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Les avortements aux États-Unis atteignent un nouveau creux historique, plus de bébés en sont sauvés que jamais

Par Micaiah Bilger (LifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Il faut cependant se demander si cette baisse d'avortement ne cacherait pas plutôt une augmentation d'avortement par pilules du lendemain ou une diminution de femmes en âges de procréer. Une diminution semblable est observable dans les statistiques des avortements au Québec, juste après la légalisation de la pilule du lendemain. — CQV

Le taux d’avortement en Amérique continue de baisser alors que le travail des militants pro-vie donne à plus de femmes la capacité de choisir la vie pour leurs bébés à naître.

Un nouveau rapport des Centers for Disease Control ou CDC (Centres de contrôle des maladies) a montré que les avortements n’ont jamais été aussi bas depuis 1973, l’année où la Cour suprême des États-Unis a statué sur Roe c. Wade, selon le Washington Post.

Le rapport, publié mercredi, a enregistré 638 169 avortements en 2015, soit une baisse de 2 % par rapport à 2014.

Le taux d’avortement est tombé à 11,8 avortements pour 1 000 femmes en âge de procréer. C’est une baisse de 26 % depuis 2006, selon Newsmax. Chez les adolescentes, le taux a diminué de façon encore plus marquée, soit de 54 % depuis 2006, selon les CDC. Par rapport aux naissances vivantes, les CDC ont rapporté 188 avortements pour 1 000 naissances vivantes, soit une baisse de 19 % en comparaison de 2006.

En comparant la démographie raciale, les CDC ont constaté que le taux d’avortement le plus élevé était chez les femmes noires (25,1 avortements pour 1 000) et le plus faible chez les femmes blanches (6,8 pour 1 000). Les comparaisons d’âge indiquent que les femmes dans la vingtaine avaient le taux d’avortement le plus élevé.

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Le ressac antifrançais

Par l’historien Jean-Claude Dupuis Ph. D. — Photo : RogerMosley/Pixabay

Si les Canadiens-français avaient continué d’avoir leur natalité d’antan, s’ils n’étaient pas tombés dans les divorces religieux et matrimonial et s’ils ne s’étaient pas adonnés à la contraception et à l’avortement, ils seraient un peuple florissant et le gouvernement (qui serait alors sans doute tout autre) n’aurait pu faire entrer autant d’immigrants. — CQV

Les coupures budgétaires du gouvernement de l’Ontario dans les services en français et les préjugés francophobes qui animent le nouveau gouvernement du Nouveau-Brunswick soulèvent la question de la place du bilinguisme au Canada. Le discours méprisant, voire raciste, de certains anglophones envers la minorité française nous rappelle les sombres heures de l’abolition des écoles bilingues de l’Ontario par le Règlement 17 (1912) ou des écoles franco-catholiques par les Common School Act au Nouveau-Brunswick (1871) et au Manitoba (1890).

André Laurendeau, le coprésident de la Commission royale d’enquête sur le bilinguisme et le biculturalisme (1963-1968) qui a recommandé l’adoption de la loi fédérale sur les langues officielles (1969), a dit un jour qu’il avait été surpris de découvrir le poids politique disproportionné de la communauté anglo-québécoise dans la fédération canadienne. Les Anglo-Québécois, disait-il, se sentaient menacés par la montée du nationalisme canadien-français. Ils voulaient donc imposer le bilinguisme à tout le Canada pour empêcher l’unilinguisme français de triompher au Québec. L’histoire a confirmé la prédiction d’André Laurendeau. Pierre Elliott Trudeau aura été essentiellement le défenseur des Anglais de Montréal. Sa Charte des Droits et Libertés (1982) visait d’abord à contrer la Loi 101.

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Des médecins belges en procès : l'euthanasie d'une jeune femme trop rondement menée


Tine Nys entre ses sœurs Lottte et Sophie.

Extrait d'un article de la Society for the Protection of Unborn Children — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :

Des médecins belges en procès pour avoir certifié qu'une femme était autiste, mais qui n'avait qu'une peine de cœur, afin qu’elle puisse recevoir une injection létale

La première poursuite de ce type depuis que l’euthanasie a été légalisée en 2002.

Un autre exemple horrible des conséquences des lois belges sur l’euthanasie, trois médecins sont accusés d’avoir certifié qu’une femme était autiste pour qu’elle puisse être euthanasiée.

Tine Nys est morte par injection létale en 2010, à l’âge de 38 ans. Elle avait dit à deux médecins et à un psychiatre que sa souffrance était « insupportable et incurable » afin de pouvoir prétendre à l’euthanasie selon le droit belge.

Aucune tentative de traitement, seulement la mort.

Cependant, sa famille dit que sa souffrance était due à une peine de cœur que lui a causé la fin d’une relation, et non à l’autisme. De plus, ils disent que la loi a été enfreinte parce que Nys n’a jamais été traitée pour autisme et qu’il n’a donc pas été établi que sa souffrance était « incurable ». Elle est décédée seulement deux mois après le diagnostic d’autisme, et le dernier traitement qu’elle avait reçu pour des problèmes psychologiques remonte à 15 ans avant son décès.

Les sœurs de Nys, Lotte et Sophie, ont accusé les médecins de prendre une décision précipitée sans la traiter pour autisme. Ils risquent d’être jugés pour non-respect des lois sur l’euthanasie et pour empoisonnement, pour la première fois depuis que l’euthanasie a été légalisée en Belgique en 2002.

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Un projet de loi pour interdire les pro-vie des alentours des avortoirs au Manitoba


Embryon humain à 14 semaines de grossesse.

Billet de blogue d’augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : X.Compagnion/Wikimedia Commons

Un député provincial du Manitoba a déposé un projet de loi visant à placer des « zones bulles » de 150 mètres autour des lieux où sont pratiqués les avortements, et ce, pour y interdire les pro-vie, sous prétexte que des pro-vie harcèleraient les femmes se rendant dans ces établissements pour un avortement. C’est plutôt les pro-vie, manifestant paisiblement devant ces boucheries, qui sont l’objet de harcèlement, injures, menaces, vol, détérioration de matériels et violences physiques.

Il existe déjà des « zones bulles » au Québec, en Ontario et en Colombie-Britannique. Extrait de LifeSiteNews :

Un politicien tente de faire adopter une loi de « zones bulles » pour tenir les pro-vie à l’écart des cliniques d’avortement, prétendument pour les empêcher de harceler les femmes qui vont se faire avorter.

Mais Maria Slykerman, présidente de la section manitobaine de Campaign Life Coalition et organisatrice des veillées de prière annuelles des 40 Jours pour la vie, affirme qu’il n’y a pas eu de harcèlement.

Slykerman et habituellement deux autres personnes organisent leurs veillées de prière pro-vie en septembre, chaque année devant le Health Sciences Women’s Hospital.

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Quelques mythes sur la fécondité en Afrique — ou l’alarmisme trompeur de l’ONU

Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)

C’est un lieu commun que d’affirmer que l’Afrique subsaharienne souffre d’une surpopulation « insoutenable », annonciatrice d’un tsunami migratoire inouï vers l’Europe dans les décennies à venir, liée à une pauvreté et un sous-développement causés par la fécondité des Africaines. Du côté de l’ONU, les rapports abondent qui dénoncent la lenteur de la « transition démographique » d’Afrique Noire, annonçant périodiquement un relèvement des estimations de la population africaine pour 2050. Mais cette hausse inexorable est avant tout liée à un certain nombre de mythes auxquels souscrivent les statisticiens, de telle sorte que l’alarmisme de l’ONU se révèle trompeur, selon une étude réalisée par Lyman Stone de l’Institute for Family Studies.

Les réévaluations à la hausse sont dues selon lui au fait que les démographes ont, par le passé, systématiquement surestimé la baisse de la fertilité en Afrique. A quoi s’ajoutent des projections à long terme : de nombreux chercheurs évoquent une population de 4 milliards d’âmes en Afrique à l’horizon 2100, alors que la marge d’erreur à prendre en compte sur 80 ans est d’une « importance phénoménale ». Elle est même si grande qu’il faudrait tout simplement ignorer les prédictions sur des dates aussi lointaines.

La fécondité en Afrique n’est pas aussi importante que le prétend l’ONU

Les projections de l’ONU indiquent une remontée progressive du taux de fécondité en Afrique au fil du temps. De quoi croire que la fertilité continue de remonter. Mais c’est le contraire qui est vrai : en Afrique subsaharienne, le nombre attendu d’enfants par femme en âge de procréer a plafonné aux alentours de 6,5 jusqu’en 1985 environ, et ne cesse de descendre depuis lors pour atteindre en 2016 environ 4,5 enfants par femme. En clair : en moyenne, les familles africaines comptaient typiquement six ou sept enfants pendant les années 1960, contre quatre ou cinq aujourd’hui, et la courbe continue de baisser.

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Vers quoi se dirigent les soins palliatifs au Canada ?

Par CNA — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo trouvée sur LiveMint

Un membre des Canadian Physicians for Life (Médecins canadiens pour la vie) dit qu’exiger que les hôpitaux catholiques et les hospices offrent le suicide assisté aura des effets désastreux sur les soins palliatifs à travers le pays.

Karol Boschung, une étudiante de deuxième année en médecine à l’University of British Columbia (Université de la Colombie-Britannique), a écrit un article d’opinion dans l’Edmonton Journal le 15 novembre. Elle y exprimait ses soucis sur l’impact de forcer les professionnels de soins de santé catholiques à abandonner [le service].

« Intimider les professionnels en soins de santé catholiques vers la conformité n’aura pas comme résultat un accès élargi de soins médicaux pour les Canadiens. Si elle est forcée de réaliser des procédures qui compromettent ses valeurs morales, l’Église Catholique pourrait être poussée à se retirer de l’administration d’organisations comme Covenant Health, » explique-t-elle.

Covenant Health est l’un des administrateurs majeurs de soins de santé en Alberta, dit-elle, notant que le service de santé catholique fournit plus d’un tiers des lits pour soins palliatifs dans la province.

Selon les chiffres de 2008 de Covenant Health, l’organisation a plus de 8 800 membres du personnel dans ses onze emplacements. Le rapport dit que le budget de 2008 était 514 millions de dollars, qui a aidé à servir plus de 2 300 lits.

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Mgr Robert Morlino, évêque bien-aimé des États-Unis, meurt soudainement


Mgr Robert Charles Morlino, évêque du diocèse de Madison au Wisconsin.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le courageux évêque du diocèse de Madison, Mgr Robert Morlino, était un exemple pour ses ouailles et ses confrères. Il a notamment envoyé des directives aux prêtres de son diocèse concernant les personnes décédées en étant dans une « union » homosexuelle ou « notoire ». Ces directives, qui ont fuité vers le grand public, ordonnaient aux prêtres de refuser les funérailles auxdits défunts sous trois conditions réunies : ces personnes devaient être des pécheurs publics notoires ; elles devaient n’avoir montré aucun signe de repentir ; et finalement, leurs funérailles pourraient causer scandale parmi les fidèles. Et Mgr Morlino a tenu bon quand ses directives ont été divulguées dans les médias. Extrait de LifeSiteNews :

Mgr Robert Charles Morlino, évêque du diocèse catholique romain de Madison au Wisconsin, est décédé à la suite d’un « accident cardiaque ».

Selon le diocèse de Madison, Mgr Morlino est décédé le samedi 24 novembre à 21 h 15 à l’hôpital St. Mary. Il avait 71 ans.

Une veillée de prière nocturne a été organisée pour Mgr Morlino au séminaire Holy Name Heights de Madison, alors qu’il était mourant, et s’est terminée ce matin à 8 heures.

L’évêque a été hospitalisé pour un « accident cardiaque » dont il a souffert mercredi alors qu’il subissait un examen médical planifié, et le diocèse s’est tourné vers les médias sociaux pour que l’on prie pour lui. Bien que le pronostic ait été optimiste à l’origine, l’état de l’évêque s’est aggravé samedi. Le vicaire général du diocèse, Monseigneur James Bartylla, écrivit aux prêtres de Mgr Morlino pour leur demander de prier pour un miracle.

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Justice : l’hôpital qui refusait de soigner Léah, si s’en présentait le besoin, y sera obligé

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le CHU de Caen refusait la possibilité d’admettre à nouveau Léah, jeune femme de 19 ans, atteinte du syndrome de l’hémiplégie alternante de l’enfance qui est cause de crises d’épilepsie ainsi que de retards moteurs et mentaux. Extrait de France bleu :

Le 2 novembre dernier le CHU de Caen faisait savoir aux parents de Léah qu’il ne l’accueillerait plus en réanimation en cas de nouvelle crise. Un coup de massue pour le couple de Fourneville, parent de la jeune handicapée de 19 ans. Trois semaines plus tard, son recours engagé auprès du tribunal administratif de Caen lui offre un soulagement. La justice ordonne à l’hôpital caennais de traiter la jeune handicapée comme n’importe quel autre malade.

[…] Le CHU de Caen a encore la possibilité de contester la décision devant le Conseil d’Etat.

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Twitter a fermé le compte d’une féministe qui a écrit que « les hommes ne sont pas des femmes »

Par © Christian Larnet pour Dreuz.info.

Juste quelques mois après que le PDG de Twitter, Jack Dorsey, a déclaré que sa plateforme ne prenait pas parti et restait neutre pour laisser tout le monde s’exprimer, Twitter a non seulement pris parti, mais est devenu plus gauchiste et orwellien que jamais.

La semaine dernière, Twitter a interdit définitivement Meghan Murphy, une écrivaine basée en Colombie-Britannique, pour avoir critiqué l’idéologie transgenre.

Twitter lui a dit qu’elle devait supprimer les tweets où elle a écrit :

  • « Les femmes ne sont pas des hommes »
  • « En quoi les femmes transgenres ne sont-elles pas des hommes ? »
  • « Quelle est la différence entre un homme et une transsexuelle ? »

La plateforme a suspendu son compte à plusieurs reprises pour cette raison, puis l’a finalement interdite la semaine dernière, affirmant qu’un tel comportement « violait ses règles contre les comportements haineux ».

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Le ministre de l'Éducation du Brésil mettra la préservation de la famille et la protection de la vie au centre de l’éducation


Ricardo Vélez Rodriguez, nouveau ministre de l'Éducation.

Par Pour une école libre — Photo : Capture d'écran d'une vidéo YouTube de José Marcio Artigo142

Le nouveau président du Brésil, Jair Bolsonaro, qui prendra fonction en janvier 2019, a dévoilé le nom du nouveau ministre de l’Éducation du Brésil. Il s’agit d’un philosophe et théologien colombien connu pour ses vues conservatrices.

Favorable aux religieux conservateurs, le futur ministre de l’Éducation est actuellement professeur émérite à l’École de l’état-major de l’armée. Colombien, naturalisé Brésilien il y a plus de 20 ans, Ricardo Vélez Rodriguez est connu pour son opposition à la théorie des genres, il est contre l’éducation sexuelle à l’école — à l’image de Jair Bolsonaro.

Très proche des intellectuels brésiliens de droite, il ne cache pas une certaine nostalgie pour le régime militaire qui a dirigé le pays de 1964 à 1985. Ricardo Vélez Rodriguez compte mettre « les valeurs traditionnelles, de la préservation de la famille, la protection de la vie » au centre de l’éducation. Elles doivent, selon lui « prévaloir pour ce qui est de l’éducation morale, sexuelle et religieuse ». Il a publié plusieurs livres qui s’attaquaient à la corruption de l’ancien parti travailliste au pouvoir du temps de Lula et de Roussef.

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