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Planned Parenthood veut dépenser 45 millions de dollars pour vaincre Trump et reprendre les rênes du Congrès

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Planned Parenthood a fortement intérêt pour son portefeuille à ce que l’avortement reste légal aux États-Unis, d’où le gros investissement de 45 millions de dollars qu’il opère pour contrer les républicains. Extrait de LifeSiteNews :

Planned Parenthood Votes (PPV), le super Comité d'action politique de la plus grande chaîne d'avortement du pays, a annoncé mercredi son intention de dépenser au moins 45 millions de dollars en 2020 pour maintenir le contrôle démocrate sur la Chambre des représentants des États-Unis, arracher le Sénat des mains des républicains et chasser le président Donald Trump de la Maison blanche.

L'argent servira à financer la publicité dans les médias à grande échelle, les courriels et la sollicitation sur le terrain en Arizona, Colorado, Floride, Michigan, Minnesota, New Hampshire, Caroline du Nord, Pennsylvanie et au Wisconsin, selon The Hill, avec pour message que les républicains aux niveaux national et de ce lui des États sont impliqués dans une « attaque coordonnée » contre le jugement Roe contre Wade.

« Les enjeux sont plus importants que jamais, et nous en ressortirons plus forts que jamais grâce à l'investissement le plus important que nous ayons jamais fait », a déclaré Kelley Robinson, directrice générale du PPV, au The Hill.

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Tuer un « fœtus » après un avortement manqué n’est pas un infanticide, semble insinuer un sous-procureur de Californie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Activedia/Pixabay

Les défenseurs de l’avortement deviennent de plus en plus démesurés dans leurs propos. C’est un sous-procureur de Californie qui, dans le cadre de la poursuite de Planned Parenthood contre ceux qui ont dévoilé son trafic d’organes de bébés avortés, a avancé que selon la loi le fœtus n’est pas une personne, pourtant, il était question d’infanticide, de bébés tués après avoir été mis au monde (violemment), pour ce sous-procureur apparemment ce sont encore des fœtus. Extrait de LifeSiteNews :

Pour les partisans de l'avortement, la naissance a été « le point de repère déterminant », a-t-il [Tom Brejcha de la Thomas More Society] déclaré à LifeSiteNews. « Un moment, le fœtus n'est rien, l'instant d'après, c'est une personne aux yeux de la loi, ayant droit à une protection en bonne et due forme et constitutionnelle. Pourtant, ils estompent cette ligne ici. »

David Daleiden et la journaliste Sandra Merritt, responsables du projet Center for Medical Progress, sont accusés de 14 chefs d'accusation pour avoir enregistré des conversations confidentielles sans consentement, à propos des vidéos sous couverture que le CMP a publiées en 2015 pour exposer le trafic d’organes de bébé avorté opéré par Planned Parenthood.

La défense appuyant la légitimité de sa démarche (l’enregistrement de conversations confidentielles) sur l'article 633.5 du Code pénal qui autorise une exception quand l’enregistreur pense qu’il enquête sur un crime violent contre une personne. Mais pour défoncer l’argument de la défense, le sous-procureur général fait une déclaration hallucinante. Extrait de LifeSiteNews :

Mais le demandeur a semblé soutenir que tuer un « fœtus « né vivant pendant un avortement n'est pas un infanticide.

« L'accusé Daleiden a déclaré dans son témoignage que l'infanticide ou l'homicide, qu'il s'agisse d'un acte personnel ou d'un ordre donné à une autre personne de le faire, est un crime de violence qui relève de l'article 633.5 du Code pénal », déclare le mémoire présenté par le sous-procureur général Johnette Jauron.

« Cependant, par définition officielle, un fœtus n'est pas une "personne" et ne relève pas de l'exception prévue à l'article 633.5 du Code pénal. »

Le mémoire cite People c. Dennis (1998), qui fait observer « qu'un fœtus n'est pas un "être humain" ou une "personne" au sens de la loi sur le meurtre — ou de toute autre disposition du Code criminel comme celles sur l'homicide, l'homicide involontaire coupable ou dans l'article 633.5 - sauf disposition contraire expresse du législateur ».

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La contraception gratuite en Irlande pour 2021 ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : freepik

Le gouvernement irlandais met les bouchées doubles pour faire avancer la culture de mort en Irlande. Extrait de Gènéthique :

En Irlande, le ministre de la Santé, Simon Harris a déclaré au Dáil que la contraception pour les femmes serait gratuite à partir de 2021, tout en expliquant qu’une loi serait nécessaire et que des questions de réglementation et de politique étaient encore à l’étude sur ce sujet. Des négociations avec les pharmaciens concernant les honoraires pourraient également être nécessaires pour assurer la prestation des services.

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Québec : le nombre d’euthanasies a doublé cette année

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Shutterstock

Et ça ne manquera pas d’augmenter avec Justin Trudeau, Jagmeet Singh et Yves-François Blanchet clairement prêts à refondre la présente loi sur l’euthanasie, que la Cour supérieure du Québec par sa décision aura rendue invalide d’ici six mois, sans même aller en appel.

Voici quelques chiffres, d’après Gènéthique :

Sur l’ensemble des personnes ayant demandé l’aide médicale à mourir cette année, 65 % l’ont effectivement reçue et 19 % ont finalement retiré leur demande. Le nombre de personnes ayant eu recours à l’aide médicale à mourir s’élève à 1279 cette année, en augmentation de 51 % par rapport à l’année précédente.

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Une nouvelle étude montre que les femmes qui avortent ont une augmentation de 81 % de risques de problèmes mentaux

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : freepik

C’est ce qu’affirme une récente étude, publiée dans le British Journal of Psychiatry, et menée auprès de 877 000 femmes dont 164 000 ayant eu un avortement. L’étude souligne que ces dernières ont une augmentation de 81 % de risques de problèmes mentaux. Diverses sortes de problèmes ont été répertoriés, les femmes en question étant susceptibles d’une augmentation de risques de :

  • 34 % d’avoir des troubles d’anxiété.
  • 37 % de ressentir de la dépression
  • 110 % de boire trop d’alcool
  • 155 % de tenter de se suicider
  • 220 % de consommer de la marijuana

Près de 10 % des problèmes peuvent être attribués à l’avortement.

« “Il y a en fait des risques réels associés à l’avortement qui devraient être signalés aux femmes lorsqu’elles sont conseillées avant un avortement”, a déclaré le Dr Priscilla Coleman, professeur en développement humain et en études familiales à la Bowling Green State University, au Daily Telegraph », rapporte CBS.News qui parle de l’affaire.

Imaginez tous les problèmes que doit engendrer l’avortement avec 50 millions de réalisations (connues) environ de cette sinistre pratique chaque année… Sans compter que, ce qui est le plus grave, chaque avortement réussi tue un enfant à naître.

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Cohérence cher Martineau !


Richard Martineau.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Je publie plus bas une lettre (dont le présent billet de blogue porte le titre) d’une de nos lectrices que celle-ci a adressée à Richard Martineau, suite à son article intitulé « Scheer et l’Opus Dei ».

Dans son article, M. Martineau présente Andrew Scheer, chef du parti conservateur, comme étant suspect d’appartenir à l’Opus Dei…

M. Martineau développe cette théorie à partir du fait que M. Scheer avait organisé en 2010 une réunion entre une vingtaine de députés fédéraux, dont la plupart étaient conservateurs, et Mgr Frederick Dolan, vicaire de l’Opus Dei au Canada…

À partir de ce point, M. Martineau spécule sur l’hyperconservatisme de ce groupe qui recommanderait à ses membres de tenir secrète leur appartenance à celui-ci. L’Opus Dei pourrait avoir une certaine influence via ses membres faisant partie de l’élite ! De plus, l’Opus Dei exercerait un contrôle sectaire sur ses membres…

Mieux ! L’Opus Dei est opposé à l’avortement (évidemment puisque ça fait parti de de l’Église catholique), indique avec excitation M. Martineau dans le Journal de Montréal :

Inutile de dire que l’Opus Dei considère l’avortement non seulement comme un péché, mais comme un crime.

Au passage, je pense que l’Opus Dei considérerait plutôt l’avortement, non seulement comme un crime, mais comme un péché (mortel et intrinsèquement mauvais).

Et c’est au milieu du sinistre tableau qu’il a peint de couleurs sombres (qu’il a choisies) que M. Martineau lance la suprême accusation contre M. Scheer : il fait du prosélytisme ! :

Mais Scheer ne se contente pas d’être pro-vie tout seul dans son coin. Il a organisé une rencontre entre des députés et le représentant d’un groupe religieux hyper conservateur!

Il y a un mot pour ça : prosélytisme.

Si M. Scheer se dit « personnellement pro-vie » (il l'est surtout maintenant, alors qu’il ne fait plus tellement de gestes pro-vie), M. Martineau allègue que M. Scheer ira plus loin. S’il a invité un prélat, membre de l’Opus Dei à cette réunion de députés, c’est donc qu’il cherchait à les convertir ; les convertir à quoi ? à la doctrine de l’Opus Dei ; comme cette doctrine s’oppose à l’avortement et que le groupe qui la répand « lutte bec et ongles contre l’avortement », M. Scheer en fait sûrement partie… Donc, il pourrait aller bien plus loin qu’il ne le laisserait croire, malgré ses affirmations publiques selon lesquelles il ne rouvrirait pas le dossier de l’avortement.

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Faits divers de la Chaîne de la Vie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Dimanche dernier, nous avons tenu la Chaîne de la Vie, événement de manifestation statique, paisible et priante pour défendre l’enfant à naître, au coin du Boulevard Décarie et de la Rue Jean-Talon.

Ç’a été une heure tranquille, dans le sens que nous n'avons pas été importuné physiquement, mais dans le bruit de la circulation automobile et des joyeux klaxons de nos sympathisants de passage. Tranquille malgré les quelques personnes hostiles (et qui le faisaient savoir) et malgré les contre-manifestants pro-avortement qui s’étaient placés de l’autre côté de la Rue Jean-Talon, devant l’édifice de la station de métro Namur. Il faut dire que nous pouvions être assez certains qu’ils se tiendraient cois, la police étant en permanence sur place. Ils étaient une quinzaine, et nous quarante et un.


Les pro-avortement d'en face.

Comme vous pouvez le constater, les pro-avortement aiment arborer des insignes ésotériques et se déguiser en diables... En quoi cela fera-t-il mieux passer leur message ? Je n’en ai aucune idée. À moins qu’ils ne montrent là le lien entre satanisme et avortement.

Les pro-avortement d'en face.

« Antichoix n’est pas pro-vie, c’est un contrôle violent et sexiste dessus (sur la vie ?) » peut-on lire sur cette pancarte tenue par deux pro-avortement dont un cornu. Pour eux, être contre l’avortement c’est vouloir imposer « un contrôle violent et sexiste » sur la vie, pourtant l’avortement tue les enfants à naître et parfois les femmes qui les portent, aussi l’avortement est l’une des violences les plus grandes qui puissent exister, s’y opposer ou même l’empêcher c’est contrer la violence.

Les 40 Jours pour la Vie aussi se sont passés pour une heure au coin du Boulevard Décarie et de la Rue Jean-Talon, puisque Brian Jenkins, l’organisateur des 40 Jours à Montréal, était présent avec tout son matériel (croix et pancartes) et ses volontaires, au lieu de se trouver au coin des rues Berri et Sainte-Catherine.

Venez l'année prochaine à la Chaîne de la Vie !

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Le Parti conservateur chasse une candidate pro-vie pour des propos vieux de 10 ans sur les homosexuels

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : truthseeker08/Pixabay

Décidément, lors des élections, c’est à qui déterrera les paroles (maintenant) politiquement incorrectes les plus vieilles et les plus oubliées. C’est parce que les propos vieux de dix ans de Mme Heather Leung, au sujet des personnes de même sexe s’adonnant à des relations contre nature, ont été tirés du passé que le Parti conservateur l’a illico presto éjectée des rangs de ses candidats, laissant vide la circonscription de Burnaby North-Seymour en Colombie-Britannique. D’après Global news :

Le parti a déclaré vendredi que Mme Heather Leung ne représentera plus [les conservateurs dans] la circonscription de Burnaby North-Seymour, quelques heures après la rediffusion d’une vidéo où on la voit disant que « les homosexuels... recrutent de plus en plus de personnes dans leur camp ».

La vidéo réalisée en 2011 par le journal local Burnaby Now de Burnaby Now lors de manifestations contre une politique du conseil scolaire favorable aux LGBTQ2 montre Mme Leung en train de dénoncer les initiatives anti-intimidation, car promouvant « les actes homosexuels, transsexuels, de toutes sortes » aux élèves.

Mme Leung avait probablement raison dans ce qu’elle avait déclaré, si l'on considère l'endoctrinement LGBTQ2... XYZ actuel qui se trame dans les écoles, dans tout le Canada. Extrait de Burnaby Now :

Mme Leung dit dans la vidéo que les commissaires de l’école de Burnaby « creusent un trou profond et sombre pour la prochaine génération ». Parce que ces homosexuels ne peuvent pas produire la prochaine génération. Ils recrutent de plus en plus de gens dans leur camp. »

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Justin Trudeau n’est «plus opposé à l’avortement»


Justin Trudeau, Premier ministre du Canada.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Après qu'Andrew Scheer se soit fait talonner au sujet de sa position « personnelle » sur l'avortement, un journaliste a eu l'idée de demander à Justin Trudeau ce qu'il en était pour sa part.

Or... Justin Trudeau se disait, en 2011 « personnellement très opposé à l'avortement ». Maintenant que l'on l’interroge à nouveau sur la question, il affirme ne plus y être opposé du tout. Avec un tel retournement de veste, on pourrait se demander s’il ne s’agit pas de pur opportunisme tant dans ses déclarations de 2011, pour ne paraître trop pro-avortement, que celle de maintenant, pour ne pas paraître avoir la moindre tache de « pro-visme ». Extrait de La Presse :

En 2011, à La Presse canadienne, Trudeau avait dit être « personnellement très opposé à l’avortement », même s’il reconnaissait le droit des femmes à disposer de leur corps.

« Aujourd’hui je ne suis plus opposé d’aucune façon à l’avortement », a assuré le chef libéral aux journalistes.

« En 2011, je disais la vérité : j’étais absolument pro-choix. Mais au fil des années je me suis rendu compte qu’il y avait un élément d’incohérence, en tant qu’homme, dans le fait d’être opposé à l’avortement, mais en faveur du choix d’une femme », a expliqué M. Trudeau.

Il précise avoir changé d’avis « presque immédiatement » après cette entrevue, donnée à l’époque pour défendre sa foi catholique, remise en question par un élu conservateur.

Quand donc sera-t-il excommunié ?

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Le débat des chefs et l’avortement


Andrew Scheer et Justin Trudeau.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photos : Capture d'écran d'une vidéo de TVA Nouvelle

Le Face-à-face 2019, le débat des chefs en langue française, s’est ouvert sur la question de l’avortement, au détriment d’Andrew Scheer, chef du Parti conservateur, qui était sur la défensive, notamment sur sa position personnelle qu’il a refusé de répéter à ce débat, répondant à côté de la question en répétant, avec la constance d’un supplicié ne voulant pas révéler un secret, d'après TVA Nouvelle, « comme chef du Parti conservateur je vais voter contre les mesures de [sic] rouvrir ce débat », ou comme le rapporte le Journal de Montréal, « "Rien n’a changé sous un gouvernement conservateur et rien ne va changer sous un [prochain] gouvernement conservateur", s’est contenté de répondre M. Scheer. »

Les autres chefs étaient à fond la caisse pour l’avortement, Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois, et Jagmeet Singh ayant déclaré qu’ils étaient pour ce « droit » des femmes de « disposer » de leur corps, et Justin Trudeau, chef du Parti libéral, s’étant fait présenter quasi dès le départ comme n’autorisant pas les candidats pro-vie dans son parti. Tous ont attaqué Scheer sur la question de l’avortement.

Sur la question de l’euthanasie (« aide médicale à mourir ») la position la moins mauvaise était encore celle de Scheer qui disait que comme gouvernement il irait en appel de la décision de la Cour supérieure du Québec, qui a récemment exigé des gouvernements fédéraux et provinciaux de revoir leurs lois sur le sujet, pour qu’une instance plus haute se prononce (quoique ça pourrait donner quelque chose de pire). Ce n’est sûrement pas M. Scheer qui ferait activement avancer une loi étendant l’accès à l’euthanasie.

Au milieu des diverses bouffonneries des chefs de parti, ceux qui ont remporté le palmarès des déclarations les plus « progressistes » étaient Jagmeet Singh et Yves-François Blanchet au sujet du « mariage gay » et de l'euthanasie.

Mais au fait et pour finir, qu’est-ce que cela pouvait bien faire aux autres chefs que Scheer fut « personnellement pro-vie » ? Et qu’est-ce que ça pouvait bien faire à Scheer de dire qu’il l’était ? Bien sûr, s’il l’avait avoué, les autres en auraient profité pour lui tomber dessus, mais pourquoi ne se serait-il pas défendu en défendant la position pro-vie ?

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