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Le juge lesbien qui s’est fait refuser la communion cherche noise au prêtre, qui est soutenu par son évêque


Juge Sarah Smolenski.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :

Mettons d’abord les choses au point, le juge Sarah Smolenski s’est fait interdire par le Père Nolan, au téléphone, de se présenter à la table de communion parce que cette femme est « mariée » avec une autre femme. Notons aussi que le juge Smolenski a présidé à des centaines de « mariages » entre personnes de même sexe. Soulignons enfin que cet avertissement, fort charitable, car il lui évitait de se faire rebuter devant les paroissiens, serait survenu après que le juge Smolenski se soit montré à la messe avec l’épinglette de la « fierté gaie », selon LifeSiteNews :

Le Père Nolan avait dit à Smolenski, lors d’une conversation privée au téléphone, de ne pas se présenter pour communier. Cet appel s’est produit après qu’elle et d’autres paroissiens aient récemment porté des épinglettes de la fierté gaie à l’église.

Toujours est-il que le juge Smolenski a rendu l’affaire publique en allant porter sa plainte devant les médias.

Sarah Smolenski, juge en chef de la Cour du conté de Kent au Michigan, avait auparavant essayé de démettre le Père Scott Nolan de ses fonctions d’aumônier de la Catholic Lawyers Association of Western Michigan, intrigant pour ce faire par le biais d’une lettre contresignée par un autre juge et envoyée le 11 octobre aux membres de l’association. D’après ces deux juges, plusieurs de leurs confrères auraient contacté le Père Nolan pour qu’il démissionne, en vain. La lettre faisait référence à un autre fait qui serait arrivé dans la paroisse du Père Nolan, St. Stephen’s à East Grand Rapid, selon un autre article de LifeSiteNews :

Dans sa lettre, Smolenski a attiré l’attention sur un incident où le Père Nolan a refusé de donner l’Eucharistie à ce qu’elle a appelé « deux femmes légalement mariées » qui se sont présentées à la sainte table pendant la Messe. Smolenski a dit que la décision de Nolan était « blessante et humiliante » et qu’elle a causé « beaucoup de difficultés à la paroisse et à la communauté en général ». Sans preuve, elle allègue qu’il a refusé la communion à des femmes « parce qu’elles sont gaies ».

Une lecture charitable de la situation pourrait être la suivante : le Père Nolan leur a refusé la communion parce qu’il pensait ou savait même qu’elles étaient des homosexuelles actives. [Portaient-elles des épinglettes ?] L’Église enseigne que les actes homosexuels sont intrinsèquement désordonnés et sont un des quatre péchés qui crient au ciel pour la vengeance. Les personnes qui persistent obstinément dans un état public de péché ne doivent pas être admises à la communion, selon le canon 915 du Code de droit canonique.

Notons enfin que le Père Nolan a l’appui de son évêque, du diocèse de Grand Rapids, Mgr David Walkowiak, pour l’affaire la plus récente.

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