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Médias et CDC occultent le fait que la «flambée» de covid de juillet avait pour épicentre un village de vacances LGBT

Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Fabio/AdobeStock

3 août 2021, Provincetown, Massachusetts (LifeSiteNews) — Les Centers for Disease Control (CDC) ont semé la panique cette semaine lorsqu’ils ont révélé qu’au cours de la première moitié du mois de juillet, il y avait eu un pic important de cas de COVID-19 [ce qui ne signifie pas grand-chose*] émanant d’une pittoresque destination touristique de bord de mer, où 74 % des personnes infectées étaient des personnes entièrement vaccinées.

Pourquoi une éclosion épidémique s’est-elle déclarée dans ce petit village situé à l’extrémité de Cape Cod et non dans l’une des milliers d’autres stations balnéaires qui bordent les côtes américaines ou dans tout autre lieu de fête, urbain ou rural ?

Ce que le CDC ne mentionne pas dans son rapport, et que les médias grand public veulent vous faire oublier, c’est à quel point Provincetown est différente de la plupart des autres stations balnéaires.

Provincetown est la Mecque américaine des vacances d’été pour les LGBT, et pendant les deux semaines qui se sont écoulées entre le 3 et le 17 juillet, lorsque les cas se sont multipliés, des dizaines de milliers de gays ont envahi la station balnéaire.

Le CDC, les médias nationaux et la Maison-Blanche occultent tous l’évidence afin de déclencher une nouvelle obligation de port de masque et d’autres mesures strictes de confinement : ce n’est pas une question de masques insuffisants ou de confinement. Il s’agit de ce qui se passe lorsque des milliers d’hommes convergent pour se livrer à la sodomie récréative.

Le CDC

Les personnes qui ont contracté le COVID-19 ont déclaré « avoir assisté à des événements intérieurs et extérieurs très fréquentés dans des lieux tels que des bars, des restaurants, des chambres d’hôtes et des maisons de location », indique le rapport du CDC, qui ne s’interroge pas sur le rôle que les rapports sexuels décontractés et souvent anonymes entre hommes ou groupes d’hommes ont pu jouer dans la transmission du redoutable virus.

Remarque : qu’est-ce qui est le plus susceptible de faciliter la transmission du COVID-19 : des personnes sans masque rassemblées pour le 4 juillet — ou des milliers de rencontres homosexuelles avec des inconnus et des connaissances ?

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À la fin de son rapport alarmant, le CDC fait allusion à la vérité, mais ne la dit jamais : « Les données démographiques des cas reflètent probablement celles des participants aux rassemblements publics, car les événements étaient destinés aux hommes adultes ; une étude plus approfondie est en cours pour identifier d’autres caractéristiques de la population parmi les cas, telles que d’autres caractéristiques démographiques et des conditions de santé sous-jacentes, y compris des conditions d’immunodépression ».

Remarque : le CDC a soigneusement évité d’utiliser les termes homosexuel, gay, ou hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, et a plutôt employé une terminologie ambiguë, niant l’évidence. Pourquoi ?

La Maison-Blanche

« La conclusion la plus importante... est en fait assez simple. Il faut que plus de gens se fassent vacciner », a déclaré Karine Jean-Pierre, porte-parole de la Maison-Blanche, à la suite du rapport du CDC.

Remarque : voici une conclusion plus simple pour l’administration Biden : Les grands rassemblements publics où le libertinage est pratiqué devraient être déconseillés.

Le Washington Post

« Ce que cela nous dit, c’est que nous avons besoin de connaître davantage le contexte et de meilleures données pour déterminer si et quand les personnes vaccinées doivent porter des masques, car suivre les nouvelles directives du CDC n’aurait pas empêché cette flambée de se produire », a déclaré au Washington Post Jennifer Nuzzo, épidémiologiste à l’école de santé publique Johns Hopkins Bloomberg.

Remarque : Mme Nuzzo a à moitié raison : « Les nouvelles directives du CDC n’auraient pas empêché cette épidémie de se produire » [on ne peut pas non plus empêcher un test PCR de donner n’importe quoi comme réponse.*] parce qu’elles ne conseillent pas aux hommes adultes d’éviter les rencontres sexuelles […]

Voilà le « contexte » que vous prétendez ne pas connaître, Mme Nuzzo.

« Il n’y a pas une seule personne ou un seul endroit à blâmer ici », a déclaré Daniel Park, chef du groupe de génomique virale computationnelle au Broad Institute, selon le Washington Post.

Remarque : parmi les dizaines ou centaines de milliers de célébrations du 4 juillet dans le pays, et les milliers de stations balnéaires le long des côtes américaines et dans nos montagnes, il n’y a eu qu’un seul lieu d’explosion virale COVID-19 en juillet : Provincetown.

CNN

« Supprimer l’obligation de porter un masque était une “erreur” au départ », a déclaré Debbie Nadolney, directrice et conservatrice de l’AMP Gallery de Provincetown, « et elle espère que d’autres régions du pays apprendront de l’expérience de la ville et exigeront des masques en plus de faire pression pour plus de vaccinations ».

Remarque : peut-être que mettre de côté les inhibitions sexuelles, et non les masques, était la véritable erreur.

Mme Nadolney avait tout à fait raison lorsqu’elle a observé que « Provincetown est un endroit si petit, mais il est évident que nous avons été une boîte de Pétri pour le pays ». Espérons que ce ne soit pas de la même manière que Wuhan, en Chine, a été une boîte de Pétri pour le monde.

« Si vous prévoyez voyager et que vous n’êtes pas vacciné, s’il vous plaît, s’il vous plaît, ne venez pas à Provincetown », a déclaré Ken Horgan, un hôtelier de Provincetown. « Nous prenons vraiment notre santé au sérieux et pour que nos entreprises locales survivent, nous devons rester opérationnels. Et pour rester opérationnels, nous devons rester en bonne santé ».

Remarque : diriger un établissement où la sodomie est une pratique régulière ne reflète pas exactement une attitude sérieuse en matière de santé.

Le New York Times

Le Times décrit Provincetown comme « une station balnéaire excentrique à l’extrémité de Cape Cod », une communauté de « gens du Nord-Est gauchistes et soucieux de leur santé, connue comme la Mecque des vacances pour les hommes gais », avec « l’un des taux de vaccination les plus élevés du pays, supérieur à 95 % parmi les résidents permanents ».

Remarque : « gai » est un euphémisme, qui cache une vérité plus sombre qui a été occultée avec succès : les « gens du Nord-Est de gauche » qui gravitent à Provincetown sont des hommes qui pratiquent la sodomie.

« Le week-end du 4 juillet... Environ 60 000 personnes s’étaient entassées sur une étroite langue de terre, où beaucoup se rassemblaient, en sueur, sans masque, sur des pistes de danse et dans des fêtes privées », poursuit le Times.

Remarque : le Times omet des activités autres que « danser » et « se rassembler » qui pourraient avoir conduit à la transmission du COVID-19 : des pratiques courantes comme la fellation ou la sodomie, et bien d’autres choses encore qui ne peuvent être décrites dans les pages de LifeSite.

Le médicament quotidien PrEP [pour prévenir le VIH] altère-t-il l’efficacité du vaccin et autres questions

Le CDC a peur d’identifier les « caractéristiques démographiques » des « participants masculins adultes » qui ont envahi Provincetown début juillet. Plutôt que de recommander immédiatement à ce petit segment de la population de restreindre l’activité sexuelle non monogame, le CDC a rapidement détourné l’attention de la nation sur le port du masque, prenant la posture d’organiser le réarmement des mandats de port de masque contre l’ensemble de la population américaine.

Les principaux médias n’expriment aucune curiosité à l’égard de l’omission du CDC et n’abordent pas non plus la singularité de ce qui se passe à Provincetown.

L’épidémie de Provincetown soulève des questions évidentes :

  • Le rapport du CDC néglige le rôle que le contact sexuel a pu jouer. Est-il vrai que les contacts sexuels non conjugaux ne transmettent pas le COVID-19 ? Se tenir à un mètre ou deux d’une personne dans un lieu public sans porter de masque est-il beaucoup plus dangereux que de se livrer à la sodomie ?
  • Les médicaments tels que PrEP, que de nombreux homosexuels actifs prennent quotidiennement afin de se prémunir contre le VIH/SIDA tout en continuant à avoir des relations sexuelles avec de multiples partenaires, inhibent-ils l’efficacité du « vaccin » expérimental COVID ?
  • Du 10 au 17 juillet a lieu, d’habitude, le plus grand événement « Bear » du monde, « Ptown [Provincetown] étant envahi […] de gros hommes ». L’obésité ou une autre caractéristique commune diminue-t-elle l’efficacité de la « vaccination » COVID ?

[Une double arnaque : si le covid est dangereux et transmissible comme on nous le dit, il est évident que ce sont les relations sodomites de ce village « gay » qui a lancé cette « flambée » de « cas » covid ; mais d’autre part, comme un « cas » covid ne signifie pas grand-chose, les autorités essaient de terroriser la population avec du vent.*]


*Commentaires d’A. H.



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