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Jour critique pour la protection de l'enfant à naître en Irlande du Nord

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

La limite imposée par le gouvernement britannique à l’Irlande du Nord, sous tutelle, tombe aujourd’hui. Si d’ici minuit le gouvernement d’Irlande du Nord ne s’est pas reformé, chose qui n’a pas été faite depuis 2017, il se verra contraint de légaliser l’avortement jusqu’à 28 semaines de grossesse. Les députés pro-vie tentent d’inciter leurs collègues à constituer aujourd’hui même le gouvernement. Extrait de LifeNews :

Aujourd’hui, l’Irlande du Nord risque de se faire imposer la légalisation de l’avortement sur demande si ses dirigeants politiques n’agissent pas.

L’Irlande du Nord est l’un des derniers bastions de sécurité pour les enfants à naître en Europe après que les activistes de l’avortement aient poussé l’Irlande à abroger son amendement constitutionnel pro-vie en 2018. En juillet, cependant, les politiciens britanniques menés par la députée travailliste Stella Creasy ont voté afin de forcer l’Irlande du Nord à légaliser l’avortement pour quelque raison que ce soit jusqu’à 28 semaines de grossesse.

Les militants pro-vie ont exprimé leur indignation après ce vote sans précédent contre les droits des enfants à naître, et ceux du peuple d’Irlande du Nord de former leurs propres lois. Le gouvernement du pays, l’Assemblée de Stormont, n’a pas pris place depuis trois ans, permettant ainsi aux législateurs britanniques d’imposer leur programme proavortement à la nation sœur.

[...]

Un parti, le SDLP, a quitté le Parlement, l’empêchant ainsi d’élire un président. Selon l’article, les dirigeants politiques affirment qu’il faut choisir le président (de la Chambre) avant que les députés puissent « faire quoi que ce soit ».

S’ils ne règlent pas leurs différends et que le gouvernement ne se constitue pas avant minuit, la loi proavortement entrera en vigueur, selon l’article.

Selon Grazia, certains politiciens proavortement ont qualifié ces efforts de reformation de « tour de force politique ». Jusqu’à maintenant, 30 députés ont signé une pétition exhortant à agir, mais ce nombre n’est pas suffisant pour que se forme le gouvernement et empêcher la loi.

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Une mère « en état de mort cérébrale » pendant 117 jours a donné naissance à un bébé

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Charlie Davidson/Flickr

Il est admis par une certaine médecine décadente qu’une personne peut être morte bien qu’on puisse « maintenir en état de marche » ses organes vitaux, c’est ce qu’on appelle la « mort cérébrale ». Ce concept est tout à fait absurde, surtout si l’on considère qu’une femme enceinte, « en état de mort cérébrale » qu’on garde en vie (d’autres diraient qu’on maintient ses organes en fonction) peut poursuivre sa grossesse et donner le jour à un enfant bien vivant.

Dans le concret, il est assez hallucinant de constater que des gens considèrent cela comme normal, comme en Tchéquie. Extrait de Sud Ouest :

La maman d’Eliska, Eva Votavova, âgée de 27 ans, avait été diagnostiquée en 2016 comme souffrant d’une malformation artério-veineuse dans le cerveau. Le 21 avril, elle avait été retrouvée inconsciente chez elle, alors enceinte de 16 semaines. Après une importante hémorragie dans le cerveau, "elle a cessé de respirer dans la soirée puis (…) a été déclarée en état de mort cérébrale", selon M. Gal.

Les médecins ont maintenu ses organes en fonction, en particulier son cœur, ses poumons et ses reins, tout en surveillant la croissance du fœtus. Durant toute la grossesse, les infirmières ont parlé au fœtus, sa grand-mère lui a lu des histoires et un thérapeute bougeait les jambes de la maman pour simuler la marche, a expliqué Roman Gal.

Le système de maintien artificiel des fonctions vitales a été débranché après la naissance. Eliska…

La petite Eliska a été mise au monde par césarienne.

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Le Parti polonais Droit et justice veut condamner certaines formes d’«éducation sexuelle»


Jarosław Kaczyński, chef du Parti Droit et justice.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Sejm RP/Flickr

Un autre geste à mettre au crédit de ce parti qui a été réélu il y a peu avec une plus large majorité que précédemment. C’est plutôt le contraire qui se passe au Québec. Extrait de CNA :

Le parti au pouvoir au Parlement polonais a présenté un projet de loi qui pourrait condamner certaines formes d'éducation sexuelle dans les écoles.

Le Parti Droit et justice (PiS), qui a remporté la majorité lors des récentes élections du pays, soutient une loi « Halte à la pédophilie » au Sejm, la chambre basse du Parlement. La loi érigerait en infraction pénale la « promotion d'activités sexuelles chez les mineurs » en mettant cet acte parmi les autres crimes contre les mineurs.

Actuellement, les écoles polonaises n'offrent pas d'éducation sexuelle officielle mais, selon Reuters, elles sont chargées de dispenser des cours visant à aider les élèves à se « préparer à la vie familiale ». L'organisation et l'administration des cours diffèrent d'une autorité locale à l'autre.

La population et l'épiscopat, dont Mgr Ignacy Dec s'opposent à cette « éducation » pervertissante. Extrait de CNA :

Mgr Ignacy Dec, évêque de Swidnica, a récemment été cité dans un journal polonais exprimant son inquiétude au sujet des programmes d'éducation sexuelle.

« Il est inquiétant de voir que certaines autorités locales introduisent dans les maternelles et les écoles des programmes de sexualisation recommandés par l'Organisation mondiale de la santé. qui ne font que du mal aux enfants et aux jeunes », déclarait-il.

La loi doit être présentée au Sejm le 16 octobre et devrait être examinée par le Sénat dès vendredi.

Le projet de loi s'inscrit dans le cadre d'un vaste effort populaire visant à supprimer l'éducation sexuelle. Plus de 200 000 personnes ont participé aux Marches pour la Vie et la Famille dans 130 villes de Pologne en juin, pour protester contre l'éducation sexuelle appliquée dans les écoles.

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Tafida Raqeeb enfin transférée à l’hôpital Gaslini de Gênes

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Tafida Raqeeb, petite fille de cinq ans atteinte d'une lésion cérébrale depuis le mois de février, a enfin été transférée à l’hôpital pour enfants Gaslini de Gênes en Italie, échappant ainsi aux médecins du Royal London Hospital qui préconisent de la débrancher de son aide respiratoire (aide respiratoire qui n’est pas un soin en soi, mais un élément de base à la vie). C’est par une décision de la Haute Cour de Londres que les parents de cette enfant ont pu l’emmener en Italie, où un hôpital propose de la soigner. Extrait de Gènéthique :

Au cours de l’été, ses parents avaient entamé une bataille judiciaire à l’encontre de l’hôpital de Londres, qui préconisait l’arrêt des soins. À l’inverse des décisions prises dans les affaires Charlie Gard et Alfie Evans, le juge de la Haute Cour a statué le 3 octobre dernier qu’il n’y avait aucune raison d’empêcher que l’enfant soit prise en charge à l’étranger.

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Une femme mentalement handicapée, dont un tribunal avait ordonné l’avortement, a donné naissance à son enfant

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixnio

La décision de la Cour de protection de Londres, qui avait autorisé l’établissement qui prenait soin d’elle de la faire avorter contre son gré, a été par la suite annulée par la Cour d’appel de Londres, laissant donc cette femme pouvoir donner le jour à son enfant, naissance qui a eu lieu récemment. Le bébé un fois né échappe donc aux possibles tentatives des médecins de se pourvoir en appel pour son avortement maintenant impossible. Extrait de Gènéthique :

En juin dernier, un juge de la Cour de protection de Londres avait ordonné à une jeune femme handicapée mentale enceinte de 22 semaines d’avorter, contre sa volonté et celle de sa mère. Cette dernière avait finalement eu gain de cause auprès de la Cour d’appel de Londres, donnant raison aux avocats qui avaient argumenté qu’« elle devait être autorisée à accoucher ». La jeune femme vient de donner naissance à un enfant en bonne santé.

La même Cour de Protection a récemment rendu un autre jugement similaire au premier, malheureusement dans le cas présent, personne ne porte la décision en appel, laissant donc une femme mentalement handicapée, et son enfant à naître, entre les mains de ses « soignants ».

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Trudeau s’engage à veiller à ce que le Nouveau-Brunswick finance les avortements dans les cliniques privées


Justin Trudeau, Premier ministre du Canada.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Joshua RM Dewberry/US Air Force, domaine public

Justin Trudeau veut que son parti paraisse plus pro-avortement que tous les autres partis politiques engagés dans les présentes élections fédérales, aussi s’engage-t-il à forcer, s’il le faut, le Nouveau-Brunswick à financer les avortements commis dans les « cliniques » destinées à cette pratique barbare. La CBC rapporte :

Le chef libéral Justin Trudeau s’est lancé dans le débat sur l’accès à l’avortement au Nouveau-Brunswick mardi, s’engageant à forcer le gouvernement provincial à financer la procédure dans une clinique privée de Fredericton, sur le point de fermer.

Tentant de faire contraste avec son rival conservateur, Trudeau a certifié que s’il gagnait les élections de cette semaine prochaine, il « s’assurerait » que les avortements ayant lieu à la clinique 554 soient financés par le gouvernement progressiste-conservateur du Nouveau-Brunswick.

« Nous veillerons à ce que le gouvernement du Nouveau-Brunswick permette l’accès, l’accès payé, aux cliniques qui offrent des services d’avortement à l’extérieur des hôpitaux », proclamait-il, en choisissant ses mots avec soin lors d’une escale de campagne électorale dans une maison privée non loin de la clinique.

« Je vais m’asseoir avec le Premier ministre Higgs, si réélu, et lui faire savoir que nous utiliserons tous les outils à notre disposition, y compris ceux existant en vertu de la Loi canadienne sur la santé. »

C’est-à-dire la suspension de l’apport financier du fédéral au système de santé de la province, méthode qui avait marché avec l'Île du Prince Édouard, sous le même Trudeau.

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Une femme de 23 ans cherche la mort par euthanasie, pour souffrances psychologiques

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Encore une histoire de jeune femme ayant des problèmes psychologiques et qui se dirige vers l'euthanasie, si le système de santé de Belgique acquiesce à son désir. Dans cette triste affaire, il faut remarquer, en plus de l'immoralité de l'euthanasie, les lacunes et les méfaits de l'euthanasie légal ; non seulement ont laisse tout espoir de guérison pour les malades mentaux, mais on exauce un désir dément ; non seulement on ne supprime pas les souffrances d'une personne, mais on la supprime, et on laisse pour compte les proches de celle-ci. Extraits d’Euthanasia Prevention Coalition (EPC) :

Kelly est une femme de 23 ans en bonne santé physique, vivant à Louvain en Belgique, et dont la mort par euthanasie (injection létale) est envisagée pour des raisons psychiatriques.

Dans une entrevue accordée à Ian Birrell, du Daily Mail, Kelly parle de l’euthanasie en raison de douleurs psychologiques, malgré le fait que les experts s’entendent pour dire que la [situation] des jeunes s’améliore souvent avec un traitement. Birrell rapporte :

« De nombreux psychiatres et la plupart des Belges s’opposent à l’extension de l’euthanasie aux cas de santé mentale. Certains experts soutiennent que le diagnostic est subjectif, contrairement aux maladies physiques graves, et insistent sur le fait que la vie des jeunes patients en détresse peut s’améliorer avec le temps, la thérapie et les médicaments. »

Des proches qui en souffriront :

Kelly a une sœur jumelle identique qui souffrira beaucoup si Kelly meurt par euthanasie. Birrell explique que Kelly n’avait pas encore dit à sa famille son intention de mourir par euthanasie.

Kelly endure plusieurs problèmes psychologiques :

Elle a tenté de se suicider, a été hospitalisée, souffre de troubles de l’alimentation et d’automutilation, mais de nombreuses personnes vivent avec des douleurs psychologiques similaires [...]

Kelly a besoin de soutien pour vivre, et non d’euthanasie. Malheureusement, beaucoup de gens éprouvent des souffrances psychologiques, mais ce n’est pas une raison pour tuer. L’euthanasie est l’abandon des personnes à un moment sombre de leur vie, mais l’euthanasie pour des raisons psychologiques est l’abandon de l’espoir.

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Une Cour de Grande-Bretagne permet l’avortement forcé d’une femme mentalement handicapée

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Unsplash

Et voilà, l’un des problèmes, qui suivent logiquement l’avortement en cohortes, est que si l’avortement peut être (immoralement) permis, il peut très bien être imposé et devenir légalement obligatoire, comme dans le cas présent. C’est la Court of Protection qui a décidé dans son jugement qu’une patiente mentalement handicapée pourrait se faire avorter, qu’elle le veuille ou non, par l’établissement hospitalier dans lequel elle se trouve, et cela, dans son « meilleur intérêt », car la grossesse pouvant supposément « nuire à sa santé mentale et physique », comme si l’avortement était sans danger physique ou psychique pour elle. On ne s’attend à aucun appel de la décision, car la famille est en faveur de cet avortement. Selon CNA :

Un tribunal du Royaume-Uni a statué la semaine dernière qu’il est dans le meilleur intérêt d’une femme enceinte ayant de graves troubles d’apprentissage qu’elle subisse un avortement [...]

Cette femme, dont l’identité n’est pas révélée, dans ce cas est estimée être enceinte de 12 semaines [...]

Eloise Power, l’avocate représentant l’établissement du NHS, a témoigné que les médecins et les soignants de la femme appuient la cessation de sa grossesse.

La femme vit dans le nord de l’Angleterre et a passé la majeure partie de sa vie en famille d’accueil.

Le personnel, de cette maison de soins, qui s’occupe d’elle est d’avis que l’avortement est dans le « meilleur intérêt » de cette femme, ainsi qu’une trentaine de médecins et de travailleurs sociaux (quel terme barbare) consultés sur l’affaire. L’article de CNA continue :

Le juge David Basil Williams a écrit dans sa décision que l’avortement constituerait une « ingérence significative » dans l’autonomie corporelle de la femme, mais il a également déclaré que cela était dans son meilleur intérêt et que la poursuite de la grossesse pourrait nuire à sa santé mentale et physique. Il a également autorisé le personnel médical à maîtriser la femme et à lui administrer un anesthésique général pendant l’avortement si nécessaire.

Dernièrement, il y avait eu un cas similaire d’une Cour britannique qui avait permis à l’établissement qui s’occupait d’une femme mentalement handicapée de la faire avorter, malgré le fait qu’elle ne voulût pas se débarrasser de son enfant à naître. Heureusement, cette décision a été rejetée en appel.

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L’avortement désormais légal dans le dernier État d’Australie à le criminaliser

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image : Lennart Nilsson

La Nouvelle-Galles du Sud a aboli une loi vieille de 119 ans qui criminalisait l’avortement, pour la remplacer par une autre qui autorise cette pratique jusqu’à 24 semaines de grossesse de la femme… et au-delà sous certaines conditions, ce qui, selon l’expérience de telles formulations, permettra en fait l’avortement pour quasi n’importe quelle raison. Extrait de la FSSPX.News :

Criminalisant l’avortement, la loi de 1900 prévoyait des peines allant jusqu’à dix ans d’emprisonnement pour les femmes se faisant avorter, ou pour les médecins les y aidant.

La loi actuelle dépénalise désormais l’avortement jusqu’à vingt-deux semaines de grossesse ; au-delà de ce délai, il faut un avis favorable de deux médecins. L’eugénisme médical est en marche. Déjà votée à l’Assemblée législative le 8 août dernier, il ne manquait plus que l’accord de la chambre haute du Parlement pour que la loi soit définitivement adoptée.

A l’archevêché de Sydney, Mgr Anthony Fischer regrette « un jour sombre pour la Nouvelle-Galles du Sud », qui vient d’adopter « la pire loi de l’époque moderne ».

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Planned Parenthood veut dépenser 45 millions de dollars pour vaincre Trump et reprendre les rênes du Congrès

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Planned Parenthood a fortement intérêt pour son portefeuille à ce que l’avortement reste légal aux États-Unis, d’où le gros investissement de 45 millions de dollars qu’il opère pour contrer les républicains. Extrait de LifeSiteNews :

Planned Parenthood Votes (PPV), le super Comité d'action politique de la plus grande chaîne d'avortement du pays, a annoncé mercredi son intention de dépenser au moins 45 millions de dollars en 2020 pour maintenir le contrôle démocrate sur la Chambre des représentants des États-Unis, arracher le Sénat des mains des républicains et chasser le président Donald Trump de la Maison blanche.

L'argent servira à financer la publicité dans les médias à grande échelle, les courriels et la sollicitation sur le terrain en Arizona, Colorado, Floride, Michigan, Minnesota, New Hampshire, Caroline du Nord, Pennsylvanie et au Wisconsin, selon The Hill, avec pour message que les républicains aux niveaux national et de ce lui des États sont impliqués dans une « attaque coordonnée » contre le jugement Roe contre Wade.

« Les enjeux sont plus importants que jamais, et nous en ressortirons plus forts que jamais grâce à l'investissement le plus important que nous ayons jamais fait », a déclaré Kelley Robinson, directrice générale du PPV, au The Hill.

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