l’avortement, « mettant ainsi en péril la santé et la sécurité de jeunes et de femmes vulnérables », notre gouvernement met en péril non seulement la santé, la sécurité, mais la vie elle-même des plus vulnérables.

Comme l’affirme Jack Fonseca, « Alors que Trudeau s’efforce de détruire financièrement les organismes de bienfaisance pro-vie, il verse en même temps des dizaines de millions de dollars de l’argent des contribuables à des groupes militants qui font la promotion de l’avortement »

« Avançons » oui, mais avançons réellement ensemble sans aveuglement balayer d’un revers de main le groupe irremplaçable de citoyens non visibles, mais existants ! Ce n’est pas parce que ces citoyens ne peuvent pas se défendre qu’ils ne méritent pas d’être défendus !

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Le Collège des médecins du Québec se prononce pour l’euthanasie des enfants

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gorodenkoff/Adobe Stock

Dernièrement, le Collège des médecins s’est prononcé en faveur de l’élargissement de l’aide médicale à mourir ; et cet élargissement n’impliquerait pas qu’un simple pas anodin, mais plutôt un bond significatif.

L’une des conditions requises pour recevoir l’aide médicale à mourir est que la personne doit être âgée d’au moins 18 ans.

Mais le Collège veut pousser les limites plus loin. Selon La Presse, « Le Collège croit … que les “mineurs matures”, soit les enfants âgés de 14 à 17 ans, devraient être admissibles, à certaines conditions, à l’AMM ... “Le Collège appuie sa position sur le fait que la souffrance ne tient pas compte de l’âge et que chez les mineurs, elle peut être aussi intolérable que chez les adultes”, indique le Collège dans son avis. »

L’élargissement ne s’appliquerait pas seulement aux enfants. « Contrairement à la Commission spéciale, le Collège des médecins croit [dans des cas restreints] que les patients atteints de maladie mentale devraient pouvoir avoir recours à l’AMM. »

Voilà ce que notre système médical encourage, rendre la mort de plus en plus accessible, sous prétexte que la souffrance porte atteinte à tous les âges. Mais la mort est-elle vraiment la solution à la souffrance ? À quoi sert la médecine sinon à soigner pour préserver la vie ?

Palier par palier, le règne de la mort s’installe. Au début visant seulement les vieillards, il vise maintenant les enfants.

Le gouvernement n’a pas encore donné son avis public. La Presse rapporte qu’il « doit se prononcer publiquement en 2022 sur l’élargissement de sa loi sur l’aide médicale à mourir. », mais serons-nous surpris s’il se prononce en faveur de cet élargissement ?

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Pourquoi supprimer les bonnes « thérapies de conversion » et en priver ceux qui en ont besoin ?

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Mego-studio/Adobe Stock

Si l’on vous disait qu’à partir de maintenant, les médecins n’ont plus le doit de soigner les malades, les parents n’ont plus le droit d’élever leurs enfants ni de les diriger dans la bonne voie, et que les policiers n’ont plus le droit de protéger les citoyens, vous diriez que c’est de la folie.

Vous diriez que c’est de la folie de refuser l’aide à ceux qui en réclament et qui en ont besoin. Mais cette réalité qui nous est si évidente et naturelle a été jetée par la fenêtre ; jetée par la fenêtre par nos propres dirigeants qui gouvernent notre pays dans le but... d’aider leurs citoyens ?

Non seulement, le projet de loi C-4 refuse l’aide à ceux qui souffrent d’un trouble par rapport à leur sexe, mais il la rend aussi illégale !

« Le projet de loi C-4 rendra illégale l’expression de ces enseignements chrétiens concernant la sexualité, que ce soit du haut d’une chaire pour mettre en garde les croyants contre les conséquences du péché, ou dans l’intimité d’un foyer familial, sous la forme d’une conversation privée entre des parents et leur enfant souffrant d’un trouble du genre... Il prive les adultes qui ne souhaitent plus s’identifier comme LGBT du droit d’obtenir le type de thérapie clinique ou de conseil spirituel qu’ils souhaitent pour eux-mêmes » rapporte Jack Fonseca de Campaign Life Coalition.

Le problème ici n’est pas tellement que les thérapies de conversion sont illégales pour ceux qui souffrent de tels troubles, mais plutôt qu’on en nie l’existence. Le problème n’est pas que le remède est refusé aux malades, mais plutôt que la maladie est niée et conséquemment que le remède devient inutile.

Les personnes s’identifiant comme LGBT souffrent profondément parce qu’ils pensent vouloir quelque chose qui ne leur est pas naturel et qui n’existe tout simplement pas. Pourquoi les priver de la réalité alors que seule la réalité pourra les aider ?

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La Cour suprême des États-Unis rejette le recours de Biden contre la loi du Texas protégeant l’enfant à naître

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Andy Dean/Adobe Stock

Le mercredi 1er septembre, une loi est entrée en vigueur au Texas interdisant tout avortement à partir du moment où les battements de cœur sont perceptibles. Cet interdit encourage notamment les citoyens « à poursuivre au civil les personnes et organisations qui aident les femmes à l’enfreindre. »

Le jeudi 9 septembre, le gouvernement de Biden a contesté cette loi. Mais les résultats de cette poursuite sont nuls ; la loi sera maintenue.

Tout en maintenant la loi, la Cour Suprême autorise « les tribunaux fédéraux à intervenir » contre elle. Cela rend la loi plus vulnérable tout en démontrant que la Cour n’est pas si « solidement ancrée dans le conservatisme » comme le prétendent les médias.

Selon Radio-Canada, « Dans un texte distinct, le chef de la Cour John Roberts et les trois magistrats progressistes ont souhaité que les tribunaux bloquent rapidement la loi “contraire à la Constitution”, “compte tenu de ses effets sinistres et persistants”. »

Conserver le droit légitime à la vie des enfants à naître aurait donc « des effets sinistres » ? Les effets sinistres ne résulteraient-ils pas plutôt du meurtre injuste de ceux qui méritent le plus d’être défendus ?

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12 décembre — Notre-Dame de la Guadeloupe

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons

Il y a près de 500 ans, l’Empire aztèque arrosait encore le sol mexicain de ses sacrifices humains. Et aujourd’hui, le meurtre intentionnel d’humains se fait encore, non pas par les Aztèques barbares, mais dans nos hôpitaux et nos cliniques d’avortements par ceux qui soignent le corps, les médecins.

Le culte satanique des Aztèques fut écrasé par Notre-Dame de la Guadeloupe lorsqu’elle apparut en 1531 à un jeune indien au Mexique lui demandant de bâtir une église. Le résultat de cette conquête glorieuse fut la conversion de plus de huit millions d’habitants.

Aujourd’hui, 12 décembre, nous fêtons Notre-Dame de la Guadeloupe, patronne de l’enfant à naître, et conséquemment du mouvement pro-vie. Comme elle écrasa le culte aztèque, ce sera elle qui écrasera le culte de l’avortement, l’origine du mot nahuatl Guadeloupe étant coatllope, « celui qui écrase le serpent (Wikipédia). »

Le moyen que cette conquérante du ciel employa fut la construction physique d’une église, la construction du lieu sacré du Saint Sacrifice de la Messe. Ainsi, les sacrifices perfides de Satan seront renversés par le Sacrifice de la Rédemption renouvelé sur nos autels.

Demandons à Notre-Dame de la Guadeloupe, qui purifia le sol mexicain tâché de sang avec le Sacrifice par excellence, de purifier notre sol canadien et le monde entier du crime abominable de l’avortement avec le même Sacrifice de son fils sur la Croix. Cette Croix par laquelle les hommes furent rachetés sera l’arme avec laquelle Dieu triomphera sur Satan et ses œuvres maléfiques, et avec laquelle toute victoire sera gagnée comme l’affirme la vision de Constantin, In hoc signo vinces, « Par ce signe tu vaincras ».

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La Californie : « un abattoir plutôt qu’un sanctuaire »

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : standret/Adobe Stock

En panique devant un possible renversement de Roe vs Wade, les pro-avortement tentent de renforcer leurs campagnes de mort.

Selon Radio-Canada, « … une coalition de fournisseurs de service d’avortement, soutenue notamment par le gouverneur démocrate de l’État, veut faire de la Californie un refuge pour les femmes d’États conservateurs qui se verraient interdire d’interrompre leur grossesse. »

Le gouverneur Gavin Newson, « Disant souhaiter étendre les protections au droit à l’avortement … a affirmé que son État pourrait devenir un “refuge” non seulement pour les Californiennes, “mais aussi pour les femmes et les filles de tout le pays”. »

Cet état, l’un des plus « progressistes en matière d’avortement », deviendrait alors le lieu de rassemblement de ceux qui s’apprêtent à tuer volontairement des êtres innocents. Comme l’a dit la présidente de Live Action, Lila Rose, la Californie serait « un abattoir plutôt qu’un sanctuaire ».

Non seulement la Californie accueillerait des femmes voulant avorter mais elle les aiderait aussi financièrement. Les implications concrètes de ce projet seraient, « l’augmentation du financement des cliniques d’avortement, la création d’un programme de subventions dédié à la formation dans des régions mal desservies et la mise en place de protections légales des cliniciens qui fournissent un avortement à des patientes, y compris celles qui viennent d’États restreignant le droit à l’avortement. » De plus, « les patientes originaires d’autres États n’auraient pas à assumer des frais comme l’hébergement et le transport. »

Le temps, l’énergie, l’argent, et la passion déréglée que ces pro-avortement sont prêts à consacrer à cette cause ne font que prouver leur aveuglement. Tout cela pour encourager le meurtre d’innocents ? Tout cela alors qu’ils pourraient l’utiliser pour financer des centres pour femmes enceintes, pour développer des centres d’adoption, pour aider ces femmes à accepter le don précieux qu’est un enfant, ou tout simplement pour défendre la vie plutôt que de combattre pour la mort ?

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Les demandes de mort anticipées

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Artem/Adobe Stock

Il y a-t-il vraiment une société plus déséquilibrée que celle dans laquelle ses citoyens anticipent leur mort ?

Selon Radio-Canada, « La Commission spéciale sur l’évolution de la Loi concernant les soins de fin de vie a déposé son rapport à l’Assemblée nationale du Québec, mercredi. Elle recommande qu'une personne majeure et apte puisse faire une demande anticipée d'aide médicale à mourir si elle souffre d'une maladie grave et incurable qui la rendra inapte. »

Ainsi les personnes ayant reçu un diagnostic d’une maladie entraînant des troubles mentaux pourraient faire une demande anticipée d’aide médicale à mourir étant donné qu’elles ne seraient pas lucides vers la fin de leur vie.

« Il est aussi recommandé que la personne désigne un tiers de confiance qui fera connaître sa demande anticipée et qui réclamera, en son nom, que la demande soit traitée au moment opportun. »

La personne désignée déciderait alors du temps « opportun » pour tuer le patient. Des signatures et de simples mots inscrits dans un registre et gravés sur la carte d’assurance médicale suffiraient pour achever une vie.

Le contrôle des individus sur leur vie et sur leur mort devient de plus en plus élevé au point de toucher l’absurdité. Si l’homme planifie sa mort tout comme il planifie sa vie, il finira par construire une immense tour de Babel qui s’écroulera sans faute et sans pitié.

Des citoyens qui recherchent la mort, un état qui encourage la mort de ses citoyens, et un monde qui prêche la mort ; devons-nous chercher plus loin pour trouver la personnification de la folie ?

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8 décembre — l’Immaculée Conception

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Museo del Prado/Wikimedia Commons

Comme l’a écrit Antoine de Saint-Exupéry, « Être homme, c’est précisément être responsable ». Nos premiers parents, Adam et Ève, ont vécu les conséquences de cette réalité d’une manière dramatique ; un seul acte de désobéissance dans le Paradis Terrestre fut la cause des guerres, des violences, des maladies, des injustices, et surtout, du péché originel qui tacha l’âme de presque tous les hommes.

Presque tous les hommes, car aujourd’hui nous fêtons celle qui fut conçue sans la marque du premier péché des hommes, l’Immaculée Conception. Dieu accorda cette grâce extraordinaire à la femme qui assuma le plus parfaitement la responsabilité de sa maternité.

Mais cette même responsabilité de donner la vie à un nouvel être humain que Marie exécuta le plus purement et parfaitement est celle qui est niée et violée par le crime de l’avortement. Ainsi Marie, « qui s’élève comme l’aurore, éclatante comme le soleil (Livre des cantiques) » est la lumière par laquelle nous devons éclairer notre lutte contre l’avortement.

Cette même lumière immaculée inspira Saint Maximilien Marie Kolbe à combattre la franc-maçonnerie, une association qui lutte pour la libéralisation de l’avortement, comme le confirme le Dr Maurice Caillet dans son témoignage.

En 1917, le Frère Maximilien aperçut ses bannières blasphématoires. Devant de tels outrages il s’écria, « Est-il possible...qu’en présence d’une telle activité déployée par les ennemis de l’Eglise de Dieu, il nous soit permis de rester oisifs ? Après tout, n’avons-nous pas d’armes bien plus puissantes ? Ne pouvons-nous pas compter sur le Ciel et en particulier sur l’Immaculée ? »

Imitons le Chevalier de l’Immaculée en nous confiant à celle qui est « au-dessus de toutes les femmes, la Femme essentiellement pure, miroir de la beauté divine, le Chef-d’œuvre inégalé et le sommet de toute la création... (La Joie de Marie l’Immaculée) »

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Les « valeurs » du monde moderne


Peter Singer.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Joel Travis Sage/Wikipédia

Une autre preuve que le respect de la vie et de la famille se fait de plus en plus piétiner est l’« honneur » et la « gloire » donnés aux anti-vie et antifamille.

Pour ne citer que quelques exemples,

« Peter Singer, le père du mouvement pour les droits des animaux, qui soutient l’infanticide des nouveau-nés handicapés, a remporté le prix Berggruen, un prix d’un million de dollars décerné chaque année à un penseur dont les idées ont “profondément façonné la compréhension de soi et l’avancement dans un monde en évolution rapide” », rapporte LifeSiteNews.

Black Lives Matter (BLM), le mouvement pro-avortement qui a causé tant d’émeutes et de morts, a été proposé pour le prix Nobel de la paix 2021. (The Guardian)

« Le prix Nobel de chimie 2020 a été décerné à deux scientifiques… afin de couronner des travaux jugés décisifs en matière de manipulation génétique », rapporte FSSPX news.

Ce sont ces personnes qu’on nomme les héros d’aujourd’hui. Mais comment la manipulation génétique, le meurtre des plus vulnérables et des handicapés, et toutes les autres violations de la loi naturelle peuvent-ils être héroïques ?

Ce sont ces valeurs-là, des « valeurs » contre la famille, contre la vie, contre la loi naturelle qui définissent notre monde aujourd’hui.

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