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Une mère montre les photos émouvantes de son enfant mort-né à 14 semaines de grossesse


La minuscule main est celle du petit Miran.

Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran d'une photo du site Incroyable

L'humanité de l'enfant à naître saute au yeux à cet âge-là, même s'il ne peut pas encore survivre par lui-même en-dehors du ventre de sa mère. Et dire que tant d'entre eux sont avortés... Extrait du site Incroyable:

Devenir mère est une expérience merveilleuse. Il y a beaucoup de rêves, d'espoirs et d'attentes d'un parent pendant la grossesse. Le pire cauchemar de chaque mère est de perdre son bébé. Malheureusement, cela arrive trop souvent.

Sharren et Michael, du Missouri, aux États-Unis, étaient aux anges quand ils ont découvert qu'ils attendaient leur deuxième enfant. Malheureusement, Sharren, 40 ans, a perdu son bébé à la 14 ͤ semaine.

En Amérique, un enfant ne peut être considéré comme tel qu'après la 20e semaine de gestation, écrit The Sun. Pour les médecins, le petit Miran, décédé à 14 semaines, n'était qu'un « déchet médical ».

Sharren a décidé de partager les photos de son fils décédé qui mesurait de 10 cm et ne pesait que 26 grammes, pour montrer à tout le monde qu’à 14 semaines, le fœtus était déjà parfaitement formé.

Les images du petit Miran nous montrent un nouveau-né parfaitement formé. Miran avait déjà un visage, des mains, des pieds et des ongles bien formés.

Dans certains États américains, les enfants sont considérés comme des êtres humains formés seulement après la 20e semaine de grossesse. Si ses parents n'étaient pas intervenus, Miran aurait été jeté comme un vulgaire déchet médical…

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Une PMA lesbienne sans père mais avec deux mères porteuses

Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)

… Une couple de femmes a décidé non seulement de donner le jour à un enfant sans père à travers une procréation médicalement assistée, mais de simuler une double maternité en portant toutes deux le bébé [...] la PMA dissocie l’enfant de l’acte sexuel entre un homme et une femme qui est le cadre de conception conforme à la dignité de la nature humaine et au plan de Dieu pour la procréation [...] tout en niant le besoin naturel d’un enfant d’avoir un père en allant jusqu’à l’en priver artificiellement et délibérément, ces deux femmes n’en ont pas moins affirmé comme une sorte de droit leur volonté d’avoir chacune un lien biologique et maternel avec ce bébé. C’est donc que le lien biologique est primordial dans la procréation ! On pourrait appeler ce processus une PMA lesbienne sans père mais avec deux mères porteuses.

Qu’il se soit trouvé des médecins pour accéder à la réalisation de leur fantasme en dit long sur notre culture du désir « créateur ».

Les femmes en question, Ashleigh et Bliss Coulter du Texas, semblent être les premières lesbiennes au monde à avoir participé à une telle aventure médicale. La procédure s’appelle « fécondation in vitro réciproque sans effort », déjà théorisée avant que les deux femmes n’en découvrent la possibilité. En cherchant un moyen d’avoir un enfant qui ait un lien biologique avec chacune, elles ont rencontré le Dr Kathy Doody, spécialiste des questions de fertilité : elle s’est enthousiasmée.

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Un député canadien dépose un projet de loi pour protéger les médecins refusant de pratiquer l'euthanasie

Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le député conservateur du comté de Cypress Hills — Grasslands en Saskatchewan, David Anderson a déposé le projet C-418 qui a pour but de protéger les professionnels de la santé qui refuse de pratiquer des euthanasies ou, autrement dit dans le jargon moderne, l'Aide médical à mourir (AMM). Extrait de Bioedge:

Le député David Anderson a déposé le projet de loi C-418, Loi sur la protection de la liberté de conscience, à la Chambre des communes mardi. Le projet de loi considérerait comme infraction le fait d'intimider ou d'essayer de forcer un professionnel de la santé à être impliqué dans une AMM.

Le projet de loi déclare également coupable d'une infraction le fait de congédier ou de refuser d'employer un professionnel de la santé si celui-ci a refusé de participer, directement ou indirectement, à une AMM.

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Le changement de sexe mis en question

Par Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info)

Le changement chirurgical du genre (réassignation sexuelle) n’a rien d’anodin. Il crée un conflit entre l’ensemble du génome et la situation anatomique à laquelle aspire le transgenre. Ceux qui pratiquent ces mutilations prennent en compte la souffrance de ceux (ou celles) qui veulent changer de sexe. Mais actuellement ils en viennent à penser qu’ils font plus de mal que de bien. D’autant qu’après l’intervention chirurgicale, le transgenre sera obligé de prendre à vie des hormones risquant à terme d’être cancérigènes.

De plus en plus les transgenres renient leur nouveau sexe

La vidéo Youtube I want my sex back : « je veux revenir à mon sexe » a été vue plus de cinq millions de fois. Elle parle de transgenres qui ont regretté leur changement chirurgical du sexe. Le professeur serbe Miroslav Djordjevic s’est spécialisé dans la réassignation sexuelle, mais aussi dans les réparations de ceux ou celles qui veulent revenir à leur sexe génétique donc celui qu’ils avaient à la naissance. Ce médecin est persuadé que ceux qui réussissent à changer de sexe ne sont pas heureux ; ce que LGBT ignore par idéologie, c’est cette souffrance vers laquelle ce lobby veut pousser adultes et enfants. Or ce chirurgien est de plus en plus réticent.

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Des cinémas lâchent le film Gosnell, bloquant la vente de billets malgré le succès massif du film


Affiche du film Gosnell

Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie

23 octobre 2018 (LifeSiteNews) — Les cinémas du pays lâchent le film « Gosnell: The Trial of America's Biggest Serial Killer » (Gosnell : Le procès du plus grand tueur en série des États-Unis) et en et bloquent les ventes de billets malgré ou peut-être à cause du succès du film, selon le producteur et directeur marketing du film.

Basé sur un livre, au titre éponyme, écrit par les journalistes et productrices Ann McElhinney et Phelim McAleer, le film Gosnell décrit l'arrestation du [tristement] célèbre avorteur de Philadelphie, le Dr Kermit Gosnell, son procès et sa condamnation pour les meurtres au premier degré de trois bébés nés vivants et de l'homicide involontaire d'une patiente, Karnamaya Mongar.

La procureure Christine Wechsler et le détective James Wood ont été consultés dans le film, qui était également basé « très largement sur les transcriptions judiciaires », « des dizaines d'heures dentrevues avec Kermit Gosnell » lui-même, et le rapport du grand jury de 280 pages qui révélait que Gosnell avait tué des centaines de nouveau-nés qui avaient survécu à l'avortement en leur coupant la moelle épinière.

Le film Gosnell a réalisé un bénéfice de 1 235 800 $ lors de la première fin de semaine de sortie en salles, au cours de laquelle il fût le nouveau film ayant le plus grand succès et à la 12ème place au box-office. Il [... bénéficiait récemment] d'un score d'audience de 99% sur Rotten Tomatoes, basé sur plus de 1200 évaluations d'utilisateurs. Cependant, John Sullivan affirme que les salles de cinéma ont largué le film d’une manière inouïe pour un film aussi performant.

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Une éducation à la sexualité provenant d'institutions internationales : la pourriture à l'échelle mondiale


Jean-François Denis de ThéoVox Actualité.

Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran de la vidéo de ThéoVox Actualité

Voici une intéressante vidéo, réalisée par Jean-François Denis de ThéoVox Actualité, qui nous parle de l'influence de l'ONU, l'UNESCO, l'UNICEF et l'OMS sur l'éducation à la sexualité partout dans le monde. Le répugnant cours d'éducation à la sexualité du Québec semble suivre les directives de ces divers organismes.

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Politique nataliste en Italie : un lopin de terre offert à la naissance du troisième enfant

Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info)

Italie – Le gouvernement italien est bien décidé à mettre en place une nouvelle politique nataliste. Le ministre de la Famille (Ligue), catholique assumé, a l’intention d’offrir un terrain agricole aux familles qui auront un troisième enfant entre 2019 et 2021. L’enjeu démographique est très important : l’Italie est l’un des pays européens où la natalité est la plus faible, avec 1,35 enfant par femme.

Les conditions fixées par le gouvernement italien pour se voir offrir un tel cadeau sont doubles : il faut être marié et vivre depuis au moins dix ans en Italie.

Il n’en fallait pas plus pour que les journalistes de la presse européenne de gauche y voient une discrimination envers les étrangers et les homosexuels. Les médias du système ne craignant aucun excès, ils ont été plusieurs à trouver que cette politique nataliste du gouvernement italien rappelait celle de Mussolini.

Il est vrai que ces médias coupés du réel préfèrent la PMA et la GPA.

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Le Brésil élit un président pro-vie fort, brisant des décennies de pouvoir gauchiste


Jair Bolsonaro, président du Brésil.

Par Guilherme Ferreira Araújo et Gualberto Garcia Jones, Esq. — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Estudios nacionais

Analyse

Brasilia, Brésil, 28 octobre 2018 (LifeSiteNews) — Le 28 octobre est une date importante pour le Brésil. Jair Bolsonaro a été élu président, mettant fin à une génération de gouvernement de gauche. Sous Bolsonaro, le Brésil pourrait passer du statut de refuge pour les marxistes latino-américains et leurs alliés mondialistes corrompus à celui d'allié précieux de la vision du président Trump d'une zone où les gouvernements sont motivés par leurs intérêts souverains. Plus important encore, le Brésil passera du statut de promoteur de la culture de mort à celui de défenseur de la culture de la vie.

Face à cette réalité, les médias libéraux du monde entier ont tenté de qualifier M. Bolsonaro d'extrémiste. C'est un « raciste», un « sexiste », un « homophobe », un « misogyne ». C'est un « néo-nazi » qui veut ramener la dictature militaire ! C'est plus ou moins ce que les adversaires de Jair Messias Bolsonaro disent de lui. Mais qui est-il ? Certains l'appellent le « Trump brésilien ». Mais pour comprendre qui il représente vraiment, nous devons comprendre un peu l'histoire récente du Brésil.

En 1964, l'armée brésilienne, répondant à un appel légitime de la société civile, décide de prendre le pouvoir afin d'éviter la menace communiste qui pesait sur tous les pays Occidentaux de l'époque. Au début, les militaires ont assuré à la société civile qu'ils redonneraient le pouvoir à un gouvernement civil dès que possible, mais bientôt une division interne prit forme au sein même de l'armée, ce qui a abouti à un « coup d'État à l'intérieur du coup d'État ». En fin de compte, les militaires sont restés au pouvoir jusqu'en 1985, date à laquelle ils ont tenu leur promesse et entamé un processus de transition vers un gouvernement civil.

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L'infanticide en milieu médical en Europe

Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran de la vidéo

Voici les témoignages émouvants d'infirmières et de médecins de France et de Grande-Bretagne qui racontent les infanticides auxquels ils ont assisté, sidérés. Vidéo du Centre européen pour la loi et la justice :

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Une femme se disant homme transgenre ne veut pas être considérée comme mère mais comme « parent »

Par Pour une école libre au Québec

Au Royaume-Uni, une femme qui se dit homme transgenre accouche d’un enfant, mais refuse d’être mentionnée sur l’acte de naissance comme étant sa mère. Elle propose d’être désignée comme étant simplement son « parent ». Elle explique en effet qu’ayant fait la démarche sociale, publique et juridique d’être devenue homme, il ne pourrait pas supporter d’être désigné par un terme « intrinsèquement féminin ». « Cela revient à définir le mot mère : est-ce que cela signifie la mère de l’enfant ou la personne qui a donné naissance à l’enfant ? Il semble que le registraire général [de l’État-Civil] va faire valoir que cela signifie la personne qui a donné naissance à l’enfant ».

Ce n’est pas la première fois qu’une femme qui se dit homme donne naissance à un enfant, ni au Royaume-Uni, ni dans le reste du monde, mais c’est la première fois qu’il refuse le qualificatif de mère. Le « parent 2 » existe déjà sur les formulaires, pour les couples de même sexe, en cas d’adoption, cet homme transgenre réclame l’introduction du « parent 1 ».

Par ailleurs, en France, à l’inverse, un homme « devenu femme » réclame le statut de mère de son enfant... La cour d’appel de Montpellier est saisie d’un dossier « complexe » : Bernard et Marie sont mariés et parents de deux enfants, lorsqu’en 2011, Bernard « décide de devenir une femme, sans pour autant subir d’intervention chirurgicale ». Ce changement de sexe est accepté juridiquement par le tribunal de Montpellier qui reconnait « de façon irréversible son appartenance au sexe féminin, sans qu’aucune opération de réassignation sexuelle n’ait été exigée ni pratiquée ». Trois ans plus tard, Marie donne naissance à un troisième enfant « conçu biologiquement avec Bernard devenu entretemps Claire ». Pour cet enfant, Marie et Claire veulent être reconnues comme mères de l’enfant, ce qui est impossible. Claire refuse par ailleurs de passer par une procédure d’adoption, et ne peut pas être « qualifiée de père puisqu’elle est femme ». Saisi, le tribunal de grande instance de Montpellier estime alors que par « son acte de procréation masculine qu’elle revendique, Claire a fait le choix de revenir de façon unilatérale sur le fait qu’elle est désormais reconnue comme une personne de sexe féminin, et doit en assumer les conséquences ». C’est de cette décision que les « deux femmes » ont fait appel, et que la cour d’appel de Montpellier devra trancher le 14 novembre prochain.

Pour l’avocat de l’enfant, « Claire doit être reconnue comme le père de l’enfant ». Ainsi « ce troisième enfant aura lui aussi une mère et une filiation paternelle. Même si elle est assurée par une femme. Cela donne à cet enfant une égalité de droit par rapport à ses frères, et cela stabilise sa filiation » estime-t-il.

Sources : BioEdge, Jessica Smith (29/X/2018) et La Dépêche (24/X/2018)

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