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L’actrice Gina Carano du film Le Mandalorien face à la meute LGBT


Le Mandalorien dans la série Le Mandalorien de Disney Plus.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : Pxfuel

L’actrice Gina Carano, entre autres célèbre pour le rôle qu’elle tient dans la série Le Mandalorien de La Guerre des étoiles, s’est vue enjoindre par une meute LGBT de rajouter dans sa présentation Twitter ses pronoms préférés, bien qu’elle ne dise pas transgenre. Selon LifeSiteNews :

Depuis des semaines, l’actrice et professionnelle d’arts martiaux mixtes Gina Carano (qui incarne la mercenaire Cara Dune dans la série Disney Plus) se voit enjointe d’ajouter ses « pronoms préférés » à sa présentation Twitter, un geste dit de solidarité avec les personnes « transgenres ». Les trolls pro-transgenre ont répondu à son refus par un torrent d’insultes, d’obscénités et d’appels auprès de Disney afin qu’il la renvoie […]

Je précise tout de suite que je ne suis pas des admirateurs de Gina Carano, ni de La Guerre des étoiles, cet univers où de petits monstres verts hideux aux oreilles pointues sont parmi principaux « bons », et, plus grave, qui fonctionne sur la philosophie du yin et du yang, c’est-à-dire l’équilibre entre une force « bonne » et une force « mauvaise ». Mais que l’actrice soit célèbre à tort ou à raison, elle est précisément la cible d’une campagne de propagande LGBT à cause de sa renommée. Ajoutons à cela que le dernier épisode de la série Le Mandalorien mettait en scène un baiser homosexuel.

C’est donc face à un groupe de pression, qui a déjà voulu lui faire endosser le message de Black Lives Matter (ce à quoi elle a également résisté), que Gina Carano se trouve. Un usager de Twitter souligne que « la campagne d’intimidation sur les pronoms a été lancée par le même groupe qui avait harcelé Gina dans le cadre de leur campagne “Dites BLM/ACAB” ». Et, continue-t-il, « des activistes radicaux exigent que les célébrités mettent des pronoms dans leur biographie, sous peine de harcèlement ».

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85 % des Kenyans sont contre l’avortement face aux organismes internationaux pro-avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist

J’imagine que les organismes qui militent pour la propagation de l’avortement s’affichent en général comme démocratistes (c’est-à-dire croient que le système démocratique est le seul légitime), pourtant, ils respectent très peu la volonté des peuples africains avec leurs manœuvres et les pressions qu’ils exercent sur les gouvernements africains, afin que ces derniers légalisassent l’avortement. Selon la Society for the Protection of Unborn Children :

85 % des Kenyans affirment que « l’avortement ne devrait jamais être autorisé », alors que le géant international de l’avortement IPAS révise actuellement une campagne visant à dépénaliser l’avortement en Afrique. IPAS se consacre à l’expansion mondiale de l’avortement et au contrôle de la population.

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Chaîne de la Vie à Montréal le quatre octobre 2020


La Chaîne de la Vie de Montréal le quatre octobre dernier.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Dans dix-huit jours à peine, le dimanche quatre octobre, aura lieu la Chaîne de la Vie à Montréal, viendrez-vous vous joindre à nous afin de témoigner pour l’enfant à naître ?

Les Chaînes de la Vie sont des événements, qui ont commencé aux États-Unis puis se sont répandus dans le monde. D’une durée d’une heure, du même esprit que les 40 Jours pour la Vie qui auront déjà commencés et dont je vous parlerai plus bas (se tenir sur la place publique avec une pancarte et prier), elles ont pour but la protection de l’enfant à naître, l’aide aux femmes enceintes et l’arrêt des avortements. Durant l’heure que dure la Chaîne de la Vie, les participants restent à une certaine distance les uns des autres, formant une ligne le long du trottoir, afin que les automobilistes qui passent nombreux sur le boulevard Décarie aient le temps de voir quelques-uns de nos messages ; vous n’enfreindriez donc en même temps aucune mesure de confinement et ni ne vous attireriez le courroux des autorités.

Une heure, une seule heure !

Peut-être avez-vous de multiples raisons d’y aller, ou de ne pas y aller, pourtant, comme l’explique Pro-Vie Québec :

Jésus vous dit : « Tu n’as pas été capable de rester une heure éveillé ? » (Mc 14:37). La Chaîne pour la Vie ne dure qu’une heure !

Jésus vous dit : « Amen je vous le dis, tout ce que vous avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait » (Mt 25:40). La Chaîne pour la Vie dénonce le meurtre des enfants innocents !

Jésus vous dit : « Le Seigneur est de mon côté, et les insultes ne me touchent pas ; aussi je garde un visage de pierre » (Is 50:7). La Chaîne pour la Vie est un témoignage priant et silencieux.

Jésus vous dit : « Si quelqu’un veut marcher derrière moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive » (Mt 16:24). La Chaîne pour la Vie est un cri silencieux, un cri silencieux des enfants qui vous demandent de penser un peu moins à vous-mêmes, et un peu plus à eux.

Et Jésus, cloué sur la Croix, les dernières gouttes de sang coulant de ses plaies, vous répète : « Tu n’as pas été capable de rester une heure ? »

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Legault refuserait une enquête indépendante sur le confinement pour éviter le blâme, selon le PQ

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pikist

Pétition COVID19 : Justice pour nos aînés

Vous savez sans doute que le commissaire à la santé et au bien-être du Québec, Joanne Castonguay, a été chargé d’enquêter sur la gestion de la « pandémie » au Québec. Le chef intérimaire du Parti québécois, Pascal Bérubé, estime que pour que la vérité soit faite sur l’affaire une enquête indépendante doit être menée, car ce que craindrait le premier ministre François Legault, c’est d’« être blâmé à un an des élections », rapporte Le Quotidien :

Le Parti québécois réclame une « réelle enquête indépendante » sur la gestion de la première vague de COVID-19 au Québec. Ce que le gouvernement refuse de faire, parce que François Legault « ne veut pas être blâmé à un an des élections », affirme le chef intérimaire péquiste, Pascal Bérubé.

La coroner en chef du Québec, la protectrice du citoyen et la commissaire à la santé mènent toutes leur propre enquête plus ou moins restreinte sur la gestion de la première vague de COVID-19 au Québec. Mais rien là-dedans qui creusera du côté des responsabilités du gouvernement actuel, déplore M. Bérubé.

Je suis d’accord sur ce point avec Pascal Bérubé, Legault craint sans doute qu’une véritable et rapide enquête fasse la lumière sur le confinement débile qu’il nous a imposé, il craint la colère des électeurs ; vous n’avez qu’à songer aux milliers de manifestants qui protestent contre les mesures coronaviresques, que serait-ce si toute la population voyait un rapport officiel dénonçant le gouvernement au sujet de ses mesures ?

Mais qu’est-ce que M. Bérubé entend par les « responsabilités du gouvernement actuel » ? Y voit-il la négligence dont ont été victimes les personnes âgées durant le confinement, les protocoles sanitaires qui ont enclenché le tri de ceux qui devaient être soignés et ceux qui ne le seraient pas, les protocoles qui prescrivaient des « soins palliatifs » mortels pour ces derniers, l’exagération du nombre de morts et de cas de covid-19, et bien d’autres choses encore, ou considère-t-il que le gouvernement n’a pas promulgué assez de mesures ? M. Bérubé clame, selon Le Quotidien :

Pourquoi qu’il y a beaucoup plus de morts qu’ailleurs ? Qu’est-ce qu’on a fait ou pas fait qui n’a pas marché ? La gestion, c’est un échec, sur la base des chiffres. Quand on est 23 % de la population canadienne, le Québec, puis qu’on revendique 63 % des décès, je peux-tu vous dire qu’il n’y a pas de quoi se péter les bretelles, puis il faut rester humbles, et il faut se dire que, manifestement, ça ne marche pas. »

Après tout, je ne ferais pas non plus confiance à ce Pascal Bérubé, car comme tous les députés et les partis du Québec ayant des représentants à l’Assemblée nationale, il n’a pas vraiment protesté contre les mesures insensées qui ont ravagé la belle province. Ce n’est en aucun des partis présents que l’on trouvera de secours contre la dictature sanitaire qui sévit.

Pétition COVID19 : Justice pour nos aînés

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Hystérie covidienne de l’hôpital Sainte-Justine envers une mère et son nouveau-né

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : montage de captures d'écran sur YouTube

Pétition COVID19 : Justice pour nos aînés

Vous avez peut-être pu voir sur YouTube le 13 septembre dernier la vidéo d’une mère et de son nouveau-né, dans laquelle cette première explique, les larmes aux yeux et la voix brisée par l’émotion, comment ils ont été traités par l’hôpital Sainte-Justine de Montréal.

En résumé, cette mère était revenue à l’hôpital pour faire soigner son bébé de six jours qui avait la jaunisse. Là, on voulut faire passer un test de covid-19 (confinement oblige) au bébé afin de voir s’il n’avait pas contracté le virus, bien qu’il ne présentât aucun symptôme. La mère s’y opposa, refusant que son nourrisson, qui était mal en point, subît ce test qu’elle-même avait passé deux fois auparavant et qu’elle décrit comme faisant « extrêmement mal ». Devant sa proposition d'être testée à la place de sa fille, le bébé n’ayant après tout pas quitté la maison avant de revenir et la mère se déplaçant dans l’hôpital mais non son enfant, le personnel de Sainte-Justine décida donc de l’envoyer dans la section des personnes « infectées », alors qu’il n’existe aucune preuve de contamination, un simple au cas où quoi…

Je ne pense pas que cette mère et son enfant aient grand-chose à craindre de ce virus qui ne « tue » presque plus personne au Québec. Par contre, cette histoire montre comment on traite les gens dans cet hôpital, les envoyant dans une zone supposée « dangereuse », leur faisant subir les chicanes coronaviresques, cela montre bien l’esprit de cet hôpital où l’on pratique des avortements tardifs.

Oui ! Vous avez bien lu ! À Sainte-Justine l’on pratique des avortements de 3e trimestre… Les avortements d’enfants viables québécois n’ont pas seulement lieu dans de lointains avortoirs aux États-Unis ou dans d’obscures cliniques de Montréal, mais également dans cet hôpital spécialement consacré aux soins des enfants.

Campagne Québec-Vie avait dénoncé ce fait voici quelques années, publiant une analyse du rapport du comité de bioéthique du CHU de Sainte-Justine paru en 2006. Dans ce rapport, le comité de bioéthique fait état des dissensions qui régnaient alors au cœur de l’hôpital sur la pratique actuelle des avortements de 3e trimestre. Le comité, reconnaissant la possibilité que des fœtus viables pussent ressentir la douleur, recommande superficiellement que l’on administrât un analgésique audit fœtus lors de l’avortement… et encore n’est-ce qu’une recommandation.

Pétition : Non à l’avortement tardif au Québec

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Mgr Viganò : « Le soi-disant catholique Joe Biden, qui soutient l’avortement… n’est pas catholique »


Joe Biden, ex-vice-président des États-Unis et candidat aux présidentielles américaines.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gage Skidmore/Flickr

Une tactique semble être assez commune ces temps-ci chez les politiciens : se réclamer d’une identité particulière, sans en embrasser les particularités essentielles, afin de s’attirer les bonnes grâces d’un groupe important, à savoir dans le cas particulier, d’électeurs. Prenez François Legault, qui s’était prétendu nationaliste dans le but d’attirer le vote nationaliste des Québécois, pour enlever peu après le crucifix du Salon bleu que son prédécesseur Maurice Duplessis, un vrai nationaliste lui, avait installé. Prenez Justin Trudeau, qui se dit, ou du moins disait, catholique sans en présenter les fruits. Joe Biden est un cas typique de catholicisme de façade, comme le souligne Mgr Carlo Maria Viganò, ex-nonce apostolique aux États-Unis.

En effet, un politicien réellement catholique doit suivre l’enseignement de l’Église catholique, affirme Mgr Viganò dans une entrevue avec le vaticaniste Marco Tosatti, selon le site d’Edward Pentin :

M.T. : Au-delà de la situation actuelle, dans laquelle les candidats catholiques du Parti démocrate ne respectent manifestement pas le Magistère de l’Église, comment doit être un vrai homme politique catholique ?

C.M.V. : Pour être catholique, il faut non seulement être baptisé, mais aussi vivre en accord avec la Foi qu’on a reçue à la Fontaine sacrée. La foi va de pair avec les bonnes œuvres, comme nous l’enseigne la Sainte Écriture : sans la mise en pratique du fait que nous sommes devenus enfants de Dieu par l’incorporation au Corps Mystique, nos paroles sont vides et notre témoignage est incohérent, voire scandaleux pour les fidèles et ceux qui ne croient pas. Le Père James Martin, S.J. a donc tort de se limiter à l’aspect purement bureaucratique ; ses paroles sont réfutées par celles du Sauveur : « Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande » (Jn 15, 14). L’amitié avec Dieu — qui consiste en ce que l’âme est en état de grâce — dépend de notre obéissance aux ordres de Notre Seigneur. Pas de suggestions ou de conseils : des ordres ! Il dit encore : « Ce ne sont pas tous ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur, qui entreront dans le royaume des cieux, mais bien celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux » (Mt 7,21).

J’ajoute que l’enfer n’est pas réservé aux non-catholiques : parmi les flammes éternelles, il y a beaucoup d’âmes baptisées, même des religieux, des prêtres et des évêques, qui ont mérité la damnation à cause de leur rébellion contre la volonté du Seigneur. Les soi-disant catholiques adultes et leurs mentors doivent y penser avec soin, avant qu’ils n’entendent résonner les paroles du Christ : « Je ne vous ai jamais connus. Retirez-vous de moi, ouvriers d’iniquité » (Mt 7, 23).

Un catholique qui soutient l’avortement ou l’idéologie du genre nie non seulement le Magistère, mais aussi la loi naturelle, base morale commune à tous les peuples, de tous les temps et de tous les lieux. La gravité de l’incohérence [d’une distinction] entre l’appartenance à l’Église et la fidélité à son enseignement reflète la dichotomie artificielle entre doctrine et pastorale, qui s’est insinuée depuis Vatican II et a atteint sa formulation la plus claire dans Amoris lætitia. D’autre part, à y regarder de plus près, la « laicità dello Stato » [nature laïciste de l’État] pose également de sérieux problèmes, car elle reconnaît le droit à la société civile de nier la royauté divine du Christ et de rejeter sa Loi, tout en demandant aux laïcs de donner un témoignage de Foi dans lequel la primauté de la Vérité catholique est abaissée au même niveau que l’erreur.

Et comme Joe Biden soutient l’avortement et l’idéologie LGBT, les catholiques ne peuvent pas voter pour lui, affirme Mgr Viganò :

Ce qui est clair, c’est que les catholiques ne peuvent pas voter pour un homme politique « catholique » qui ne met pas en pratique l’intégrité de la doctrine de l’Église, la hiérarchie peut encore moins l’approuver. Le soi-disant catholique Joe Biden, qui soutient l’avortement par naissance partielle, c’est-à-dire l’infanticide, et qui, avant même Obama, soutenait l’idéologie du genre et a célébré le « mariage » de deux hommes, n’est pas catholique.

Une question se pose naturellement, si les catholiques ne peuvent pas voter pour un faux catholique comme Joe Biden, peuvent-ils davantage voter pour un non catholique comme Donald Trump, qui ne souscrit pas à toute la doctrine de l’Église (comme la reconnaissance de la primauté de cette dernière) ? La réponse, sans doute, est que les catholiques américains devraient voter pour le moins mauvais des deux, et dans ce cas je pense que ce sera Trump, car il défend l’enfant à naître.

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Pays-Bas : refondation du « parti pédophile » au milieu des protestations

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Piqsels

Aux Pays-Bas il existait un parti dit « pédophile » à cause de ses politiques bonnes à vous faire dresser les cheveux sur la tête. Ce parti, le PNVD, avait tenté de se présenter aux législatives en 2006 et 2010 avant d’être interdit en 2010. Les fondateurs n’ont jamais réussi à réunir les 580 signatures nécessaires pour participer aux législatives. Surgissant à nouveau, le PNVD est en bute à une formidable réaction, des plus justifiées d’ailleurs. Selon rtbf.be :

L’émoi suscité aux Pays-Bas par la refondation le 7 août dernier du « parti pédophile » comme l’ont nommé les médias ne cesse de croître. En moins d’une semaine, la pétition qui réclame l’interdiction de ce parti a déjà rassemblé près de 550 000 signatures. Abondamment relayé sur les réseaux sociaux, ce texte a été partagé par des visages connus aux Pays-Bas […]

Le PNVD de son vrai nom (Partij voor Naastenliefde, Vrijheid en Diversiteit) signifie parti pour l’amour du prochain, la liberté et la diversité.

Le PNVD veut la libéralisation de la pédophilie et la pédopornographie, rapporte rtbf.be :

Dans son programme en 21 pages, on peut y lire ceci : « Toutes les personnes, quel que soit leur âge, y compris les enfants ont le droit de disposer de leur corps. Cela s’applique également en matière sexuelle. N’importe qui peut avoir des contacts sexuels avec son consentement. »

Avant de lire quelques paragraphes plus bas que « la détention privée de toutes les formes de pornographie, y compris la pornographie enfantine, est autorisée. »

Ce parti prône également la nécrophilie et la bestialité…

Les gens réagissent fortement contre de tels monstres, car il leur reste malgré tout encore du bon sens, mais il n’est pas certain que l’on en reste là. Bien des choses qui eussent horrifié nos ancêtres sont communément libéralisées : contraception, avortement, homosexualité, transgenrisme, polygamie, éducation sexuelle, GPA, PMA, etc.

Pour prendre un exemple concret de la décadence occidentale, regardez la Californie qui vient de voter une loi qui n’attend plus que la signature du gouverneur, elle ôterait le devoir d’inscrire sur le registre des délinquants sexuels les individus qui entretiendrait certaines pratiques sexuelles avec des mineurs entre 14 et 17 ans ayant une différence d’âge de moins de dix ans. Si ce n’est pas un pas vers la pédophilie, je ne sais pas ce que c’est. Le « progressisme » tend vers ce genre de chose…

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La Navy ne réduira finalement pas le nombre de messes dans ses bases

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist

L’US Navy avait annoncé ces derniers temps, sous prétexte d’économiser, la grande réduction de contrats passés avec l’Église qui permettent de suppléer au petit nombre d’aumôniers militaires. Par ces accords, qui ont failli passer à la trappe, des prêtres viennent célébrer la messe dans les bases de la Navy. Finalement, sans doute à cause la forte réaction engendrée par l’annonce de cette coupe, la messe continuera à être célébrée comme auparavant, selon LifeSiteNews :

Au milieu des protestations du public, dont une pétition de LifeSiteNews signée par plus de 10 000 personnes, la Navy a fait marche arrière et a décidé de renouveler les contrats passés avec les prêtres catholiques leur permettant de célébrer la Sainte Messe sur les bases militaires. Cette mesure de réduction des coûts devait être appliquée dans tout le pays.

Le contre-amiral Bette Bolivar, commandant de la Navy Region Southwest, a annoncé mardi le retrait du plan de suspension de la plupart des contrats passés avec les prêtres, rapporte le San Diego Union Tribune.

Trump a confirmé la nouvelle dans un tweet ce matin :

« La Marine américaine, ou le Département de la Défense, n’annulera PAS son contrat avec les prêtres catholiques qui servent si bien nos hommes et nos femmes dans les Forces armées, et avec une telle compassion et compétence. Ce ne sera même plus un point de discussion ! »

Le vice-amiral Yancey Lindsey, le chef des Naval Installations Command, avait déclaré au sujet de la décision initiale : « Nous avons la responsabilité d’utiliser nos ressources limitées avec sagesse pour répondre aux besoins de notre personnel. Par conséquent, nous allons réduire ce qui est redondant et gagner en efficacité en réorientant les ressources ».

Le San Diego Union Tribune, qui a ébruité le premier ces nouvelles, expliquait alors : « les services religieux seront supprimés dans les bases où ces services sont facilement disponibles dans la communauté environnante en dehors de la base ».

Apparemment, l’arrêt des services religieux ne concernait surtout que les messes catholiques.

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L’American Journal of Psychiatry corrige une étude en faveur de la transition

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : drobotdean/Freepik

L’American Journal of Psychiatry a corrigé une étude mettant sous un éclairage favorable les opérations de transition, les conclusions de la correction montrent que les données employées ne confirment en rien la théorie selon laquelle les opérations de « changement de sexe » amélioreraient la santé mentale des patients. Une étude antérieure, étudiant les mêmes données, va en sens inverse de la première et souligne que le taux de suicide chez les transgenres opérés est dix fois supérieur à celui de la population en général, rapporte le Ruth Institute :

« Nous sommes heureux que l’American Journal of Psychiatry ait publié une correction publique, chose rare, d’erreurs graves contenues dans une étude qu’elle a publiée en octobre dernier, promouvant la chirurgie dite de changement de sexe », déclare le révérend Paul Sullins, docteur en médecine, associé principal de recherche du Ruth Institute.

« Le Journal reconnaît maintenant que, contrairement à ce qui avait été rapporté précédemment, l’étude ne montre pas que les personnes qui subissent une telle opération eussent une amélioration de leur santé mentale. Plus précisément, elle ne montre pas que ces patients fussent moins susceptibles de souffrir de troubles de l’humeur et de l’anxiété, sur la base de rapports faisant état d’une diminution des hospitalisations ou de la consommation de médicaments sur ordonnance », explique le Dr Sullins.

« Les auteurs de l’étude ont cherché à générer (selon leurs propres termes) un soutien aux politiques qui garantissent la couverture des traitements confirmant le genre [pas le sexe], en ignorant de nombreux éléments provenant des données qui invalident cette conclusion. En fait, une étude antérieure, plus rigoureuse, des mêmes données avait montré que le risque de suicide à la suite d’une opération de changement de sexe était plus de 10 fois supérieur à celui de la population générale. Sept groupes d’universitaires ont remarqué cet écart et ont écrit des lettres critiques à la revue, soulignant les biais et les faiblesses de la nouvelle étude. La conclusion corrigée de l’étude était à l’opposé de ce qui avait été initialement énoncé ».

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Connaissez-vous le signe pour les sourds-muets désignant l’avortement ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

C’est assez significatif…

Et dire qu'il s'agit d'un être innocent, d'un enfant à naître.

 

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