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Encore une histoire sordide d’euthanasie

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gajus/Adobe Stock

Maintenant que la société est conditionnée à offrir l’aide médicale à mourir comme passeport « salvateur » à de nombreuses personnes désirant fuir la souffrance, la porte à l’euthanasie est grande ouverte.

Selon un article détaillé de CTV, « La police à Abbotsford, C.-B. confirment qu’ils enquêtent sur la mort médicalement assistée d’une femme de 61 ans dont les filles disent qu’elle n’aurait pas dû être approuvée pour la procédure en raison de son état de santé mentale à l’époque. »

Le 25 mai 2020, Duncan, la femme concernée, subit un accident de voiture grave. « Des documents montrent que son médecin de famille, le Dr Parin Patel, notait qu’elle souffrait de mauvaise humeur, d’anxiété et de dépression, probablement liées à l’accident de voiture. »

Finalement en octobre 2021, « la situation s’est transformée en crise ». Son état de santé s’aggravant, « Duncan a demandé à Patel de l’approuver pour une mort médicalement assistée, lui disant qu’elle avait une mauvaise qualité de vie, selon les dossiers médicaux. Il a refusé. »

Le 22 octobre, Duncan texta à ses deux filles Alicia et Christie pour leur annoncer qu’elle avait été évaluée et approuvée par deux praticiens de Fraser Health. Sa mort était planifiée pour le 26 octobre.

Mais : « Les filles ont obtenu une injonction du tribunal mettant fin à la procédure et ont obtenu un mandat de santé mentale permettant à la police d’emmener leur mère à l’unité d’urgence de l’hôpital régional d’Abbotsford. »

Suite à la consultation psychiatrique du premier hôpital le 26 octobre, le médecin déclara n’avoir « vu aucune preuve convaincante de dépression (ou) d’anxiété » alors que le lendemain une évaluation psychiatrique trouva Duncan « en détresse », ayant une humeur « dépressive » et un « aperçu limité de son problème ».

« Au deuxième hôpital, les médecins ont de nouveau évalué Duncan, ont déterminé qu’elle n’était pas déprimée et l’ont déclarée compétente. Elle est sortie de l’hôpital le 29 octobre à 16 h 30. »

« Alicia et Christie racontent que vers 21 h 30 le même soir, elles ont reçu un texto de Hansum avec le message que leur mère avait eu une mort médicalement assistée à domicile, selon ses souhaits. »

L’accès à la mort volontaire devient trop facile d’accès, même pour ceux qui n’ont pas la capacité de prendre une telle décision — décision que même les gens lucides ne devraient pas prendre. Et cet accès si « accueillant » et si facile est accordé par ceux qui par définition devraient traiter et non tuer, soigner et non abandonner les vies irremplaçables qu’ils tiennent entre leurs mains.

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L’Initiative le Québec prie diffusée sur une chaîne de télévision québécoise


Centre-ville de Plessisville, avec vue sur l'église Saint-Calixte, au Québec.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : DomLemLali/Wikimedia Commons

La télévision communautaire de Plessisville, TVCÉ, a accordé une entrevue d’une dizaine de minutes à l’organisatrice d’un chapelet public à Plessisville. La Croisade internationale du Rosaire se fait connaître !

Inspirée par le mouvement mondial de chapelets publics, une habitante de Plessisville avec une amie avait lancé un chapelet public tous les mercredis devant l’église locale, créant le groupe « Plessisville Prie ». Mais l’initiatrice ne s’était pas arrêtée là... voulant faire connaître davantage le mouvement de prière, elle a ensuite participé à une entrevue à sa télévision locale.

L’organisatrice a souligné lors de l’entrevue la puissance du Rosaire, « la mitraillette du Bon Dieu », et l’importance de tout confier à la Sainte Vierge, invitant ses co-citoyens à se joindre au chapelet public hebdomadaire.

L’entrevue a visiblement porté fruit. « ... la Sainte Vierge nous a ouvert des portes... Depuis la diffusion de cette entrevue, la paroisse a accepté de l’annoncer régulièrement dans le feuillet paroissial. Nous avons même pu distribuer des feuillets d’invitation aux gens à la sortie de l’église lors du dimanche des Rameaux, sans compter que le prêtre qui disait la messe ce dimanche-là à l’église... l’a annoncé au micro à la fin de la messe ! » rapporte l’inspiratrice du groupe « Plessisville prie ».

Retrouvez l’entrevue ici (vers la 18e minute).

Le groupe s’est ainsi agrandi et continuera, espérons-le, à grandir ! « Le mercredi suivant nous étions 22 personnes (malgré la pluie !) et hier, nous étions 15. Je pense qu’avec le retour du beau temps, cela en incitera d’autres à se joindre à nous... » ajoute l’initiatrice avec espoir.

Pour ceux qui désirent participer à ce mouvement international de prière publique, rejoignez-nous sur le groupe télégramme Le Québec prie et découvrez l’ampleur de la Croisade du Rosaire sur Public Rosary. Le Québec et le Canada ont besoin de vos prières ! Lancez un chapelet vous-mêmes ou joignez-vous à un groupe existant.

Tout ce qu’il vous faut, c’est un chapelet !

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La guerre en Ukraine utilisée comme prétexte de propagande pro-avortement

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo :

La guerre en Ukraine, comme toute guerre, a déjà causé des morts. Pourquoi chercher à en causer plus par l’avortement ?

Répondant aux nombreuses sollicitations dont elle se dit réceptrice, l’organisation pro-avortement, Women on Web, lutte activement en ce moment pour rendre l’avortement accessible aux Ukrainiennes réfugiées en Pologne.

Women on Web « dont la plateforme en ligne aide les femmes dans environ 200 pays à obtenir gratuitement la pilule abortive par la poste... reçoit trois à cinq courriels par jour d’Ukrainiennes voulant se faire avorter. » L’organisme canadien a lancé une levée de fonds pour permettre aux femmes ukrainiennes d’avorter gratuitement. La campagne a déjà levé 8973 $.

Mais ce n’est pas le seul organisme qui tire profit de la situation pour répandre son narratif pro-mort. « Des militants pour le droit à l’avortement... affirment recevoir des dizaines de courriels par semaine de réfugiées ukrainiennes demandant de l’aide pour se faire avorter », rapporte Radio-Canada.

Mara Clarke, « dont l’organisme Abortion Support Network a été contacté par 265 personnes ayant fui l’Ukraine et voulant se faire avorter depuis le mois de mars », a affirmé que « Les personnes à qui notre organisation a parlé sont très choquées lorsqu’elles se rendent compte à quel point la guerre a mis en péril leurs droits reproductifs ».

Selon Radio Canada, la majorité des réfugiées « se trouvent en Pologne, l’un des pays d’Europe où les lois anti-avortement sont les plus restrictives d’Europe. » Mais malheureusement les pro-avortement tentent sans relâche de renverser ces barrières, érigées en Pologne pour protéger l’enfant à naître, par leurs attaques contre la vie.

Même si le nombre de morts causé par la guerre en Ukraine a fait l’objet d’une polémique et d’un article de journal, il est certain que le nombre de morts d’Ukrainiens causé par l’avortement ne devrait pas être ignoré ; ce nombre-là devrait mériter un titre de journal aussi...

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Les deux seuls avortoirs du Kentucky sont temporairement fermés !

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : BGStock/Adobe Stock

Au Kentucky, une nouvelle loi pro-vie entrée en vigueur le 13 avril met en avant des mesures pour renforcer le respect des enfants à naître. Restreignant le délai de la majorité des avortements à 15 semaines et empêchant le financement de l’avortement sur le dos des contribuables, cette loi représente plus qu’une victoire légale.

Reprotection, un organisme pro-vie qui a contribué à la loi 3, ou « la loi sur l’humanité dans les soins de santé », rapporte qu’« En raison de l’encadrement “d’urgence” de la mesure, cette loi est entrée en vigueur immédiatement et a fermé les portes des deux derniers centres d’avortement du Kentucky en attendant qu’ils trouvent un moyen de s’y conformer. »

Les seuls avortoirs dans l’État sont fermés !

L’équipe de Reprotection, « utilisant les observations faites par des citoyens concernés qui sont témoins de première main lorsque les entreprises d’avortement enfreignent les lois ou se comportent dangereusement », a pu « conseiller les rédacteurs de la loi 3 ».

Alors que les deux seuls avortoirs ferment au moins temporairement au Kentucky, le Québec continue d’être un épicentre pro-mort au Canada. Selon les statistiques de La Coalition pour le droit à l’avortement au Canada, plus de 20 000 enfants à naître ont été avortés au Québec en 2020.

20 000 morts est un nombre effroyable et inacceptable. La lutte pour la défense des plus vulnérables continue et n’abandonne pas sa mission : regagner le droit fondamental à la vie pour les enfants à naître !

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Texas : une femme accusée de s’être elle-même fait avorter, arrêtée puis relâchée — affaire non résolue

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : beeboy/Adobe Stock

Le cas d’une femme arrêtée au Texas et relâchée par la suite pour une accusation liée à un avortement, a récemment fait rage dans les nouvelles américaines. Mais l’affaire reste une affaire non résolue...

Selon Students For Life of America « après s’être présentée dans un hôpital du Texas affirmant qu’elle avait fait une fausse couche, Lizelle Herrera a été signalée aux autorités texanes par le personnel ou l’administration de l’hôpital après avoir prétendument admis d’avoir auto-induit son propre avortement. »

Par la suite, elle « a été arrêtée vendredi [8 avril] et détenue dans le comté de Starr, près de la frontière mexicaine, selon un responsable du shérif local... (The New York Times) »

BFMTV rapporte que lundi, « un procureur au Texas a abandonné... des poursuites engagées contre une jeune femme inculpée de meurtre quelques jours plus tôt pour avoir avorté... »

Bien que Mme Herrera ne sera finalement pas poursuivie, le procureur de district Gocha Allen Ramirez a affirmé dans une déclaration qu’« il est clair que le département du shérif du comté de Starr a fait son devoir en enquêtant sur l’incident porté à leur attention par l’hôpital déclarant. Ignorer l’incident aurait été un manquement à leur devoir. »

Des détails significatifs tels que les circonstances entourant la mort de l’enfant, ou la raison pour laquelle le personnel de l’hôpital a reporté le cas aux autorités restent inconnus. L’affaire est donc non résolue...

Une chose est certaine : la perte d’un enfant est toujours une perte irremplaçable, que ce soit par un avortement volontaire ou involontaire ; et si l’affaire de Mme Herrera se trouve à être un cas d’avortement volontaire, la Justice devrait exiger des comptes.

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La Victoire de la Vie sur la mort

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Résurrection du Christ par Jean-François Pierre Peyron.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo (côtés flous rajoutés) : Wikimedia Commons

Depuis le début des temps jusqu’à la fin des temps, il y a toujours eu et il y aura toujours des conflits. Cette année n’y fait pas exception, et les forces du mal et du Bien semblent se déchaîner avec encore plus de force maintenant que le régime de la mort, avec son agenda pro-avortement, pro-euthanasie, pro-LGBT, et anti-Dieu s’étend visiblement dans le monde.

Mais parmi tous ces conflits changeants et passants, un conflit reste central, un conflit qui traça le destin de l’humanité. Provoqué dans le jardin du Paradis terrestre, il se termina dans le jardin du tombeau de Jésus-Christ. La victoire qu’avait remportée Satan dans le Paradis terrestre fut écrasée par la victoire du Dieu-fait-homme le jour de sa Résurrection.

La Résurrection de Notre-Seigneur n’est pas une victoire ; elle est la Victoire par excellence de la Vie sur la mort, de la Lumière sur les ténèbres, du Bien sur le mal, de Dieu sur le péché. Elle est le triomphe du sacrifice de Jésus-Christ sur la Croix causé par la chute de l’Homme.

L’importance de cette victoire est si centrale au catholicisme que l’Apôtre saint Paul a déclaré : « Et si le Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est vaine, et vaine aussi est votre foi (1 Co 15:14). » Si le Christ est ressuscité, les attaques du régime de la mort sur la Foi et la Vie sont vaines puisque par Sa victoire, Il a vaincu le mal.

En cette fête de la Résurrection, Campagne Québec-Vie vous souhaite de saintes et de joyeuses Pâques !

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Annulation d’une conférence internationale LGBT en Angleterre

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : zinkevych/Adobe Stock

Selon BBC News « Le Royaume-Uni a annulé sa toute première conférence internationale LGBT + après un boycottage de plus de 100 organisations... L’événement n’aura pas lieu après que les organisations caritatives LGBT + et d’autres groupes se soient retirés de la position du gouvernement sur la thérapie de conversion. »

En effet, l’interdiction des thérapies de conversion du gouvernement britannique ne porterait pas sur les « thérapies de conversions » pour transgenres, ce qui a fait enrager plusieurs groupes LGBT qui voudraient qu’il ne fût pas possible de prétendre que l’on peut changer d’« identité du genre », ou qu’un homme se retrouvât dans son identité d’homme.

L’événement « “Sûr d’être moi” devait avoir lieu à Londres en juin pour promouvoir les droits des LGBT au Royaume-Uni et dans le monde », rapporte BBC. Mais voilà que le désaccord total d’un si grand nombre de pro-transgenre avec « l’exclusion des transgenres » a fait reculer le gouvernement et a renversé le projet.

Boris Johnson, le premier ministre du Royaume-Uni, explique les raisons pour lesquelles il a décidé d’exclure les transgenres de l’interdiction.

« Je ne pense pas qu’il soit raisonnable pour les enfants d’être considérés comme soi-disant compétent Gillick pour prendre des décisions concernant leur sexe ou les traitements irréversibles qu’ils pourraient avoir... »

(« Gillick competant », du nom d’un jugement ayant instauré un critère de « compétence » ou de « maturité » selon lequel un mineur pourrait ou non suivre un traitement sans le consentement de ses parents.)

Le gouvernement et les organisations pro-LGBT, des alliés dans un même combat contre les lois naturelles, s’affrontent eux-mêmes et se font la guerre. Est-ce surprenant alors que la division est la stratégie par excellence « du père de tous les vices » ?

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La neutralité de l’État écrase les Chevaliers de Colomb à Sherbrooke


Des Chevaliers de Colomb lors de la Marche nationale pour la Vie à Ottawa, en 2016.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo :

« Les Chevaliers de Colomb ne seront plus reconnus comme organisme par la Ville de Sherbrooke en octobre 2023, en raison de leur lien avec l’Église catholique », annonce un article de La Tribune numérique.

Les restrictions qu’impose la laïcité se resserrent de plus en plus. Un simple « lien avec l’Église catholique » suffit pour être rejeté de l’État.

D’après le même article, « Adoptée en 2019, la Politique d’admissibilité des organismes évoque que ces derniers doivent être neutres en matière de religion et de politique afin d’être reconnus par Sherbrooke. La Ville indique exclure du processus d’admissibilité “les organismes qui ont comme mission de faire la promotion des croyances et des pratiques religieuses ou qui réalisent des activités similaires” ».

De même que dans la société laïque Dieu n’existe plus et que la seule vraie religion n’est plus reconnue, de même toute structure sociale portant une trace de la religion n’est pas reconnue.

Jean Bossé, membre des Chevaliers de Colomb depuis 20 ans, rappelle que « L’essentiel des activités des Chevaliers de Colomb, ce sont des œuvres caritatives sans distinction de religion et sans faire allusion à la religion ». Mais le seul fait que l’organisme porte une trace du catholicisme, suffit pour que l’État laïque l’écrase.

« Même si les activités des Chevaliers de Colomb sont laïques, Mme Beaudin [la mairesse de Sherbrooke] affirme qu’il faut “tracer une ligne quelque part” et “savoir à quoi on s’expose” si la Ville ouvre la porte à la reconnaissance d’organismes liés à la religion », rapporte l’article de La Tribune.

Que l’État « s’expose » à la religion semble lui paraître dangereux. En effet, si l’État s’exposait à la religion et conséquemment à ses lois, une réforme majeure lui serait nécessaire, d’où le « danger » de la reconnaissance du catholicisme.

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659 « changements de sexe » au Québec en un an

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo (montage) : klamite/Pixel-Shot/Adobe Stock

Les changements de sexe à l’état civil sont montés en flèche ces dernières années au Québec. « En 2021, 659 Québécois ont obtenu un changement de la mention de leur sexe à l’Etat civil », rapporte Généthique. Et malheureusement, « la tendance ne devrait pas s’inverser : 157 demandes ont déjà été approuvées sur les deux premiers mois de 2022. »

Un article de La Presse affirme que la clinique du Dr Karine Igartua, psychiatre et cofondatrice du Centre d’identité sexuelle de l’Université McGill, « reçoit 30 nouvelles demandes de consultation par mois, et la liste d’attente va jusqu’à six mois. »

La psychiatre « ne cache pas cependant une préoccupation certaine face à la tendance nettement à la hausse. » Selon elle, « Le danger... c’est que des gens voient dans un changement de sexe “une porte de sortie” à leur mal-être. »

Le problème de « mal-être » auquel les personnes font face et duquel elles tentent de s’échapper ne sera jamais résolu par leur opposition à la loi naturelle. Désorientées, cherchant à s’échapper de la réalité, cherchant à être libérées d’elles-mêmes, ces personnes ne seront jamais réellement libres s’ils n’affrontent pas la réalité, et n’acceptent pas la Vérité.

En 2022, le monde est soi-disant libéré : libéré du passé, libéré des règles « oppresseurs » de la religion, libéré du « conditionnement » social, libéré de la « rigidité » de la structure familiale traditionnelle, et pourtant, n’a-t-on jamais vu autant de mal-être chez les personnes, en particulier chez les enfants ?

« Le Dr Shuvo Ghosh, codirecteur du Centre Meraki — la seule clinique pédiatrique où sont dirigés les enfants présentant une variance de genre —, dit que l’explosion des demandes chez les plus petits a été particulièrement marquante entre 2006 et 2016 (La Presse). » Et les « demandes demeurent néanmoins très élevées. »

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Un projet de loi de l’Oklahoma interdirait presque tous les avortements

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Dasha Petrenko/Adobe Stock

« La Chambre des représentants de l’Oklahoma a adopté mardi le projet de loi “Life at Conception” [la vie dès la conception] qui rendrait tous les avortements illégaux, à l’exception de ceux pratiqués pour sauver la vie de la mère si Roe v. Wade est annulé », communique LifeSiteNews dans un article.

Il ne manque plus que la signature du gouverneur Kevin Stitt pour que le projet devienne loi. Les chances sont du côté pro-vie puisque le gouverneur avait écrit dans un Tweet :

« En tant que chrétien et père de six enfants, je crois qu’il n’y a pas de cadeau plus précieux qu’un enfant. Je l’ai déjà dit et je le répète, je promets de signer toute loi qui protège les valeurs pro-vie. »

Pour la présidente de Students for Life of America, Kristan Hawkins, « Le mouvement pro-vie a toujours eu pour objectif d’abolir l’avortement de son temps. Et par là, nous n’entendons pas seulement arrêter les avortements tardifs, les avortements après viabilité ou l’infanticide des enfants qui survivent aux tentatives d’avortement ; nous entendons protéger TOUS les enfants dès le moment de la conception. C’est exactement ce que l’Oklahoma a fait avec son Life At Conception Act. »

Le seul bémol du projet de loi est que « Les contraceptifs d’urgence et du lendemain ne sont pas considérés comme des avortements par la loi (The Stream) », et qu’il permet l’avortement, prétendument pour « sauver la vie de la mère ».

Récemment, une résolution a été adoptée par la Chambre des représentants de l’Oklahoma pour commémorer les enfants à naître morts depuis Roe vs Wade. Alors que certains États, comme la Californie, s’avancent vers l’irrespect de l’enfants à naître, l’Oklahoma va de l’avant pour devenir un état plus civil et plus juste envers l’enfant à naître.

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