Victoire pro-vie ! Linda Gibbons innocentée de toute charge criminelle
Linda Gibbon.
Par Campaign Life Coalition/X — Traduit par Campagne Québec-Vie
Un juge de l’Ontario a jugé que l’héroïne pro-vie Linda Gibbons n’était PAS coupable de l’infraction criminelle du « méfait » d'« entrave » au fonctionnement d'une clinique d’avortement de Toronto.
Les actions de Linda « ne constituent pas un méfait criminel sur la propriété », a statué la juge ontarienne Maria Speyer ce matin (5 décembre). Il n’y a « aucune preuve » qu’elle ait bloqué la clinique. « Elle n’a pas harcelé, elle n’a pas été violente. Elle n’a pas pénétré sans autorisation. »
« Elle n’a jamais mis les pieds sur le trottoir menant à la porte... Les avortements ont eu lieu ce jour-là, avec quelques inconvénients. »
« Elle n’est pas coupable du méfait reproché ».
Lors de la lecture de la décision, Linda, vêtue de son habituel chandail vert clair, était assise dans le box des accusés avec une expression neutre sur le visage. Elle avait les mains jointes sur ses genoux. Elle est restée silencieuse, comme à son habitude.
Toutes les autres accusations criminelles ont été abandonnées par la Couronne. Linda a été libérée du box et tout de suite ses amis et partisans l’ont entourée et l’ont serrée dans leurs bras.
Le juge a demandé à tout le monde de quitter la salle d’audience et de faire leurs embrassades à l’extérieur.
« Justice a été rendue aujourd’hui pour Linda Gibbons », a déclaré le président national de la Coalition nationale pour la vie, Jeff Gunnarson. « Le juge a clairement vu que les actions de Linda étaient pacifiques et que les défenseurs de la vie ont le droit de s’exprimer sur le trottoir public. Ce sont des décisions comme celle-ci qui doivent être utilisées pour contester les zones-bulles qui servent à faire taire le discours pro-vie à travers le pays. »
« Rendons grâce à Dieu, Linda est libre ! »
Défendre la liberté d’expression pro-vie : réflexions de Georges Buscemi sur les zones tampons de 50 m au Québec
Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie, et Jean-François Denis de Théovox Actualités au Palais de justice de Montréal.
Par Campagne Québec-Vie — Photo : Théovox Actualités/YouTube
Le jeudi 14 novembre au soir, Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie, a participé à une entrevue en direct sur Théovox Actualités avec Jean-François Denis pour partager ses réflexions sur le procès visant les zones tampons de 50 mètres entourant les cliniques d’avortement. Cette entrevue, réalisée à la fin d’une semaine intense au tribunal, a permis à Georges de revenir sur les enjeux de ce procès et de témoigner de son engagement pour la liberté d’expression et la protection des femmes en difficulté. Ce résumé s’appuie sur ce que Georges a présenté lors de cette entrevue, que vous pouvez visionner en intégralité ici :
Un message d’espoir face à la discrimination
Buscemi a expliqué que ces zones tampons, instaurées par une loi provinciale en 2016, empêchent les militants pro-vie d’offrir un soutien pacifique et compatissant aux femmes en détresse. Il a souligné que le conseil de trottoir, impliquant une ou deux personnes, vise à proposer des alternatives à l’avortement et non à imposer des choix.
« Nous proposons de l’aide, nous ne l’imposons pas », a-t-il expliqué lors de l’entrevue. Il a également rappelé que des lois comme le Code criminel du Canada interdisent déjà le harcèlement, rendant ces zones supplémentaires inutiles et discriminatoires.
Lire la suite« Campagne Québec-Vie contestera la loi imposant une zone tampon de 50 mètres autour des cliniques d’avortement devant la Cour supérieure la semaine prochaine »
Par Campagne Québec-Vie — Photo : thodonal/Adobe Stock
Montréal, QC — le 7 novembre 2024
Campagne Québec-Vie, un organisme pro-vie du Québec, s’apprête à porter sa contestation contre la loi provinciale imposant une zone tampon de 50 mètres autour des cliniques d’avortement devant la Cour supérieure du Québec. Le procès, présidé par l’honorable juge Lysane Cree, aura lieu au palais de justice de Montréal, en salle 16.12, à partir de 9h le lundi 11 novembre et devrait se poursuivre jusqu’au 18 novembre.
Les demandeurs — la Dre Roseline Lebel Caron, Brian Jenkins et Campagne Québec-Vie—contestent l’article 16.1 de la Loi sur les services de santé et les services sociaux (LSSSS) du Québec. Adoptée en 2016, cette loi interdit toute manifestation à moins de 50 mètres de tout établissement où sont pratiqués des avortements. Elle vise à empêcher les manifestants de dissuader les femmes cherchant à mettre à mort leurs enfant à naître ou d’interpeller ceux qui fournissent ces services dans ce périmètre.
Campagne Québec-Vie soutient que cette loi viole leurs droits fondamentaux à la liberté d’expression et à la réunion pacifique, garantis par les chartes canadienne et québécoise des droits et libertés. Dans leurs arguments, les demandeurs soulignent que la loi va au-delà de la protection de l’ordre public et entrave plutôt un discours public légitime sur une question controversée.
Lire la suiteProposition de nouvelles zones-bulles à Ottawa
Par David Cooke (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/CBN News/YouTube
La ville d’Ottawa — capitale de notre nation et gardienne acclamée de nos droits et institutions démocratiques — est en passe de devenir le nouvel épicentre de la répression de la parole au Canada, si le maire Mark Sutcliffe et d’autres élites d’Ottawa obtiennent ce qu’ils veulent.
La semaine dernière, M. Sutcliffe a proposé un « règlement sur l’infrastructure sociale vulnérable », ce qui est une façon élégante de dire « règlement sur les zones-bulles ». Cette proposition de grande envergure va bien au-delà de la loi actuelle sur les zones d’accès à l’avortement, qui muselle la parole sur une distance de 50 mètres autour de chaque centre d’avortement. Cette nouvelle règle pourrait restreindre TOUS les types de protestations, de manifestations, de rassemblements et même de vigiles de prière dans un rayon de 100 mètres autour de milliers de « bâtiments protégés » à travers la ville — autour de chaque école, hôpital, lieu de culte, centre de garde d’enfants, maison de soins, etc.
Les trottoirs, parcs, routes et autres espaces publics autour de ces bâtiments ne seront plus ouverts au public. Ils vous seront « interdits » si vous allez à l’encontre du discours du gouvernement woke. Par exemple, si vous voulez dénoncer le programme LGBT dans nos écoles ou la pratique de l’euthanasie et de l’avortement dans nos hôpitaux, vous risquez d’être traité comme un criminel si vous posez le pied sur le mauvais bout de trottoir public.
Lire la suiteArrêtée à tort pour avoir prié en silence devant un avortoir, une femme pro-vie obtient 13 000 £ d’indemnité
Isabel Vaughan-Spruce.
Publié sur LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : ADF UK
19 août 2024, Birmingham, Angleterre (Alliance Defending Freedom) — Dans une victoire contre la censure au Royaume-Uni, Isabel Vaughan-Spruce — cette bénévole chrétienne que l’on voit, dans des vidéos devenues virales, être arrêtée deux fois pour avoir prié silencieusement — a reçu un dédommagement de 13 000 £ (23 000 $ CAN) de la part de la police des West Midlands en reconnaissance de son traitement injuste et de la violation de ses droits humains.
Avec le soutien d’ADF UK, Mme Vaughan-Spruce a porté plainte contre la police des West Midlands pour deux arrestations et emprisonnements injustifiés, pour voies de fait liées à une fouille intrusive de sa personne et pour violation de ses droits fondamentaux, tant en ce qui concerne les arrestations que les conditions onéreuses de mise en liberté sous caution qui lui ont été imposées.
Une nouvelle répression de la prière silencieuse est attendue
Cette nouvelle survient quelques jours après des informations selon lesquelles le ministère de l’Intérieur renforcera la répression de la prière silencieuse à proximité des centres d’avortement en la criminalisant expressément dans la future Loi sur les « zones tampons », qui devrait entrer en vigueur sous peu.
Les ministres s’apprêtent à revoir les orientations initiales publiées par le gouvernement précédent, qui protégeaient le droit à la liberté de pensée et de lecture :
Lire la suiteLa prière silencieuse, c’est-à-dire l’engagement de l’esprit et de la pensée dans la prière vers Dieu, est protégée en tant que droit absolu en vertu de la loi sur les droits de l’homme de 1998 et ne doit en aucun cas être considérée comme une infraction.
« Libérez Linda Gibbons » : les pro- vie se rassemblent devant le palais de justice d’Ontario pour soutenir la grand-mère chrétienne emprisonnée
Supporteurs de Linda Gibbons devant la Cour de Justice de l'Ontario, le 22 juillet 2024.
Par Pete Baklinski (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Linda Gibbons, la grand-mère chrétienne de 75 ans qui a récemment été arrêtée et emprisonnée pour avoir témoigné en faveur de la vie devant un centre d’avortement de la région de Toronto, a comparu aujourd’hui devant la Cour de justice de l’Ontario.
Avant la comparution de Linda, prévue à 10 heures du matin, une trentaine de sympathisants se sont rassemblés à devant le palais de justice pour manifester leur soutien et prier pour elle. Ils brandissaient des pancartes portant des messages tels qu’« Abrogez la zone bulle », « Libérez Linda Gibbons » et « Protégez la liberté d’expression ». À l’heure de la comparution de Linda, ils se sont entassés dans la salle d’audience.
Linda est arrivée au tribunal escortée par une policière. L’héroïne pro-vie portait un chandail à manches longues vert citron. Ses mains étaient menottées dans le dos. Lorsqu’elle est entrée dans le box des accusés — une grande boîte en plexiglas située à l’avant de la salle d’audience — ses partisans assis à l’arrière se sont levés.
Le juge a ordonné aux partisans de se rasseoir. En signe de respect, le protocole judiciaire veut que les participants ne se lèvent qu’à l’entrée du juge. Mais ici, les personnes présentes se sont levées lorsque l’accusée est entrée.
Les menottes de Linda lui ont été retirées et elle s’est assise tandis que la porte du box des accusés était fermée et verrouillée derrière elle.
Lire la suiteL’Écosse adopte la loi sur les zones bulles autour des avortoirs la plus extrême au monde
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 12 juin, les députés du Parlement écossais ont massivement approuvé un projet de loi visant à instaurer des zones bulles autour des établissements pratiquant l’avortement, malgré la forte désapprobation de l’opinion publique.
La loi sur les « services d’avortement (zones d’accès sécurisé) » a été adoptée par 118 voix contre une. Selon cette loi, toute activité pro-vie dans un rayon de 200 mètres autour d’un hôpital ou d’un établissement pratiquant l’avortement est interdite, y compris les panneaux et les affiches, même si ces affiches se trouvent sur une propriété privée. Le projet de loi a été adopté en dépit d’une récente enquête publique révélant qu’une majorité écrasante de plus de 70 % des personnes interrogées s’oppose aux zones bulles.
« Le vote d’aujourd’hui signifie que plus jamais une femme ne devra être privée de sa dignité, de son intimité ou de ses émotions lorsqu’elle choisit d’avorter. Il consacre son droit à le faire, sans crainte ni intimidation », a déclaré la députée Gillian Mackay, qui a présenté le projet de loi.
En dépit de ces lois, les pro-vie qui militent devant les établissements pratiquant l’avortement sont, dans leur grande majorité, pacifiques et priants. Leur présence vise non seulement à sauver les enfants à naître de l’avortement, mais aussi à aider les mères qui pensent que l’avortement est leur seul choix, ou qui peuvent être contraintes de le faire. De nombreuses femmes se rendent dans les centres d’avortement parce qu’elles ne savent pas qu’il existe des organisations pour les aider à garder leurs enfants ; les pro-vie peuvent mettre les femmes en contact avec ces organisations.
Lire la suite77 % des Écossais s’opposent au projet de loi sur les zones bulles autour des avortoirs
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie
25 avril 2024 (Right To Life UK) — Les résultats d’une consultation du Parlement écossais sur le projet de loi du député Gillian Mackay sur les zones bulles montrent que 77 % des personnes interrogées sont opposées à leur introduction en Écosse.
Publiés lundi, les résultats de la consultation publique sur le projet de loi sur les Services d’avortement (zones d’accès sécurisé) (Écosse) révèlent une forte opposition à la création de zones bulles autour des cliniques d’avortement en Écosse. Le projet de loi a été déposé en octobre 2023 et est en cours d’examen par le Parlement écossais.
Sur les 5 856 réponses à la question « Êtes-vous d’accord avec l’objectif général de ce projet de loi ? », 4 517 (77,13 %) sont en désaccord, 1 288 (21,99 %) sont d’accord, 40 (0,68 %) sont partiellement d’accord et 11 (0,19 %) ont répondu « ne sait pas ». (Les calculs complets et les sources de ces chiffres sont disponibles ici).
Le résumé des réponses à la législation proposée a également été publié. Il présente certaines des raisons particulières pour lesquelles les personnes interrogées étaient si opposées au projet de loi. Certaines personnes interrogées ont déclaré que les zones bulles empêcheraient certaines femmes de recevoir l’aide dont elles ont besoin.
Lire la suiteNahanni Fontaine tient mordicus aux zones bulles contre les pro-vie autour des avortoirs
Josie Luetke de la Coalition nationale pour la vie (à gauche) et Nahanni Fontaine, député du NPD du Manitoba (à droite).
Par Josie Luetke (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Nahanni Fontaine/Facebook
De nombreux responsables gouvernementaux et autres décideurs influents assistent à la Commission de la condition de la femme des Nations unies, ce qui offre de précieuses possibilités de militantisme pro-vie.
Les jeunes représentants de la Coalition nationale pour la vie ont pu plaider le message pro-vie auprès de Marci Ien, ministre de la Condition féminine et de l’Égalité des sexes et de la Jeunesse ; Patty Hajdu, ministre des Services autochtones et ministre responsable de l’Agence fédérale de développement économique pour le Nord de l’Ontario ; Leah Gazan, porte-parole du NPD pour les enfants, les familles et le développement social et porte-parole pour les femmes et l’égalité des sexes ; et Charmaine Williams, ministre déléguée à l’Opportunité sociale et économique des femmes pour l’Ontario.
J’ai également eu une conversation très intéressante avec Nahanni Fontaine (NPD, St. Johns), ministre de la Famille, de l’Accessibilité et de l’Égalité des sexes au Manitoba. Elle est passée à côté de moi alors que je faisais la queue pour un événement parallèle, à l’ONU. Sachant qu’elle venait de déposer un projet de loi visant à ériger des zones bulle au Manitoba, je l’ai abordée. Je me suis présentée et j’ai affirmé que même si elle avait une opinion différente de la mienne sur l’avortement, je lui demandais de respecter mon droit à la liberté d’expression.
Si le projet de loi n° 8 — intitulé « Loi sur l'accès sécuritaire aux services d'interruption volontaire de grossesse » — est adopté, toute forme d’expression pro-vie, aussi bénigne soit-elle, sera interdite à proximité immédiate de toute « clinique » d’avortement et de tout autre établissement pratiquant des avortements — comme un hôpital ou une pharmacie — qui demande à bénéficier d’une telle zone tampon. Ces zones peuvent être comprises entre 50 et 150 mètres. Si vous « tentez d’informer une personne » sur l’avortement ou « accomplissez un acte de désapprobation » de l’avortement lorsque vous vous trouvez dans une zone bulle, vous êtes passible d’une amende pouvant aller jusqu’à 5 000 dollars et d’une peine d’emprisonnement de six mois — et ce n’est que pour une première infraction.
Réalisant que je faisais référence à son projet de loi, Mme Fontaine a fièrement insisté sur le fait qu’il allait être adopté.
Elle a déclaré que nous pouvions toujours exprimer nos opinions, prier ou quoi que ce soit d’autre, à seulement 150 mètres d’un hôpital. Elle nous a invités à venir à la législature si nous voulions protester.
Lire la suiteLa police présente ses excuses à une catholique britannique arrêtée pour avoir prié en silence devant un avortoir
Isabel Vaughan-Spruce.
Publié sur LifeSiteNews le 22 septembre 2023 — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alliance Defending Freedom
Birmingham, Angleterre (Alliance Defending Freedom) — Après une enquête de six mois, la police des West Midlands a confirmé qu’elle ne porterait pas plainte contre Isabel Vaughan-Spruce et a présenté ses excuses concernant le temps nécessaire pour parvenir à la décision de ne pas la poursuivre pour avoir prié en silence.
Cette bénévole a été arrêtée pour avoir prié dans une « zone tampon » entourant un établissement pratiquant des avortements sur Station Road, à Birmingham, le 6 mars. Cette zone de censure, introduite par les autorités locales par le biais d’un « ordre de protection des espaces publics », interdit la prière, ainsi que d’autres activités considérées comme une protestation contre l’avortement. Le texte intégral est disponible ici.
L’arrestation a attiré l’attention du monde entier grâce à une vidéo virale, dans laquelle la police accuse Mme Vaughan-Spruce d’avoir commis une infraction en priant silencieusement dans l’intime de son esprit : « Vous avez dit que vous étiez en train de prier, ce qui est l’infraction ».
« Nous ne sommes pas en 1984, mais en 2023. Je n’aurais jamais dû être arrêtée ou faire l’objet d’une enquête simplement pour les pensées que je tenais dans mon esprit. La prière silencieuse n’est jamais criminelle », a commenté Isabel Vaughan-Spruce après avoir reçu les excuses de la police des West Midlands.
Je suis satisfaite de la décision de la police de West Midland de mettre fin à son enquête et de ses excuses pour le temps que cela a pris, mais il est important de souligner les implications extrêmement néfastes de cette épreuve, non seulement pour moi, mais aussi pour toutes les personnes concernées par les libertés fondamentales au Royaume-Uni. Ce qui m’est arrivé signale à d’autres personnes qu’elles peuvent elles aussi être arrêtées, interrogées, soumises à une enquête et éventuellement poursuivies si elles sont surprises en train d’exercer leur liberté de pensée fondamentale.
« Maintenant que les autorités ont conclu à deux reprises que la prière silencieuse n’est pas un délit — conclusion à laquelle le ministre de l’Intérieur est également parvenu la semaine dernière — je suis heureuse de pouvoir reprendre mon habitude de prier silencieusement pour les femmes enceintes en difficulté », a poursuivi Mme Vaughan-Spruce.
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