Selon un directeur de Planned Parenthood la moitié des clientes de l’avortement ne se présentent pas lorsque les pro-vie prient
Par Shawn Carney (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
La meilleure confirmation de l’efficacité de la campagne des 40 Jours pour la Vie dans la réduction des activités d’un centre d’avortement local ne vient pas de nous...
... mais des dirigeants de Planned Parenthood.
Récemment, nous avons reçu cette confirmation de l’État américain le plus favorable à l’avortement, la Californie.
Le centre d’avortement de Napa, en Californie, a récemment déménagé, invoquant la présence quotidienne des pro-vie à l’extérieur.
Le directeur des opérations de Planned Parenthood Northern California s’est plaint aux médias que le taux de non-présentation aux rendez-vous fait plus que doubler lorsque les campagnes des 40 Jours pour la Vie ont lieu !
« Cela confirme beaucoup de choses importantes », a expliqué Dominic, le responsable de la campagne à Napa. « Même ici, à Napa, le taux d’absence augmente de 40 à 50 % ! ».
D’anciens employés de Planned Parenthood affirment que le taux de non-présentation aux rendez-vous pour un avortement atteint 75 % lorsque les pro-vie sont en train de prier.
Pour ce qui est de Napa, Dominic et son équipe déménagent au nouvel emplacement de Planned Parenthood, où ils continueront à sauver des vies de l’avortement.
Lire la suiteLes 40 Jours pour la Vie ont commencé au Québec
Brian Jenkins à l'archidiocèse de Montréal sur le point de distribuer des prières pour la vigile des 40 jours pour la vie -- Photo : Joanne Of Arc
Par Joanne D’Arc pour Campagne Québec-Vie
La vigile des 40 Jours pour la Vie a débuté au Québec le 22 février 2023, mercredi des Cendres.
J’ai eu l’occasion de passer la moitié de ma journée avec le vice-président de Campagne Québec-Vie, Brian Jenkins, alors qu’il se préparait à la vigile des 40 Jours pour la Vie de Montréal.
Le mardi 21 février, nous avons commencé notre matinée par un moment calme d’adoration du Saint-Sacrement qui nous a remplis de paix pour la journée à venir.
Brian Jenkins distribue des cartes de prière à Marie-Reine-du-Monde pour la veillée des 40 jours pour la vie -- Photo : Joanne Of Arc
Ensuite, nous avons assisté à une messe qui était offerte à la cathédrale Marie-Reine-du-Monde pour la vigile des 40 Jours pour la Vie. Avant la messe, j’ai observé Brian découper des prières qu’il a ensuite distribuées aux paroissiens de l’église, leur demandant de le soutenir dans ses efforts.
Brian Jenkins découpe des prières à distribuer aux paroissiens pour la veillée. --Photo : Joanne Of Arc
En nous promenant dans l’archidiocèse de Montréal, j’ai remarqué que Brian était bien connu des prêtres et chaleureusement encouragé dans ses efforts.
Lire la suiteEspagne : un évêque prie aux abords d’un avortoir
Mgr José Ignacio Munilla priant devant un avortoir d'Alicante, dans le cadre des 40 Jours pour la Vie.
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) — Photo : José Ignacio Munilla/Twitter
Cela s’est passé à Alicante, dans le sud-est de l’Espagne : Monseigneur José Ignacio Munilla a défié la loi actuelle en priant pour la fin de cette horrible pratique, aux abords d’un centre d’avortement.
En effet, une loi promulguée en avril dernier qualifie de harcèlement les actions pro-vie à proximité des cliniques d’avortement, interdit strictement cette présence et soumet les contrevenants à une peine de prison pouvant aller jusqu’à trois mois.
Malgré cela, « En ce jour de #TodosLosFielesDifuntos (fête des fidèles défunts), j’ai participé à la campagne 40 jours pour la vie, priant devant un centre d’avortement à Alicante », a tweeté l’évêque d’Orihuela-Alicante, une photo de lui-même et d’autres militants pro-vie tenant des pancartes pro-vie accompagnant le post.
Dans son tweet, Monseigneur Munilla a refusé l’idée que l’avortement soit politiquement progressiste, comme on le décrit trop souvent, en déclarant que » si l’avortement appartient au progressisme, alors la loi de la jungle est le summum de la démocratie ! »
La participation du prélat à la campagne 40 jours pour la vie — une campagne organisée à l’échelle internationale qui vise à mettre fin à l’avortement localement par la prière et le jeûne, la sensibilisation communautaire et une veillée pacifique toute la journée devant les cliniques d’avortement — a été considérée comme très courageuse par les autres pro-vie, notamment en raison de cette nouvelle loi.
Selon la loi espagnole actuelle, l’avortement est légal jusqu’à 14 semaines de grossesse, les avortements plus tardifs étant également autorisés s’il existe un soi-disant risque pour la vie de la mère ou si le bébé souffre de malformations congénitales.
Les 40 jours pour la vie à Sherbrooke
Les participants des 40 jours pour la Vie à Sherbrooke, lors de la 31ᵉ journée.
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Joanne D'Arc
Cet automne, des centaines de communautés en Amérique du Nord et plusieurs villes canadiennes ont organisé simultanément une campagne de 40 jours pour la vie du 28 septembre au 6 novembre 2022.
Les 40 jours pour la vie sont un effort pro-vie ciblé qui consiste en :
- 40 jours de prière et de jeûne pour mettre fin à l’avortement
- 40 jours de veille pacifique
- 40 jours de sensibilisation de la communauté
J’étais présente à Sherbrooke lors de la 31ᵉ journée pour faire un reportage. Brian Jenkins, qui est le dirigeant de l’équipe, était sur les lieux pour m’accueillir chaleureusement. Cet homme passe 12 heures par jour dehors, soit de 7 h du matin à 7 h du soir pendant les 40 jours, et milite pour la vie. Il prend une pause à midi, durant laquelle monsieur Gérard vient le remplacer chaque jour, pendant la durée entière de la vigile de 40 jours. Les participants de la vigile varient, mais Brian et Gérard sont présents quotidiennement.
Selon la loi, Brian et les autres participants doivent se tenir au moins à 50 mètres d’un établissement où ont lieu les avortements, dans ce cas, il s’agit du CLSC Belvédère. Jusqu’à présent, il n’y a pas eu de contre-manifestants, alors que l’année dernière un groupe de 100 personnes pro-choix s’était rassemblé face aux 3 ou 4 personnes présentes pour la vigile. Gérard me partage que la police de Sherbrooke a défendu les participants de la vigile l’année passée lors de ces circonstances et depuis Gérard a l’impression qu’ils sont soutenus par les autorités de Sherbrooke. L’organisateur de la vigile, Brian, maintient une bonne relation amicale avec la police.
Le CLSC Belvédère à Sherbrooke — Photo : Joanne D'Arc
La nouvelle « zone bulle » autour d’un centre d’avortement britannique interdit aux pro-vie de prier et de faire le signe de la croix
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
18 octobre 2022, Bournemouth, Angleterre (LifeSiteNews) — Une clinique d’avortement à Bournemouth, en Angleterre, est la dernière en date à se voir attribuer une prétendue « zone tampon » — une bulle « sans liberté d’expression » créée pour empêcher les militants pro-vie de proposer aux femmes qui viennent se faire avorter d’autres choix.
La justification, bien sûr, est que les pro-vie « harcèlent » les femmes et le personnel de la clinique d’avortement. La zone sera vaste, englobant six rues pendant douze heures les jours ouvrables, et sera en vigueur pendant au moins les trois prochaines années.
Parmi les exemples de « harcèlement » invoqués pour justifier la création de cette zone, citons le fait de tenir un modèle de fœtus en plastique et de proposer des brochures, d’appeler les femmes « maman » ou de leur dire que leur « bébé les aime » et de proposer des vêtements pour bébé. Toute personne se livrant à l’un de ces actes sera désormais passible d’une amende de 100 livres et d’une inculpation devant un tribunal correctionnel.
Mais l’interdiction couvre bien plus que cela. Les panneaux nouvellement installés, qui indiquent la prétendue « zone de sécurité » dans laquelle le British Pregnancy Advisory Service peut tuer des bébés sans que personne soit là pour parler en leur nom, contiennent une liste d’activités interdites, notamment :
- Tenir des vigiles
- Prier
- Réciter les Écritures
- Se signer (faire le signe de la croix) si vous « percevez qu’un utilisateur du service passe par là ».
- Donner des conseils
Un pro-vie influence un avorteur qui commence à montrer les échographies aux femmes enceintes
William Haag.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (modifiée) : William Haag
Depuis cinq ans, le défenseur de la vie William Haag prie devant un centre d’avortement en Espagne et salue son avorteur dans l’espoir qu’il démissionne et devienne chrétien.
Aujourd’hui, selon M. Haag, l’avorteur semble changer lentement d’avis. L’homme a récemment commencé à montrer aux mères enceintes les échographies de leurs bébés à naître et à encourager les femmes qui hésitent à demander de l’aide aux pro-vie locaux.
Il est « moins athée qu’avant notre rencontre », a déclaré Haag à Aleteia dans une nouvelle interview.
Selon le média catholique, Haag et l’avorteur sont lentement devenus amis au fil des ans ; ils vont même dîner ensemble pour discuter de Dieu et de l’avortement.
Haag, qui participe à la campagne des 40 jours pour la vie en Espagne, a déclaré que son action en faveur de la vie n’a pas pour but de gagner ou de trouver un sentiment d’accomplissement personnel ; il s’agit de montrer de l’amour aux autres.
« Aimer les avorteurs est un échec et mat spirituel », a-t-il déclaré à Aleteia. « Nous renonçons à tout succès personnel ou collectif juste pour rechercher le bien de ces personnes, même si plus tard cela apportera en fait beaucoup plus de bien sous la forme de bébés qui seront sauvés de l’avortement. »
Haag dit qu’il a commencé il y a bien des années par simplement sourire et saluer l’avorteur à l’extérieur du centre d’avortement. Et, bien sûr, il a prié.
« Il est difficile de comprendre la mentalité des avorteurs, alors nous devons y aller petit à petit sans les juger et seulement en étant guidés par l’Esprit Saint », a-t-il expliqué.
L’avorteur a avorté environ 30 000 bébés à naître au cours de ses 30 ans de carrière, a précisé M. Haag. Mais au fur et à mesure que leur amitié a progressé, M. Haag a déclaré qu’il avait des raisons d’espérer que l’homme se convertisse et abandonne sa pratique destructrice de vie.
Lire la suiteLes 40 Jours pour la Vie remportent leur procès contre la ville de Francfort
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître)
La décision du tribunal de Francfort a été rendue le 18 mars dernier et fait suite à une longue bataille judiciaire entre la ville de Francfort et le groupe pro-vie 40 Days for Life.
Tout commence en janvier, quand l’association organise un rassemblement de prière de 40 jours devant un centre de conseil pour femmes enceintes géré par Profamilia, l’équivalent allemand pro-avortement du Planning Familial.
En février, la mairie de Francfort réagit en imposant des restrictions de type « zone limitée » aux groupes pro-vie, décrétant que ces derniers ne pouvaient se rassembler devant le centre Profamilia qu’en dehors des heures d’ouverture, ou à une distance beaucoup plus éloignée du centre pendant les heures d’ouverture.
40 Days for Life a porté l’affaire devant les tribunaux, et dans un premier temps, une décision du 1er mars d’un tribunal de Francfort juge illégale les restrictions imposées par la ville, citant l’article 8 de la loi fondamentale allemande sur « la liberté de rassemblement qui garantit aux titulaires le droit de déterminer le lieu, l’heure et le contenu du rassemblement ».
La ville de Francfort lance ensuite un recours auprès du tribunal administratif de Kassel, qui le rejette le 18 mars. Le tribunal de Kassel a donc suivi la décision du tribunal de Francfort et a estimé que les restrictions imposées par la ville au groupe de prière étaient illégales.
Le tribunal a précisé que le droit à la vie privée des femmes enceintes se rendant au centre n’était pas menacé par le rassemblement pro-vie et a estimé que le lieu habituel du rassemblement, à une distance de 30 mètres de l’entrée du centre, était suffisant.
Dans un communiqué de presse, le Dr Félix Böllmann, avocat travaillant pour l’organisation de défense des droits humains ADF International, s’est félicité de la décision du tribunal :
« Nous nous félicitons de la décision équitable et différenciée du tribunal administratif de Kassel, qui souligne l’importance de la liberté d’expression et de réunion dans les espaces publics ».
Une belle victoire pour la défense de la vie.
Adèle Cottereau
Des militants pro-vie jeûnent au pain et à l’eau pendant 40 jours et sauvent six bébés de l’avortement
40 Jours pour la Vie de Toronto en 2022.
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Maria Buelvas
12 avril 2022 (Campaign Life Coalition) — Lorsque Maria Buelvas a discerné que Dieu lui demandait de mener une campagne pro-vie dans les rues de Toronto pendant 40 jours afin de convaincre les femmes confrontées à l’avortement de garder leur bébé, elle a également discerné que pour que cette campagne soit fructueuse, cela impliquerait beaucoup de prière, de sacrifice et surtout de jeûne.
« Pour être honnête avec vous, la seule chose que nous n’avons pas fait dans les autres campagnes, c’est le jeûne. Nous jeûnons tous, y compris notre conseiller spirituel, au pain et à l’eau pendant 40 jours », a déclaré Maria à Campaign Life Coalition dans une entrevue exclusive.
À partir du 2 mars, Maria et une équipe de militants pro-vie dévoués se sont lancés dans une campagne de 40 jours pour la vie, au cours de laquelle les volontaires tiennent des pancartes et prient devant un centre d’avortement voisin. Les pancartes portent différents messages, tels que « Priez pour mettre fin à l’avortement » et « Nous allons vous aider ». Dans ce cas, le centre d'avortement est l’Abortion Care Clinic de Toronto, qui tue des enfants à naître par voie médicale ou chirurgicale depuis 1996.
Le nom « 40 jours » vient du délai que Dieu utilise constamment tout au long de l’histoire du salut pour transformer son peuple. Par exemple, Dieu a lavé le péché de la terre avec 40 jours de pluie à l’époque de Noé. Le peuple hébreu a vécu en dehors de la terre promise pendant 40 ans en guise de punition pour avoir adoré de faux dieux. Jésus s’est préparé à transformer le monde en jeûnant et en priant pendant 40 jours dans le désert.
Maria, infirmière diplômée de profession, a déclaré à Campaign Life Coalition qu’environ 150 personnes de la paroisse qu’elle fréquente avec son mari et ses trois enfants se sont également jointes à la campagne en jeûnant au pain et à l’eau pendant 40 jours dans l’intention de sauver des vies de l’avortement.
« Dans les Écritures, il y a des démons qui ne peuvent être chassés que par la prière et le jeûne. C’est donc ce qui nous a inspirés, tout comme Jésus qui a jeûné pendant 40 jours dans le désert », a-t-elle déclaré.
Lire la suiteCe bébé a été sauvé de l’avortement lorsque des pro-vie ont aidé sa mère devant l’avortoir
Kairo.
Par Shawn Carney (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 18 mars, 2022 — Anniyah était déchirée lorsqu’elle s’est présentée à son rendez-vous pour un avortement à Cherry Hill, dans le New Jersey, en octobre dernier.
« Une partie d’elle ne voulait pas être là », a déclaré Claire, la responsable locale des 40 jours pour la Vie. « Mais elle n’avait pas de travail... et les gens lui disaient qu’elle ne devrait pas avoir [un bébé] ».
Anniyah est sortie du centre d’avortement lors d’un appel avec sa mère, qui encourageait Anniyah à parler avec une personne extérieure — quelqu’un qui n’était pas proche de la situation d’Anniyah et qui pourrait lui offrir une opinion impartiale.
C’est alors que Marie a fait signe à Anniyah de venir et lui a dit : « Tu n’es pas obligée de faire ça aujourd’hui ».
Marie lui a expliqué l’abondance des ressources qui pourraient permettre à Anniyah de choisir la vie et de s’épanouir... et elle a décidé de garder son bébé !
L’équipe de Cherry Hill l’a mise en contact avec toutes sortes d’aides : transport vers les rendez-vous chez le médecin, fournitures pour bébé, repas — et même nettoyage de tapis !
Récemment, Anniyah a donné naissance à un magnifique petit garçon de 2,72 kg appelé Kairo, grâce aux prières de Marie, Claire, de toute l’équipe de Cherry Hill et de vous !
Lire la suiteLes dangers de la Loi C-3 pour les activistes pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : University of Toronto Students for Life/Flickr
Le 16 janvier dernier, est entrée en vigueur la loi C-3 qui rajoute au Code criminel du Canada le crime de provoquer l’« état de peur » dans le but d’empêcher quelqu’un d’accéder à des soins de santé. Le fait est que la nouvelle loi pourrait bien faire de la rédaction d’un article pro-vie ou d’une vigile pro-vie un acte criminel d’« intimidation », en ce qu’il pourrait provoquer un « état de peur » chez la femme qui songerait à se faire avorter — car l’avortement est considéré comme un « soin ».
Le Code criminel modifié se lit comme suit :
Intimidation — services de santé
423.2 (1) Commet une infraction quiconque agit de quelque manière que ce soit dans l’intention de provoquer la peur :
a) soit chez une personne en vue de lui nuire dans l’obtention de services de santé fournis par un professionnel de la santé ;
b) soit chez un professionnel de la santé en vue de lui nuire dans l’exercice de ses attributions ;
c) soit chez une personne dont les fonctions consistent à appuyer un professionnel de la santé dans l’exercice de ses attributions en vue de lui nuire dans l’exercice de ces fonctions.
Empêcher ou gêner l’accès
(2) Commet une infraction quiconque, sans autorisation légitime, empêche ou gêne intentionnellement l’accès légitime par autrui à un endroit où des services de santé sont offerts par un professionnel de la santé.
Peine
(3) Quiconque commet une infraction prévue aux paragraphes (1) ou (2) est coupable :
a) soit d’un acte criminel passible d’un emprisonnement maximal de dix ans ;
b) soit d’une infraction punissable sur déclaration de culpabilité par procédure sommaire.
Moyen de défense
(4) Nul n’est coupable de l’infraction prévue au paragraphe (2) du seul fait qu’il se trouve dans un endroit visé à ce paragraphe, ou près de cet endroit, ou qu’il s’en approche, aux seules fins d’obtenir ou de communiquer des renseignements
Dans le cas de l’obstruction à l’accès à un avortoir, par exemple, il devrait être assez facile de se poster à proximité d’un avortoir pour prier, manifester et informer les femmes enceintes sans commettre cette sorte d’infraction — surtout si vous êtes là pour donner de l’information, ce qui est l’un des buts des 40 Jours pour la Vie.
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