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Promotion de « la santé et les droits sexuels et reproductifs » (avortement) à l’ONU

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : bluraz/Adobe Stock

La femme n’est pas aussi respectée par l’Organisation des Nations Unies Femmes qu’on pourrait et aimerait le croire. C’est ce que m’ont prouvé deux semaines de participation aux événements parallèles de la soixante-sixième session de la Commission de la condition de la femme aux Nations Unies.

Placées dans le contexte de la crise climatique et de la pandémie récente, les diverses présentations données par des organisations non gouvernementales accréditées par l’ECOSOC (ONG) étendaient bien sûr l’éventail linguistique propre aux Nations Unies. Mais sous cette couverture de termes diplomatiques, climatiques, et « wokistes », était une urgence d’implanter et d’étendre globalement les SDSR (la santé et les droits sexuels et reproductifs des femmes) qui concrètement ne sont qu’une violation de la dignité intrinsèque de la vie humaine.

Ces SDSR, « droits », soi-disant « essentiels pour atteindre la justice » comme la coordonnatrice du plaidoyer international d’une ONG travaillant sur les SDSR n’a pas hésité à affirmer, comprennent le « droit » à l’avortement et à l’homosexualité. C’est la promotion de ces « valeurs », ces violations de la dignité humaine qui constituent l’une des missions les plus importantes des Nations Unies.

La crise climatique ou sanitaire n’est parfois qu’une excuse pour implanter le régime de la mort.

Le président de RFSU (l’Association suédoise pour l’éducation sexuelle) Hans Linde a affirmé lors de l’événement parallèle que si nous voulons atteindre l’autonomie corporelle, nous devons lier l’égalité des sexes, les SDSR, et le changement climatique pour « garantir des SDSR inclusifs dans les initiatives de justice climatique ».

Dans la même lignée, durant son intervention à l’événement « Responsabilité envers toutes les femmes et les filles : respecter les programmes de la CIPD et de Pékin » Esperanza Delegado, la directrice du plaidoyer de MEXFAM Esperanza a déclaré que l’avortement sécuritaire devrait être un service de santé essentiel.

Cette fameuse croisade pour la libération de la femme, et l’égalité des sexes garantit-elle vraiment liberté et équité si les droits des enfants à naître y sont violés ?

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Fête de l’Annonciation : Un « oui » qui sauva le monde

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons

Dans toute l’histoire de l’humanité il n’y a pas de parole plus admirable, de discours plus puissant, de déclaration plus importante que le simple mot prononcé par Notre-Dame le jour de l’Annonciation.

La puissance du « fiat » de la Sainte Vierge ne réside pas dans le déroulement du plus grand mystère qui soit, le retournement complet de l’histoire, et la libération de tout le genre humain, qu’il a déclenchés, mais simplement dans son adhésion entière et son abandon inconditionnel à la volonté de Dieu.

La plus grande victoire gagnée sur terre a été gagnée parce qu’une humble femme a dit « oui » à la volonté de Dieu.

Que de fois des femmes refusent de dire « oui » à la vie, « oui » au don précieux qui leur est confié, parce qu’elles croient que ce refus leur apportera une libération et supprimera une gêne de leur vie. Mais l’avortement ne rend jamais libre.

Par son « fiat », Notre-Dame prouva que seule la parfaite soumission à ce que Dieu veut de nous rend libre.

Aujourd’hui, le monde entier attend avec impatience et espoir la Consécration de la Russie et de l’Ukraine au Cœur Immaculé de Marie. Nul ne peut savoir avant le déroulement lui-même de la consécration si les demandes précises de la Sainte Vierge à Fatima seront respectées. Par contre, nous pouvons être certains d’une chose : si nous imitons le « fiat » de Notre-Dame en accomplissant nos devoirs d’état, comme elle nous l’a demandé de faire à Fatima, sa protection nous sera assurée.

Prions pour que les femmes enceintes en difficulté aient la force de dire « oui » à la vie, pour que le Pape ait la volonté de suivre les demandes de la Sainte Vierge, mais surtout, pour que chacun de nous ait le courage de dire « oui » à la volonté de Dieu. Comme le disait Sainte Catherine de Sienne, « Soyez ce que Dieu veut que vous soyez, et vous mettrez le feu au monde. »

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Le fleuve Saint-Laurent aurait plus de droits que l’enfant à naître...

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Thierry Guimbert/Adobe Stock

L’Observatoire international des droits de la nature a annoncé jeudi dernier l’adhésion d’une treizième municipalité du Québec, la Ville de L'Île-Perrot, à l’Alliance Saint-Laurent, une alliance qui a pour mission la reconnaissance de la personnalité juridique et des droits du Fleuve Saint-Laurent.

Par son action concrète, l’Observatoire international des droits de la Nature « cherche à conseiller juridiquement et à présenter des projets de loi, des politiques publiques et des interventions amicales lors de procédures judiciaires… pour la défense des droits de la Nature. »

Au printemps 2021, un projet de loi « visant à reconnaître le fleuve Saint-Laurent en tant qu’entité juridique et sujet de droit » a été publié par OIDN.

Légalement, l’enfant à naître n’a pas une personnalité juridique tandis qu’on essaie d’en attribuer au fleuve Saint-Laurent. Le fleuve aurait des droits alors que l’enfant à naître n’acquiert juridiquement ses droits qu’à la naissance.

Non seulement une injustice envers les êtres humains, et un raisonnement illogique et absurde pénètrent cette conception des droits, mais aussi une volonté de révolutionner l’ordre naturel. L’homme ne domine plus la nature, mais se laisse dominer par elle, et lui accorde des « droits » qu’il n’accorde même pas à ses propres enfants.

Même la Convention Internationale des Droits de l’Arbre considère « que l’arbre est un être vivant qui ne peut être réduit à un simple objet ou à sa seule utilité économique » alors que notre système médical, juridique, et gouvernemental considère que l’enfant à naître peut être réduit à un simple objet jetable sous prétexte d’utilité économique.

L’Arbre, le Fleuve, la Nature reçoivent des statuts juridiques, des droits, et des conventions internationales à leur nom, mais l’enfant à naître ne reçoit même pas la reconnaissance de sa propre dignité. À quand la prochaine Convention Internationale des Droits des Enfants à Naître ?

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Enfants à naître trisomiques : nous devons les laisser vivre

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : denys kyvaiev/Adobe Stock

On nous martèle constamment la tête avec les protocoles de l’inclusion et de la non-discrimination, et pourtant on réduit parfois les citoyens vulnérables de notre société, tels que les trisomiques, à une gêne qu’on peut facilement supprimer. Pourquoi les trisomiques ne mériteraient-ils pas la vie ?

Comme l’a affirmé le premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney dans une déclaration lors de la journée mondiale de la trisomie 21, « Malheureusement, nous voyons de plus en plus de preuves de discrimination génétique contre les enfants à naître atteints du syndrome de Down. Certains ont même fait appel à “l’élimination” du syndrome de Down par cette discrimination. Nous devons tous travailler plus dur pour créer une société où toutes les vies humaines sont accueillies dans l’amour, pour mener une vie épanouie et digne. »

Non seulement les trisomiques font l’objet de cette « discrimination », mais aussi tous les enfants à naître, supprimés parce qu’ils sont une gêne et qu’ils n’ont pas une voix pour se défendre. Combien plus la société se préoccupe-t-elle de la survie et de la protection des bébés tortues, ou des systèmes forestiers, alors que la vie des êtres humains les plus vulnérables n’est même pas défendue ?

Jérôme Lejeune, le médecin qui a découvert l’essence de la trisomie 21 a constaté avec justesse, « On entend dire : “les maladies génétiques coûtent cher. Si l’on excluait très tôt ces sujets, on ferait des économies énormes.” … Mais ce prix, nous pouvons l’évaluer : C’est exactement celui qu’une société doit payer pour rester pleinement humaine. »

Le droit à la vie des enfants à naître et des trisomiques doit leur être restitué, tout simplement parce que leur vie n’a pas de prix.

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Texas : défendre le caractère sacré de la Vie

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : buritora/Adobe Stock

La cinquième proposition de vote pour la primaire républicaine de 2022 affirme que « Le Texas doit promulguer un amendement à la constitution de l’État pour défendre le caractère sacré de la vie humaine innocente, créée à l’image de Dieu, de la fécondation à la mort naturelle »

1 549 445 votes en faveur de cette proposition selon Ballotpedia !

Texas Right to Life rapporte que « 83,3 % des électeurs républicains ... ont voté pour adopter la proposition et faire de la protection de la vie une priorité lors de la prochaine session législative. »

La défense du caractère sacré de la vie ne pourrait pas être formulée plus clairement, ni pourrait-elle exprimer plus explicitement la mission pro-vie que cette proposition.

Il y a de l’espoir ! « Les pro-vie ont démontré qu’ils continueront à se présenter aux urnes pour élire des dirigeants courageux qui adopteront des lois qui protègent la vie innocente », encourage le groupe pro-vie du Texas.

Cependant, « Plus d’action pro-vie sera nécessaire pour transformer cette proposition en une législation exécutoire et salvatrice. Malgré les progrès pro-vie, l’industrie de l’avortement est implacable. »

Elle n’est pas seulement implacable au Texas. Notre province du Québec fait preuve d’une injustice remarquable auprès des vulnérables, que ce soit notre Collège de médecins qui s’est prononcé en faveur de l’élargissement de l’aide médicale à mourir (euthanasie) — même aux 14 à 17 ans sous certaines conditions — ou notre gouvernement qui permet l’avortement à n’importe quel moment de la grossesse.

L’industrie de l’avortement reste peut-être implacable, mais les pro-vie demeurent déterminés à défendre la vie à tout prix !

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Une pétition aux 338 députés fédéraux pour sauver les organismes pro-vie du Canada

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Tierney/Adobe Stock

Lorsque notre premier ministre s’est engagé en 2021 à « Ne plus accorder un statut d’organisme de bienfaisance à des organisations antiavortement », le plus grand organisme pro-vie au Canada, Campaign Life Coalition, « a lancé une pétition pour sauver nos Centres canadiens de grossesse d’urgence et les organismes de bienfaisance pro-vie ». À ce jour 12 431 personnes l’ont signée !

CLC affirme dans un blogue récent que « Si les libéraux de Trudeau réussissent à annuler le statut d’organisme de bienfaisance des Canadian Crisis Pregnancy Centres et des organisations pro-vie, les résultats seront désastreux. »

L’attaque contre ces centres de grossesses et organismes pro-vie est une attaque contre la vie des Canadiens les plus vulnérables. « Ces organismes de bienfaisance pourraient être contraints de fermer et les personnes qu’ils servent se retrouveront sans le soutien dont ils ont besoin. Pire que tout, des milliers de vies précieuses d’enfants à naître, qui autrement seraient sauvées, seront perdues chaque année à cause de l’avortement. »

L’organisme pro-vie d’assistance à la grossesse Pregnancy Care Canada rapporte qu’en un an « 31 717 clientes ont choisi de se rendre dans l’un de nos centres de soins de grossesse affiliés pour obtenir de l’aide ». Si ces centres fermaient, que deviendraient ces milliers de femmes enceintes et leurs enfants à naître ?

Récemment, CLC a renforci son impact en travaillant « pour imprimer, rassembler, emballer et livrer physiquement des copies supplémentaires de notre pétition aux 338 députés. »

Déjà 3 députés, dont la candidate à la chefferie pro-vie du Parti conservateur Leslyn Lewis, se sont engagés à « défendre les organismes de bienfaisance pro-vie et lutter contre le programme anti-vie destructeur de Trudeau. »

Chaque signature compte ! Si vous ne l’avez pas déjà fait, signez la pétition de CLC !

Et pour faire bonne mesure, signez également notre pétition.

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La Manif Pour Tous dénonce la GPA

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wavebreak3/Adobe Stock

La veille de la journée internationale des droits des femmes, La Manif Pour Tous a manifesté devant la Tour Eiffel contre l’inhumanité de la GPA.

La Présidente de La Manif Pour Tous Ludovine de La Rochère a affirmé que « Le symbole est évident : la France doit sauver ces femmes mises en danger par des Français et s’engager pour l’abolition universelle de la GPA. C’est le seul moyen de sauver la dignité des femmes et des enfants. À l’heure de la Journée internationale des droits des femmes, il y a urgence ».

« Les candidats doivent s’engager clairement à dénoncer toutes formes de GPA. Quelle que soit sa forme, c’est une aliénation intolérable de la femme à travers le monde. La dignité des femmes n’a pas de frontière ».

La GPA industrialise le don de la vie et ainsi tente d’effacer la dignité inhérente qu’elle possède. Il s’ensuit que les femmes et leurs enfants ne reçoivent plus le respect qui leur est dû.

Suite à la favorisation de la GPA par le gouvernement canadien, Maria de Koninck, Professeure émérite au département de médecine sociale et préventive de l’Université Laval avait déclaré, « L’enfant devient, dans cette pratique, un objet d’échange, ce qui est contraire aux droits de la personne fondamentaux. »

La vente ou l’achat des personnes par GPA réduit et définit leur valeur, alors que la vie humaine n’a pas de prix.

La Manif Pour Tous a également partagé sa version modifiée de la lettre du Président français pour condamner toutes les attaques portées contre elle, dont la GPA :

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Journée internationale des droits des femmes et « droit » à l’avortement

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jeanne Menjoulet/Flickr

Selon la CSN (centrale syndicale québécoise) le thème « L’avenir est féministe » choisi par le Collectif 8 mars pour la journée internationale des femmes « appelle à converger nos efforts afin de créer une société qui unit nos voix et nos horizons pluriels et qui respecte les droits et la dignité de toutes et de tous. »

Les féministes prétendent respecter les « droits et la dignité de toutes et tous » alors qu’en militant pour l’avortement elles piétinent résolument le droit à la vie et la dignité des millions de personnes avortées chaque année.

Cela va sans dire que la journée internationale des femmes est ancrée dans le combat pour l’avortement. Selon L’origine véritable du 8 mars, un document publié par le Gouvernement du Québec, « À la fin des années 60, l’intérêt pour la Journée internationale des droits des femmes est avivé par le mouvement de libération des femmes qui prend naissance au Québec. Le 8 mars 1971, le Front de libération des femmes lance officiellement une campagne nationale pour l’avortement libre et gratuit. Une marche est alors organisée à Montréal de même qu’un colloque. »

Aujourd’hui, l’élan pro-mort présent dans les années 60 ne s’est pas envolé, loin de là.

Suite à la candidature d’un médecin se disant pro-vie dans le parti d’Éric Duhaime, la militante féministe et députée de Sainte-Marie–Saint-Jacques Manon Massé profite de ce 8 mars pour exprimer son désaccord et ses vues pro-mort, « Pas de candidats antiavortements aux prochaines élections ! … La vie privée, c’est une chose. Quand les politiciens conservateurs se mêlent de la vie des femmes, nos droits reculent. »

Lorsque la « vie privée des femmes » enfreint directement le droit à la vie de leurs enfants, c’est qu’il est temps d’agir. Il est temps de défendre la vie comme ce que candidat et médecin pro-vie qui affirmait en 2015, « Nous avons le droit de suivre notre propre conscience. Je suis pro-vie. Je ne vais pas tuer des bébés ou des adultes, comme il a été prescrit par Hippocrate ».

Manon Massé conclut son discours en invitant les candidats à « condamner haut et fort toute intimidation à l’endroit des femmes qui visitent une clinique, comme la vigile de la Campagne Québec-Vie, à Sherbrooke. » Mais une prière pacifique, une pancarte véridique, est-ce vraiment de l’intimidation ?

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Le groupe pro-vie le plus important au Canada exclu de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons

Campaign Life Coalition rapporte que « Dans un geste qui ne peut être qualifié que de discriminatoire et d’inacceptable, l’Organisation des Nations Unies (ONU) exclut un certain nombre d’organisations non gouvernementales (ONG) pro-vie, y compris Campaign Life Coalition, de participer pleinement à la prochaine La Commission de la condition de la femme (CSW) des Nations Unies qui devait avoir lieu du 14 au 25 mars, en rejetant leurs candidatures pour organiser des événements parallèles. »

Même si CLC est une organisation non gouvernementale canadienne dotée du statut consultatif spécial auprès du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC) depuis plus de vingt ans, leur événement intitulé « Les droits des personnes vulnérables sont au centre des solutions climatiques » a été refusé.

Le thème de la conférence cette année est « Parvenir à l’égalité des sexes et à l’autonomisation de toutes les femmes et filles dans le contexte des politiques et programmes de réduction des risques liés au changement climatique, à l’environnement et aux catastrophes. »

Mais apparemment, le respect de la vie humaine depuis la conception ne peut pas faire partie des valeurs des Nations Unies.

« En tant qu’ONG qui affirme le droit à la vie de la conception jusqu’à la mort naturelle et promeut la famille traditionnelle comme unité naturelle et fondamentale de la société, nous avons beaucoup à apporter concernant le thème de la conférence de cette année », souligne CLC.

« Depuis de nombreuses années, les ONG environnementales et féministes utilisent l’alarmisme climatique pour propager le mythe de la surpopulation afin de promouvoir un agenda qui ne respecte pas la vie humaine, établissant une fausse dichotomie entre les hommes et la planète Terre. Les voix alternatives pro-vie sont cruciales pour appeler à des politiques sociales qui respectent la Terre mais respectent d’abord la dignité de chaque vie humaine, née et à naître. »

La question est légitime. Quelle est la priorité des Nations Unies, la Terre ou ses habitants les plus vulnérables ?

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Des activistes pro-avortement font irruption dans la cathédrale de San Francisco durant la messe

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)

« Le dimanche 27 février, des manifestantes pro-avortement ont perturbé la messe à la cathédrale Sainte-Marie de l’Assomption à San Francisco. » selon LiveAction. Elles ont affirmé que l’objectif de leur geste était « d’accuser le rôle de l’Église catholique dans la pression pour interdire l’avortement et asservir les femmes ».

L’une des femmes pro-mort proclamait en hurlant que l’Église cherche, « à nier l’humanité de toutes les femmes et à éliminer un droit fondamental, le droit à l’avortement. » Mais comment l’Église peut-elle nier l’humanité des femmes alors qu’au contraire, elle affirme et défend la nature maternelle de la femme ?

Ne serait-ce pas plutôt les « féministes » pro-avortement qui nient non seulement l’humanité de l’enfant à naître, mais aussi leur propre humanité en rejetant violemment la maternité naturelle de la femme ?

En ayant comme objectif constant de défendre le « droit fondamental à l’avortement », les militantes pro-mort se trouvent victimes d’un mirage. Puisqu’un droit ne peut pas être injuste, et qu’objectivement tuer un être humain innocent est injuste, ce fameux « droit » à l’avortement est inexistant et sera toujours inexistant.

De plus, l’avortement n’est absolument pas compatible avec le droit fondamental à la vie qu’ont tous les êtres humains.

Elles portaient des pancartes sur lesquelles étaient écrits divers messages, dont « Brisez toutes les chaînes ».

Oui, brisez toutes les chaînes qui empêchent les femmes d’êtres fidèles à leur maternité. Brisez toutes les chaînes qui rendent les femmes prisonnières du culte de la mort. Brisez toutes les chaînes de l’égoïsme qui empêchent des millions d’êtres humains de voir le jour chaque année.

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