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Connaissez vous l'histoire de cette photo? À voir...

La photo est bien réelle, mais l'histoire qui circule à son sujet, dans l'encadré ci-dessous, n'est pas tout à fait exacte. Vous retrouverez les petites corrections sur le site snopes.com.

 Cette photo a commencé à circuler en novembre. Elle aurait dû être 'l'image de l'année, ou peut-être,'l'image de la décennie'.

En fait, à moins que vous ayez obtenu une copie du document édité aux USA,vous ne pouvez probablement pas l'avoir vue.
 
L'image est celle d'un bébé de 21 semaines, Samuel Alexandre Armas, opéré par le chirurgien Joseph Bruner.
 
Le diagnostic prénatal avait révélé une spina-bifida, grave malformation de la colonne vertébrale.

La mère du petit Samuel, Julie Armas, infirmière en obstétrique à Atlanta, connaissait le remarquable procédé chirurgical du Dr. Bruner, du Centre Médical Universitaire de Vanderbilt, à Nashville.

Il effectue ses opérations sur le bébé dans l'utérus maternel.
 
La technique consiste à sortir l'utérus de l'abdomen de la mère et
d'y faire une petite incision pour pratiquer l'opération.
 
Pendant que le Dr. Bruner opérait... le bébé a sorti par l'incision sa main minuscule, mais entièrement développée, et a fermement saisi le doigt du chirurgien.
 
Le Dr. Bruner a décrit cela comme le moment le plus émouvant de Sa vie, et pendant un instant il est resté totalement immobile.

Le photographe a capturé cet événement étonnant avec une clarté parfaite.
 
Les journalistes ont intitulé l'image 'main de l'espoir'.
 
Le texte expliquant l'image commence par : « La main minuscule du fœtus de 21 semaines de Samuel Alexandre Armas émerge de l'utérus de sa mère pour saisir le doigt de Dr. Joseph Bruner comme pour remercier le Docteur du cadeau de la vie qu'il lui faisait'.
  
La mère du petit Samuel a dit avoir pleuré pendant des jours quand elle vu la photo.
 
Samuel est né en parfaite santé, l'opération ayant réussi à 100%.

Voyez maintenant la photo, elle est... INCROYABLE et IMPRESSIONNANTE...


Et faites suivre, tout le monde mérite de la voir !

 

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Décès du boxeur Reggie Chartrand, le boxeur patriote qui parla pour défendre les enfants à naître

Peu de personnalités publiques ont le courage de dénoncer l'avortement. Ce boxeur a prouvé qu'il était l'un des rares individus au Québec à n'avoir peur de rien. Sur le site du journal Le Devoir du 10 mars 2014 :

(Photo : phgaillard2001 sur flickr.com, licence creative commons)

(...)Dès 1971, dans ses mémoires, il s’inquiétait de la montée du féminisme, avouant ne pas trop en comprendre les ressorts.

En 1984, il signe un pamphlet antiféministe intitulé Dieu est un homme parce qu’il est bon et fort et seconde ouvertement les mouvements anti-avortement.

Il est fier de présenter en août 1987 un nouveau parti politique baptisé Action Québec. À titre de chef, il se dit favorable à la division des écoles selon une ligne religieuse défendue dans l’enseignement. Action Québec est farouchement opposé à la régulation des naissances et considère que l’application d’une morale sévère est une façon prometteuse de contrer le sida. (...)

Sur le site du Journal de Montréal  du 10 mars 2014, on trouve ce court témoignage de Matthieu Chartrand, fils du boxeur :

 Son combat n’était pas tant contre les femmes que contre l'avortement. Et ça s’explique par le fait qu’il était lui-même un enfant indésiré, d’un milieu très pauvre. Il a toujours été reconnaissant d’avoir eu la chance de vivre.» 

Dans les vedettes d'aujourd'hui, qui oserait mettre sa carrière en jeu pour dénoncer le génocide des enfants à naître?

Repose en paix, Reggie Chartrand.

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La chroniqueuse Lise Ravary commente l'arrivée de la candidate Louise Mailloux au Parti Québécois

Sur le site du Journal de Montréal du 8 mars 2014 :

(Cégep du Vieux-Montréal où enseigne Louise Mailloux)

(Photo : khayman sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

Et voilà que le PQ  annonce la candidature de Louise Mailloux, l’auteur de La laïcité, ça s’impose, dans Gouin, face à Françoise David.

Son livre, cité à gauche et à droite, n’est pas un essai sur la laïcité, mais un pamphlet venimeux, une charte à fond de train contre la religion, toutes les religions. Pour quelqu’un qui enseigne la philosophie au niveau collégial, madame Mailloux pense avec ses viscères et non pas avec sa tête quand elle parle de religion et même de spiritualité.

La nuance, elle ne connaît pas. Sa spécialité c’est  l’attaque frontale, le raccourci intellectuel, l’exagération grossière et un mépris affiché pour quiconque entretient la moindre ouverture pour le phénomène religieux ou spirituel, y compris du point de vue culturel.

La « neutralité » religieuse du Parti Québécois est un rouleau compresseur des religions pour ne laisser place qu'à un musée des religions et à un matérialisme athée pratiqué en public. Louise Mailloux reflète parfaitement le type de « laïcité » que veut développer le Parti Québécois.

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Elle veut se faire fabriquer un orphelin à partir du sperme de son mari décédé...

Sur le site de genethique.org du 7 mars 2014 :

(Photo : wikimedia sans copyright)

 

 

Par une décision rendue ce jeudi 6 mars, la Haute Cour de Londres a autorisé une jeune femme âgée de 28 ans à utiliser le sperme congelé de son mari défunt et ce, jusqu'à 2023, "afin de lui laisser du temps pour éventuellement concevoir un enfant". 

Sur le site de 20min.ch du 6 mars 2014 :

La décision de la Haute Cour est toutefois encore susceptible d'un recours devant la Cour d'appel de la part de l'Autorité de régulation. En France, une cour d'appel avait rejeté en 2010 la demande d'une veuve qui réclamait de récupérer le sperme congelé de son mari décédé afin de se faire inséminer, en soulignant que le décès mettait fin à la conservation des gamètes.

La France a pris la sage décision sur ce sujet.

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Histoires de toilettes canadiennes, de personnes transgenres, et d'agressions sexuelles

Sur le site de Radio-Canada du 7 mars 2014 :

(Messieurs, Dames, et autres choix de réponses?)

(Photo : jyhem sur flickr.com, licence creative commons)

 

La Commission des droits de la personne de l'Île-du-Prince-Édouard mène une campagne de sensibilisation au droit à l'expression de l'identité sexuelle. (...)

Par exemple, dans le cas de toilettes publiques, une personne transgenre peut se sentir mal à l'aise d'utiliser celles réservées aux hommes ou celles réservées aux femmes. En principe, les entreprises ayant des toilettes réservées aux hommes et aux femmes pourraient faire l'objet de plaintes pour discrimination. (...)

Et ce n'est pas tout... Sur le blog de Jeanne Smits du 6 mars 2014, on parle aussi des légendaires toilettes canadiennes :

Christopher Hambrook, 37 ans, est biologiquement un homme. Mais voilà quelque temps qu'il se présente comme transgenre. Et comme on ne doit pas faire de discrimination à l'encontre des transgenre – ce sont les droits LGBT – dans un pays aussi évolué que le Canada, il a pu en profiter pour obtenir la possibilité de s'introduire dans un abri pour femmes de Toronto. Bilan : plusieurs agressions sexuelles en 2012.

C'était l'année où le gouvernement de l'Ontario venait de passer sa loi sur l'identité de genre. Les opposants à la loi l'avaient qualifiée de « loi toilettes » (Bathroom bill) en expliquant qu'elle conduirait à permettre aux hommes s'identifiant avec le sexe féminin à utiliser les toilettes et autres lieux réservés aux femmes à des fins d'agression.

Le cas Hambrook est venu confirmer cette interprétation et s'est achevé, la semaine dernière, avec la décision d'un juge de Toronto, de le faire incarcérer de manière « indéfinie » au motif qu'il s'agit d'un « délinquant dangereux ».

En tant que « Jessica », il avait agressé une femme endormie en lui arrachant ses vêtements et s'en était pris à plusieurs reprises à une femme sourde, la contraignant à le toucher, l'épiant alors qu'elle prenait sa douche.

(...)

« On n'a pas besoin d'être neurochirurgien pour comprendre que le fait de permettre aux hommes d'accéder aux toilettes et à d'autres lieux privés allait fatalement aboutir à des agressions », a déclaré Jack Fonseca de Campaign Life Coalition à LifeSiteNews, d'où je tire cette histoire exemplaire.

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Reconnaître que les autres sont un fardeau... pour accepter l'euthanasie

Sur le site du journal Le Soleil du 7 mars 2014, la journaliste Mylène Moisan raconte l'histoire d'un homme espérant la possibilité d'être euthanasié :

(Entre tous les êtres humains, il y aura toujours un lien de dépendance qui ne s'oppose pas à l'autonomie. Chacun son tour a besoin de quelqu'un d'autre. Le refuser produit une déshumanisation de la société.)

(photo :  ...Vincent... sur flickr.com, licence creative commons)

(...)L'homme est fier, il «ne veut pas être un fardeau. Quand je ne voudrai plus vivre ça, laissez-moi partir».

On a beaucoup parlé du projet de loi. L'homme est juriste, il doute que le texte soit contesté devant les tribunaux. «Je dirais que c'est assez bien fait.» Mais, en tant qu'homme condamné, il bute sur l'article 26, où on parle de «souffrances physiques ou psychiques constantes, insupportables et qui ne peuvent être apaisées par des conditions [que la personne] juge tolérables».

La dignité ne se résume pas à l'absence de souffrance. (...)

Le silence de la journaliste reconnaît que l'homme malade fait le bon constat en se considérant comme un fardeau pour la société. Et que ce n'est pas parce qu'il ne souffre pas qu'il peut être considéré comme digne...

Le fait d'être un poids pour les autres serait un facteur d'indignité que les personnes fières ne doivent pas supporter. La journaliste nous présente cet homme comme un modèle. Il ne sera pas un fardeau...

Comme si dans notre vie, même en santé, nous ne sommes pas chacun notre tour le fardeau de l'autre... S'il fallait éliminer toutes les personnes à charge, d'une façon ou d'une autre, de la planète, l'espèce humaine disparaîtrait.

Cette immaturité qui refuse la saine dépendance qui est relation et acceptation de l'aide dont nous avons besoin et que nous ne pouvons nous procurer par nous-même se répand dans une société matérialiste et individualiste. Ce n'est pas un hasard si des intellectuels en santé s'arrogent le droit de définir qui est une personne et qui ne l'est pas, selon le développement du cerveau ou le niveau de conscience. C'est la loi du plus fort qui prime et les personnes dépendantes des cerveaux aux coeurs attrophiées, si elles ont un minimum de fierté, devraient refuser cette dépendance et demander l'euthanasie.

Et les journalistes d'applaudir.

C'est à ce degré d'inhumanité qu'une bonne partie de notre élite intellectuelle québécoise est arrivée. C'est ce qui est enseigné dans nos universités et cégeps.

Ce n'est pas un progrès de civilisation.

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Le Parti Québécois recrute l'auteure du livre « La laïcité, ça s'impose ». Elle partage la volonté d'imposer un laïcisme d'État

Sur le site du journal La Presse du 7 mars 2014 :

(Françoise David va devoir affronter une idéologue de sa stature...)

(Photo : Asclepias sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

 

le Parti québécois a choisi Louise Mailloux, professeure de philosophie au cégep du Vieux Montréal, pour être candidate dans Gouin et livrer bataille à la cochef de Québec solidaire, Françoise David.

(...)

 la croyance de certains ne doit pas devenir la loi de tous et de  toutes», résume Mme Mailloux dans son livre.

C'est effectivement une raison pour laquelle on ne doit surtout pas voter pour le Parti Québécois qui cherche à imposer un laïcisme qui veut étouffer la liberté religieuse au Québec, pour ne laisser la place qu'à sa croyance pratiquée dans un matérialisme athée.

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Des criminels portant des sarraus pratiquent l'euthanasie passive des bébés en France

Sur le site de actusoins.com du 6 mars 2014, différentes façons de laisser mourir les bébés sont expliquées :

(Photo : Nevit Dilmen sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

Le deuxième modèle est beaucoup plus actif. L’équipe arrête tout soin, toute alimentation et hydratation, mais elle accompagne l’enfant avec une sédation, " pour qu’il avance tranquillement vers la mort, sans souffrir ". Les parents sont au courant, et l’enfant meurt dans les deux ou trois jours.

Enfin, le troisième modèle se situe entre les deux précédents et est plus respectueux de la loi Leonetti : on arrête tout, on essaye le biberon mais sans trop de conviction, puis, on arrête de le lui proposer et on le laisse mourir "naturellement", sans  augmenter les sédatifs. Mais cela peut durer longtemps. Deux, voire trois semaines.

On laisse mourir de faim et de soif un enfant pendant des semaines, « naturellement »... Mais comment une équipe médicale peut-elle être composée « naturellement » d'autant de personnes sans coeur? 

Et comme de tels criminels sévissent en France, certains appellent à des lois pour permettre l'euthanasie des bébés pour leur éviter de subir ces actes criminels.

Ces derniers ramollis du cerveau n'ont jamais pensé qu'une prévention et une sensibilisation aux crimes en milieu hospitalier seraient plus raisonnables que la mise à mort rapide des enfants pour empêcher leur mort lente, par inanition.

Il y a vraiment des nouvelles inimaginables...

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Yvon Marcoux, autre candidat s'étant opposé au projet de loi 52 (euthanasie), quitte la vie politique

Et de cinq! Voici le cinquième candidat après Henri-François Gautrin, Danielle St-Amand, Pierre Marsan, Lawrence Bergman, à quitter le navire libéral, parmi les opposants à l'euthanasie. Sur le site de journaletoile.com du 4 mars 2014 :

(Cinquième candidat contre l'euthanasie qui dit au revoir à la vie politique)

(photo :  steve.grosbois sur flickr.com, licence creative commons)

Sa décision est le fruit d’une longue réflexion à laquelle le chef du Parti libéral du Québec (PLQ), Philippe Couillard, a été confronté jeudi dernier. « Je ne crois pas que je pourrais compléter un plein mandat de quatre ans de façon adéquate. Être député ne se fait pas à temps partiel. À l’aube de mes 73 ans, je ressens maintenant le besoin de passer plus de temps avec mon épouse, mes enfants et mes petits-enfants », explique celui qui continuera d’occuper ses fonctions jusqu’à la journée du scrutin des prochaines élections.

Voir la liste des candidats opposés à l'euthanasie.

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Conçu dans le viol, un prêtre confie : « J'ai pardonné à mon père et j'ai entendu sa confession »

par Sofia Vazquez- Mellado, traduit par Campagne Québec-Vie

QUITO, Équateur, 12 février 2014 (LifeSiteNews.com) — Un prêtre équatorien a confié qu’il a été conçu lors du viol de sa mère, alors âgée de 13 ans, et que plus tard, non seulement il a pardonné à son père, mais il a entendu sa confession.

« Je pourrais être dans une poubelle, mais au lieu de cela j’ai reçu la vie », a dit le Père Luis Alfredo Leon Armijos, 41 ans, à ACI Prensa dans une interview l'année dernière.

Le prêtre a raconté que sa mère, Maria Eugenia Armijos, travaillait à faire le ménage dans une maison de Loja, en Équateur, pour aider ses parents à subvenir aux besoins de ses sept frères et sœurs. Elle n'avait que 13 ans lorsque « le propriétaire de la maison, profitant de ce qu’il était seul, a abusé d'elle, à la suite de quoi elle est devenue enceinte ».

La famille de Maria Eugenia l’a rejetée. « Ils ne voulaient pas que le bébé naisse, alors ils l'ont frappée au ventre et lui ont donné des mixtures à boire pour tenter de la faire avorter », a dit le prêtre.

La jeune fille a décidé de s'enfuir à la ville de Cuenca, où elle a donné naissance à Luis Alfredo, qui est né avec des problèmes respiratoires en raison du jeune âge de sa mère.

Après un certain temps, Maria Eugenia est revenue à Loja avec le bébé. « Elle a finalement été prise en charge par son violeur — mon père —, qui a reconnu que j'étais son fils et a dit qu'il prendrait soin de moi », a déclaré le Père Leon, « mais cela ne veut pas dire que leurs relations étaient saines ».

« Ils ont eu trois autres enfants et les liens entre moi et mon père étaient plutôt distants », a expliqué le prêtre.

À l’âge de 16 ans, le jeune Luis Alfredo a été invité au Renouveau charismatique. « J'ai eu ma première rencontre avec le Christ », dit-il.

À 18 ans, il décide d'entrer au séminaire de Loja, et il est ordonné prêtre à 23 ans, avec une permission spéciale de l'évêque en raison de son jeune âge.

Ses parents se sont séparés deux ans plus tard et sa mère lui a finalement révélé dans quelles circonstances il avait été conçu.

Le Père Leon dit qu’il s'est rendu compte que « Dieu m’a accordé de devenir prêtre non pas pour juger, mais pour pardonner. Jusqu’à présent, j'avais beaucoup jugé mon père sur tout. »

Des années plus tard, il a reçu un appel de son père qui devait se faire opérer. « Il avait peur et il m'a dit : “Je veux que tu entendes ma confession” », a déclaré le Père Leon.

« Après cela, je lui ai dit : “Papa, tu es prêt pour le Ciel, la vie éternelle,”, a expliqué le prêtre. “À ce moment, les yeux de mon père se sont remplis de larmes. ’’ »

Puis, le père de Leon a reçu la sainte Communion; cela faisait 30 ans qu’il n’avait pas communié.

« Vous pouvez finir par connaître votre propre histoire et détester votre vie », a-t-il poursuivi. « Vous pouvez juger Dieu comme je l'avais fait. Mais j'ai découvert que l'amour de Dieu avait toujours été présent, veillant sur ma vie. »

« Tout ce que j'ai reçu est don. La vie elle-même est un cadeau exquis de Dieu », a-t-il conclu.

Le Père Leon est actuellement curé de la paroisse San José à Loja, Équateur.

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