Une équipe féminine de hockey sur gazon déclare forfait plutôt que de risquer qu’un de ses membres soit blessé par un adversaire masculin
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Cavan for Adobe/Adobe Stock
18 septembre 2024 (LifeSiteNews) — Une autre équipe sportive de filles a choisi de déclarer forfait plutôt que de mettre ses membres en danger face à une équipe adverse dont un membre « transgenre » est en réalité un garçon, cette fois dans le Massachusetts.
The College Fix a rapporté que l’équipe féminine de hockey sur gazon de Dighton-Rehoboth Regional High School renonce à un match prévu contre l’école Somerset-Berkely Regional High School, citant le fait que cette dernière équipe compte un joueur biologiquement masculin.
Le directeur de Dighton-Rehoboth, Bill Runey, a défendu le choix de « donner plus de valeur à la sécurité qu’à la victoire », même en sacrifiant les « chances de remporter un championnat de ligue et éventuellement de participer aux séries éliminatoires », mais il a exprimé l’espoir que leur exemple inciterait « d’autres écoles à envisager de faire de même pour assurer la sécurité et promouvoir une concurrence loyale pour les athlètes féminines ».
Le danger n’est pas hypothétique pour cette école particulière ; l’année dernière, une joueuse de hockey sur gazon de Dighton-Rehoboth a été « gravement blessée » par un garçon, confus quant à son sexe, de l’équipe adverse de Swampscott High School, mais la directrice adjointe de la Massachusetts Interscholastic Athletic Association (MIAA), Sherry Bryant, a insisté à l’époque sur le fait que l’association avait « les mains liées en raison des poursuites judiciaires ».
Lire la suiteUn projet de loi monstrueux du Massachusetts permettrait aux mères de vendre leurs enfants à naître au plus offrant
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : tirachardz/Freepik
13 juin 2024 (LifeSiteNews) — La Chambre des représentants du Massachusetts vient de voter à l’unanimité un projet de loi monstrueux qui autoriserait ostensiblement les femmes à vendre leurs enfants à naître au plus offrant.
Cette mesure chosifie les femmes et permet de traiter les enfants comme des biens meubles — comme des objets à vendre — bien qu’aucun des législateurs ne le dise à voix haute.
Connue sous le nom de « Parentage Equality Bill » (Projet de loi sur l’égalité parentale) ou H.4672, cette loi bannit diaboliquement la vérité immuable selon laquelle les enfants doivent être élevés dans un foyer aimant par leurs parents biologiques, tout en effaçant les termes « mère » et « père », les remplaçant par « personne qui donne naissance » et « autre parent », ou « source génétique ». Même le pronom « son » est abandonné au profit d’un « leur » plus ambigu et non genré.
La loi est rédigée comme si la complémentarité des sexes était une construction sociale dépassée.
Ce projet de loi redéfinit la parentalité « sur la base de l’intention d’une personne d’être le parent d’un enfant », note Patience Griswold de Them Before Us (TBU), une organisation consacrée à la protection des droits de l’enfant, dans The Federalist. « Ce faisant, elle supprime toute mention des mères et des pères dans la loi sur la filiation, remplaçant ces rôles familiaux vitaux par un langage qui ne tient pas compte de la différence des sexes ».
Ses promoteurs affirment que le projet de loi protégera les relations entre parents et enfants, mais en réalité, il protège les droits des parents qui obtiennent des enfants par l’intermédiaire d’une mère porteuse. Et nombre de ces parents, si ce n’est la plupart, seront des hommes homosexuels.
Lire la suiteUn cycliste masculin remporte la première place lors d’une course féminine dans le Massachusetts
« Catherine » Barnwell.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
6 novembre 2023, Deerfield, Massachusetts (LifeSiteNews) — Un cycliste de sexe masculin, confus quant au genre, a dominé une course cette fin de semaine contre des concurrentes féminines — dernier exemple en date de femmes sportives perdant contre des hommes qui prétendent être des femmes.
« Catherine » Barnwell a remporté la première place d’une course lors de l’événement Tree House CX dans le Massachusetts. Il a battu huit cyclistes féminines alors que dans une autre course, il s’était classé 18e sur 22.
Lors de compétitions précédentes, Barnwell s’était mesuré à des hommes (il avait obtenu la mention « N’a pas terminé ») et s’était classé troisième lors d’une course contre des femmes.
Lire la suiteUn évêque du Massachusetts interdit aux élèves de répandre l’idéologie LGBT dans les écoles catholiques
Mgr Robert J. MacManus. De l'autre côté, la Nativity School of Worcester arborant le drapeau LGBT.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
22 août 2023, Worcester, Massachusetts (LifeSiteNews) — Un évêque catholique du Massachusetts a interdit aux élèves des écoles du diocèse de Worcester d’adopter des comportements de changement de sexe et d’exprimer ou de célébrer une « attirance pour le même sexe ».
Mgr Robert McManus a officiellement publié le 29 juin une politique imposant aux élèves de porter des uniformes adaptés à leur sexe, d’utiliser les salles de bain et de jouer dans les équipes sportives correspondant à leur sexe biologique.
Les règles interdisent également aux élèves « d’exprimer, de célébrer ou de défendre “l’attirance pour le même sexe d’une manière qui pourrait causer de la confusion ou de la distraction” », a rapporté le Daily Mail.
Selon le Patch, Mgr McManus a expliqué dans un mémo qu’embrasser l’attirance pour le même sexe ou la dysphorie de genre revient à rejeter la vérité sur la façon dont Dieu nous a créés.
« Nous ne servons le bien de personne en falsifiant la vérité, car seule la vérité nous libère pour la vie pleine que Dieu offre à chacun d’entre nous », a-t-il écrit. « Ainsi, lorsqu’une personne éprouve une attirance pour le même sexe ou une forme de dysphorie de genre, ces luttes ne changent pas le fait biologique de la façon dont Dieu a créé cette personne, et il serait mensonger pour l’Église catholique ou nos écoles catholiques de prétendre le contraire ».
Cette politique, qui prend effet dès la prochaine année scolaire et s’applique à 21 écoles du diocèse, s’est déjà heurtée à la résistance des ordres religieux qui dirigent deux écoles catholiques de Worcester.
Lire la suiteMassachusetts : un couple catholique se voit opposer un refus d’adoption en raison de ses convictions catholiques
Mike et Kitty Burke.
Par Anne Dolhein (reinformation.tv)
Mike et Kitty Burke, époux catholiques pratiquants vivant dans le Massachusetts aux Etats-Unis étaient presque au bout de leur chemin vers l’adoption. Lui est un vétéran de la guerre d’Irak, elle a travaillé auprès d’enfants handicapés. Alors que le drame de l’infertilité les privait de la possibilité de concevoir naturellement les enfants qu’ils désiraient tant, ils ont décidé d’ouvrir leur foyer à des enfants en recherche d’un père et d’une mère adoptif : il y a actuellement 7 810 enfants placés dans l’Etat, dont 1 521 éparpillés dans des hôpitaux ou des bureaux des services sociaux à la date du 31 mars dernier, faute de familles d’accueil. Tout allait bien dans le processus d’agrément des Burke, qui a duré des mois, formations comprises, mais les vérifications ont pris un tour inquiétant lorsqu’ils ont été interrogés de manière de plus en plus serrée sur leurs convictions religieuses. Pour finir, les services sociaux ont décidé de refuser l’agrément. Les Burke ont décidé de porter plainte au niveau fédéral.
Discrimination contre un couple catholique qui ne soutient pas les « LGBT »
Il s’agirait en effet d’une discrimination caractérisée, mais de celles qui se veulent « vertueuses » à l’aune de la morale inversée qui a cours. La loi du Massachusetts protège la liberté religieuse des candidats à l’adoption contre toutes les discriminations habituellement énumérées dans ce type de texte : « religion, race, couleur, croyance, identité de genre, orientation sexuelle, origine nationale, âge ou handicap ».
Mike et Kitty se sont doutés que les choses tournaient vinaigre lorsqu’on a commencé à les interroger de manière pointue, lors des rencontres qui se sont déroulées chez eux, sur leur vision catholique de l’« orientation sexuelle » ou de la « dysphorie de genre ». Ils répondirent qu’ils accepteraient et aimeraient n’importe quel enfant, quelles que soient sa future orientation sexuelle ou ses interrogations, mais reconnurent qu’ils n’abandonneraient pas leurs convictions religieuses en la matière.
Lire la suiteBoston va accorder un congé payé de 3 mois aux employées de la ville qui se font avorter
Michelle Wu, nouveau maire de Boston.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran sur YouTube
19 novembre 202, Boston, Massachusetts (LifeSiteNews) — Les employées de la ville de Boston peuvent maintenant obtenir trois mois de congé payé après un avortement.
En effet, depuis deux mois, les employés de la municipalité peuvent obtenir des congés après un avortement grâce à une modification du congé parental promue par Michelle Wu, le maire nouvellement élu de Boston. Mme Wu a prêté serment le 16 novembre 2021.
L’amendement adopté en septembre « modifie l’ordonnance actuelle en appliquant la prestation de congé parental payé aux parents qui ont subi une perte de grossesse ».
« L’adoption de cette ordonnance permettrait aux employés de la ville (parents) de bénéficier d’une prestation de congé parental payé en cas de naissance naturelle, quelle que soit la méthode utilisée, d’adoption, de maternité de substitution et de perte de grossesse. Le dossier #0481 étendrait également le congé parental payé de six semaines à douze semaines », indique la nouvelle politique.
Mme Wu a proposé pour la première fois d’inclure l’avortement dans la catégorie « perte de grossesse » en mars de cette année.
« Les conseillers municipaux cherchent à modifier le libellé de la loi pour y inclure la notion de “perte de grossesse”, couvrant ainsi les fausses-couches, les interruptions de grossesse, les cas de dilatation et d’extraction et d’autres situations relevant de la présente politique », rapportait le Boston Globe en mars.
Les partisans de cette modification ont invoqué les effets dévastateurs d’une fausse-couche, qui n’est pas intentionnelle, pour justifier la politique plus large de l’avortement, qui est le meurtre intentionnel d’un bébé.
Lire la suiteL’hôpital faisait pression sur une femme âgée, atteinte du covid, pour qu’elle fût mise sous respirateur — elle a refusé et se porte mieux
Janet Aldricht.
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie
Hamilton, Massachusetts, 20 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Après une période éprouvante de neuf jours au cours de laquelle on lui a refusé un traitement contre le COVID-19 et la pneumonie, et où elle a été véritablement séparée de sa famille, Janet Aldrich est sortie de l’hôpital.
Pendant neuf jours, Janet Aldrich, 78 ans, s’est vu refuser les soins qu’elle demandait pour ses problèmes de santé potentiellement mortels. Elle a même été placée de force en isolement après avoir révélé aux médecins qu’elle n’avait pas reçu (et ne recevrait pas) l’injection expérimentale de vaccin COVID-19.
Aldrich a été admise au Lahey Hospital and Medical Center de Burlington, au Massachusetts le 5 septembre, après avoir développé une pneumonie dans ses deux poumons. À son arrivée à l’hôpital, Aldrich a précisé qu’elle ne souhaitait pas être placée sous ventilateur, mais après avoir été testée positive au COVID-19, les médecins ont insisté pour qu’elle utilise la ventilation mécanique, lui disant que sinon elle pourrait mourir dans les 24 heures.
LifeSiteNews s’est entretenu avec une amie proche de la famille d’Aldrich, qui a déclaré que l’hôpital est devenu très hostile après qu’Aldrich ait refusé la ventilation. « Chaque jour, ils ont fait pression sur elle, l’ont intimidée, ont essayé de l’épuiser pour qu’elle accepte d’être placée sous respirateur », a-t-elle déclaré.
L’hôpital a continué à pousser Aldrich à recevoir le régime de traitement potentiellement dangereux qu’elle avait résolument rejeté pendant huit jours d’affilée. « Ils l’ont harcelée plusieurs fois par jour… Même la nuit précédant sa sortie de l’hôpital, sachant qu’elle allait rentrer chez elle, ils ont essayé de la persuader de passer sous respirateur », a déclaré la source de LifeSite.
L’amie de la famille a déclaré que le personnel de l’hôpital était au départ « très gentil et très doux avec elle ». Mais après avoir appris qu’Aldrich n’avait pas accepté le vaccin COVID, « elle dit que leur attitude a immédiatement changé ».
La sœur d’Aldrich, Patricia Lefebvre, a déclaré au commentateur conservateur et animateur de radio Jeff Kuhner qu’après qu’Aldrich ait révélé qu’elle ne prendrait pas de vaccin COVID, « l’ensemble du personnel s’est montré extrêmement hostile à notre égard, ils ne nous ont pas écoutés et n’ont pas accepté nos demandes de lui faire suivre un régime médicamenteux ».
Le médicament demandé par Aldrich a été prescrit par America’s Frontline Doctors (AFLDS) et s’est avéré efficace contre le COVID-19. Au lieu de cela, « tout ce qu’ils font [à l’hôpital Lahey], c’est lui donner une perfusion et de l’eau, elle est sous oxygène de haut niveau... et son état empire », a expliqué Lefevbre. « Ils ne veulent même pas lui donner un cocktail de vitamines ».
Lire la suiteMédias et CDC occultent le fait que la «flambée» de covid de juillet avait pour épicentre un village de vacances LGBT
Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Fabio/AdobeStock
3 août 2021, Provincetown, Massachusetts (LifeSiteNews) — Les Centers for Disease Control (CDC) ont semé la panique cette semaine lorsqu’ils ont révélé qu’au cours de la première moitié du mois de juillet, il y avait eu un pic important de cas de COVID-19 [ce qui ne signifie pas grand-chose*] émanant d’une pittoresque destination touristique de bord de mer, où 74 % des personnes infectées étaient des personnes entièrement vaccinées.
Pourquoi une éclosion épidémique s’est-elle déclarée dans ce petit village situé à l’extrémité de Cape Cod et non dans l’une des milliers d’autres stations balnéaires qui bordent les côtes américaines ou dans tout autre lieu de fête, urbain ou rural ?
Ce que le CDC ne mentionne pas dans son rapport, et que les médias grand public veulent vous faire oublier, c’est à quel point Provincetown est différente de la plupart des autres stations balnéaires.
Provincetown est la Mecque américaine des vacances d’été pour les LGBT, et pendant les deux semaines qui se sont écoulées entre le 3 et le 17 juillet, lorsque les cas se sont multipliés, des dizaines de milliers de gays ont envahi la station balnéaire.
Le CDC, les médias nationaux et la Maison-Blanche occultent tous l’évidence afin de déclencher une nouvelle obligation de port de masque et d’autres mesures strictes de confinement : ce n’est pas une question de masques insuffisants ou de confinement. Il s’agit de ce qui se passe lorsque des milliers d’hommes convergent pour se livrer à la sodomie récréative.
Le CDC
Les personnes qui ont contracté le COVID-19 ont déclaré « avoir assisté à des événements intérieurs et extérieurs très fréquentés dans des lieux tels que des bars, des restaurants, des chambres d’hôtes et des maisons de location », indique le rapport du CDC, qui ne s’interroge pas sur le rôle que les rapports sexuels décontractés et souvent anonymes entre hommes ou groupes d’hommes ont pu jouer dans la transmission du redoutable virus.
Remarque : qu’est-ce qui est le plus susceptible de faciliter la transmission du COVID-19 : des personnes sans masque rassemblées pour le 4 juillet — ou des milliers de rencontres homosexuelles avec des inconnus et des connaissances ?
Lire la suitePlusieurs États démocrates veulent permettre aux hommes se disant femmes d’être internés dans les prisons féminines
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Burst
1er juin 2021 (LifeSiteNews) — Les États bleus multiplient les projets visant à transférer les condamnés de sexe masculin qui s’identifient comme femmes dans des prisons pour femmes, malgré les récents rapports d’agressions sexuelles commises derrière les barreaux par des hommes confus au sujet de leur sexe.
La semaine dernière, les législateurs du Maine ont présenté le projet de loi LD 1044, qui exige que les prisonniers soient logés dans des établissements en fonction de leur « identité sexuelle ». Un article du projet de loi intitulé « affirmation de genre » stipule que les détenus doivent être traités « indépendamment de leur anatomie ou de leur physique » pour le logement et les « procédures de fouille ». Le comité du Maine sur la justice pénale et la sécurité publique a approuvé le LD 1044 par un vote unanime mardi dernier.
La volonté du Maine d’éliminer les prisons spécifiquement destinées à un sexe intervient dans un contexte d’intégration massive d’hommes biologiques* dans des établissements correctionnels féminins en Californie, avec peu de considération pour leur possible statut de délinquant sexuel.
Depuis que la Californie a révisé les règles pénitentiaires l’année dernière, plus de 260 détenus étant confus au sujet de leur sexe ont demandé à changer d’établissement, rapportait Breitbart en avril. La quasi-totalité des demandes émanent d’hommes souhaitant être placés avec des femmes, et aucune d’entre elles n’a été refusée en vertu de la loi, qui, comme dans le Maine, ne tient pas compte de l’anatomie.
Onze hommes, dont certains sont des violeurs ou des meurtriers, ont déjà été placés dans la Central California Women’s Facility, la plus grande prison exclusivement féminine des États-Unis, selon le World News Group.
Lire la suitePour les militants de l’avortement, les mesures « sanitaires » représentent l’occasion idéale pour atteindre leurs objectifs politiques
Par Jonathon Van Maren ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : AdobeStock
15 avril 2021 (LifeSiteNews) ― Alors que les restrictions covid-19 rendent plus difficile l’obtention d’avortements, les démocrates s’activent pour rendre le meurtre des enfants dans le ventre de leur mère aussi accessible que faire se peut. La FDA de l’administration Biden vient de rendre les pilules abortives disponibles par la poste sans consultation en personne ou supervision médicale. Cette semaine également, le gouverneur démocrate d’Hawaï, David Ige, a signé le projet de loi 576, qui autorise les infirmières en pratique avancée (APRN) à prescrire des pilules abortives et à pratiquer l’avortement par succion de fœtus « non viables », c’est-à-dire trop jeunes pour survivre hors de l’utérus.
Douze autres États autorisent déjà certaines infirmières à pratiquer ou à ordonner des avortements du premier trimestre, notamment le Vermont, le Colorado, le Maine, le Massachusetts, le Montana, la Californie, le New Hampshire, le Vermont, la Virginie et la Virginie-Occidentale. Cette décision n’est pas due à de nouvelles informations médicales — jusqu’à lundi encore, Hawaï réservait la pratique de l’avortement aux médecins — mais plutôt au fait qu’il y a une pénurie de médecins prêts à pratiquer des avortements, et que l’avortement est donc pratiquement inaccessible sur de nombreuses îles hawaïennes.
Celles qui cherchent à avorter prennent souvent l’avion pour Honolulu, la capitale d’Hawaï, sur l’île d’Oahu, où vivent et travaillent la plupart des avorteurs. Il est possible de se procurer des avortements sur l’île d’Hawaï, mais uniquement à Hilo, au nord-est de l’île.
Selon plusieurs médias, il n’y a pas d’avorteurs sur Kauai, Molokaï et Lanai, tandis qu’un avorteur se rend à Maui deux fois par mois (comme c’est le cas dans de nombreux autres États où il n’y a pas d’avorteur local). L’année dernière, lorsque les restrictions covid-19 étaient en vigueur, les avorteurs n’ont pu prendre l’avion, rendant l’avortement inaccessible pendant des mois.
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