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11 novembre — Jour du Souvenir

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pellinni/Adobe Stock

Aujourd’hui nous nous rappelons la fin de la Première Guerre Mondiale marquée par la signature de l’Armistice de 1918, au jour de saint Martin, patron des armées. Appelé Jour du Souvenir, ce jour est dédié à la mémoire des soldats décédés.

Ces hommes courageux ont placé la survie et la défense de leur pays avant leurs propres vies. Face aux dangers menaçants, ils ont su choisir un plus grand bien, le bien de mourir pour une noble cause par-dessus leur propre sécurité.

Et nous, sommes-nous prêts à nous oublier pour choisir le plus grand bien ?

Trop souvent nous sommes trop centrés sur nous-mêmes, sur notre propre vie. Trop souvent nous nous choisissons plutôt que de nous sacrifier. Chaque jour, des femmes choisissent leur propre confort par-dessus la vie de leur enfant. Chaque jour, des enfants sans défense meurent victimes de l’égoïsme.

« Pendant la plus grande partie des années 1920… Les anciens combattants et leurs familles se rassemblaient à l’église et autour de monuments commémoratifs locaux... » rapporte le Musée canadien de la guerre. À leur exemple, n’oublions pas de prier pour ces soldats qui se sont entièrement donnés, mais aussi pour tous les enfants qui sont tués parce trop peu de personnes sont prêtes à entièrement se donner.

Qu’en ce Jour du Souvenir, le sacrifice de ces héros puisse nous donner un exemple de courage et d’oubli de soi.

Qu’en ce jour, leur exemple nous inspire à choisir le plus grand bien par-dessus nous-mêmes, à toujours chercher à nous dépasser, et à nous oublier pour une noble cause.

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La disparition de l’enseignement catholique dans les écoles québécoises

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gorodenkoff/Adobe Stock

Alors qu’un nouveau cours de Culture et Citoyenneté québécoise prend la place du programme ÉCR (Éthique et Culture religieuse), l’enseignement catholique sombre au Québec.

S’avançant par paliers pour supprimer toute trace de catholicisme au Québec depuis la Révolution tranquille (voir Pour en finir avec le mythe de la Révolution tranquille), le gouvernement est parvenu à l’abolir même dans le domaine primordial qu’est l’éducation.

Pourrait-on trouver une manière plus efficace de transformer un pays et un peuple que de transformer son système d’éducation ? Pourrait-on trouver une manière plus puissante d’abolir les croyances d’un pays que de les abolir chez ses enfants ?

Le programme ÉCR avait déjà renversé le Catholicisme, en remplaçant les cours de religion par un cours de culture religieuse, excluant la primauté de la seule vraie religion.

Le nouveau cours ne fait que renforcir la déchristianisation de l’éducation, déjà déclenchée par le programme ÉCR, en supprimant non seulement l’enseignement religieux mais même son rôle dans le passé. Selon une lettre d’opinion cosignée par Jean Morse-Chevrier, Présidente de l’APCQ (de 2004 à 2013), « Ce nouveau cours n’inclut pas l’impact déterminant du catholicisme sur l’histoire du Québec. »

« Plus qu’avant, le ministère se sert de sa position de force pour façonner le profil socioculturel du Québec selon SES valeurs », affirme la lettre d’opinion, et ses valeurs ne sont autres qu’un renoncement complet du passé, et surtout, un renoncement de Dieu.

Alors que le Québec a besoin plus que jamais de ses racines catholiques et traditionnelles, d’un retour vers sa Foi et sa morale solides, nous voyons s’effacer un à un les liens qui nous rattachent au passé.

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Un Québécois sur deux ne croit pas en Dieu

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : BAnQ

Selon Le Devoir, « il y a maintenant plus d’athées que de croyants au Québec ... On est passé à un autre régime de religiosité. »

Pourtant, le Québec n’est-il pas le berceau de la civilisation chrétienne au Canada ?

En 1534, Jacques Cartier planta une croix à Gaspé. Il ancrait dans cette nouvelle terre des racines chrétiennes : des racines qui seront la fondation du Québec tout au long de son histoire.

En 2021, le Québec n’est plus le même que celui de 1534. Une province profondément catholique est devenue une des provinces les moins croyantes au Canada.

« Un Québécois sur deux ne croit pas en Dieu » affirme Le Devoir, mais comment cet athée comble-t-il son besoin naturel d’aspirer à quelque chose ou quelqu’un qui le dépasse, comment cet athée surmonte-t-il les « périodes de crise » que Le Devoir suggère être la cause des moments de religiosité ?

Le québécois sur deux qui ne croit pas en Dieu a simplement essayé de remplacer Dieu dans sa vie. Avant, la société québécoise se centrait sur sa religion catholique, tout comme les villages se bâtissaient autour des églises. Maintenant, la société se centre sur tout un univers virtuel, irréel, elle vit dans un monde matérialiste, et individualiste. Les Québécois en sont-ils plus heureux ? Certainement pas si seul Dieu mène au vrai bonheur.

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