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L’histoire tragique d’une « trans » mutilée, qui ne peut donc plus « détransitionner »

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Photoboyko/Adobe Stock

D’une part les thérapies de conversion sont illégales, d’autre part on martèle la théorie du genre dans la tête des enfants, et pourtant la réalité nous montre que les « transitions » sont un véritable poison.

Les victimes sont parfois brisées pour toujours comme le montre cette histoire tragique.

Ce témoignage, d’une femme qui se croyait homme et qui regrette de s’être mutilée, vaut mille études :

Je n’ai pu en parler à personne, c’est pourquoi je le fais ici. Je pense que je regrette d’avoir transitionné. J’ai commencé la T à 19 ans, j’en ai maintenant 28. J’ai passé une opération supérieure à 21 ans, je crois. J’étais l’une des premières dans ma province à l’obtenir parce qu’ils venaient juste de commencer à offrir des opérations trans…

Maintenant, je réalise la raison pour laquelle j’ai changé de sexe en premier lieu. J’ai été molestée par mon père à un très jeune âge, je ne me souviens toujours pas de tout et je suis sur une liste d’attente pour une thérapie. Je suis presque certaine que la transition était un mécanisme de défense pour repousser les abus. Et ça a un peu trop bien marché parce que maintenant personne ne veut de moi...

Je continue de voir des gens que je connais publier en ligne des photos de leurs enfants, ce que j’aurais tellement envie de faire. J’ai toujours voulu adopter et accueillir des enfants, à cause de mon éducation je sais qu’il y a tellement d’enfants qui ont besoin d’amour et je veux les aider. Mais je veux aussi avoir mon propre enfant. Et maintenant je ne peux pas. Je n’ai jamais eu une enfance normale. Et maintenant, je n’aurai jamais une vie d’adulte normale non plus.

Honnêtement, il devrait y avoir plus d’obstacles à la transition. C’était beaucoup trop facile, j’étais beaucoup trop jeune et je n’ai pas vraiment réalisé dans quoi je m’engageais. Et maintenant je le regrette…

Je ne ressens plus aucun lien avec mon genre.

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