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Un projet de loi pour interdire les pro-vie des alentours des avortoirs au Manitoba


Embryon humain à 14 semaines de grossesse.

Billet de blogue d’augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : X.Compagnion/Wikimedia Commons

Un député provincial du Manitoba a déposé un projet de loi visant à placer des « zones bulles » de 150 mètres autour des lieux où sont pratiqués les avortements, et ce, pour y interdire les pro-vie, sous prétexte que des pro-vie harcèleraient les femmes se rendant dans ces établissements pour un avortement. C’est plutôt les pro-vie, manifestant paisiblement devant ces boucheries, qui sont l’objet de harcèlement, injures, menaces, vol, détérioration de matériels et violences physiques.

Il existe déjà des « zones bulles » au Québec, en Ontario et en Colombie-Britannique. Extrait de LifeSiteNews :

Un politicien tente de faire adopter une loi de « zones bulles » pour tenir les pro-vie à l’écart des cliniques d’avortement, prétendument pour les empêcher de harceler les femmes qui vont se faire avorter.

Mais Maria Slykerman, présidente de la section manitobaine de Campaign Life Coalition et organisatrice des veillées de prière annuelles des 40 Jours pour la vie, affirme qu’il n’y a pas eu de harcèlement.

Slykerman et habituellement deux autres personnes organisent leurs veillées de prière pro-vie en septembre, chaque année devant le Health Sciences Women’s Hospital.

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Les trois pro-vie portent des pancartes avec des messages comme « Choisis la vie », « Priez pour la fin de l’avortement » et « Regrette ton avortement », ainsi qu’une pancarte avec un message biblique, Jérémie 1:5 : « Avant que je t’eusse formé dans les entrailles de ta mère, je t’ai connu. »

Slykerman affirme qu’en neuf ans, ni elle ni aucun pro-vie ne se sont adressés à une femme se rendant à l’hôpital pour un avortement.

[...]

En vertu du projet de loi d’initiative parlementaire présenté par Mme Fontaine, le projet de loi 200 — Loi sur l’accès sûr aux services d’avortement, il y aurait une zone bulle de 150 mètres autour de tout établissement qui offre des avortements.

Dans cette zone tampon, les pro-vie ne seraient pas autorisées à poser des actes indiquant qu’elles désapprouvent l’avortement. Les pro-vie se verraient même interdire d’observer de façon répétée les lieux où les avortements sont pratiqués, de photographier, de filmer, de filmer, d’enregistrer sur bande vidéo, de faire des croquis ou d’enregistrer de quelque façon que ce soit des personnes entrant dans ces lieux ou en sortant.

Lors d’entrevues précédentes, Mme Fontaine a affirmé que cette loi protégerait les femmes voulant un avortement et les avorteurs, de ceux qui protestent, font du piquetage ou manifestent dans la zone bulle. Elle aurait affirmé avoir vu des manifestants crier devant l’hôpital pour femmes.

Le député provincial a peut-être vu des gens crier, mais ils n’étaient pas pro-vie, a précisé Mme Slykerman.

« Elle a peut-être ceux d’en face », suppose la présidente de Campaign Life pour le Manitoba. « Les pro-avortements étaient là avec de laides pancartes, des trompettes et hurlant. Ils étaient juste devant nous.

“Il n’y a aucune raison pour que ce député puisse dire ce genre de choses, a-t-elle dit.



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