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Effets secondaires de la contraception, les femmes en étaient mal informées

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : paulmaxis/Pixabay

Encore une étude à propos des effets néfastes de la contraception. Extrait de Gènéthique :

Au Royaume-Uni, 75 % des femmes estiment que les effets secondaires de leur contraception ne leur ont pas été expliqués complètement par leur médecin, ni lors de la première prescription, ni lors des rendez-vous suivants, selon une nouvelle étude publiée par le Femedic [...] L’enquête a été réalisée entre octobre 2017 et janvier 2018, sur Internet et via les réseaux sociaux. Elle a rassemblé plus de 1000 réponses.

[...]

  • 47 % affirment avoir eu de « graves problèmes » à cause de leur contraception et 16 % se plaignent de ne pas avoir reçu les soins adéquats.

Parmi les effets secondaires dont ces femmes font état figurent les saignements constants, avec anémie, les caillots sanguins, les pensées suicidaires, les migraines, les opérations chirurgicales en lien avec la contraception, la prise de poids, les changements d’humeur, les problèmes psychologiques graves [...]

Plus grave encore, « 25% des femmes ont déclaré se sentir sous la pression de quelqu'un...

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La Chambre d'Ohio vote l'interdiction des avortements « à la détection des battements de cœur du fœtus »

Par Newsroom (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

[...Hier] par un vote de 58 à 35, l'Ohio House a adopté un projet de loi sur l'avortement qui, selon le Cincinnati Enquirer, « interdirait effectivement les avortements après les six premières semaines de grossesse d'une femme en pénalisant les médecins qui pratiquent des avortements après avoir détecté le battement cardiaque fœtal ». La majorité républicaine de la Chambre des représentants a adopté le projet de loi en connaissant les risques : Le gouverneur John Kasich, républicain, a opposé son veto à l'ancien projet Heartbeat Bill (projet de loi sur le battement de cœur) qui s'était rendu jusqu'à son bureau. Il pourrait très bien y opposer à nouveau son veto si la loi est représentée avant son départ... ou le Sénat d'Ohio pourrait refuser de l'adopter.

Cependant, si le Sénat finit par adopter la loi sur l'avortement, fait remarquer l'Enquirer : « Pour passer outre le veto de Kasich, la Chambre d'Ohio aurait eu besoin de 60 votes — 2 de plus que les 58 qui ont fait passer la proposition jeudi. » Cela aurait été un défi, car sept républicains ont voté contre le Heartbeat Bill à la Chambre : « Les représentants. Marlene Anielski et Nathan Manning du nord-est de l'Ohio ; Rick Carfagna, Mike Duffey, Anne Gonzales et Scott Ryan du centre de l'Ohio et Steve Arndt de Port Clinton. »

Un seul démocrate, le représentant Bill Patmon de Cleveland, a franchi les lignes de parti pour voter en faveur du projet de loi.

Cependant, le nouveau gouverneur élu Mike DeWine a obtenu une note de 0% de la part de NARAL et semble moins susceptible d'opposer son veto si le projet de loi lui parvenait après son entrée en fonction, en janvier 2019.

Les démocrates de la Chambre des représentants voulaient y ajouter des éléments, tels que « l'exigence d'une éducation sexuelle complète dans les écoles* [et] l'accès à la contraception. » En outre, les démocrates espéraient faire en sorte que les avorteurs qui enfreindraient cette loi, si elle était adoptée, n'encourraient pas de sanctions pénales.

L'Enquirer affirme que le projet de loi Heartbeat ne contient aucune exception pour le viol ou l'inceste, mais permettrait l'avortement afin de sauver la vie d'une femme** ou de prévenir « une altération substantielle et irréversible d'une fonction physique majeure ».

À six semaines de grossesse, selon The Endowment for Human Development, « une partie du cerveau appelée cortex cérébral apparaît », et le cœur bat depuis au moins trois semaines, entre le 16e et le 21e jour.


*La sorte d'éducation sexuelle enseignée de nos jours, n'apprend pas aux jeunes à bien se comporter et l'effet obtenu est contraire, en plus grave, à celui escompté. — CQV

**L'avortement n'est pas nécessaire pour sauver la vie de la femme si celle-ci était en danger. — CQV

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Le médecin néerlandais, qui a euthanasié de force une patiente atteinte de démence, poursuivi en justice

Par Cassy-Fiano Chesser (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Comfort home Care

L’année dernière, un médecin néerlandais avait fait la une des journaux internationaux après avoir euthanasié une femme âgée contre son gré. La patiente, une femme de 74 ans atteinte de démence, avait exprimé auparavant le désir d’être euthanasiée « au bon moment », mais dans les jours qui ont précédé sa mort, la femme a dit à plusieurs reprises qu’elle ne voulait pas mourir. Passant outre, les médecins de sa maison de retraite ont déclaré qu’elle « souffrait intolérablement », et malgré le fait qu’elle n’était plus capable de donner son consentement*, un médecin a été appelé pour euthanasier la femme. On lui a d’abord donné un café contenant un sédatif, mais elle a refusé de le boire, puis elle s’était tellement débattue que le médecin a ordonné à sa famille de la tenir physiquement pendant qu’il la tuerait, ce qu’ils ont fait.

Au début, un groupe d’experts néerlandais a blanchi le médecin de tout blâme — mais cette année, des mesures ont été finalement prises pour considérer le médecin responsable. Le Comité régional d’examen de l’euthanasie a déclaré que les actes du médecin étaient contraires à l’éthique et que le testament exprimant le prétendu désir de la patiente d’être euthanasiée était obscur et contradictoire. Plus troublant encore, le comité a trouvé cinq autres cas comportant des fautes à l’éthique similaires, mais c’était la première fois qu’un médecin faisait l’objet d’un blâme officiel dans ce domaine.

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Le risque de suicide est plus élevé chez les adolescents homosexuels ou transsexuels

Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)

Il est normal que des comportements contre nature aient des contrecoups fâcheux ; dans le cas des transgenres, il est évident que toutes les hormones, qu’ils ingèrent pour paraître comme de l’autre sexe, doivent avoir un effet important sur leur psychisme. — CQV

Ce sont des chiffres qui devraient faire réfléchir les lobbies Lgbt et les apprentis sorciers de la perverse, puisque fausse, notion de « genre ».

« Le risque de suicide et de comportements dangereux pour la vie est plus élevé parmi les adolescents appartenant à des minorités sexuelles » est la triste conclusion d’une étude menée par l’Université de Milan-Bicocca, et publiée récemment sur la revue internationale Jama Pediatrics.

Les auteurs ont calculé « que les adolescents appartenant au groupe global des minorités sexuelles montrent un taux de risque suicide trois fois supérieur par rapport à leurs camarades hétérosexuels. L’évaluation du risque de tentative de suicide a été analysée aussi à l’intérieur de chaque groupe de minorités sexuelles : les chiffres démontrent que les adolescents transgenres semblent les plus affectés par ce phénomène, suivis par les bisexuels et des homosexuels. »

Le suicide est la seconde cause de mortalité parmi les jeunes au niveau mondial, rappellent les experts. Bien que cette tendance avait déjà été démontrée dans d’autres études « pour la première fois a été accomplie une évaluation plus précise de la nature du phénomène chez les adolescents Lgbt ».

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Publicité pour l'euthanasie dans une salle d'attente d'hôpital

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

La publicité ne mentionnait pas les soins palliatifs et autres moyens de soulager la douleur sans assassiner. Extrait de Gènéthique :

Au Canada, les patients d’un hôpital du système de santé William Osler ont pu lire cet écran publicitaire : « Au Canada, l’assistance médicale à mourir est un service médical dans lequel les médecins et les infirmières peuvent aider les patients éligibles à réaliser leur souhait de mettre fin à leurs souffrances ». La photo déborde de compassion : la main d’un médecin délicatement posée sur le bras d’une femme dans un lit d’hôpital. L’annonce propose un numéro de téléphone gratuit pour que les personnes intéressées puissent obtenir davantage d’informations.

Cet acte signe l’abandon profond de patients qui peuvent avoir peur, souffrir, être déprimés : le seul secours que leur propose l’hôpital est de mettre fin à leur vie.

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Plus il fait chaud, moins la population augmente

Par Réinformation.TV — Photo : Rod Waddington/Flickr

Si cela est vrai et si le réchauffement planétaire était vrai, il n’y aurait pas à craindre pour une population en augmentation au milieu de catastrophes dues à un réchauffement planétaire. — CQV

Contradiction majeure chez les écologistes malthusiens, ou solution providentielle à la surpopulation mondiale ? Après d’autres études dont les résultats sont semblables, Alan Barreca, économiste écologiste à l’université de Californie à Los Angeles a observé un « choc thermique » en démographie, démontrant que la fertilité masculine décroît chez l’homme avec la température [...] Si de nouvelles études devaient confirmer cette tendance, un système de régulation naturelle serait en place : à mesure que la température de la planète augmenterait, la natalité décroîtrait, ce qui limiterait les inconvénients du réchauffement climatique en réduisant les populations. C’est du moins ainsi que doit raisonner un citoyen qui croit au réchauffement climatique et à la surpopulation.

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L’éducation « gay » et LGBT devient obligatoire en Écosse

Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo : psychologos.ru

L’éducation à l’homosexualité entre à l’école, en Écosse ! On est bien loin des époques mémorables où les rudes Scots savaient tenir tête aux légionnaires romains et aux farouches Anglais ; adeptes des nouvelles « valeurs » contemporaines, de la stupidité de « genre », et du sexuellement correct, ils inclinent craintivement leur tête devant la dictature gaystapiste, véritable puissance tyrannique de nos temps post-modernes.

L’Écosse devient ainsi le premier pays qui oblige les écoles d’État à intégrer l’enseignement des « droits » des minorités sexuelles, c’est-à-dire des lesbiennes, gays, bissexuels, transsexuels et intersexuels dans le cursus scolaire. Le gouvernement a accepté d’intégrer les propositions d’un groupe de travail conduit par des activistes homosexualistes, le Time for Inclusive Education (TIE). Ainsi les établissements scolaires devront, dorénavant, enseigner l’histoire des mouvements gays et lesbiens, affronter les thèmes liés à « l’homophobie » et « la transphobie » et explorer « l’identité Lgbt ». Tout un programme de formatage à l’idéologie arc-en-ciel sur lequel les élèves seront interrogés aux examens finaux.

L’activiste et cofondateur de TIE, Jordan Daly, a bien raison d’évoquer un moment historique :

« C’est une victoire monumentale pour notre campagne et un moment historique pour notre pays. La mise en place de l’instruction inclusive Lgbt dans toutes les écoles d’État est une nouveauté mondiale. Dans un moment d’incertitude globale, ce message envoie aux jeunes lgbt un message fort et clair qu’ici en Écosse ils sont appréciés. »

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Développement Canada donne 104 millions de dollars à des organisme répandant l'avortement et la contraception

Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Twitter n° 1, n° 2 et n° 3/Voici la source de la photo : Кабінет Міністрів України, Wikimedia, CC BY 4.0

La ministre Marie-Claude Bibeau passe très rarement plus d’une semaine sans cracher des millions pour mille et une causes.

En auscultant le compte Twitter de Développement Canada, on est vite pris de vertige. Des millions et encore des millions sont semés aux quatre vents par la ministre Marie-Claude Bibeau, qui prend ses fonctions visiblement à cœur.

Il suffit d’un tour de piste des derniers jours pour se rendre compte à quel point les impôts canadiens sont dispersés dans tous les recoins de la planète. Uniquement le 13 novembre, 210 millions sont sortis des coffres du ministère : plus de 104 M$ ont été versés dans les projets Family Planning et Safe Abortion, environ 100 M$ dans le projet She Decides et 5,25 M$ à la Libye pour contrer les violences qui sévissent dans ce pays. À ces montants s’ajoutent 50 millions que Développement Canada a remis le 6 novembre à un autre projet humanitaire appelé Mécanisme de financement mondial (GFF).

Des exemples de ce genre s’accumulent, mais sans que les contribuables sachent si les fonds envoyés à l’étranger servent aux fins auxquelles ils étaient destinés. Citons le cas de l’Afghanistan, où le Canada a versé 3 milliards de dollars à l’aide humanitaire depuis 2001, dont plus d’un milliard sont passés par deux fonds fiduciaires entachés par de graves irrégularités.

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Une femme ne se rend pas à l’avortoir après avoir appris que le cœur de son bébé battait

Par Kelli (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere (photo rognée)

Une nouvelle vidéo de Created Equal montre une femme enceinte se rendant à un centre d’avortement considéré par beaucoup de pro-vie comme étant le « plus dangereux » du pays — et reconsidérant sa décision d’avorter son bébé.

L’équipe d’Equal’s Road Trip for Life était sur le site de Planned Parenthood de la région de Saint-Louis, qui est actuellement le seul fournisseur d’avortement du Missouri. Cet établissement a envoyé un grand nombre de patientes à l’hôpital — plus de 67 depuis 2009. (Un commentateur de la vidéo YouTube de Created Equal affirme que le 2 novembre 2018, l’établissement a envoyé sa 70e patiente à l’hôpital en ambulance.) Ils y ont rencontré une mère enceinte qui avait quatre autres enfants à la maison et craignait qu’elle n’ait pas les ressources nécessaires pour s’occuper d’un autre bébé. Mais lorsque Sam, le bénévole de Created Equal, s’est calmement et respectueusement adressé à la femme et lui a exposé des faits sur le développement de son bébé, elle s’est arrêtée, choquée par ce qu’on lui disait.

Sam lui a dit : « Beaucoup de gens ne savent pas... que ceux-ci [les enfants à naître] ont un cœur qui bat à 16 jours. Ils ont des mains, des membres, des pieds, des yeux comme les vôtres, et un nez comme le vôtre... »

« Vous dites à 16 jours. Redites-le-moi encore une fois, » répondit-elle.

« À 16 jours, ils ont un cœur qui bat », répéta-t-il.

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Le Vatican pourra-t-il protéger Andorre de l’avortement ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : CestujZadara.cz

Il est amusant de savoir que les présidents de la République française et les évêques d’Urgell sont aussi coprinces de la Principauté d’Andorre, petit pays dans les Pyrénées entre la France et l’Espagne, qui fonctionne avec le régime de coprincipauté parlementaire. Les fonctions de coprinces sont essentielles dans le système d’Andorre et la démission de l’un d’eux le remettrait en question. En tout cas, espérons que l’Église tiendra ferme pour garder intact l’un des derniers pays d’Europe avec le Vatican, Malte et Saint-Marin où l’avortement est interdit. Extrait du Salon Beige :

… Le coprince espagnol est actuellement Mgr Joan-Enric Vives i Sicília et le coprince français est actuellement Emmanuel Macron. Le pouvoir exécutif est assuré par le chef du gouvernement, actuellement Antoni Martí.

Depuis quelques semaines, le débat sur l’avortement fait rage en Andorre. Des manifestations se sont déroulées pour la première fois fin septembre.

Le Saint-Siège a adressé une mise en garde aux autorités andorranes. Le souverain pontife a téléphoné au chef du gouvernement Antoni Martí : si l’avortement est légalisé, le Vatican ordonnera l’abdication de l’un des deux coprinces d’Andorre, l’évêque de la Seu d’Urgell.

Une solution a été imaginée par certains élus : que l’on fasse comme dans les années 90 où seul le coprince français avait signé la légalisation du divorce. L’évêque d’Urgell s’était en quelque sorte abstenu. Mais sur l’avortement, pas question de répéter ce scénario a prévenu le pape François.

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