Un agriculteur, qui refusait les célébrations de « mariage » homosexuel sur sa propriété, conclut un accord à l’amiable avec une ville du Michigan
Steve Tennes.
Par Stephen Kokx — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : MichiganFramBureau/YouTube
19 décembre 2023 (LifeSiteNews) — La ville d’East Lansing, dans le Michigan, versera 825 000 dollars à un agriculteur catholique après lui avoir interdit de vendre des fruits et des légumes au marché fermier de la ville.
Les Country Mill Farms sont une ferme et un verger de 213 acres dirigés par Stephen Tennes et sa pieuse famille, dont son épouse Bridget. Située à 22 miles au sud-ouest de Lansing, dans la petite communauté de Charlotte, dans le Michigan, leur mission est de « glorifier Dieu, d’une part en permettant aux familles de s’amuser à la ferme et d’autre part en nourrissant les familles ».
Tennes s’est attiré les foudres de la ville en 2016 lorsqu’il a publié sur sa page Facebook que le mariage était l’union d’un homme et d’une femme. La ville a déclaré avoir reçu des plaintes concernant ses remarques et que s’il se présentait au marché, il y aurait des manifestants. Mais lorsque Tennes est arrivé, aucun manifestant n’était présent.
Lire la suiteDes parents attendent des jumeaux conjoints que les médecins disaient non viables
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Les sœurs jumelles Maria Therese et Rachel Clare prennent d’assaut les médias sociaux — pourtant, elles ne sont même pas encore nées.
Maria et Rachel sont des jumelles conjointes à qui l’on a donné peu ou pas d’espoir de vivre longtemps après leur naissance. Elles partagent le même cœur, ainsi que d’autres organes, et leur séparation est donc considérée comme impossible.
Le cœur brisé, et choqués par la nouvelle, leur mère et leur père ont accueilli une mission au milieu de leur chagrin : partager l’histoire de leurs filles afin de sauver d’autres enfants qui risquent d’être avortés.
De l’excitation au chagrin
La mère des jumelles, Nicole LeBlanc, 24 ans, a déclaré à Live Action News qu’elle et son mari, Austin, 24 ans, étaient mariés depuis cinq mois en janvier 2022 lorsqu’ils ont commencé à essayer d’avoir un enfant. Mais ce n’est qu’en octobre 2022, après des mois de suivi de ses cycles et de prise de vitamines prénatales, que Nicole a finalement appris qu’elle était enceinte. Après des mois de découragement, le couple était ravi, et lorsque ses nausées matinales sont devenues insupportables, Nicole s’est demandé si elle n’était pas enceinte de jumeaux. Elle avait prévu de continuer à travailler tout au long de sa grossesse, mais les nausées étaient si fortes qu’elle ne pouvait ni manger ni boire et qu’elle vomissait toute la journée. Lorsqu’elle a passé sa première échographie à la septième semaine, elle avait perdu quatre kilos et demi.
Souhaitant éviter le Michigan Medicine de l’université du Michigan, plus favorable à l’avortement, elle a trouvé un hôpital catholique et un médecin chrétien qui lui a dit, lors de la première échographie, qu’elle semblait attendre des jumeaux, mais qu’un seul battement de cœur était détectable. Il faudrait attendre l’échographie suivante pour savoir s’il y avait effectivement deux bébés.
Lire la suite« Des millions de vies sont en jeu » — l’archevêque de Détroit appelle à la pénitence à cause d’une loi en faveur de l’avortement
Mgr Allen Vigneron, archevêque de Détroit.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons/Flickr
30 novembre 2022, Détroit (LifeSiteNews) — Mgr Allen Vigneron, archevêque de Détroit, a appelé les catholiques du Michigan à se joindre à lui pour faire réparation d’une manière spéciale pendant les deux premières semaines de l’Avent, en réponse aux électeurs de l’État qui ont récemment approuvé un amendement constitutionnel légalisant l’avortement jusqu’à la naissance.
Dans une lettre adressée à tous les catholiques de l’archidiocèse de Détroit, Mgr Vigneron a déploré que des millions de vies à naître soient désormais menacées par le nouvel amendement du Michigan, la Proposition 3. Il a appelé les fidèles à implorer la miséricorde de Dieu pour « le grand péché de l’avortement ».
« L’avortement est maintenant légal dans l’État du Michigan à un niveau sans précédent », a écrit l’archevêque, « et des millions de vies sont en jeu. Nous devons prier et demander à Dieu de répandre sa miséricorde sur nous, car nous avons permis à ce mal de se produire dans notre État. »
« C’est pourquoi je veux inviter tous les fidèles à se joindre à moi au cours des deux premières semaines de l’Avent, du 27 novembre au 9 décembre, pour faire pénitence, prier, jeûner et faire l’aumône. Nous devons utiliser ces pratiques spirituelles pour réparer le grand péché qu’est l’avortement chez nous. »
L’amendement a été adopté le jour de l’élection après que Planned Parenthood et le milliardaire George Soros aient versé des millions de dollars dans la campagne en faveur de l’amendement sur l’avortement.
Comme LifeSiteNews l’a rapporté précédemment, Mgr Vigneron avait envoyé une lettre pastorale à tous les catholiques de l’archidiocèse, exhortant les fidèles à voter contre l’amendement, car celui-ci « autoriserait l’avortement non réglementé à la demande pendant les neuf mois de la grossesse ». En septembre, l’évêque de Lansing, Mgr Earl Boyea, a appelé son diocèse à se joindre à lui pour une neuvaine de 54 jours, se terminant la veille des élections, dans le but de faire échouer la proposition 3.
Lire la suiteUn archevêque du Michigan écrit à des milliers de catholiques pour les inciter à voter contre un amendement sur l’avortement
Mgr Allen Vigneron, archevêque de Détroit.
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
1er novembre 2022 (LifeSiteNews) — Un archevêque du Michigan a envoyé des lettres par la poste aux catholiques de son diocèse, les encourageant à voter contre l’amendement radical sur l’avortement proposé par l’État.
Mgr Allen Vigneron, qui a la charge des âmes des catholiques de six comtés dans l’archidiocèse de Détroit, a envoyé à l’improviste des lettres à chaque foyer enregistré dans les paroisses de la région. La lettre souligne l’importance de voter lors des prochaines élections de mi-mandat contre l’« Initiative pour le droit à la liberté de reproduction » ou Proposition 3, une motion extrême qui ouvrirait les portes à l’avortement sur demande.
« Nous nous dirigeons rapidement vers l’élection du 8 novembre, au cours de laquelle les électeurs du Michigan se prononceront sur la Proposition 3, un amendement à la constitution de l’État qui autoriserait l’avortement sur demande non réglementé pendant les neuf mois de la grossesse », a écrit Mgr Vigneron, selon Detroit Catholic.
Le « langage très général et imprécis » de la proposition « invaliderait des dizaines de lois existantes relatives à l’avortement ». S’il était adopté, l’amendement autoriserait le financement par les contribuables des procédures, de l’avortement sélectif selon le sexe, de l’avortement par naissance partielle et du personnel non qualifié pratiquant les procédures.
« En tant que disciples du Christ, nous affirmons la dignité inhérente, donnée par Dieu, de chaque personne, de la conception à la mort naturelle », poursuit l’archevêque. « L’avortement est une grave offense à la dignité de la personne la plus vulnérable, l’enfant à naître. Nous le comprenons en tant que catholiques. »
Lire la suite26 États interdiront les avortements lorsque la Cour suprême aura annulé Roe vs Wade
Par Steven Ertelt, Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mallivan/Adobe Stock
Plus de la moitié du pays protégera les bébés à naître en interdisant tous les avortements ou la plupart d’entre eux lorsque le jugement Roe v. Wade sera annulé, comme on l’espère, le mois prochain.
Cette estimation provient de l’Institut Guttmacher, une organisation pro-avortement précédemment affiliée à Planned Parenthood, la plus grande entreprise d’avortement du pays. Selon son analyse, 26 États « sont certains ou susceptibles d’interdire les avortements » si la Cour suprême des États-Unis abolit Roe.
Le juge Samuel Alito ayant rédigé un projet d’avis renversant Roe qui a récemment fait l’objet d’une fuite, l’accent sera mis sur la protection des bébés contre les avortements dans le plus grand nombre d’États possible. La bonne nouvelle est que la moitié du pays protégera légalement les enfants à naître assez rapidement, certains États commençant à les protéger dès le premier jour.
De nombreux États ont déjà pris des mesures pour protéger les bébés à naître contre l’avortement en prévision du jour où Roe sera annulé. L’analyse de Guttmacher a identifié 21 États qui ont des lois ou des amendements constitutionnels qui interdiraient les avortements lorsque le pouvoir de le faire reviendra aux États.
Il s’agit des États : Alabama, Arizona, Arkansas, Géorgie, Idaho, Iowa, Kentucky, Louisiane, Michigan, Mississippi, Missouri, Dakota du Nord, Ohio, Oklahoma, Caroline du Sud, Dakota du Sud, Tennessee, Texas, Utah, Virginie-Occidentale et Wisconsin.
Certains de ces États ont encore des lois antérieures à Roe qui interdisent les avortements, et d’autres ont des lois de déclenchement qui interdiront immédiatement le meurtre des bébés à naître par avortement une fois que Roe sera annulé. Plusieurs d’entre eux ont également mis en place de multiples lois pro-vie, y compris des lois sur le battement de cœur et d’autres lois qui limiteraient ou interdiraient les avortements si les tribunaux les autorisaient à le faire.
En outre, Guttmacher prévoit que cinq autres États prendraient rapidement des mesures pour protéger les bébés à naître contre l’avortement si l’arrêt Roe était annulé. La Floride, l’Indiana, le Montana, le Nebraska et le Wyoming ont adopté un certain nombre de lois pro-vie ces dernières années et, selon l’analyse, ils prendraient probablement des mesures « dès que possible » pour protéger les bébés à naître en interdisant l’avortement.
Lire la suiteLe Michigan ne pourra pas fermer une agence d’adoption catholique qui place les enfants uniquement avec un père et une mère
Par Steven Ertelt (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pixel-Shot/Adobe Stock
Grande victoire au Michigan : l’État a conclu un accord avec une agence d’adoption catholique et ne pourra pas la fermer simplement parce qu’elle préfère placer les enfants dans des familles avec une mère et un père.
Représentant l’organisme d’adoption et de placement familial, les avocats de l’Alliance Defending Freedom ont participé à sa bataille devant la Cour fédérale dans le cadre de son procès contre les autorités du Michigan. Vincent Catholic Charities demandait à la Cour d’empêcher ces fonctionnaires de la cibler illégalement et de la forcer à fermer en raison de ses croyances religieuses.
L’audience concernait une demande d’injonction préliminaire de Catholic Charities pour empêcher le Département de la santé et des services sociaux de l’État d’appliquer une nouvelle politique, exactement contraire à celle de Catholic Charities qui donne la priorité au placement des enfants dans des foyers comprenant une mère et un père.
Grâce à cet accord, les agences d’adoption chrétiennes et les groupes de placement familial qui passent des contrats avec le gouvernement du Michigan peuvent continuer à se concentrer sur le placement des enfants dans des familles avec une mère et un père.
Vincent Catholic Charities sera désormais exemptée de la loi anti-discrimination de l’État.
David Maluchnik, porte-parole de la Conférence catholique du Michigan, a publié une déclaration pour se réjouir de ce résultat, qu’il considère comme une victoire pour la liberté religieuse.
« Nous sommes reconnaissants qu’une loi signée en 2015 avec un soutien bipartisan pour faire respecter les droits de conscience continuera de bénéficier aux enfants les plus vulnérables du Michigan qui sont desservis par un réseau d’agences de placement d’enfants confessionnelles », a déclaré Maluchnik.
« Malgré une stratégie coordonnée et très médiatisée de “poursuite et règlement” qui visait à déclarer la loi de 2015 inconstitutionnelle, la politique de placement d’enfants du Michigan bénéficie désormais de protections juridiques fédérales qui solidifient et renforcent le droit des agences religieuses d’aider toute une série d’enfants et de familles à la recherche d’un foyer permanent ».
Lire la suiteLe procès d’une famille catholique bannie d’un marché parce qu’elle refuse d’offrir des réceptions pour les « mariages » gays
Steve et Bridget Tennes et leur enfants.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie
Detroit, Michigan, 27 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Cette semaine, un tribunal fédéral de district entendra enfin le cas d’un agriculteur biologique catholique qui a été banni d’un marché du Michigan en raison de sa conviction que le mariage est l’union d’un homme et d’une femme.
Mercredi, l'Alliance Defending Freedom (ADF) représentera Country Mill Farms dans une affaire contre la ville d’East Lansing, qui, en 2017, a interdit à ses propriétaires, Steve et Bridget Tennes, de participer au marché d’East Lansing, dans le Michigan, en raison d’un message affiché sur Facebook en 2016 dans lequel Steve Tennes exprimait son opinion selon laquelle le mariage est l’union d’un homme et d’une femme.
Les responsables de la ville ont réagi en disant aux Tennes qu’ils ne voulaient pas de sa ferme au prochain marché prévu le dimanche suivant. Cependant, les Tennes ont refusé de céder et ont participé au marché.
Après que M. Tennes eût publié un autre commentaire en faveur du mariage traditionnel, les responsables de la ville ont contourné les limites juridictionnelles prévues par la loi du Michigan pour élaborer une politique visant à l’empêcher de vendre au marché des agriculteurs.
M. Tennes vend des fruits et des légumes à tous les acheteurs intéressés et affirme qu’il emploie une variété de personnes, y compris celles qui s’identifient comme faisant partie de la « communauté LGBT ». Mais la ville a refusé de l’autoriser à participer au marché à moins qu’il n’accepte d’accueillir des « mariages » homosexuels dans son verger.
Pendant un certain temps, la famille Tennes a décidé de ne plus recevoir de groupes de mariage à sa ferme. Cependant, elle a depuis décidé d’organiser des mariages traditionnels, tout en conservant son droit de refuser les événements qui contredisent ses croyances religieuses.
L’action en justice de l’ADF indique que la politique de la ville a violé les garanties de la Constitution en matière de liberté d’expression, de liberté de religion et d’égalité de protection. L’ADF demande au tribunal de rétablir les « libertés constitutionnellement protégées de Country Mill Farms et d’empêcher une violation de la loi du Michigan régissant les villes ».
La plainte demande également au tribunal de mettre un terme à la politique discriminatoire de la ville, de la déclarer illégale et inconstitutionnelle et d’accorder des dommages-intérêts nominaux et compensatoires.
« Cette action en justice demande simplement au tribunal de défendre la liberté d’un agriculteur catholique, qui devrait être libre de vendre ses produits sans coercition, discrimination ou intimidation de la part du gouvernement en raison de ses convictions sur le mariage », a déclaré Jeremy Tedesco, avocat principal de l’ADF. « La ville doit respecter la liberté de Steve, protégée par la Constitution, d’exprimer ses croyances religieuses sur les sites de médias sociaux sans être obligé de renoncer à son droit de participer au marché. »
« Tsunami de preuves » : synthèse des procédures pour fraude électorale en cours aux États-Unis
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Piqsels
Voici la traduction intégrale de l’article de Steve Mosher publié vendredi par LifeSiteNews, où vous trouverez la synthèse des procédures en cours pour fraude électorale. L’auteur, bien connu des lecteurs de ce blog, est le président du Population Research Institute, premier sociologue américain à visiter la Chine communiste où il découvrit l’horreur des avortements forcés. L’avocate Sidney Powell, de son côté, estime que Joe Biden a bénéficié de 10 millions de votes illégaux. — J.S.
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Après un lent démarrage, l’équipe juridique de Trump est maintenant bel et bien lancée, et elle entend démontrer que l’élection du 3 novembre a vraiment été remportée par son homme.
En Pennsylvanie, une juge courageuse a stoppé la certification des résultats tant qu’elle examinera les preuves de la fraude. Elle voudra peut-être poser cette question au secrétaire d’État démocrate : si seulement 1,8 million de bulletins de vote par voie postale ont été demandés, comment est-il possible que vous en ayez reçu 2,5 millions par la poste ?
Dans le Wisconsin, un juge examine une requête visant à rejeter 150 000 bulletins de vote potentiellement frauduleux. Cet effort est mené par Phil Kline du projet Amistad. Les pro-vie se souviendront des efforts déployés depuis des années par le procureur général du Kansas, Phil Kline, pour dénoncer les avortements tardifs et poursuivre le Planning familial dans cet État il y a quelques années.
En Géorgie et au Michigan, le procureur préféré des Américains, Sidney Powell, a lâché le Kraken. Ses deux poursuites sont remplies d’exemples choquants de fraude électorale sur plus de cent pages chacune, et elles s’accompagnent d’une pléthore de déclarations sous serment.
Lire la suiteUn bébé né à 22 semaines et demie rentre à la maison après trois mois à l’hôpital
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une petite fille née à 22 semaines et demie seulement et pesant moins d’un kilo lors de sa naissance est sortie de l’hôpital après y avoir passé plus de trois mois. Harper Rose Schultz naquit le 29 juin au Covenant HealthCare de Saginaw [aux États-Unis] et est le plus petit bébé à avoir été réanimé à l’unité régionale de soins intensifs néonataux du Covenant HealthCare.
« Elle est une telle bénédiction et nous sommes tellement reconnaissants », déclarait sa mère Emille Wendzik aux journalistes en quittant l’hôpital. Le père de Harper, Patrick Schultz, ajoute : « Ce n’est rien moins qu’un miracle ».
Schultz explique dans une vidéo sur la chaîne YouTube de l’hôpital que lui et Wendzik étaient allés à l’hôpital parce qu’elle avait des douleurs abdominales. Ils ne s’attendaient pas à ce que le bébé Harper naquît, mais Wendzik dut subir une césarienne d’urgence. Les mini-prématurés sont des bébés qui pèsent moins de 1 500 grammes à la naissance. Harper pesait 320 grammes et son taux de survie était faible, les bébés nés à cette taille n’ont que 20 % de chance de survie. Elle fut mise sous respirateur.
« C’est le plus petit bébé que nous ayons jamais réanimé, et la voir grandir depuis où nous avions commencé pour finalement rentrer à la maison en assez bonne forme est ahurissant pour nous », affirme le Dr Martin Nwankwo, néonatologiste au Covenant HealthCare. « Nous n’avions jamais fait cela auparavant. Et, pour être honnête avec vous, la moitié des hôpitaux des États-Unis ne l’auraient pas tenté. »
Le Dr Nwankwo a raison. Le groupe TwentyTwoMatters a créé une carte de tous les hôpitaux américains fournissant ce niveau de soins pour les mini-prématurés. Sur cette carte, il n’y a que 100 hôpitaux aux États-Unis qui ont la volonté et les moyens de traiter des bébés nés aussi petits et jeunes. La plupart des USIN ne disposent pas de l’équipement nécessaire pour aider ces petits bébés, mais ce n’est pas le cas du Covenant HealthCare.
Bien qu’Harper ait toujours besoin d’oxygène et d’une alimentation spéciale, elle se porte remarquablement bien.
« Ce n’est rien moins qu’extraordinaire, honnêtement, ce sont des soins extraordinaires », s’exclame Schultz. « Tout le monde s’y est mis et le fait qu’ils puissent prendre quelque chose d’aussi petit pour le maintenir la vie n’est rien moins qu’un miracle, pour être honnête avec vous. »
Ce qui est en cours aux Etats-Unis, une révolution ? Un texte et un appel à la prière de Steven Mosher
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo (couleurs modifiées) : carac3/Flickr
Je vous propose ci-dessous la traduction intégrale d’un tout récent article de Steven Mosher dans LifeSiteNews, où il dénonce l’utilisation d’escroqueries propres aux « Révolutions de couleur » dans l’actuelle élection présidentielle américaine, théâtre de fraudes massives où des milliers de votes « découverts » après la fin du scrutin profitent presque exclusivement à Joe Biden.
Steven Mosher est le premier sociologue américain à avoir pu se rendre en Chine pour constater l’œuvre de la révolution culturelle : il était alors athée et pro-avortement. L’assistance à un avortement forcé l’avait bouleversé ; il s’est converti à la religion catholique et, toujours spécialiste de la Chine, a également fondé le Population Research Institute qui lutte contre les entreprises malthusiennes de contrôle de la population à travers le monde. — J.S.
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Je sais que certains d’entre vous sont peut-être découragés, voire désespérés, du fait que Trump et tous ceux qui le soutiennent n’aient pas obtenu de victoire décisive le jour des élections. Mais les événements vont très vite maintenant. Nous avons besoin que chacun se remette debout et revienne dans le jeu. Votre pays a besoin de vous. Les bébés ont besoin de vous.
La première chose que chacun doit reconnaître est la gravité de la situation actuelle. Nous sommes en plein milieu de ce qu’on appelle la Révolution de couleur. Il s’agit d’un coup d’État soigneusement préparé, destiné à faire tomber notre république constitutionnelle et à la transformer en une chose qui eût été méconnaissable aux yeux de nos Fondateurs, et qui est hostile à nos libertés.
Cela signifie que ce qui vient de se passer n’était pas une élection « normale ». Il s’agissait plutôt d’une escroquerie planifiée à l’avance, utilisée par les révolutionnaires pour déterminer le nombre de voix dont ils avaient besoin pour faire pencher la balance en leur faveur. Ce nombre étant désormais connu — dans le Michigan, le Wisconsin et la Pennsylvanie — des bulletins de vote tardifs ont été « découverts » pour mettre leur candidat en tête. C’est ainsi que la gauche fonctionne dans des endroits comme le Venezuela. Il ne faut pas qu’elle puisse y réussir ici.
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