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Deux députés qui ont voté contre l'adoption de principe du projet de loi 52 quittent le Parti libéral du Québec

Sur le site du journal de Québec du 24 février 2014 :

(La députée de Trois-Rivières, Danielle St-Amand, à gauche sur la photo.)

(Photo : US Embassy Canada sur flickr.com, licence creative commons)

 

Les députés libéraux Danielle St-Amand et Pierre Marsan ont annoncé lundi qu'ils ne se seraient pas candidats aux prochaines élections provinciales.

Mme St-Amand se retire pour des raisons de santé. Et M. Marsan, âgé de 65 ans, désire « passer à autre chose. »

Nous les remercions d'avoir pris la défense des personnes malades qui seront en danger si le projet de loi 52 (euthanasie) est adopté.

Il restera, comme candidats aux prochaines élections, 24 anciens députés à avoir voté contre ce projet.

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Le nouveau cardinal de Québec, Mgr Lacroix, dénonce l'euthanasie

Sur le site du journal de Québec du 24 février 2014 :

(Blason du cardinal Lacroix)

(Photo : FMAXJE sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

 

Sur une note plus politique, Mgr Lacroix a parlé sur les ondes de la volonté du gouvernement québécois de légaliser l’euthanasie avec le projet de loi Loi concernant les soins de fin de vie. «Nous avons tout fait pour dénoncer cette décision qui mènerait à l’avènement d’une civilisation de mort, a-t-il dit, ajoutant que même si le règlement devenait légal, il ne deviendrait d’aucune façon «moral».

Un bon début pour un cardinal : dire la vérité quel qu'en soit le prix...

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Cessons le financement public de l'avortement! Vidéo des discours de la manifestation lors du lancement de la campagne

Manifestation du 17 février 2014 devant le CSSS Jeanne-Mance qui gère les avortements tardifs au Québec :

//www.youtube.com/embed/4Lv0yig-OOg

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Le Parti libéral canadien veut l'euthanasie. De Pierre-Eliot à Justin Trudeau, de l'avortement à l'euthanasie, la continuité...

Sur le site du Journal de Montréal du 24 février 2014 :

(Justin Trudeau semble très fier de cette photo de lui-même à  la parade gay de Toronto de juin 2013, puisqu'il la met à la disposition des internautes)

(Photo : Justin Trudeau sur flickr.com, licence creative commons)

Les militants libéraux espèrent bien qu’un jour l’euthanasie sera décriminalisée au pays si Justin Trudeau et le parti libéral du Canada (PLC) sont portés au pouvoir.

Les quelque 3000 délégués de la formation politique réunis en congrès à Montréal ont adopté une résolution en ce sens hier. (...)

«Le Parti libéral s’est toujours tenu debout pour les choix individuels des gens, que ce soit pour la contraception, l’avortement ou le mariage gai, a fait valoir l’une des représentantes des Jeunes libéraux. C’est la continuité de la just society de Pierre Elliott Trudeau.» (...)

Le journal Le Devoir du 24 février cite Justin Trudeau :

La résolution, a déclaré M. Trudeau dans son discours, demande aux libéraux d’élargir «[leur] conception de ce que signifie être un citoyen libre dans une démocratie moderne» et de «réfléchir à la possibilité de permettre aux Canadiens en fin de vie de choisir de mettre fin à leurs souffrances en prévoyant leur propre mort dans la dignité».

Qu'il y ait continuité entre le père et le fils, c'est indéniable, mais il serait plus juste ici de parler de descente aux enfers de la société canadienne sous la gouvernance libérale...

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Le thème de la journée internationale de « l'homophobie » au Québec : « J'aime mes deux papas! » Mais où est maman?...

(Manifestation monstre à Paris contre le « mariage » gay avec pour thème : « Tous né d'un homme et d'une femme »)

(À droite sur la photo, l'un des porte-parole de la manifestation, Xavier, du collectif des personnes homosexuelles contre le « mariage gay » et « l'homoparentalité, Homovox)

(photo : Mon_Tours sur flickr.com, licence creative commons)

Nous invitons d'abord nos lecteurs à relire les critiques sérieuses qui seront passées sous silence dans cette campagne pour défendre l'« homoparentalité » : L'homoparentalité dénoncée par des scientifiques : "les enfants élevés par des lesbiennes sont les plus mal lotis."  En voici un extrait :

« Le lobby homoparental s’appuie sur des études qui, dans leur quasi-totalité, ne sont que pseudo-scientifiques. L’intoxication est suffisamment bien faite pour que tout le monde soit convaincu que ces études prouvent que les enfants élevés par les parents homosexuels vont bien. Pourtant, il suffit de se donner la peine de vérifier la nature des travaux cités pour comprendre leurs faiblesses méthodologiques et leurs biais de recrutement des groupes étudiés [1]». L’auteur de cette charge sans concessions ne saurait laisser nos responsables politiques indifférents au moment où ils s’apprêtent à ouvrir l’adoption, voire l’assistance médicale à la procréation, aux personnes homosexuelles. Maurice Berger est en effet professeur de psychopathologie de l’enfant, chef de service de psychiatrie de l’enfant au CHU de Saint-Etienne et membre de plusieurs commissions interministérielles concernant la protection de l’enfance. (...)

Bien sûr on ne trouvera pas les critiques des spécialistes du développement de l'enfant dans la campagne du lobby gay :

Montréal, le 21 février 2014 - La Fondation Émergence dévoile aujourd’hui le visuel de sa campagne de lutte contre l’homophobie 2014. Dans le cadre de cette campagne, l’organisme démystifie l’homoparentalité afin de réduire les préjugés envers les enfants qui grandissent au sein de familles formées de parents de même sexe. (...)

Sous le thème J’aime mes deux papas / J’aime mes deux mamans, le visuel de la campagne présente des enfants souriants et fiers de leur famille. Ce sont des enfants comme les autres, à l’exception du regard que porte parfois la société sur l’homosexualité et, par association, sur leur famille.

Un discours sans fondements scientifiques. Par contre l'étude la plus rigoureuse à ce jour, qui vient discréditer toutes les caricatures d'études faites pour justifier « l'homoparentalité » arrive à des conclusions diamétralement opposées :

Les recherches du professeur Mark Regnerus de l’Université du Texas tordent le cou à ce discours convenu en s’appuyant sur l’examen de 3000 enfants devenus adultes éduqués au sein de 8 structures familiales différentes à partir de 40 critères sociaux et émotionnels[3]. Les résultats les plus positifs concernent les adultes provenant de familles « traditionnelles » qui se disent plus heureux, sont en meilleure santé mentale et physique et consomment moins de drogues que les autres.

A l’inverse, les enfants élevés par des lesbiennes sont les plus mal lotis avec une augmentation statistique inquiétante des dépressions dans leur groupe. Les adultes interrogés disent également avoir été plus souvent victimes d’abus sexuels (23% contre 2% chez les enfants issus de couples hétérosexuels mariés) et souffrent plus de précarité économique (69% dépendent de prestations sociales pour 17% de ceux élevés par leurs père et mère)[4].

On a hâte de voir inclus dans la campagne de la fondation Émergence un discours qui ne soit pas une tentative d'émouvoir sans regarder les faits :

Après analyse de l’ensemble des réponses, la conclusion du professeur Mark Regnerus est imparable : le modèle familial reposant sur l’ « union conjugale stable du père et de la mère biologique » – lequel ressemble de plus en plus à une « espèce menacée » (« like an endangered species ») ajoute-t-il avec un brin de malice –, demeure « l’environnement le plus sécurisé pour le développement de l’enfant »[6]. Toute autre combinaison, selon l’universitaire américain, porte préjudice à moyen et long terme à l’équilibre émotionnel de l’enfant, quelles que soient par ailleurs les qualités humaines et éducatives des homosexuels que personne ne conteste. S’engager dans cette voie reviendrait en effet à heurter de front le principe reconnu par la Convention internationale de l’ONU sur les droits de l’enfant selon lequel l’intérêt supérieur de celui-ci, partie la plus faible et sans défense, doit toujours passer avant toute autre considération.(...) 

Fait à noter, vos économies servent à financer cette campagne. En effet, le gouvernement du Québec, la Ville de Montréal, les Caisses Desjardins, la Banque Nationale, parmi les médias et syndicats, sont parmi les commanditaires du lobby Émergence.

À toutes ces folies, il nous faut poser que deux questions. - Aux deux papas : Où est maman? - Aux deux mamans : où est papa?

Non, une béquille pour remplacer un père ou une mère absents par le choix des personnes qui nous éduquent, ne sera jamais la même chose...

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Le drame des parents d'enfants handicapés en Belgique, après la légalisation de l'euthanasie des mineurs

Sur le site de bvoltaire.fr du 20 février 2014, interview de Sophie Lutz, mère de Philippine, polyhandicapée depuis le sein maternel:

 

(Le livre-témoignage de Sophie Lutz : Philippine, la force d'une vie fragile)

 

(...)La loi en question prévoit que l’initiative doit venir de l’enfant, mais que la décision appartient aux parents qui doivent donner leur consentement…

La première partie montre déjà qu’en soi, et même pour ceux qui y seraient favorables, la loi est absurde. Quid, dans ce cas, des enfants qui ne peuvent pas parler ? Quant au reste… Qu’est-ce que cela signifiera ? Que les parents qui ne voudront pas faire mourir leur enfant seront des parents tortionnaires, indifférents aux souffrances de celui-ci ? Quelle sorte de lien filial va ressortir de tout cela ? À vrai dire, ce sont des choses que j’ai déjà ressenties quand j’attendais Philippine. Nous savions qu’elle allait être handicapée mais nous voulions la garder… Pour certains, nous étions coupables.  (...)

À lire, l'interview complète.

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Procès pour les 300 000 femmes stérilisées de force au Pérou

Sur le site de carevox.fr du 20 février 2014 :

(photo : Jean-Pierre Jeannin sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Le procès s'est rouvert fin 2012. Il concerne la stérilisation forcée de 300 000 femmes péruviennes, pauvres et indigènes dans les années 1990, sous la présidence d'Alberto Fujimori. (...)

A l'époque, la Banque Mondiale et le Fond Monétaire International exigeaient une baisse drastique du taux de natalité, analyse néo-malthusienne de la pauvreté dans laquelle la démographie est un facteur primordial.

Une « contraception chirurgicale volontaire » disait le gouvernement Fujimori : 

"Les femmes péruviennes doivent être maîtresses de leur destin", avait affirmé Alberto Fujimori, lors de la quatrième conférence de la Femme à Pékin en octobre 1995.

À la Banque Mondiale et au Fonds Monétaire International qui n'ont pas condamné ces crimes, ni au Pérou, ni en Chine, ni en Afrique, on sait comment obliger une femme à être « maîtresse de son destin »...

Pour en savoir plus :

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Le mythe de la religion première cause de guerre

Les humanistes laïques et athées affirment régulièrement que la religion est la principale cause de violence et de guerre dans l'histoire de l'humanité. Sam Harris, l’un des principaux chantres de cet athéisme, affirme dans son livre The End of Faith (La fin de la foi), que la foi et la religion constituent « la source la plus prolifique de violence dans notre histoire. »

Bien qu'il soit indéniable que des campagnes telles que les Croisades et la guerre de Trente Ans reposaient fondamentalement sur des différends religieux, il est tout simplement faux d'affirmer que la religion a été la principale cause de guerre. De plus, même s’il n’y a pas non plus de désaccord sur le fait que l'islam radical a inspiré le 11 septembre, il est faux de dire que toutes les religions contribuent de façon égale lorsque la violence et la guerre motivées par la religion sont concernées.

Une source intéressante de vérité en la matière est l'Encyclopédie des guerres en trois volumes de Philip et Axelrod, qui relate les quelque 1763 guerres qui ont été menées au cours de l'histoire humaine. Parmi ces guerres, les auteurs en classent 123 comme étant de nature religieuse, ce qui est un pourcentage étonnamment faible (6,98 %) de toutes les guerres. Cependant, lorsqu'on soustrait celles qui ont été menées au nom de l'islam (66), le pourcentage est réduit de plus de la moitié à 3,23 %.

Cela signifie que toutes les religions réunies — moins l’islam — ont causé moins de 4 % de toutes les guerres et conflits violents de l'humanité. En outre, elles n’ont pas joué le rôle d’élément déclencheur dans les grandes guerres qui ont abouti à la plupart des pertes de vie.

Cela ébrèche sérieusement l'argument de Harris, n'est-ce pas?

En vérité, les motivations non religieuses et les philosophies naturalistes portent la responsabilité de presque toutes les guerres de l’humanité. Le nombre de vies perdues lors de conflits religieux n'est rien en comparaison avec ceux observés au cours de régimes qui rejetaient l'idée de Dieu — cela est présenté dans l’ouvrage de R.J. Rummel Lethal Politics and Death by Government (Politiques létales et mort par le gouvernement) :

Vies perdues à cause de dictateurs non religieux :

Joseph Staline – 42 672 000
Mao Zedong – 37 828 000
Adolf Hitler – 20 946 000
Chiang Kai-shek – 10 214 000
Vladimir Lénine – 4 017 000
Hideki Tojo – 3 990 000
Pol Pot – 2 397 000

Rummel écrit : « Près de 170 millions d'hommes, femmes et enfants ont été tués, battus, torturés, poignardés, brûlés, affamés, gelés, écrasés ou ont travaillé jusqu’à la mort par épuisement; ont été enterrés vivants, noyés, pendus, bombardés ou tués de l’une des myriades de façons dont des gouvernements ont infligé la mort à des citoyens désarmés, sans défense et à des étrangers. Les morts pourraient se chiffrer dans les 360 millions de personnes, comme si notre espèce avait été dévastée par une Peste noire moderne. Et en effet, c’est bien cela, mais une Peste de puissance, pas de microbes. »

La preuve historique est très claire : la religion n'est pas la principale cause de guerre.

Si la religion ne peut être blâmée pour la plupart des guerres et violences, alors quelle en est la cause principale? La même chose qui déclenche tous les crimes, la cruauté, les pertes de vie, et autres choses semblables. Jésus donne la réponse très clairement : « Car c'est du dedans, c'est du cœur des hommes, que sortent les desseins pervers : débauches, vols, meurtres, adultères, cupidités, méchancetés, ruse, impudicité, envie, diffamation, orgueil et déraison. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et souillent l'homme. » (Marc 7, 21-23)

L’apôtre Jacques, naturellement, est d'accord avec le Christ lorsqu’il dit : « D’où viennent les guerres, d’où viennent les batailles parmi vous? N’est-ce pas précisément de vos passions, qui combattent dans vos membres? Vous convoitez et ne possédez pas? Alors vous tuez. Vous êtes jaloux et ne pouvez obtenir? Alors vous bataillez et vous faites la guerre. » (Jacques 4,1-2).

En fin de compte, l’évidence montre que les athées ont tout à fait tort à propos des guerres qu'ils prétendent haïr si désespérément. Le péché est la première cause de guerre et de violence, pas la religion, et certainement pas le christianisme.

Cet article a été rédigé par Robin Schumacher du CARM, édité par Matt Slick, traduit par Campagne Québec-Vie

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Avoir ses « propres raisons » pour demander l'euthanasie ou l'acceptation du suicide...

Sur le site du Journal de Montréal du 21 février 2014, cet article de Josée Legault pour le projet de loi 52 (euthanasie) :  

(Combien pour une euthanasie comparativement à un traitement dans une unité de soins palliatifs?)

(Photo : Pixabagy sans copyright)

Je l’appuie parce que j’ai vu également l’autre côté de la médaille. J’ai aussi vu des personnes, même en soins palliatifs où j’ai fait plusieurs années de bénévolat, confier discrètement, loin des oreilles de leurs proches, que pour leurs propres raisons, elles en avaient tout simplement assez. Elles en avaient assez, mais sachant que le geste était illégal et grave, elles ne voulaient surtout pas imposer une telle demande à leur famille.

Ces personnes, elles ont été rares sur mon chemin, mais elles ont existé. D’autres existent aujourd’hui et existeront demain.

C’est pour elles que ce projet de loi a été pensé. Il a été pensé pour les cas exceptionnels qui, parmi nos prochains et en toute conscience, voudront prendre cette décision. C’est pour elles et eux que j’appuie le projet de loi 52.

Depuis quand nos « propres raisons » donnent-elles le droit d'être mis à mort? Josée Legault parle ici de personnes dont la souffrance physique a été soulagée, mais qui, pour de multiples raisons, demandent la mort : -parce qu'elles ne veulent pas être un fardeau, parce qu'elles ont été humiliées ou sont humiliées d'être dépendantes, etc. Des raisons que personne ne peut cautionner pour justifier un suicide. Et ici, c'est bien de suicide que l'on parle.

Ce n'est pas un hasard si les organismes de lutte au suicide se sont prononcés contre le projet de loi 52. C'est parce que la problématique est rigoureusement la même.

Dans les deux cas, des gens veulent en finir avec la vie, pour toutes sortes de raisons psychologiques, qui peuvent, qui doivent être combattues si l'on a le moindrement un amour de cette personne suicidaire. Agréer à la demande d'une personne qui demande l'euthanasie, c'est dire oui à une personne qui veut se suicider, mais ne se sent pas capable de poser le geste.

« C'est pour elles que ce projet de a été pensé. » Pour des personnes soulagées de leurs souffrances par des soins palliatifs de qualité, mais qui désirent tout de même se suicider. Mais on ne peut pas dire cela. Malgré le fait que les équipes de soins palliatifs affirment contrôler toutes les douleurs en fin de vie, on parlera de « souffrances insupportables », peu importe que la sédation palliative endorme toute douleur...

Le projet de loi 52 est un projet de loi pour permettre le suicide aux personnes en fin de vie qui coûtent cher à soigner dans les unités de soins palliatifs.

Et ici, la journaliste Josée Legault se pose les bonnes questions :

On nous promet des soins palliatifs plus adéquats, plus accessibles. Les aurons-nous?

Voyant à quel point les gouvernements répartissent de plus en plus mal l’assiette fiscale, des ressources financières optimales iront-elles enfin pour offrir des soins palliatifs de qualité? Et pas seulement pour les 48 heures précédant la mort, comme c’est parfois le cas.

Dans les pays où l'euthanasie est permise, les unités de soins palliatifs crient famine. Au Québec, s'il y avait eu la plus infime partie de sincérité dans le projet de loi 52, les fonds auraient déjà été débloqués pour soulager immédiatement la douleur de personnes qui n'ont pas accès en ce moment aux soins palliatifs. On affirme plutôt que cela arrivera un jour... et tant pis pour ceux qui souffrent actuellement et qui auraient pu être soulagés par ces soins. Et l'on veut vraiment faire croire que l'on a l'intention d'offrir, un jour, des soins palliatifs pour tous, alors que l'on vit très bien avec la douleur de ceux qui n'y ont pas accès présentement?

Parce que ce n'est pas la douleur que l'on veut soulager, mais le portefeuille...

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Ces femmes de carrières que l'on a trompées...

Sur le site du journal La Presse du 21 février 2014 :

(Au centre Michelle Shephard parlant au Centre pour une gouvernance internationale.)

(photo : The Centre for International Governance Innovation sur Flickr.com, licence creative commons)

(...)Dans «Fertility : The hardest border I’ve ever tried to cross», Michelle Shephard raconte que dans la trentaine, elle pensait plus « à Mogadiscio et à Peshawar qu’à faire des bébés».

« Pendant longtemps, écrit-elle, je disais que j’étais mariée mais que nous n’avions pas d’enfant parce que nous n’étions pas certains d’en vouloir. (…) Avec le temps, voyant que cette explication suscitait de drôles de réactions, j’ai commencé à laisser entendre que nous n’avions pas d’enfant parce que nous ne le pouvions pas. Comme ça, on ne me jugeait pas. Ce que je ne savais pas, c’est que cette histoire allait s’avérer un jour.» (...)

La suite? Elle fera partie des 70% d'échecs des traitements de fertilité. Il est maintenant trop tard pour concevoir un enfant. On lui a menti. Comme à tant d'autres à qui on a fait croire que l'épanouissement personnel devait passer avant le don de soi dans l'amour pour être heureux... 

 

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