Boston va accorder un congé payé de 3 mois aux employées de la ville qui se font avorter
Michelle Wu, nouveau maire de Boston.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran sur YouTube
19 novembre 202, Boston, Massachusetts (LifeSiteNews) — Les employées de la ville de Boston peuvent maintenant obtenir trois mois de congé payé après un avortement.
En effet, depuis deux mois, les employés de la municipalité peuvent obtenir des congés après un avortement grâce à une modification du congé parental promue par Michelle Wu, le maire nouvellement élu de Boston. Mme Wu a prêté serment le 16 novembre 2021.
L’amendement adopté en septembre « modifie l’ordonnance actuelle en appliquant la prestation de congé parental payé aux parents qui ont subi une perte de grossesse ».
« L’adoption de cette ordonnance permettrait aux employés de la ville (parents) de bénéficier d’une prestation de congé parental payé en cas de naissance naturelle, quelle que soit la méthode utilisée, d’adoption, de maternité de substitution et de perte de grossesse. Le dossier #0481 étendrait également le congé parental payé de six semaines à douze semaines », indique la nouvelle politique.
Mme Wu a proposé pour la première fois d’inclure l’avortement dans la catégorie « perte de grossesse » en mars de cette année.
« Les conseillers municipaux cherchent à modifier le libellé de la loi pour y inclure la notion de “perte de grossesse”, couvrant ainsi les fausses-couches, les interruptions de grossesse, les cas de dilatation et d’extraction et d’autres situations relevant de la présente politique », rapportait le Boston Globe en mars.
Les partisans de cette modification ont invoqué les effets dévastateurs d’une fausse-couche, qui n’est pas intentionnelle, pour justifier la politique plus large de l’avortement, qui est le meurtre intentionnel d’un bébé.
Lire la suiteL’hôpital faisait pression sur une femme âgée, atteinte du covid, pour qu’elle fût mise sous respirateur — elle a refusé et se porte mieux
Janet Aldricht.
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie
Hamilton, Massachusetts, 20 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Après une période éprouvante de neuf jours au cours de laquelle on lui a refusé un traitement contre le COVID-19 et la pneumonie, et où elle a été véritablement séparée de sa famille, Janet Aldrich est sortie de l’hôpital.
Pendant neuf jours, Janet Aldrich, 78 ans, s’est vu refuser les soins qu’elle demandait pour ses problèmes de santé potentiellement mortels. Elle a même été placée de force en isolement après avoir révélé aux médecins qu’elle n’avait pas reçu (et ne recevrait pas) l’injection expérimentale de vaccin COVID-19.
Aldrich a été admise au Lahey Hospital and Medical Center de Burlington, au Massachusetts le 5 septembre, après avoir développé une pneumonie dans ses deux poumons. À son arrivée à l’hôpital, Aldrich a précisé qu’elle ne souhaitait pas être placée sous ventilateur, mais après avoir été testée positive au COVID-19, les médecins ont insisté pour qu’elle utilise la ventilation mécanique, lui disant que sinon elle pourrait mourir dans les 24 heures.
LifeSiteNews s’est entretenu avec une amie proche de la famille d’Aldrich, qui a déclaré que l’hôpital est devenu très hostile après qu’Aldrich ait refusé la ventilation. « Chaque jour, ils ont fait pression sur elle, l’ont intimidée, ont essayé de l’épuiser pour qu’elle accepte d’être placée sous respirateur », a-t-elle déclaré.
L’hôpital a continué à pousser Aldrich à recevoir le régime de traitement potentiellement dangereux qu’elle avait résolument rejeté pendant huit jours d’affilée. « Ils l’ont harcelée plusieurs fois par jour… Même la nuit précédant sa sortie de l’hôpital, sachant qu’elle allait rentrer chez elle, ils ont essayé de la persuader de passer sous respirateur », a déclaré la source de LifeSite.
L’amie de la famille a déclaré que le personnel de l’hôpital était au départ « très gentil et très doux avec elle ». Mais après avoir appris qu’Aldrich n’avait pas accepté le vaccin COVID, « elle dit que leur attitude a immédiatement changé ».
La sœur d’Aldrich, Patricia Lefebvre, a déclaré au commentateur conservateur et animateur de radio Jeff Kuhner qu’après qu’Aldrich ait révélé qu’elle ne prendrait pas de vaccin COVID, « l’ensemble du personnel s’est montré extrêmement hostile à notre égard, ils ne nous ont pas écoutés et n’ont pas accepté nos demandes de lui faire suivre un régime médicamenteux ».
Le médicament demandé par Aldrich a été prescrit par America’s Frontline Doctors (AFLDS) et s’est avéré efficace contre le COVID-19. Au lieu de cela, « tout ce qu’ils font [à l’hôpital Lahey], c’est lui donner une perfusion et de l’eau, elle est sous oxygène de haut niveau... et son état empire », a expliqué Lefevbre. « Ils ne veulent même pas lui donner un cocktail de vitamines ».
Lire la suiteMédias et CDC occultent le fait que la «flambée» de covid de juillet avait pour épicentre un village de vacances LGBT
Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Fabio/AdobeStock
3 août 2021, Provincetown, Massachusetts (LifeSiteNews) — Les Centers for Disease Control (CDC) ont semé la panique cette semaine lorsqu’ils ont révélé qu’au cours de la première moitié du mois de juillet, il y avait eu un pic important de cas de COVID-19 [ce qui ne signifie pas grand-chose*] émanant d’une pittoresque destination touristique de bord de mer, où 74 % des personnes infectées étaient des personnes entièrement vaccinées.
Pourquoi une éclosion épidémique s’est-elle déclarée dans ce petit village situé à l’extrémité de Cape Cod et non dans l’une des milliers d’autres stations balnéaires qui bordent les côtes américaines ou dans tout autre lieu de fête, urbain ou rural ?
Ce que le CDC ne mentionne pas dans son rapport, et que les médias grand public veulent vous faire oublier, c’est à quel point Provincetown est différente de la plupart des autres stations balnéaires.
Provincetown est la Mecque américaine des vacances d’été pour les LGBT, et pendant les deux semaines qui se sont écoulées entre le 3 et le 17 juillet, lorsque les cas se sont multipliés, des dizaines de milliers de gays ont envahi la station balnéaire.
Le CDC, les médias nationaux et la Maison-Blanche occultent tous l’évidence afin de déclencher une nouvelle obligation de port de masque et d’autres mesures strictes de confinement : ce n’est pas une question de masques insuffisants ou de confinement. Il s’agit de ce qui se passe lorsque des milliers d’hommes convergent pour se livrer à la sodomie récréative.
Le CDC
Les personnes qui ont contracté le COVID-19 ont déclaré « avoir assisté à des événements intérieurs et extérieurs très fréquentés dans des lieux tels que des bars, des restaurants, des chambres d’hôtes et des maisons de location », indique le rapport du CDC, qui ne s’interroge pas sur le rôle que les rapports sexuels décontractés et souvent anonymes entre hommes ou groupes d’hommes ont pu jouer dans la transmission du redoutable virus.
Remarque : qu’est-ce qui est le plus susceptible de faciliter la transmission du COVID-19 : des personnes sans masque rassemblées pour le 4 juillet — ou des milliers de rencontres homosexuelles avec des inconnus et des connaissances ?
Lire la suitePlusieurs États démocrates veulent permettre aux hommes se disant femmes d’être internés dans les prisons féminines
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Burst
1er juin 2021 (LifeSiteNews) — Les États bleus multiplient les projets visant à transférer les condamnés de sexe masculin qui s’identifient comme femmes dans des prisons pour femmes, malgré les récents rapports d’agressions sexuelles commises derrière les barreaux par des hommes confus au sujet de leur sexe.
La semaine dernière, les législateurs du Maine ont présenté le projet de loi LD 1044, qui exige que les prisonniers soient logés dans des établissements en fonction de leur « identité sexuelle ». Un article du projet de loi intitulé « affirmation de genre » stipule que les détenus doivent être traités « indépendamment de leur anatomie ou de leur physique » pour le logement et les « procédures de fouille ». Le comité du Maine sur la justice pénale et la sécurité publique a approuvé le LD 1044 par un vote unanime mardi dernier.
La volonté du Maine d’éliminer les prisons spécifiquement destinées à un sexe intervient dans un contexte d’intégration massive d’hommes biologiques* dans des établissements correctionnels féminins en Californie, avec peu de considération pour leur possible statut de délinquant sexuel.
Depuis que la Californie a révisé les règles pénitentiaires l’année dernière, plus de 260 détenus étant confus au sujet de leur sexe ont demandé à changer d’établissement, rapportait Breitbart en avril. La quasi-totalité des demandes émanent d’hommes souhaitant être placés avec des femmes, et aucune d’entre elles n’a été refusée en vertu de la loi, qui, comme dans le Maine, ne tient pas compte de l’anatomie.
Onze hommes, dont certains sont des violeurs ou des meurtriers, ont déjà été placés dans la Central California Women’s Facility, la plus grande prison exclusivement féminine des États-Unis, selon le World News Group.
Lire la suitePour les militants de l’avortement, les mesures « sanitaires » représentent l’occasion idéale pour atteindre leurs objectifs politiques
Par Jonathon Van Maren ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : AdobeStock
15 avril 2021 (LifeSiteNews) ― Alors que les restrictions covid-19 rendent plus difficile l’obtention d’avortements, les démocrates s’activent pour rendre le meurtre des enfants dans le ventre de leur mère aussi accessible que faire se peut. La FDA de l’administration Biden vient de rendre les pilules abortives disponibles par la poste sans consultation en personne ou supervision médicale. Cette semaine également, le gouverneur démocrate d’Hawaï, David Ige, a signé le projet de loi 576, qui autorise les infirmières en pratique avancée (APRN) à prescrire des pilules abortives et à pratiquer l’avortement par succion de fœtus « non viables », c’est-à-dire trop jeunes pour survivre hors de l’utérus.
Douze autres États autorisent déjà certaines infirmières à pratiquer ou à ordonner des avortements du premier trimestre, notamment le Vermont, le Colorado, le Maine, le Massachusetts, le Montana, la Californie, le New Hampshire, le Vermont, la Virginie et la Virginie-Occidentale. Cette décision n’est pas due à de nouvelles informations médicales — jusqu’à lundi encore, Hawaï réservait la pratique de l’avortement aux médecins — mais plutôt au fait qu’il y a une pénurie de médecins prêts à pratiquer des avortements, et que l’avortement est donc pratiquement inaccessible sur de nombreuses îles hawaïennes.
Celles qui cherchent à avorter prennent souvent l’avion pour Honolulu, la capitale d’Hawaï, sur l’île d’Oahu, où vivent et travaillent la plupart des avorteurs. Il est possible de se procurer des avortements sur l’île d’Hawaï, mais uniquement à Hilo, au nord-est de l’île.
Selon plusieurs médias, il n’y a pas d’avorteurs sur Kauai, Molokaï et Lanai, tandis qu’un avorteur se rend à Maui deux fois par mois (comme c’est le cas dans de nombreux autres États où il n’y a pas d’avorteur local). L’année dernière, lorsque les restrictions covid-19 étaient en vigueur, les avorteurs n’ont pu prendre l’avion, rendant l’avortement inaccessible pendant des mois.
Lire la suitePour un professeur, les parents sont une gêne lors des cours virtuels « sur le genre et la sexualité »…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Il s’agit pour le moins d’un professeur qui n’a cure des droits parentaux et n’a de repos que les élèves se fassent assener l’idéologie LGBT. Le professeur Matthew R. Kay, qui travaille pour l’Académie de gestion des sciences de Philadelphie, trouve peu à son goût que les parents puissent éventuellement être présents lors des cours virtuels — confinement oblige — qui traitent, notamment, de « genre » ou de « sexualité ». Selon LifeSiteNews :
« Je suis très intrigué par les dégâts que les parents “hélicoptère ou chasse-neige” pourraient faire dans des conversations honnêtes sur le genre et la sexualité », se lamente l’enseignant.
[...]
Bien que ses tweets soient privés, un usager de Twitter a publié une capture d’écran de son cortège de plaintes.
« Ainsi, cet automne, les discussions de classe virtuelle auront de nombreux spectateurs potentiels — parents, frères et sœurs, etc. — dans la même pièce », commence Kay. « Nous ne serons jamais tout à fait sûrs de savoir qui entend le discours. Qu’est-ce que cela change pour notre travail d’équité et d’inclusion ? »
« Dans quelle mesure les élèves ont-ils dépendu des barrières (quelque peu) sécurisées de nos salles de classe physiques pour l’encouragement à la vulnérabilité ? Combien d’entre nous ont installé une version de “ce qui se passe ici reste ici” pour y parvenir ? »
Kay mentionne ensuite les « conversations honnêtes sur le genre et la sexualité » comme une question dans laquelle les parents qui s’impliquent dans l’éducation de leurs enfants ne seraient d’aucune aide.
Kay l’admet : « les parents “conservateurs” sont ma principale préoccupation », mais déclare : « les dégâts peuvent venir de la gauche aussi ». Si nous sommes engagés dans le sale travail de déstabilisation du racisme, de l’homophobie ou de la transphobie d’un enfant [sic] — à quel point voulons-nous que les parents de leurs camarades de classe grossissent les rangs ? »
C’est donc un travail de sape conscient qui était en œuvre depuis un certain temps que le professeur craint de voir déranger.
Des parents rejettent l’« éducation sexuelle » de Planned Parenthood
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Shutterstock
Planned Parenthood ne s’occupe pas seulement d’exécuter des avortements, de distribuer de la contraception ou des bloqueurs de puberté (eh oui ! PP verse dans le transgenrisme aussi), mais de rédiger des cours d’« éducation sexuelle ». Mais vu ce qui y est mis et ce qui en résulte, on peut avoir quelques doutes sur les bonnes intentions de Planned Parenthood. Extrait de Church Militant :
Planned Parenthood redéfinit l’« abstinence » pour y inclure l’activité sexuelle explicite.
Worcester, la deuxième plus grande ville du Massachusetts, profondément bleu (démocrate), a été le théâtre d’une épreuve de force entre Planned Parenthood et les parents et chefs religieux sur la question de l’éducation sexuelle. En février dernier, plus de 75 de ces parents et dirigeants d’église se sont levés aux côtés du Massachusetts Family Institute, surpassant en nombre les voix en faveur de Planned Parenthood lors d’une réunion d’un comité scolaire local.
Les parents, les dirigeants d’églises et les représentants du Massachusetts Family Institute étaient là pour poser une question : que gagnerait Planned Parenthood à enseigner aux élèves des pratiques sexuelles sans risque qui réduiraient à la fois le nombre de grossesses et le nombre d’avortements ? En quoi cela profiterait-il à une entreprise qui dépend beaucoup des revenus tirés de l’avortement ?
Planned Parenthood ne voulait pas seulement redéfinir l’abstinence, il voulait introduire [dans les cours] une éducation sexuelle complète, dont un programme sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre.
Les défenseurs de Planned Parenthood ont fait valoir que leur programme d’études était adapté à l’âge, médicalement pertinent et fondé sur des données probantes. Mais lorsqu’il est lu à haute voix, comme je le fis lors de la réunion, le contenu du programme d’études paraît clairement ni adapté à l’âge ni médicalement exact.
La ville de San Francisco interdit à ses fonctionnaires de faire affaire avec 22 États pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le conseil de municipal de San Francisco a tant à cœur la défense de l’avortement, qu’il pousse son soutien à cette répugnante pratique jusqu’à mettre en place une « liste noire » de 22 États américains ayant passé des lois pro-vie, et qu’il interdit à ses fonctionnaires d’avoir des relations d’affaires avec les États en question. On fait difficilement plus ridicule que ça… extrait de LifeSiteNew :
Dans sa dernière déclaration de soutien à l’avortement -sur-demande, et de mépris pour ses opposants, la ville de San Francisco, solidement gauchiste, a annoncé une liste noire pour les fonctionnaires qui font affaire avec un des États ayant des lois « restrictives » pro-vie, ou qui s’y rendent pour des raisons professionnelles ; ce geste, qui s’élève contre près de la moitié du pays, proteste contre lesdites lois.
« Tout comme nous avons limité nos dépenses dans les États qui ont des lois discriminatoires à l’égard des personnes LGBTQ, nous nous dressons contre les États qui mettent la santé des femmes en danger et qui s’efforcent activement de limiter les libertés en matière de reproduction », a déclaré le maire de San Francisco, London Breed, selon Fox News. « En limitant les voyages et les contrats avec certains États, nous envoyons un message clair aux États qui ne respectent pas le droit à l’avortement. »
À compter du 1er janvier 2020, la liste noire s’appliquera à l’Alabama, à l’Arkansas, à la Floride, à la Géorgie, à l’Indiana, à l’Iowa, au Kansas, au Kentucky, à la Louisiane, au Massachusetts, au Mississippi, au Nebraska, au Nevada, au Dakota du Nord, à l’Ohio, à l’Oklahoma, à la Pennsylvanie, à la Caroline du Sud, au Dakota du Nord, au Texas, à la Virginie-Occidentale et au Wisconsin, qui, selon les dirigeants de la ville, ont tous « des politiques anti-choix sévères » dans les registres.
Une femme atteinte d’un cancer en phase terminale : « Le suicide assisté n’est pas la réponse »
Par Anna Reynolds (LiveActionNews) — traduction par Campagne Québec-Vie
Le Massachusetts étudie actuellement un projet de loi intitulé « An Act Relative to End of Life Options », qui légaliserait le suicide assisté dans certaines circonstances. Dans une lettre, Pauline Morris, résidente du Massachusetts, offre un point de vue souvent négligé dans le débat : celui des personnes qui ont vécu le suicide d’un être cher. Mme Morris écrit ayant examiné la législation, « je ne peux m’empêcher de penser à mon expérience du suicide. »
Il y a près de cinq décennies, le mari de Mme Morris s’est suicidé à l’âge de 31 ans, la laissant elle et leurs quatre jeunes enfants en profondément choqués. Elle reconnaît que les motivations du suicide de son mari peuvent sembler différentes de celles sanctionnées par le projet de loi proposé, mais elle affirme que « le suicide assisté demeure un suicide ». Faisant référence à des études portant sur les raisons pour lesquelles les patients recherchent le suicide assisté, Mme Morris note que les patients le désirent non pas à cause de la douleur physique, mais à cause de la souffrance existentielle, les mêmes souffrances qui ont poussé son mari à s’enlever la vie.
Alors que les défenseurs du suicide assisté considèrent cette pratique comme une « solution » à la souffrance, elle met fin à la vie d’une personne, et la souffrance ne s’arrête pas pour les proches d’un patient [euthanasié]. Mme Morris écrit : « Il y a toujours cet endroit vide où l’être aimé devrait être. Le temps ne guérit pas les blessures du suicide. Les [effets] de l’acte ne sont jamais finis pour les êtres chers laissés derrière. La douleur est permanente et a un effet de répercussion sur les générations futures. » D’autres ont exprimé des sentiments similaires.
Cet effet d’entraînement se traduit par une plus grande probabilité chez les personnes touchées par la perte [de quelqu’un s’étant suicidé] qu’elles se suicident elles-mêmes, car le suicide est contagieux. Alors que certains groupes affirment que le suicide assisté n’influence pas le taux global de suicide, d’autres ont tiré la sonnette d’alarme en affirmant que le taux de suicide chez les adolescents a doublé en Oregon, où le suicide assisté est légal et a reçu une couverture médiatique importante.
Mme Morris, qui a maintenant un cancer et dont le mari a souffert de démence, réclame des soins pour traiter la dépression des patients, au lieu de présenter le suicide assisté comme soin médical. Elle écrit : « L’expérience de chaque personne atteinte d’une maladie en phase terminale est unique, mais d’après mon expérience avec mon mari, le suicide n’est pas la solution. La légalisation du suicide assisté par surdose légale létale envoie un message : certaines vies ne valent pas la peine d’être vécues, à savoir la vie des personnes handicapées ou en phase terminale d’une maladie. »
« Arrière Satan » (Luc 4, 1-13)
Par Paul-André Deschesnes — Photo (rognée) : Wikimédia Commons
L’Amérique vient de faire un très grand pas en avant dans l’abîme de l’abomination.
Pour la première fois de son histoire, une Église satanique a officiellement pignon sur rue aux États-Unis. Reconnue comme une véritable Église, « Satanic Temple » se voit accorder tous les privilèges, comme pour toutes les autres religions.
Situé à Salem, dans l’état du Massachusetts, ce temple démoniaque invite la population à venir sur place pour participer à des cérémonies diaboliques, dites religieuses.
Nous savons très bien que le démon et les forces du Mal sont déchaînés partout sur la terre. Nos sociétés neutres, laïques et athées ont vendu leur âme au diable. Notre monde hyper corrompu nage dans le satanisme.
Devons-nous rester les bras croisés ? Absolument pas, il faut lutter contre les démons, même si grâce à la Croix, Jésus-Christ a « vaincu le prince de ce monde » (Jean 12, 31).
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