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Il faut parler au chef libéral Philippe Couillard

(Photo : François Thivierge sur wikimedia.org, licence creative commons)

Il faut parler à Philippe Couillard sur l’euthanasie.

Philippe Couillard a mentionné à plusieurs reprises qu’il ferait passer le projet de loi 52 sur l’euthanasie au Québec si le Parti libéral remporte l’élection. Mais, une vingtaine de députés de son parti s’opposent à la mise à mort de personnes en fin de vie.

Ces députés sont convaincus et combattront pour leurs convictions. Mais une seule personne décidera de la politique du Parti, de ramener le projet de loi 52 et c’est Philippe Couillard. Donc, en plus de voter pour le meilleur candidat pro-vie de son comté, il est nécessaire de faire pression sur le chef libéral pour qu’il respecte le choix d’une part importante de ses députés et refuse d’imposer l’euthanasie au Québec.

La prise de parole a toujours un effet. C’est pourquoi nous vous invitons à rencontrer Philippe Couillard si vous en avez la chance, téléphonez à son bureau à Québec et dans son comté, à lui écrire par courrier ou par courriel.

C’est très important. Il ne reste que 3 semaines avant les élections. Il faut agir maintenant.

Voici les coordonnées de Philippe Couillard :

Coordonnées

Parlement

Cabinet du chef de l'opposition officielle
Hôtel du Parlement
1045, rue des Parlementaires
2e étage, Bureau 2.96
Québec (Québec)  G1A 1A4
Téléphone : 418 643-2743
Télécopieur : 418 643-2502
[email protected] Cabinet du chef de l'opposition officielle
Édifice Place Ville-Marie
1, place Ville-Marie
Bureau 1515
Montréal (Québec)  H3B 2B5
Téléphone : 514 873-0970
Télécopieur : 514 873-7066
[email protected]



Bureau de campagne

1101, rue Pelletier
Roberval

Téléphone : 418 765-0216

Bureau de campagne

1521, rue des Érables
Dolbeau Mistassini G8L 2W7

Téléphone : 418-979-0658

Bureau de campagne

1136, boul. Sacré-Coeur, St-Félicien

Téléphone : 418-613-0550

 

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« Ni peine de mort, ni euthanasie »

Une très bonne réflexion parue sur le site de vivredignite.blogspot.ca du 13 mars 2014 :

(La pendaison des patriotes fut l'un des grands gestes de barbarie commis dans l'histoire du Canada. Peu après leurs morts, leurs revendications légitimes furent adoptées au parlement du Bas-Canada)

Nous n'avons pas la peine de mort au Canada, entre autres parce qu'il y a un risque inacceptable qu'un innocent soit tué. Nous ne devons pas légaliser l'euthanasie parce que le risque que des gens meurent sans raison est tout aussi inacceptable. (...)

Les erreurs médicales pullulent. Dans le cas des personnes en « fin de vie » elles seront mortelles.

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Des médecins belges demandent que soit légalisée l'euthanasie de patients qui ne l'ont jamais demandée...

(vétérinaire ou médecin?)

(Photo :  kqedquest sur flickr.com, licence creative commons)

On y est. Il était déjà connu que des médecins belges euthanasiaient des patients sans leur consentement. Ils demandent maintenant d’être protégés de toute poursuite judiciaire lorsqu'ils euthanasieront un patient qui n’en a jamais fait la demande, qui ne souffre pas, s’ils ont l’accord de la famille et jugent, eux, les médecins, qu’il vaudrait mieux l’éliminer.

C’est incroyable de lire un tel texte qu’un médecin a osé signer sans imaginer que tout lecteur le prendra pour un homme sans conscience…

Voici un extrait de la lettre de ce médecin, Jean-Louis Vincent, PROFESSEUR de soins intensifs (ULB), CHEF du Service des soins intensifs à l’hôpital Érasme, parue dans le journal Le Soir du 25 février 2014.

Sur la situation en Belgique :

« Sachant qu’en soins intensifs, la mort fait généralement suite à une décision d’arrêt du support des organes, et que cette procédure est souvent accompagnée d’une augmentation des doses de calmants, l’euthanasie non demandée dépasse très largement les quelque mille cas d’euthanasie demandée qui sont enregistrés par an en Belgique. Soyons clair : il ne s’agit pas ici d’augmenter les médicaments pour empêcher toute douleur ou des calmants pour prévenir l’agitation ou l’anxiété, mais bien d’administrer des doses importantes de calmants pour précipiter la mort lorsque la qualité de vie est devenue insuffisante. Ces malades ne sont pas suffisamment conscients pour faire une demande explicite; ils ne sont pas non plus dans un état de souffrance incontrôlable; ces interventions actives ne sont rapportées à aucune Commission.

Il est permis de penser que ce médecin a procédé ainsi lorsque, lui, a jugé, que la qualité de vie du patient est devenue insuffisante. Au diable le consentement… La seule chose qu’il trouve embêtante, c’est que, même si cela se pratique couramment, ce n’est pas légal.

Il se pourrait bien qu’un jour quelqu’un (un ignorant ou un incompétent probablement) le poursuive parce qu’il ne serait pas d’accord avec son jugement sur la qualité de vie du patient.

D’où l’importance de protéger les médecins contre ces objecteurs qui se mêlent de ce qui ne les regarde pas. Un médecin peut juger si votre vie mérite encore d’être vécue ou si elle mérite d’être supprimée.

Si votre famille est d’accord, on vous expédie pendant que vous pensiez n’être que sur les calmants. Voilà. C’est simple n’est-ce pas? Et terriblement efficace…

Selon ce médecin, la Société belge des soins intensifs partage sa préoccupation…

Pour lire un excellent commentaire de cette lettre ainsi qu'une photo de l'article, paru sur le site mediapart.fr du 13 mars 2014, avec pour titre « Euthanasie en Belgique : allez-y, vous n'en reviendrez pas ! », cliquez ici.

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Les crimes contre les personnes homosexuelles sont inacceptables. Tout comme la censure

Le voyageur au-dessus de la mer de nuages de Caspar David Friedrich. Source : Wikimedia sans copyright)

Campagne Québec-Vie est l’un des seuls médias d’information au Québec à avoir conservé sa liberté de pensée et son esprit critique sur le phénomène de l’omniprésence dans nos médias de l’idéologie prônée par les lobbys gais: l'homosexualisme. Rappelons que selon Statistique Canada, moins de 2 % de la population canadienne se revendique comme étant une personne attirée par les personnes de même sexe, contrairement à l’affirmation sans fondement scientifique si souvent avancée de 10 %.

Cette liberté qui nous a permis à maintes reprises de dénoncer les faussetés et demi-vérités sur l’homosexualité nous a valu parfois l’épithète d’« homophobe », actuellement le terme le plus utilisé dans le monde médiatique pour intimider quiconque pourrait avoir une pensée critique et scientifique sur le sujet. Voici quelques articles que nous avons transmis aux lecteurs du site.

-Pourquoi il faut faire flotter le drapeau russe au-dessus du parlement! 

-Est-il permis de critiquer l’homosexualité en 2012?

-« L'Église a tout compris de l'homosexualité »

-La vie réelle des hommes « gais »

-Un témoignage qui ne sera pas joint à la propagande des lobbys gay dans nos écoles

-L'homosexualité : un dur combat intérieur

-De l'homosexualité à l'hétérosexualité : c'est possible! 

-Un nouveau document des évêques canadiens sur l'homosexualité

-L'homoparentalité dénoncée par des scientifiques : "les enfants élevés par des lesbiennes sont les plus mal lotis." 

-« Homoparentalité » : une nouvelle étude montre que les enfants réussissent moins bien à l'école 

-Les risques pour les enfants de l'homoparentalité

etc.

Il ne nous a jamais semblé nécessaire de traiter la question du respect que tous doivent aux personnes homosexuelles, parce que pour nous, cela a toujours été une évidence. Nous dénonçons avec fermeté les injures, les insultes, l’intimidation, les mauvais traitements, les coups et blessures, quand ce n’est pas le meurtre que peuvent subir les personnes homosexuelles, sur l’ensemble des pays de la planète.

Nous adhérons totalement à l’enseignement de l’Église Catholique qui affirme dans le Catéchisme de l’Église Catholique au no 2358 :

« Un nombre non négligeable d’hommes et de femmes présente des tendances homosexuelles foncières. Cette propension, objectivement désordonnée, constitue pour la plupart d’entre eux une épreuve. Ils doivent être accueillis avec respect, compassion et délicatesse. On évitera à leur égard toute marque de discrimination injuste. Ces personnes sont appelées à réaliser la volonté de Dieu dans leur vie, et si elles sont chrétiennes, à unir au sacrifice de la croix du Seigneur les difficultés qu’elles peuvent rencontrer du fait de leur condition. »

Ce respect et cette compassion ne signifient en aucune façon que nous adhérons à la censure des grands médias occidentaux qui interdit toute réflexion critique  --qui est taxé « d’homophobe »-- sur le phénomène de la propagation de l'homosexualisme dans nos sociétés, propagation qui n'a pas d'autre but que de détruire les liens naturels qui unissent la famille traditionnelle.

Nous croyons que les actes homosexuels ne respectent pas la finalité de la sexualité humaine, d’une affectivité et d’une sexualité vécue dans une complémentarité véritable.

Nous croyons que le mode de vie « gay » n’est sain pour personne et qu’il faut chercher les causes de cet attrait pour les personnes de même sexe pour pouvoir, si possible, y remédier par des thérapies qui ont, pour certains, déjà fait leurs preuves. Qu’un organisme y ait renoncé ne remet pas en cause le taux de réussite bien supérieur au taux de réussite des organismes anonymes combattant l’alcoolisme ou la toxicomanie.(Pour en savoir plus sur le  sujet, nous vous invitons à consulter la section « Question fréquemment posées » du site tavietonchoix.org.)

Le déni québécois et occidental et le refus d’écouter les milliers de témoignages de personnes sorties du mode de vie « gay » ne peuvent être considérés comme des attitudes scientifiques, mais relèvent plutôt d’une idéologie voulant censurer la réalité : pour plusieurs membres de la communauté « gay » il est possible de choisir de cesser d’être « gay ». Et pour plusieurs, il est possible d'y réussir.

Pour ceux qui malgré tout n'y parvienne pas, il existe des réseaux de soutien et d'amitiés chastes les soutenant dans cette vie difficile de célibat non choisi. Ils pourront consulter une liste d'organismes qui pourront les aider dans leurs démarches.

Campagne Québec-Vie continuera d’exposer la recherche sur le sujet. Parce que la complémentarité sexuelle est la base de la famille, base de la société et que cet enjeu est primordial pour le respect de la dignité des enfants. Une famille, c’est un père et une mère. Pas des pères sans mères, des mères sans pères, un ensemble de parents innombrables et fluctuants. Toute nouvelle construction « familiale » est une atteinte aux droits de l’enfant.

L'homosexualité en elle-même n'apporte rien au bien commun d'une société.

Et nous nous réservons le droit et le devoir de traiter de tout ce qui touche de près à la culture de la Vie! Voir l'article : "Vous prenez position sur nombre de sujets qui ne vous touchent pas" -- Un lecteur questionne nos choix.

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« Quand la DPJ utilise la justice »

Il est permis de s'interroger sur le travail de la DPJ. N'a-t-elle aucune alternative que d'enlever les enfants aux parents dans le cas de Lev Tahor? Des préjugés anti-religieux selon lesquels les enfants des croyants seraient endoctrinés, (alors que ceux des athées ne le seraient pas) ont-ils une influence dans leurs décisions. Une lectrice nous fait parvenir cette lettre de réflexions :

(Photo : InsideMyShell sur flickr.com, licence creative commons)

Quand la DPJ utilise la justice

Trios enfants du Lev Tahor, regroupement Juif ultra orthodoxe sont hospitalisés ayant entamé une grève de la faim pour protester contre la façon dont ils sont traités par la DPJ et parce qu’ils doivent vivre séparés contre leur gré de leurs parents qu’ils souhaitent retrouver nous donnent tout une leçon de courage.

La DPJ, ayant fréquemment défrayé les manchettes ces dernières années n’aurait-elle pas trouvé là une façon de redorer son blason, au détriment de personnes vulnérables, des minorités visibles qui ne connaissent pas nos façons de vivre et ne parlent même pas notre langue? De par ce fait, ils et elles sont déjà très isolés (es) du reste de la société.

Ces enfants souhaitent ardemment retrouver leurs parents et les aiment véritablement. Se pourrait-il que beaucoup plus de tort ait été causé à ces familles et à ces enfants par la DPJ elle-même et son intransigeance légendaire que par leurs parents?

Se pourrait-il qu’il y ait des gens sur cette terre qui n’ont jamais trouvé leur place sur la terre, une place digne et respectée comme ils et elles sont? On n’a pas à être tous et toutes pareils (les) et être ce que les autres veulent que nous soyons. Il en est exactement de même pour les personnes et enfants trisomiques à qui personne ne veut laisser leur place, une place respectée et aimés(es) comme ils et elles sont et non pas comme certains et certaines voudraient qu’ils et elles soient.

Je pense que l’on devrait tout de suite rendre ces enfants juifs à leurs parents pour leur bien et par respect pour la différence et l’unicité extraordinaire des gens et des peuples. On n’a pas à être tous homogènes.

Lorsque les Nations Unies ont été créées après la Deuxième Guerre mondiale, tous les pays avaient décrété que plus jamais cela ne devait se reproduire. Durant cette guerre plusieurs millions de Juifs et plus de 250,000 enfants et adultes handicapés (es) ont été d’abord été victimes d’intolérance puis ciblés (es) puis ensuite tués (es).       

Les particularités et les différences uniques à chaque individu et particulières et uniques à chaque peuple sont de très grandes richesses et n’ont pas à être exterminées, ni homogénéisées.

Protégeons les libertés individuelles qui enrichissent le monde par leur unicité et leur différence. Protégeons le Québec et le monde contre l’intégrisme athéiste imposé par la force et l’intolérance à la diversité et l’unicité des individus et des peuples. Ils et elles sont une très grande richesse.

Jocelyne Gagnon, le 12 mars 2014

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Le Parti Québécois accepte comme candidate quelqu'un pour qui le baptême et la circoncision sont des « viols »

Sur le site du Journal La Presse du 13 mars 2014 :

(Ce n'est pas en engageant des candidats colportant des ragots de taverne que le Parti Québécois pourra atteindre son précédent objectif...)

(Photo : jeanpierrelavoie sur flickr.com, licence creative commons)

Le baptême et la circoncision, c'est du viol. La nourriture cachère, qui permet aux rabbins de s'en mettre plein les poches, finance les opérations guerrières juives et islamistes. Il faudrait interdire aux jeunes filles de porter le voile à l'école. Telles sont quelques-unes des positions passées de Louise Mailloux, candidate péquiste dans Gouin, qui persiste, signe, mais refuse d'en dire davantage.

Par sa tolérance envers un fanatisme athée aussi inacceptable, le Parti Québécois illustre quelle est la véritable nature de sa charte: Une haine des religions que l'on tente de camoufler sous le terme ici trahi de « laïcité ».

Louise Mailloux affirme être entrée en politique pour défendre la charte de la « laïcité » qui répond à ses attentes. Si des gens de la trempe de Mme Mailloux sont satisfaits du document, c'est un autre signe de son caractère attentatoire aux libertés individuelles reconnues internationalement, telles que les libertés de conscience et de religion.

Lise Ravary revient de nouveau sur le cas de Louise Mailloux, dans le Journal de Montréal du 13 mars 2014 :

Pour Louise Mailloux, les gens qui croient en Dieu seraient des ennemis du bien commun : «Est-ce que Dieu existe ?» demande-t-elle dans son livre La laïcité imposée. «Cette question est futile et inintéressante. Ne vous préoccupez pas de savoir si Dieu existe ou non, mais occupez-vous plutôt de ceux qui y croient. Parce que ces gens-là ne rigolent pas, qu’ils vont tout rapetisser et qu’eux, ils existent.»

Selon un récent sondage CROP, 59 pour cent des Québécois disent croire en Dieu.

(...)

Dans son livre, elle applaudit, avec raison, l’entrée des femmes sur le marché du travail, dans le sillon de la Révolution tranquille, mais se réjouit en même temps que cette nouvelle réalité a «sapé le socle de la famille traditionnelle».

Qu’est-ce qu’elle a de si mauvais la famille traditionnelle pour que la candidate du PQ se réjouisse de la voir affaiblie ?

Quand on pense que Mme Mailloux a été choisie pour expliquer au « George Washington Union of freemasons of North America » la situation de la laïcité au Québec! Pauvres franc-maçons... :

11.24.2011 - TBO et Laïcité à la loge RZ


Dimanche dernier, le 20 novembre la loge Raoul Zetler organisait à Montréal une TBO avec comme conférencier le franc-maçon, venu de France, et co-directeur du « Dictionnaire de la Laïcité » Marc Horvitz. Notre F:. a offert aux personnes présentes une rétrospection de la Laïcité en France et un portrait de la situation actuelle en France et à travers le Monde. Louise Mailloux, auteure du livre «La Laïcité, ça s’impose!» qui assistait à la conférence, en a profité pour dresser un portrait de l’état de la Laïcité au Québec avec ses hauts et ses bas.

La déesse « Laïcité » avec un grand « L » s'il-vous-plaît...

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Comment une panne de voiture et la prière ont sauvé la vie de mon bébé à naître

par Susanna Rose, traduit par Campagne Québec-Vie

WEST CHESTER, Pennsylvanie, 7 février 2014 (LifeSiteNews.com) — Une femme qui songeait à l’avortement raconte que Dieu a utilisé une panne de transmission et les prières ferventes des conseillers de trottoir pour les empêcher, elle et son mari, d’avorter leur fils de 18 semaines.

Cartier, 21 ans, et son mari vivent dans un logement social du gouvernement, en Pennsylvanie. Ils avaient déjà quatre enfants lorsque Cartier a découvert qu'elle était de nouveau enceinte et elle craignait qu'ils ne soient expulsés de leur appartement en raison de la limite d'occupation de six personnes. Ils ont décidé d'aller à une clinique de Planned Parenthood à West Chester, près de Philadelphie, pour un avortement.

Il s’agissait d’un deuxième avortement pour Cartier, qui a subi le premier en 2012. Comme elle l’a dit à Christian News Network, « Je suis allée à Planned Parenthood parce que j’étais coincée dans mon propre monde à faire tout ce que je voulais. J'étais en train d’aller chercher un autre avortement. »

Quand elle et son mari sont arrivés à la clinique d’avortement, les conseillers de trottoir étaient à l'extérieur en train de prier et prêts à offrir des alternatives aux femmes. Cartier dit qu'elle et son mari ont évité les conseillers quand ils sont entrés.

Une fois à l'intérieur, Cartier a bientôt découvert qu'elle ne pouvait pas avoir un avortement à la clinique de West Chester, car elle était déjà enceinte de 18 semaines. Elle devrait aller à une autre clinique, à Cherry Hill au New Jersey, à la place.

Environ une heure après leur arrivée, la conseillère de trottoir Mary Ellen Caris se rappelle avoir vu le couple sortir du bâtiment. Ils sont montés dans leur auto, prêts à faire la route jusqu’au New Jersey ; mais tout à coup, la transmission de la voiture est tombée en panne, juste devant les conseillers de trottoir. Le mari de Cartier a réussi à la redémarrer et à tourner le coin, mais la voiture a rendu l’âme une fois de plus et n’a plus bougé.

Cartier et son mari n’en revenaient pas. Ils venaient de dépenser 500 $ en réparations sur la voiture la semaine précédente et ils n’auraient pas dû avoir ces problèmes.

Cartier a raconté : « Tout le temps que mon mari et moi étions dans l’auto, nous n’arrêtions pas de nous dire : “Et si c'était Dieu? Et s’il était en train de nous dire quelque chose?’’ »

Les conseillers ont offert de ramener le couple à la maison, mais leur ont fait promettre de visiter d'abord le Centre de services aux femmes du comté de Chester à Coatesville, en Pennsylvanie. Cartier a accepté, un peu à contrecœur; et bientôt ils étaient en chemin.

Beaucoup de prières ont été dites pour le couple pendant qu’ils arrivaient. Lisa Thomas, la directrice du centre des femmes, a parlé à Cartier dans son bureau. Soudain, Cartier a fondu en larmes. Elle a décidé d’envoyer un message texte à sa mère pour lui dire qu'elle était enceinte et elle a été surprise de recevoir une réponse la félicitant. Cartier ne s'attendait pas à une réponse positive.

Après l’échographie, Cartier a su qu'elle ne pouvait pas choisir l'avortement. Elle dit à son mari : « Oh mon Dieu, je ne peux pas faire ça. »

La logistique pour garder leur bébé semblait ardue. Ni Cartier ni son mari n’avaient d’emploi. Et maintenant, ils n'avaient même plus de véhicule.

Donc, ils ont prié pour que Dieu réponde à leurs besoins.

L’aide concrète est venue rapidement. Ils ont reçu une camionnette quand quelqu'un a entendu dire que leur voiture était hors d’usage. Cartier a reçu un appel disant qu’une personne de l'église qu’ils avaient commencé à fréquenter voulait que l'église bénisse leur bébé. « Tout ce que vous avez à faire c’est de venir, et les gens vont vous acheter tout ce dont vous avez besoin pour le bébé », a-t-on dit à Cartier.
Le couple a continué à recevoir de l'aide. « Chaque fois que nous n'avons plus de nourriture dans notre maison, quelqu'un nous apporte de l'épicerie », dit Cartier. « Chaque fois que nous pensons : “Comment allons-nous nous rendre là?”, parce que nous n'avons plus d’essence dans la voiture, quelqu'un dit : “Oh, l'église vous donne une carte d'essence, pour que vous puissiez mettre de l'essence dans votre voiture.’’ »

Bébé Roman est né le 4 décembre. Cartier et son mari, qui sont devenus des chrétiens « nés de nouveau », disent qu'ils doivent tout à des contretemps miraculeux et à l'amour de Son peuple.

La conseillère Mary Ellen Caris a ce mot d’encouragement pour les chrétiens qui veulent prendre soin de ceux qui envisagent l'avortement : Dieu travaille dans le cœur des gens pour lesquels nous prions pour qu’ils soient prêts à accepter l'aide qui leur est offerte. « Et même s’il est très important de prier dans nos coins de prière, nos maisons et nos églises au sujet de l’avortement, être présent physiquement aux portes de l'enfer est indéniablement l'une des choses les plus puissantes que vous puissiez faire », dit-elle.

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Une ancienne travailleuse dans un avortoir : « C’était un lieu mauvais, où régnait la cupidité, un endroit très triste. »

par Kirsten Andersen, traduction de Campagne Québec-Vie

INDIANAPOLIS, 14 février 2014 (LifeSiteNews.com) — Une ancienne travailleuse de Planned Parenthood s’est confiée à un journal diocésain dans une entrevue captivante où elle a livré le fond de son cœur. Elle raconte qu'elle a été choquée par les horreurs dont elle a été témoin au cours des deux années pendant lesquelles elle a travaillé dans le plus grand centre d'avortement de l'Indiana.

Marianne Anderson est infirmière; elle aidait les avorteurs de Planned Parenthood en administrant une sédation partielle aux femmes qui avaient payé un supplément pour ce luxe. Elle a déclaré au journal The Criterion qu'elle a vu de nombreuses femmes poussées à subir un avortement dont elles ne voulaient pas, y compris des filles mineures.

« Une jeune fille est venue avec sa mère », a dit Anderson au journal. « Elle avait environ 16 ans. C’était sa mère qui avait pris le rendez-vous. Ce n'est pas censé se passer comme ça. La patiente seulement est censée prendre le rendez-vous. Lorsque je l'ai accueillie, elle pensait qu'elle était là pour un examen prénatal. La mère faisait pression. Elle avait piégé sa propre fille. »

Une autre fois, a dit Anderson, « Un type a amené une fille coréenne. Il n’y avait aucun doute dans mon esprit que cette fille était une esclave sexuelle. Le type ne voulait pas la quitter d’une semelle. Ils pouvaient à peine communiquer. Il voulait faire tous les arrangements. Au cours de l'échographie, elle a dit à l'une des infirmières qu'il y avait beaucoup de filles dans la maison, et que l'homme les frappait. Elle n'est jamais revenue pour l'avortement. Je me suis toujours demandé ce qu’elle était devenue. Une de mes collègues a dit : “Vous feriez mieux de laisser faire.” »

Lorsque des femmes pleuraient pendant l'avortement, a dit Anderson, l’avorteur Michael King les humiliait. « Ces filles commençaient à pleurer sur la table, et le Dr King disait : “ Vous avez choisi d'être ici. Restez tranquille. Je n'ai pas de temps pour ça. ‘’ »

« Un des médecins, quand il était dans la salle des “produits de conception ‘’, parlait à l'enfant avorté tout en cherchant ses morceaux . ‘’ Allez, petit bras, je sais que tu es ici! Arrête de te cacher de moi! ‘’ Cela me donnait mal au cœur », a déclaré Anderson. « Le bruit que fait la machine d'aspiration quand on la démarre me hante encore. »

Anderson a dit au journal The Criterion qu’elle avait accepté ce travail à la clinique parce qu'elle croyait que puisque les femmes ont des avortements, elles devraient être en sécurité à ce sujet.

Mais Anderson a rapidement abandonné ses illusions de sécurité. « J’ai commencé à me sentir mal à l'aise de travailler là quand les gens du bureau national de Planned Parenthood (situé à New York) sont venus nous enseigner le processus de sédation consciente », a dit Anderson au journal. « C'était dégoûtant. Ces deux dames ne cessaient de répéter le slogan : “Avortements tout le temps!” ». J'ai alors pensé : ‘’Je dois sortir d'ici." C'était environ six à huit mois après avoir débuté. »

Anderson a déclaré  que son expérience globale de travail pour Planned Parenthood  a été «complètement démoralisante ».

«C'était un lieu mauvais, où régnait la cupidité, un endroit triste, très triste où travailler », dit-elle. «Je m'attirais toujours des ennuis à parler trop longtemps aux filles, leur demandant si elles étaient sûres de vouloir avorter. »

« Les cliniques doivent faire un certain nombre d’avortements chaque mois pour rester ouvertes », a déclaré Anderson. « Lors de nos réunions, ils nous disent : ‘’Si les avortements diminuent, vous pourriez être renvoyées à la maison plus tôt et ne pas avoir autant d’heures. " »

Anderson s'est finalement échappée de son travail à Planned Parenthood avec l'aide d’Abby Johnson, une ancienne directrice de Planned Parenthood qui dirige l'organisme de bienfaisance And Then There Were None, qui se consacre à aider les travailleurs de cliniques d'avortement à quitter l’industrie. Après avoir lu le livre de Johnson, Unplanned, Anderson a rejoint Johnson via les médias sociaux et lui a dit qu'elle voulait quitter.

Johnson l'a mise en contact avec Eileen Hartman, une dirigeante pro-vie locale qui est  immédiatement passée à l'action, aidant Anderson à polir son curriculum vitae et organisant des entretiens d'embauche avec les hôpitaux et les médecins locaux.

Anderson a été congédiée par Planned Parenthood en juillet 2012, mais elle a été immédiatement embauchée par Community North Hospital, où elle est maintenant infirmière. « J'étais en colère parce que je voulais démissionner », a déclaré Anderson. Mais elle a ajouté : « J'aime mon travail maintenant. Je travaille avec des personnes merveilleuses et chrétiennes. J'adore, tout simplement. »

Pour surmonter les remords qu’elle ressent d’avoir aidé les avorteurs à enlever la vie à des bébés pendant deux ans, Anderson a participé à une retraite mise sur pied par le groupe de Johnson; et elle prie maintenant tous les jours pour les bébés à l’avortement desquels elle a participé.

Il a fallu un certain temps pour qu’Anderson décide de rendre publique son histoire, mais maintenant qu'elle l’a fait, elle dit qu'elle est prête à revenir à Planned Parenthood. Cette fois, elle sera conseillère de trottoir, priant pour les femmes qui sont tentées de se faire avorter et les encourageant à choisir la vie.

Lire l'interview complète avec Marianne Anderson sur le site de The Criterion.

 

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Les avortements sélectifs comme prémices au viols collectifs en Inde...

Sur le site de euronews.com du 8 mars 2014 :

(Plus de jeunes garçons que de filles en Inde...)

(Photo : fargomeD sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

“Beaucoup de crimes sexuels en Inde se produisent en raison de nombre moins important de filles que de garçon dans le pays. Les jeunes garçons ne sont pas en mesure de se marier, en particulier dans le nord de l’Inde. Le fœticide féminin et I’infanticide de filles sont en cause”, explique Rishi Kant, militant pour le droit des femmes.

En effet, d’après le recensement de 2011, l’Inde compterait 37 millions d’hommes de plus que de femmes. Le pays a l’un des ratios hommes-femmes les plus déséquilibrés au monde.

Ce déséquilibre est dû en partie aux avortements sélectifs de fœtus féminins. La loi de 1994 interdisant le diagnostic prénatal pour connaître le sexe de l’enfant n’est pas vraiment respectée et naître fille en Inde est un handicap.

Il y a eu douze millions d’avortements de fœtus féminins au cours des trois dernières décennies, en Inde, selon le Centre de recherche en santé mondiale de Toronto.

Ce n'est pas le diagnostic prénatal qu'il faut interdire, mais l'avortement.

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61 enfants sauvés aux 40 Jours pour la Vie!

Sur le site de Riposte  Catholique du 11 mars 2014 :

C’est la bonne nouvelle du jour ! Au septième jour de la campagne de Carême lancée Mercredi des Cendres, 61 enfants à naître ont déjà été sauvés de l’avortement grâce à la présence paisible et priante des vigiles devant 253 avortoirs, grâce aux “conseillers de trottoirs” qui proposent aux mamans qui envisagent l’avortement des solutions concrètes pour qu’elles y renoncent, grâce aux jeûneurs, et grâce, aussi, aux “prières de l’arrière” de ceux qui, sans participer sur place aux vigiles, prient aux intentions des 40 Days for Life. (...)

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