« Tsunami de preuves » : synthèse des procédures pour fraude électorale en cours aux États-Unis
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Piqsels
Voici la traduction intégrale de l’article de Steve Mosher publié vendredi par LifeSiteNews, où vous trouverez la synthèse des procédures en cours pour fraude électorale. L’auteur, bien connu des lecteurs de ce blog, est le président du Population Research Institute, premier sociologue américain à visiter la Chine communiste où il découvrit l’horreur des avortements forcés. L’avocate Sidney Powell, de son côté, estime que Joe Biden a bénéficié de 10 millions de votes illégaux. — J.S.
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Après un lent démarrage, l’équipe juridique de Trump est maintenant bel et bien lancée, et elle entend démontrer que l’élection du 3 novembre a vraiment été remportée par son homme.
En Pennsylvanie, une juge courageuse a stoppé la certification des résultats tant qu’elle examinera les preuves de la fraude. Elle voudra peut-être poser cette question au secrétaire d’État démocrate : si seulement 1,8 million de bulletins de vote par voie postale ont été demandés, comment est-il possible que vous en ayez reçu 2,5 millions par la poste ?
Dans le Wisconsin, un juge examine une requête visant à rejeter 150 000 bulletins de vote potentiellement frauduleux. Cet effort est mené par Phil Kline du projet Amistad. Les pro-vie se souviendront des efforts déployés depuis des années par le procureur général du Kansas, Phil Kline, pour dénoncer les avortements tardifs et poursuivre le Planning familial dans cet État il y a quelques années.
En Géorgie et au Michigan, le procureur préféré des Américains, Sidney Powell, a lâché le Kraken. Ses deux poursuites sont remplies d’exemples choquants de fraude électorale sur plus de cent pages chacune, et elles s’accompagnent d’une pléthore de déclarations sous serment.
Lire la suiteUn bébé né à 22 semaines et demie rentre à la maison après trois mois à l’hôpital
Harper Rose Schultz.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Covenant Healthcare/YouTube
Une petite fille née à 22 semaines et demie seulement et pesant moins d’un kilo lors de sa naissance est sortie de l’hôpital après y avoir passé plus de trois mois. Harper Rose Schultz naquit le 29 juin au Covenant HealthCare de Saginaw [aux États-Unis] et est le plus petit bébé à avoir été réanimé à l’unité régionale de soins intensifs néonataux du Covenant HealthCare.
« Elle est une telle bénédiction et nous sommes tellement reconnaissants », déclarait sa mère Emille Wendzik aux journalistes en quittant l’hôpital. Le père de Harper, Patrick Schultz, ajoute : « Ce n’est rien moins qu’un miracle ».
Schultz explique dans une vidéo sur la chaîne YouTube de l’hôpital que lui et Wendzik étaient allés à l’hôpital parce qu’elle avait des douleurs abdominales. Ils ne s’attendaient pas à ce que le bébé Harper naquît, mais Wendzik dut subir une césarienne d’urgence. Les mini-prématurés sont des bébés qui pèsent moins de 1 500 grammes à la naissance. Harper pesait 320 grammes et son taux de survie était faible, les bébés nés à cette taille n’ont que 20 % de chance de survie. Elle fut mise sous respirateur.
« C’est le plus petit bébé que nous ayons jamais réanimé, et la voir grandir depuis où nous avions commencé pour finalement rentrer à la maison en assez bonne forme est ahurissant pour nous », affirme le Dr Martin Nwankwo, néonatologiste au Covenant HealthCare. « Nous n’avions jamais fait cela auparavant. Et, pour être honnête avec vous, la moitié des hôpitaux des États-Unis ne l’auraient pas tenté. »
Le Dr Nwankwo a raison. Le groupe TwentyTwoMatters a créé une carte de tous les hôpitaux américains fournissant ce niveau de soins pour les mini-prématurés. Sur cette carte, il n’y a que 100 hôpitaux aux États-Unis qui ont la volonté et les moyens de traiter des bébés nés aussi petits et jeunes. La plupart des USIN ne disposent pas de l’équipement nécessaire pour aider ces petits bébés, mais ce n’est pas le cas du Covenant HealthCare.
Bien qu’Harper ait toujours besoin d’oxygène et d’une alimentation spéciale, elle se porte remarquablement bien.
« Ce n’est rien moins qu’extraordinaire, honnêtement, ce sont des soins extraordinaires », s’exclame Schultz. « Tout le monde s’y est mis et le fait qu’ils puissent prendre quelque chose d’aussi petit pour le maintenir la vie n’est rien moins qu’un miracle, pour être honnête avec vous. »
Ce qui est en cours aux Etats-Unis, une révolution ? Un texte et un appel à la prière de Steven Mosher
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo (couleurs modifiées) : carac/Flickr
Je vous propose ci-dessous la traduction intégrale d’un tout récent article de Steven Mosher dans LifeSiteNews, où il dénonce l’utilisation d’escroqueries propres aux « Révolutions de couleur » dans l’actuelle élection présidentielle américaine, théâtre de fraudes massives où des milliers de votes « découverts » après la fin du scrutin profitent presque exclusivement à Joe Biden.
Steven Mosher est le premier sociologue américain à avoir pu se rendre en Chine pour constater l’œuvre de la révolution culturelle : il était alors athée et pro-avortement. L’assistance à un avortement forcé l’avait bouleversé ; il s’est converti à la religion catholique et, toujours spécialiste de la Chine, a également fondé le Population Research Institute qui lutte contre les entreprises malthusiennes de contrôle de la population à travers le monde. — J.S.
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Je sais que certains d’entre vous sont peut-être découragés, voire désespérés, du fait que Trump et tous ceux qui le soutiennent n’aient pas obtenu de victoire décisive le jour des élections. Mais les événements vont très vite maintenant. Nous avons besoin que chacun se remette debout et revienne dans le jeu. Votre pays a besoin de vous. Les bébés ont besoin de vous.
La première chose que chacun doit reconnaître est la gravité de la situation actuelle. Nous sommes en plein milieu de ce qu’on appelle la Révolution de couleur. Il s’agit d’un coup d’État soigneusement préparé, destiné à faire tomber notre république constitutionnelle et à la transformer en une chose qui eût été méconnaissable aux yeux de nos Fondateurs, et qui est hostile à nos libertés.
Cela signifie que ce qui vient de se passer n’était pas une élection « normale ». Il s’agissait plutôt d’une escroquerie planifiée à l’avance, utilisée par les révolutionnaires pour déterminer le nombre de voix dont ils avaient besoin pour faire pencher la balance en leur faveur. Ce nombre étant désormais connu — dans le Michigan, le Wisconsin et la Pennsylvanie — des bulletins de vote tardifs ont été « découverts » pour mettre leur candidat en tête. C’est ainsi que la gauche fonctionne dans des endroits comme le Venezuela. Il ne faut pas qu’elle puisse y réussir ici.
Lire la suiteLe coronavirus est utilisé pour faire taire les pro-vie
Les frères jumeaux Benham.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pete Baklinski/LifeSiteNews
Les frères Benham, pro-vie américains actifs, se sont vu refuser, en la personne de David Benham, le droit d’être présent devant les avortoirs, quoiqu’ils qu’ils respectassent les distances exigées et le nombre de personnes autorisé, et que leur organisme, Cities4Life, fût classé comme essentiel. Il s’est fait tout simplement arrêter par la police, selon LifeSiteNews :
Benham [...] note que son organisation, Cities4Life, est une organisation caritative reconnue par le gouvernement fédéral et qui est classée en tant qu’« entreprise essentielle » selon le décret de confinement, et que les bénévoles qui sont sortis le 4 avril étaient non seulement bien en deçà de la limite des dix personnes pour les rassemblements publics, mais avaient dessiné à la craie sur le trottoir des lignes afin de s’assurer qu’ils restaient à six pieds les uns des autres.
Une vidéo diffusée par les frères Benham montre David faisant valoir ses droits légaux auprès d’un agent de police avant d’être arrêté. « La raison réellement invoquée [pour l’arrêt] était la violation des interdictions et des restrictions d’urgence », affirme Benham, notant que l’agent a déclaré agir sur ordre du procureur de la ville. Il ajoute que le service de police l’a ensuite faussement accusé d’avoir organisé une manifestation de cinquante personnes.
« La seule raison pour laquelle vous n’allez pas au Home Depot (qui est au bas de la rue) où il a mille personnes là-bas, la seule raison pour laquelle vous n’allez pas au parc ou se trouve 1500 personnes là-bas, c’est parce que je me tiens devant une clinique d’avortement », se souvient-il avoir asséné à l’agent. « Il n’avait rien à dire. »
« Nous savons aujourd’hui que si nos droits et nos libertés sont pris, » prévient Benham. « Qui sait ce que ce sera pour nos enfants et les enfants de nos enfants ».
Il accuse les fonctionnaires de l’État et de la ville de dire en substance : « nous voulons que ces femmes aillent dans ces centres d’avortement qui ne leur apporteront aucune aide, et cela dévastera leur vie », tout en les tenant à l’écart des « organisations pro-vie qui vont aider complètement ces mères, de l’utérus à la tombe (from womb to tomb), pas seulement le bébé, mais la mère et la famille ».
Des militants pro-vie ont également été arrêtés en Californie et dans le Michigan pour s’être rassemblés devant des centres d’avortement, même en maintenant les distances et en apportant avec eux des documents attestant leur droit à le faire. Des conseillers de trottoir ont également été menacés d’arrestation dans le Wisconsin, mais ont finalement été autorisés à continuer.
Un homme de 45 ans, jugé pour pédopornographie, dit qu’il est une fille de 8 ans
Joseph Gobrick.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image (modifiée) : Upnextcanadatv/Twitter
Joseph Gobrick, âgé de quarante-cinq ans, clame devant le tribunal qu’il est une fille de huit ans et que le Premier amendement de la Constitution lui donne le droit de regarder de la pédopornographie (d’autant plus qu’il est une fillette, dit-il), crime pour lequel il comparaît devant une cour du Michigan.
Peut-être que ce qui inspire en lui cette veine fantaisiste sont les quelque vingt ans de prison en suspens au-dessus de sa tête…
Toujours est-il que son argumentaire s’inscrit dans une façon de penser de plus en plus répandue, bien qu’elle s’applique le plus souvent à l’identité sexuelle.
« J’ai toujours été une petite fille de 8 ans, même quand je dessine et dans mes fantasmes, je suis toujours une petite fille de 8 ans » affirme M. Gobrick, selon Summit News, voulant démontrer par là qu’il ne pouvait être condamné en tant que mineure.
Voyant que ses prétentions ne convainquaient pas le juge, M. Gobrick a eu le front de sous-entendre que le tribunal, la loi en fait, était nazi, car, d’après Summit News, « En vertu de la loi, Auschwitz était légal », disait-il, arguant : « ce que vous faites ici est mal, tout comme Auschwitz l’était »…
Personne n’aurait de mal à démontrer que ces affirmations sont grotesques, le juge ne s’en est sûrement pas laissé compter d’ailleurs. Cependant, dans un avenir plus ou moins proche, étant donné la marche (à reculons et à quatre pattes) de la pensée dans le cadre de la société, comme dans les lois, de tels arguments n’obtiendront-ils pas raison devant une justice de plus en plus aveugle ?
Devant la loi, M. Gobrick pourrait très bien être Mlle, bien qu’on ne sache pas sur la base de quelle réalité le législateur cautionnerait une telle assertion. Mais légalement (puisqu’on en est rendu là…), pourquoi ne pas reconnaîtrons pas que M. Gobrick a huit ans, il n’y aurait rien de plus illogique que de reconnaître qu’il est une femme ?
Et comme l’explique Matt Walsh du Daily Wire, selon Summit News :
« Au moins un homme qui “se sent comme un enfant” peut à juste titre faire remarquer qu’il a été enfant un jour, il a donc une certaine base de référence pour apprécier ces sentiments. Et au moins, il est logique, dans le cas de certains handicaps mentaux, de dire qu’un adulte “a le cerveau d’un enfant”.
Rien de tout cela ne justifie Gobrick en aucune mesure, mais ce que je veux dire, c’est que le transâgisme est en fait plus crédible et a plus de sens que le transgenrisme. C’est toujours faux, mais légèrement moins [disons que le sophisme est plus subtil]. L’âge change, après tout. Je ne serai pas un homme de 33 ans pour toujours. Mais je serai un homme pour toujours. Si mon sexe est une caractéristique fluide, à quel point mon âge n’est-il pas plus fluide ? »
Si l’on permet l’un, qu’est-ce qui empêchera qu’on légalise l’autre, d’ici cinq à dix ans ?
Le juge lesbien qui s’est fait refuser la communion cherche noise au prêtre, qui est soutenu par son évêque
Juge Sarah Smolenski.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Mettons d’abord les choses au point, le juge Sarah Smolenski s’est fait interdire par le Père Nolan, au téléphone, de se présenter à la table de communion parce que cette femme est « mariée » avec une autre femme. Notons aussi que le juge Smolenski a présidé à des centaines de « mariages » entre personnes de même sexe. Soulignons enfin que cet avertissement, fort charitable, car il lui évitait de se faire rebuter devant les paroissiens, serait survenu après que le juge Smolenski se soit montré à la messe avec l’épinglette de la « fierté gaie », selon LifeSiteNews :
Le Père Nolan avait dit à Smolenski, lors d’une conversation privée au téléphone, de ne pas se présenter pour communier. Cet appel s’est produit après qu’elle et d’autres paroissiens aient récemment porté des épinglettes de la fierté gaie à l’église.
Toujours est-il que le juge Smolenski a rendu l’affaire publique en allant porter sa plainte devant les médias.
Sarah Smolenski, juge en chef de la Cour du conté de Kent au Michigan, avait auparavant essayé de démettre le Père Scott Nolan de ses fonctions d’aumônier de la Catholic Lawyers Association of Western Michigan, intrigant pour ce faire par le biais d’une lettre contresignée par un autre juge et envoyée le 11 octobre aux membres de l’association. D’après ces deux juges, plusieurs de leurs confrères auraient contacté le Père Nolan pour qu’il démissionne, en vain. La lettre faisait référence à un autre fait qui serait arrivé dans la paroisse du Père Nolan, St. Stephen’s à East Grand Rapid, selon un autre article de LifeSiteNews :
Dans sa lettre, Smolenski a attiré l’attention sur un incident où le Père Nolan a refusé de donner l’Eucharistie à ce qu’elle a appelé « deux femmes légalement mariées » qui se sont présentées à la sainte table pendant la Messe. Smolenski a dit que la décision de Nolan était « blessante et humiliante » et qu’elle a causé « beaucoup de difficultés à la paroisse et à la communauté en général ». Sans preuve, elle allègue qu’il a refusé la communion à des femmes « parce qu’elles sont gaies ».
Une lecture charitable de la situation pourrait être la suivante : le Père Nolan leur a refusé la communion parce qu’il pensait ou savait même qu’elles étaient des homosexuelles actives. [Portaient-elles des épinglettes ?] L’Église enseigne que les actes homosexuels sont intrinsèquement désordonnés et sont un des quatre péchés qui crient au ciel pour la vengeance. Les personnes qui persistent obstinément dans un état public de péché ne doivent pas être admises à la communion, selon le canon 915 du Code de droit canonique.
Notons enfin que le Père Nolan a l’appui de son évêque, du diocèse de Grand Rapids, Mgr David Walkowiak, pour l’affaire la plus récente.
Un prêtre catholique du Michigan refuse la communion à un juge homosexuel
La juge Sarah Smolenski.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'Écran sur Wood TV
Voilà un prêtre qui tient fermement à l’enseignement de l’Église catholique, le mettant en pratique. Extrait de LifeSiteNews :
Un prêtre catholique d’East Grand Rapids, au Michigan, aurait refusé la Sainte Communion à un juge de comté, parce que cette femme avait contracté un prétendu « mariage » avec une autre femme.
Selon un reportage sur le site Wood TV, le père Scott Nolan de l’Église catholique St. Stephen a récemment contacté par téléphone le juge Sara Smolenski pour l’informer qu’à cause de son « mariage » il ne pouvait recevoir la communion. Smolenski prétend : « Il a dit : “Parce que vous vous êtes mariée à Linda dans l’État du Michigan, vous ne pouvez pas accepter la [C]ommunion”, c’est ce qu’il a dit. »
Le juge Smolenski aurait été « marié » à une autre femme depuis 2016. Il prétend être membre de la paroisse depuis 62 ans et l’article indique qu’il a récemment fait un don de 7 000 $ aux fonds d’entretien de la paroisse. Selon l’article, certains membres de la paroisse soutiennent le P. Nolan, tandis que d’autres demandent son renvoi et cherchent à rencontrer l’évêque local.
« Smolenski, qui siège à la Cour depuis près de 30 ans, vient d’une famille d’éminents membres de la communauté, dont son père, qui était également juge à la cour du district, et son frère, un juge de la cour d’appel de l’État », indique l’article de Wood TV.
L’enseignement de l’Église Catholique :
L’Église catholique enseigne que [le but premier du] mariage est l’union à vie d’un homme et d’une femme en vue de la procréation et de l’éducation des enfants. L’Église enseigne que les actes sexuels homosexuels sont par nature de graves péchés.
En ce qui concerne l’administration de la Sainte Communion, le droit de l’Église catholique précise, dans le canon 915 du Code de droit canonique de 1973, que ceux qui « persistent avec obstination dans un péché grave et manifeste, ne seront pas admis à la sainte communion. »
Les pro-vie enterrent un enfant à naître avorté de 7 semaines qu’un avorteur gardait dans son coffre
Par Lisa Bourne — traduit par Campagne Québec-Vie
Il y a une chose que je me demande, cet enfant à naître n’ayant sûrement pas été baptisé par le baptême de désire (si, par exemple, la mère désire que l’enfant à naître soit baptisé et que celui-ci meure avant d’avoir pu l’être, il l’est), aussi la question que je me pose est : ont-ils enterré les restes de ce pauvre enfant en terre bénite ou non ? Peut-être pas.
Attention, images pouvant choquer — A. H.
Brighton, Michigan, 30 novembre 2018 (LifeSiteNews) — Plus de 150 personnes en deuil se sont réunies le 24 novembre pour honorer un enfant avorté anonyme, le dernier des 15 bébés trouvés dans le coffre de la voiture de Michael Roth, avorteur du Michigan, en septembre 2015.
Quatorze des enfants avortés ont été inhumés le 3 novembre au Holy Sepulchre Cemetery (cimetière Saint-Sépulcre) à Southfield au Michigan.
Des pro-vie locaux de Livingston avaient demandé à enterrer l’un des 15 enfants avortés, connus sous le nom de bébés du « coffre de l’avorteur », en l’appelant du nom de Michael Gabrielle. Le bébé, âgé d’environ sept semaines, a été enterré dans le cadre de rites funéraires solennels le samedi 24 novembre, après la messe à la paroisse Holy Spirit à Brighton.
"Aujourd’hui, nous avons enterré un être humain non désiré ", a déclaré Monica Migliorino Miller, directrice de Citizens for a Pro-Life Society (CPLS) (Citoyens pour une société Pro-vie).
« Cette minuscule personne n’est qu’une des soixante millions de personnes qui ont été mises à mort avec la sanction de la loi injuste de Roe c. Wade, » dit-elle. « En effet, ce petit enfant représente tous ceux qui sont victimes de la violence dans notre pays. »
Lire la suiteLa famille de cette femme lui retire sa ventilation... et elle survit
Michele de Leeuw.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Capture d'écran d'une vidéo de Nightly News
Le cœur de Mme De Leeuw battant encore et son cerveau ayant quand même une mince activité, les médecins n'auraient pas dû la considérer comme quasi morte, surtout qu'apparemment l'un des critères en jeu était la notion grotesque de « mort cérébrale, » d'après NBC News... encore un trait de notre société mortifère. — CQV
Une femme du Michigan est un miracle vivant contredisant l'affirmation des médecins qu'elle ne survivrait pas. Ils avaient convaincu sa famille de débrancher le respirateur artificiel. Michele De Leeuw, 57 ans, a subi une crise cardiaque en août et est restée sans oxygène pendant 15 minutes. Quand les ambulanciers l'ont emmenée à l'hôpital, son mari Karl pensait qu'elle était morte, mais Mme De Leeuw ne l’entendait pas ainsi.
« Quand mon père m'a appelée après qu'elle ait été transportée d'urgence à l'hôpital... il m'a confié qu'il sentait qu'elle était morte, » a raconté la fille du couple, Myles De Leeuw, 24 ans. « C'était le coup de fil le plus bouleversant de ma jeune vie. C'était horrible de voir ma mère avec plus d'intraveineuses et de tubes que vous ne pouvez l'imaginer. »
Mme De Leeuw, cependant, était vivante, mais les médecins ont dit à sa famille qu'elle n'avait que cinq pour cent de ses fonctions cérébrales et 25 pour cent de ses fonctions cardiaques. Ils ont dit à Karl : « La femme que tu connais comme épouse n'est plus là. » Il a décidé d'éteindre le respirateur.
« Quand nous avons débranché, c'était tellement triste de commencer à vivre avec cette réalité que ma mère est morte », a poursuivi Myles De Leeuw.
Lire la suiteLe médecin qui voulait mourir par suicide assisté est heureux d’être vivant
Par Alex Schadenberg (Euthanasia Prevention Coalition) traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Life Legal Defense Foundation
Le Detroit Free Press a publié un article de Meira Gebel sur un nouveau traitement contre le cancer de l’estomac et sur la façon dont un homme, un médecin, avait prévu de se rendre en Suisse pour mourir par suicide assisté, avant de recevoir ce nouveau traitement.
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Randy Hilliard. |
Randy Hilliard, qui était professeur de psychiatrie à la Michigan State University (Université d’État du Michigan), a reçu un diagnostic de cancer de l’estomac de stade 4. Il est devenu obsédé par le suicide et a planifié sa mort par suicide assisté en Suisse et ses funérailles. Le Dr Hilliard raconte :
« Ma réaction immédiate a été : “Je suis mort”, ce qui vous montre bien sûr pourquoi accéder à votre dossier médical n’est peut-être pas la meilleure idée.
C’était une façon plutôt pathétique d’exercer un certain contrôle sur ma vie. Le cancer allait me tuer, et je n’avais pas l’intention de mourir. »
Le Dr Hilliard a abandonné l’idée du suicide assisté et a ensuite accepté le traitement. Gebel rapporte :
En 2010, le médicament venait tout juste d’être approuvé pour le traitement du cancer de l’estomac et promettait une espérance de vie légèrement plus longue — de 11 à 13 mois. Ce n’était pas gagnant : seulement 20 % des patients atteints de cancer ont [une surexpression de*] la protéine HER2 autour de la cellule cancéreuse ciblée par le médicament. [S’il y a surexpression de la protéine HER2 dans la tumeur, cela signifie que le médicament peut agir.*]
Les tumeurs métastatiques d’Hillard avaient cette protéine spécifique [en surexpression*]. Et huit ans plus tard, il est toujours perplexe... eh bien, les statistiques le déconcertent toujours. Le cancer de l’estomac à son stade a un taux de survie de 18 pour cent, et sans parler, que c’est l’un des cancers les plus rares en Amérique.
« Je me réveille tous les jours choqué de voir que je ne suis pas mort, »
Depuis 2010, le Dr Hilliard et son épouse ont voyagé en Amérique du Sud, à Dubaï, à Singapour et à Sydney. Il est devenu un ardent défenseur des droits des patients, un blogueur dans des forums professionnels et un collecteur de fonds pour la recherche sur le cancer.
Le suicide assisté met fin à la vie lorsqu’une personne est à son point le plus bas.
Combien de personnes comme le Dr Hilliard se sont vus refuser la possibilité d’une nouvelle vie parce qu’elles ont été tues par suicide assisté ?
*CQV