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Le gouvernement Trump rencontre des groupes pro-vie pour examiner le dossier des expériences faites avec les bébés avortés

Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere (photo rognée)

Washington, D.C., 14 novembre 2018 (LifeSiteNews) — Des représentants officiels de la Santé du gouvernement Trump ont prévu une rencontre avec les dirigeants de groupes pro-vie nationaux. Ils espèrent régler le problème que cause le financement continu du gouvernement pour la recherche médicale utilisant des tissus de bébés avortés.

En août, un avis de la Food and Drug Administration [Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux] (FDA) a révélé les détails d’un contrat contracté auprès de la firme Advanced Bioscience Resources, Inc. (ABR) pour se procurer des « tissus pour souris humanisées ». Les tissus étaient destinés à donner aux souris un système immunitaire « humanisé » dans le but de tester des médicaments.

Le 11 septembre, 48 dirigeants pro-vie, représentant LifeSiteNews, the Center for Medical Progress, Susan B. Anthony List, Priests for Life, Operation Rescue et d’autres groupes, ont envoyé une lettre à Alex Azar, secrétaire du département du Health and Human Services [Santé et des Services sociaux] (HHS), exigeant la résiliation du contrat. Une lettre a aussi été envoyée à Scott Gottlieb, commissaire de la FDA, par 85 représentants américains.

Le contrat a été résilié en septembre, et le gouvernement a promis de réexaminer les recherches impliquant des tissus fœtaux. Il reste cependant quelques inquiétudes quant aux 100 millions de dollars des contribuables qui sont toujours utilisés pour financer des recherches utilisant des tissus et des organes de bébés avortés.

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De courageuses femmes pro-vie reçoivent des menaces et des vidéos de viols

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :

C'est vous dire qu'être pro-vie n'est pas de tout repos, il faut être prêt à être calomnié, perdre des droits et se faire menacer. Il est difficile d'imaginer à quel point ces menaces peuvent être violentes, vicieuses et illogiques ; après tout, les partisans enragés de l'avortement qui sont la source de ces menaces, ne peuvent prétendre être pour le respect de la femme en en menaçant, surtout de cette façon-là. Extrait de LifeSiteNews :

Il y a huit mois, l’organisation pro-vie Live Action a publié une vidéo de trois minutes sur une jeune femme donnant un témoignage extraordinairement puissant sur son viol et sa grossesse. Jennifer Christie a expliqué à l’Assemblée législative de l’Iowa qu’elle avait été brutalement violée lors d’un voyage d’affaires, son corps meurtri ayant été laissé dans une cage d’escalier après l’attaque.

Malgré les horreurs qu’elle avait endurées, elle ne parlait pas au nom des victimes d’actes criminels, disait-elle. Elle parlait plutôt au nom des 32 000 femmes devenues enceintes après un viol — et des 75 % de ces femmes « qui donnent la vie à nos enfants ».

Mme Christie représentait Save the One, une organisation qui représente des personnes qui ont été conçues dans le viol, ainsi que des mères — comme elle-même — qui ont des enfants conçus par agression sexuelle.

[...]

La vidéo est devenue virale, recevant 1,4 million de visionnements jusqu’à maintenant. Jennifer s’attendait à des réactions pour avoir pris position. Tous les militants pro-vie le font. Ce à quoi elle ne s’attendait pas, c’est la perversité et la haine que certains pro-avortement allaient déchaîner contre elle.

Après que la vidéo soit devenue virale, quelqu’un lui a envoyé une vidéo de viol d’une femme. Il a été envoyé sur son compte Facebook personnel, par l’intermédiaire du compte d’un ami qui avait été piraté. La police lui a dit que c’était « probablement de la pornographie de viol »...

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L’euthanasie vise les patients atteints d’Alzheimer


Photo : geralt/Pixabay

Lettre à l’éditeur du journal Le Droit, le 14 novembre 2018 par Jean Morse-Chevrier

Éliminons les souffrances et non les personnes

Suite à l’article dans Le Droit du 5 novembre sur Pierre Viens et son action d’aide médicale à mourir, je vous fais part de mes préoccupations suite à sa présentation hier soir, le 13 novembre à Hull. Sa présentation était une véritable promotion de l’aide médicale à mourir, qu’il a lui-même pratiquée 58 fois, et un plaidoyer en faveur d’étendre la loi pour couvrir des situations non présentement acceptées pour l’injection létale qui précipite la mort de la personne. En particulier, il a brandi le fait qu’un segment important de la population atteindrait l’âge vénérable de 80 [ans] et qu’environ le tiers d’entre eux seraient en route pour l’Alzheimer. Il revendique que toute personne sur la trajectoire vers l’Alzheimer soit éligible pour cette injection létale, et qu’un nombre appréciable de médecins en fassent leur champ d’expertise avec un meilleur appui légal.

Il prétextait ne tuer personne, disant que pour qualifier [quelqu’un de] tue[u]r l’action devait être violente. Cependant parmi les définitions du dictionnaire Larousse en ligne on trouve la définition suivante de tuer : « Être la cause de la mort de quelqu’un : une telle dose de calmant pouvait le tuer. »

Voulons-nous vraiment comme société passer le message à tous les vieux en début d’Alzheimer qu’ils seront un « fardeau social », une « charge » et que ceux atteints d’Alzheimer sont déjà « morts moralement et socialement », comme l’a dit publiquement Pierre Viens. Croyons-nous vraiment qu’ils seraient mieux d’être tués par l’injection létale que l’on nomme aide médicale à mourir ? Quelle trajectoire horrible pour une société ! On ne peut pas s’empêcher de penser aux nazis qui tuaient par le gaz handicapés et malades mentaux. Gardons notre sens moral et travaillons à éliminer les souffrances plutôt que les personnes !

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Le Kenya ordonne à Marie Stopes de «cesser immédiatement d’offrir toute forme d’avortement»

Par la Society for the Protection of Unborn Children (SPUC) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Jay Galvin/Flickr

La dénonciation de l’agenda de l’avortement illicite.

Dans les derniers déroulements d’une affaire significative, Marie Stopes International s’est vu interdire d’offrir des avortements au Kenya, et a été réprimandé pour avoir enfreint les lois de la République.

Cette déclaration a été faite par le Kenya Medical Practitioners and Dentists Board [Conseil des médecins et dentistes du Kenya] (KMPDB), après qu’un tollé public se soit fait entendre sur le fait que la publicité de Marie Stopes Kenya encourageait l’avortement, qui est largement illégal dans le pays.

Promotion de l’avortement

La KMPDB a convoqué un Special Preliminary Inquiry Committee (Commission d’enquête préliminaire spéciale) après que l’attention eût été attirée sur le fait que Marie Stopes diffusait des annonces publicitaires par diverses stations de radio, malgré l’interdiction du Kenya Film Classification Board (Comité de classification des films du Kenya) de toute publicité sur l’avortement.

La plaignante dans cette affaire est Ann Kioko de CitizenGo Africa, qui avait lancé une pétition demandant au ministre de la Santé d’enquêter sur les annonces et d’interdire à Marie Stopes d’opérer au Kenya. Elle a dénoncé des publicités faisant la promotion de l’avortement à la radio, dans les journaux et sur les médias sociaux, et a déclaré qu’elle avait personnellement appelé le service téléphonique de Marie Stopes et qu’on lui avait dit qu’elle pouvait se faire avorter pour 5000 shillings kényans (38 £) [64 $].

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Le gouvernement d’Alberta menace de retirer les subventions aux écoles qui n’ôtent pas l’élément religieux de leurs règlements


David Eggen, ministre de l'Éducation d'Alberta.

Par le Justice Centre for Constitutional Freedoms — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Dave Cornouyer/Flickr

Calgary, 14 novembre 2018 (LifeSiteNews) — Le Justice Centre for Constitutional Freedoms a répondu mercredi à l’ordonnance du ministère de l’Éducation d’Alberta imposant aux écoles religieuses les politiques gouvernementales générales de gauche.

L’ordonnance, émise mercredi matin, impose une politique créée par le ministère aux écoles dont les règlements, à son avis, ne sont pas conformes à l’article 45.1 de l’Alberta School Act.

Cette ordonnance remplace effectivement les politiques propres aux écoles, qui respectent le caractère religieux et l’identité unique de chaque école, par des politiques prescrites par le gouvernement.

L’ordonnance du ministère exige également des écoles qu’elles s’engagent à collaborer avec lui contre les intérêts des parents, protégés par la Constitution, en acceptant de ne pas divulguer aux parents la [possible] participation de leurs jeunes enfants à des Clubs d’alliance gay-hétéro (Gay Straight Alliance).

En septembre, le ministère a avisé les écoles qu’elles ne pouvaient pas inclure de références à la « vérité », aux « hommes et aux femmes », à la Bible et à d’autres notions religieuses dans leurs politiques « Safe and Caring ». D’autres lettres (1, 2, 3) montrent que le ministère de l’Éducation justifie son interdiction des éléments religieux dans les politiques scolaires religieuses, sur la base de sa seule opinion, sans expliquer (par exemple) comment ou pourquoi la « vérité » est contraire à « diversité ».

« L’ordonnance du ministère imposant sa volonté sans explication, sans égard à la sécurité de l’enfant et sans égard aux droits parentaux qui sont protégés par la Déclaration des droits de l’Alberta et la Charte canadienne des droits et libertés, donne à penser que cette ordonnance ne se base pas sur la loi, » déclare Jay Cameron, avocat des parents et des écoles appelantes dans le dossier du projet de loi 24.

La contestation judiciaire de la constitutionnalité des articles de la School Act, dont l’article 45.1, est en cours.

Une audience est actuellement prévue pour le 3 décembre 2018.

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Bernard Landry (1937-2018) : Un produit de la « Grande Noirceur » duplessiste


Bernard Landry.

Par l'historien Jean-Claude Dupuis Ph. D.

Au lendemain du 15 novembre 1976, les Québécois, même fédéralistes, étaient impressionnés par la qualité du conseil des ministres de René Lévesque. Bernard Landry était l’un d’eux. Nul doute qu’il avait une envergure intellectuelle que l’on ne retrouve plus guère dans la classe politique actuelle. Mais n’oublions pas qu’il faisait partie du gouvernement qui a rendu l’avortement accessible sur simple demande. Cependant, je ne veux pas traiter ici de son œuvre politique, mais de sa formation académique.

L’ancien ministre des Affaires culturelles, Denis Vaugeois, a fait remarquer que les membres du fameux gouvernement péquiste de 1976 étaient tous d’origine familiale modeste et qu’ils avaient tous été formés dans les collèges classiques, au temps de la prétendue « grande noirceur » duplessiste. Ce fait réfute à lui seul la légende du caractère rétrograde et non démocratique du système d’éducation catholique d’avant la Révolution tranquille. Mathieu Bock-Côté souligne également que la belle culture générale d’un Bernard Landry était le fruit de la pédagogie humaniste fondée sur l’étude du latin et du grec, de la littérature française du XVIIe siècle, de la philosophie thomiste et de l’histoire groulxiste. Bref, sur tout ce que le Rapport Parent a jeté aux poubelles (JDM, 15-11-2018).

La pédagogie classique entendait former l’intelligence par les études littéraires plutôt que scientifiques. La littérature ouvre l’esprit aux problèmes divergents, c’est-à-dire aux questions complexes qui ne se répondent pas en noir ou blanc. Les études scientifiques tendent, au contraire, à former des intelligences mécaniques qui recherchent une réponse unique à la question. C’est la fameuse distinction entre l’esprit de finesse et l’esprit de géométrie, dont parlait Blaise Pascal.

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Voici Virginie Vota, catholique, pro-vie et aristotélicienne, et ses vidéos


Virginie Vota.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran de la vidéo : Le féminisme, conséquence du renversement  de l'ordre naturel

Virginie Vota, catholique et Française est, comme elle l'explique, « née dans une famille de gauche athée » où elle a été élevée sur un fond de discours désignant la religion comme responsable des guerres, de l'intolérance, etc. Ayant grandie sans éducation religieuse et libres de ses choix en matière de religion, Mlle Vota a peu à peu découvert le catholicisme, d'abord dans un livre pour enfant de la Comtesse de Ségur, puis de diverses façon dont notamment dans la bible. Elle a été baptisée en avril 2014.

Ci-dessous la vidéo dans laquelle elle raconte son cheminement :

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L'avortement est violent et les photos sont réelles, affirme une avorteuse


Pied d'enfant à naître, 12 semaines.

Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Dans un article de journal médical, Lisa Harris, une avorteuse de Planned Parenthood, reconnaît que les images que montrent les pro-vie sont vraies et que l'avortement est une violence. Harris exécute régulièrement des avortements tardifs en utilisant la procédure de D&E (dilatation et extraction). Anthony Levatino, un ancien avorteur, explique cette procédure.

Dans un D&E, l'avorteur déchire le bébé avec une pince. Une ex-travailleuse, Brenda Pratt Shafer, décrit avoir été témointe d’une D&E guidée par échographie :

Guidé par une échographie, l'avorteur a saisi l'une des jambes du fœtus avec sa pince. Il a serré fort et avec un mouvement de torsion, il a déchiré la jambe du petit corps. Il l'a sorti et l'a jeté dans le plat à côté de moi. Je me tenais horrifiée en regardant cette petite jambe aux orteils parfaitement formés dans le plat! Puis, il a déchiré un bras qui avait des mains et des petits doigts! Je pouvais voir le fœtus, sur l'écran de l'échographe, essayant de s'éloigner du forceps! Ensuite, je n'ai plus vu le battement de cœur sur l’échographie (Le son était volontairement éteint afin que les mères ne puissent pas entendre le battement de cœur.)… Il a continué à faire cela jusqu'à ce que toutes les extrémités soient sorties et placées dans la casserole. Il a ensuite cassé la colonne vertébrale fœtale avec la pince. Puis encore et encore, il a sorti les autres morceaux du fœtus, du bébé. Parfois, je pouvais voir les intestins ou d'autres organes internes alors qu’il les sortait…

Après avoir écrasé la tête avec les forceps, il l'a ensuite extraite et l'a jetée dans le plat avec le reste des morceaux du bébé. (1)

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Née avec le spina bifida, le médecin a proposé à ses parents de la laisser mourir, aujourd'hui elle se porte très bien

Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere

La majorité des diagnostics prénataux de spina-bifida se soldent par un avortement. Heureusement les parents de Misty Boyd ne savaient pas qu'elle était atteinte de cette maladie avant sa naissance, en 1983. Or ceux-ci ont tout de même dû se battre pour la vie de leur petite fille, explique Boyd dans un message publié sur Facebook à l’occasion du Mois de la sensibilisation au spina bifida.

« Lorsque je suis née on a découvert que j’avais le spina bifida, le médecin s'est confondu en excuses disant qu'il aurait pu "faire quelque chose" s'il l'avait su. On a informé mes parents que j’aurais des problèmes mentaux, que je ne pourrais jamais marcher, parler, me nourrir par moi-même, être indépendante de quelque façon que ce soit et que mon état était incompatible avec la vie. Si le médecin avait découvert mon handicap lors de l’échographie, il aurait insisté pour que je sois avorté, prétextant ma « piètre qualité de vie ». Elle ajoute « Comme mon handicap n'a été découvert qu'après ma naissance, on a offert à mes parents le choix de ne pas me nourrir et de ne pas me soigner afin de me laisser mourir. »

Ce traitement cruel et sans pitié recommandé par le médecin de Boyd était fréquent au cours des dernières décennies pour les bébés naissant avec des handicaps; un cas notoire est celui du bébé Doe, un garçon né avec le syndrome de Down en 1982. Comme ses parents ne voulaient pas de lui, son médecin leur conseilla de le laisser mourir, arguant que sa qualité de vie serait très mauvaise. Puisque bébé Doe aurait eu besoin d'une intervention chirurgicale, le médecin a recommandé aux parents de ne pas consentir à l'opération, en disant des enfants atteints d’une déficience intellectuelle : « Je crois qu'il y a des situations pires que la mort d'un enfant, et l'une d'entre elle est qu'il pourrait vivre. »

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Les enfants conçus par le biais de pratiques artificielles ont 58 % de risques de plus d'avoir un handicap mental

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-vie) — Photo : Pixnio

Il est évident que les manipulations de l'embryon comme la congélation doivent lui faire un certain tort. Extrait de Gènéthique :

Les chercheurs ont examiné les bases de données concernant 2876 enfants nés de procréation assistée et 207 751 enfants nés naturellement dans l’Etat de l’Australie de l’ouest de 1994 à 2002. Seuls 3551 de ces enfants, suivis pendant au moins 8 ans, ont reçu un diagnostic de handicap mental. Les enfants nés de techniques procréatives avaient 58% de plus de risques de recevoir un tel diagnostic et aussi plus à risque de développer des déficits sévères. Sur la période, les taux restent faibles : 17 enfants pour 1000 naissance naturelles contre 20 pour 100 pour les enfants nés de PMA.

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