La biographie de Clint Eastwood met en lumière la relation sordide qu’entretient Hollywood avec l’avortement
Clint Eastwood.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Army.mil/Flickr/Wikimedia Commons
5 juillet 2025 (LifeSiteNews) — Une nouvelle biographie du légendaire acteur et réalisateur Clint Eastwood révèle, en sinistres détails, sa « dépendance » à la promiscuité.
Dans Clint: The Man and The Movies, Shawn Levy détaille les liaisons de Clint Eastwood, ses mariages difficiles et ses adultères occasionnels et persistants. En effet, Eastwood a même eu des enfants avec d’autres femmes alors qu’il était marié à sa première épouse, Maggie Johnson.
Tous les enfants d’Eastwood n’ont pas eu la chance d’être accueillis. Levy revient sur les révélations de Sandra Locke, une actrice engagée par Eastwood pour son film de 1975, Josey Wales hors-la-loi. Dans sa biographie de 1997 intitulée The Good, the Bad, and the Very Ugly: A Hollywood Journey, Sandra Locke écrit qu’Eastwood l’avait poussée à subir deux avortements et, finalement, une ligature des trompes, parce qu’il ne voulait plus d’enfants. (Eastwood a par la suite nié ces allégations.)
Eastwood a été très apprécié par les conservateurs pour sa personnalité américaine, son œuvre cinématographique célébrant les héros américains et son soutien occasionnel aux candidats républicains, mais la vedette a toujours été franche au sujet de ses opinions en faveur de l’avortement. Cela n’a rien de surprenant : les historiens d’Hollywood ont depuis longtemps documenté l’histoire sordide des patrons de studios et des hommes de premier plan qui utilisent l’avortement pour se servir des femmes.
Lire la suiteLe régime canadien d’euthanasie tue déjà les personnes handicapées — il est sur le point d’empirer
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : prostooleh/Freepik
8 juillet 2025 (LifeSiteNews) — Au Canada, nous tuons les handicapés. Plus de 90 % des bébés diagnostiqués de la trisomie 21 dans l’utérus sont avortés ; les enfants à naître diagnostiqués d’autres handicaps subissent généralement le même sort. Mais pendant des décennies, notre capacitisme mortel de type nazi s’est limité à ceux qui n’étaient pas encore nés.
Avec l’élargissement de l’admissibilité à l’euthanasie aux personnes souffrant uniquement d’un handicap ou d’une maladie mentale, qui devrait entrer en vigueur en 2027, cette situation est destinée à changer. Les groupes de défense des personnes handicapées ont été presque unanimes dans leur condamnation de ce plan, qui a été retardé à deux reprises par le gouvernement libéral en raison de l’opposition de l’ensemble de la société canadienne — mais qui n’a pas été complètement annulé.
Même le Comité des droits des personnes handicapées des Nations unies, qui a examiné la conformité du Canada avec les conventions des Nations Unies sur les droits des personnes handicapées au début de cette année, a conclu que le Canada s’engageait dans un « eugénisme parrainé par l’État » et a appelé le gouvernement canadien à abandonner ces plans et à faire marche arrière sur l’expansion du régime d’euthanasie. Le groupe de défense des droits des personnes handicapées Inclusion Canada, ainsi que plusieurs autres, avait écrit au comité pour tirer la sonnette d’alarme au sujet des politiques d’euthanasie du Canada.
Lire la suiteUne détransitionneuse polonaise obtient à nouveau son statut légal de femme
Publié sur LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sergign/Adobe Stock
26 juin 2025 (Ordo Iuris) — Le tribunal régional de Świdnica a rendu une décision sur le rétablissement du sexe biologique dans les documents d’identité d’une femme qui avait précédemment subi une « transition » juridique et médicale. La femme a demandé la « détransition » après des années de souffrance et de graves conséquences pour sa santé mentale et physique.
Magdalena, qui a subi des violences sexuelles dès son plus jeune âge, était aux prises avec des traumatismes et des problèmes relationnels familiaux, elle a cherché du soutien en ligne et s’est retrouvée sur un forum consacré au soi-disant transgenrisme. Là, elle a été convaincue que sa souffrance était due à une inadéquation entre son identité de genre et son sexe biologique. Il lui a été conseillé de mentir lors de son évaluation psychologique, en prétendant éprouver du dégoût pour ses organes sexuels, et de se rendre au rendez-vous avec une amie qu’elle présenterait comme sa « partenaire de vie ». Peu après, elle a entamé et achevé le processus complet de « transition » : elle a pris des hormones masculines, s’est fait retirer ses organes reproducteurs féminins et a obtenu une décision de justice autorisant la modification de ses données personnelles dans les registres gouvernementaux et sur ses documents d’identité.
Cependant, au fil du temps, Magdalena a commencé à ressentir les effets très graves de la prise d’hormones masculines et des opérations chirurgicales : douleurs chroniques, dépression et un sentiment croissant d’isolement. Lorsqu’elle a exprimé des doutes sur sa décision en ligne, elle n’a reçu aucun soutien et a été exclue de la communauté.
Lire la suiteLes militants de l’avortement utilisent l’ONU pour mener une attaque sur les lois du Guatemala
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Cancilleria Ecuador/Wikimedia Commons
20 juin 2025 (LifeSiteNews) — En septembre 2018, des militants de l’avortement au Guatemala ont fait pression en faveur d’un assouplissement des lois sur l’avortement. En effet l’avortement est illégal au Guatemala, sauf lorsque cela est nécessaire pour sauver la vie de la mère, ce qui fait de ce petit pays d’Amérique centrale une cible principale pour les militants de l’avortement étrangers et nationaux.
En réaction, plus de 20 000 personnes ont afflué dans la capitale et ont marché jusqu’à l’assemblée législative, vêtues de bleu (la couleur de la « vague bleue » du mouvement pro-vie en Amérique latine) et brandissant des pancartes, des photos de bébés dans le ventre de leur mère, des ballons bleus et des banderoles. Le gouvernement a fait marche arrière et a abandonné la proposition de loi.
L’engagement du Guatemala à protéger les enfants à naître a des dents. En 2017, un bateau d’avortement néerlandais de l’organisation « Women on Waves » est arrivé pour distribuer des pilules abortives illégales. L’armée guatémaltèque a déclaré que le navire ne serait pas autorisé à opérer et que l’armée adhérerait « à la Constitution concernant la préservation de la vie humaine et aux lois en vigueur dans notre pays. » Le navire a été placé sous la garde de l’armée et il est reparti peu après.
Lire la suiteUn nouveau rapport révèle comment les avortements chimiques contaminent l’approvisionnement en eau des États-Unis
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : andrei310/Adobe Stock
18 juin 2025 (LifeSiteNews) — Plus de 40 tonnes de restes de fœtus avortés et de sous-produits de pilules abortives se sont retrouvées dans les réserves d’eau de l’Amérique, selon un nouveau rapport retentissant publié cette semaine par Liberty Counsel Action.
Le rapport de 86 pages examine une grande variété de dossiers et de recherches et souligne de graves lacunes dans la surveillance des méthodes utilisées par l’industrie de l’avortement pour se débarrasser de ses « déchets médicaux ». Cela commence par une prédiction éminemment erronée lors de l’approbation initiale de la mifépristone par la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis : selon cette agence, le « médicament » n’aurait qu’un impact minimal sur l’environnement. La FDA avait largement négligé la question de l’élimination, qu’il s’agisse des sous-produits chimiques des pilules elles-mêmes ou de l’évacuation des restes de bébés avortés dans les toilettes des utilisatrices.
« Comme d’autres produits pharmaceutiques connus pour leurs effets néfastes sur notre écosystème, la mifépristone forme des métabolites actifs », explique le rapport. « Ces métabolites peuvent conserver les effets “thérapeutiques” de la mifépristone même après avoir été excrétés par les humains et être passés dans les stations d’épuration des eaux usées (STEP), dont la plupart ne sont pas conçues pour les éliminer. Malheureusement, après avoir traversé les stations d’épuration, certains produits pharmaceutiques ont été retrouvés dans l’eau potable des États-Unis. Étant donné que les recherches sur les métabolites de la mifépristone dans notre environnement sont insuffisantes, leurs effets néfastes possibles sur notre écosystème et sur les êtres humains qui les boivent sont inconnus ».
Lire la suiteUne mère de Géorgie en « état de mort cérébrale » accouche d’un petit garçon de 822 grammes après avoir été maintenue en vie pendant quatre mois
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : christianabella/Pixabay
20 juin 2025, Atlanta, Géorgie (LifeSiteNews) — Après avoir été maintenue en vie pendant quatre mois, une femme de Géorgie a donné naissance à un petit garçon de 822 grammes.
Le 13 juin, Adriana Smith, 31 ans, une infirmière enceinte d’Atlanta qui depuis février avait été déclarée « en état de mort cérébrale » — un terme sans fondement utilisé pour justifier le prélèvement d’organes — a subi une césarienne d’urgence à 29 semaines, donnant naissance à un petit garçon de 822 grammes, selon le média local 11 Alive.
« Il devrait s’en sortir », a déclaré April Newkirk, la mère d’Adriana. « Il se bat. Nous voulons juste des prières pour lui. Continuez à prier pour lui. Il est né maintenant ».
Le petit garçon, nommé Chance, est actuellement soigné à l’unité de soins intensifs néonatals.
Lire la suiteFécondation in vitro : erreurs d’implantation de bébés
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Andriy Bezuglov/Adobe Stock
13 juin 2025 (LifeSiteNews) — Le mois dernier, nous avons rapporté l’histoire de parents biologiques qui ont mis au monde un enfant qui n’était pas le leur après une « confusion de FIV » dans le Queensland, en Australie, découvrant alors qu’ils n’avaient aucun droit légal sur l’enfant. La société de fertilité Monash IVF avait accidentellement « transféré » le mauvais embryon ; le couple a découvert, après la naissance du bébé, qu’il avait « donné naissance à l’enfant d’une étrangère ».
« Au nom de Monash IVF, je tiens à dire à quel point je suis désolé de ce qui s’est passé », avait déclaré à l’époque Michael Knaap, directeur général de Monash IVF. « Tous les membres de Monash IVF sont dévastés et nous nous excusons auprès de toutes les personnes concernées. Nous continuerons à soutenir les patients dans cette période extrêmement pénible. Depuis que nous avons eu connaissance de cet incident, nous avons entrepris des vérifications supplémentaires et nous sommes convaincus qu’il s’agit d’un incident isolé ».
Il s’est avéré que la confiance de M. Knaap était mal placée. Il a été contraint de démissionner lorsque la clinique Clayton de la société, située dans le sud-est de Melbourne, a admis qu’elle avait une fois de plus transféré le mauvais embryon à une patiente. Comme l’a noté Sky News, il s’agit du « deuxième incident pour la société en quelques mois ». Cette fois, la bévue concerne un couple de lesbiennes. La clinique de fertilité « a admis avoir donné à tort à une patiente son propre embryon biologique, au lieu de celui de sa partenaire, comme prévu ».
Lire la suiteProcès devant jury d’un hôpital accusé d’avoir tué une jeune fille trisomique non vaccinée
Cindy, Grace et Scott Schara.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : OurAmazingGrace.net
10 juin 2025, Appleton, Wisconsin (LifeSiteNews) — Un procès a finalement commencé concernant la mort d’une jeune femme de 19 ans dans un hôpital du Wisconsin en 2021, dont les parents accusent le personnel médical d’une série de fautes qui ont tué la jeune fille non vaccinée.
Comme l’a rapporté LifeSiteNews en février 2022, Grace Schara a été admise à l’hôpital St. Elizabeth d’Appleton le 6 octobre 2021, cinq jours après avoir été testée positive au COVID-19. Grace était atteinte de trisomie 21 et son père, Scott, la décrivait comme étant très fonctionnelle. L’hôpital St. Elizabeth fait partie du groupe médical Ascension, qui se veut « confessionnel ».
Les parents Scott et Cindy Schara ont détaillé une série d’aspects troublants du traitement de leur fille, à commencer par des membres du personnel hospitalier critiquant leur rejet des vaccins COVID-19 et leur acceptation de protocoles de traitement alternatifs, jusqu’à l’utilisation de mesures inexactes de l’oxygène dans le sang pour tenter de mettre Grace sous respirateur.
Plus important encore, elle a été qualifiée à tort de cas de non-réanimation (DNR) et a reçu un cocktail de sédatifs, d’anxiolytiques et de morphine alors que son état de santé déclinait. Elle est finalement décédée après que l’on ait refusé l’insistance de la famille sur le fait qu’elle n’était pas un cas de non-réanimation et les demandes de réanimation. La famille a ajouté à l’époque que les responsables de l’hôpital ont refusé de les rencontrer par la suite pour entendre leurs griefs.
Lire la suiteLinda Gibbons, héroïne canadienne pro-vie, acquittée de toute charge pour avoir témoigné près d'un avortoir
Linda Gibbons.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie
17 juin 2025 Toronto, Ontario (LifeSiteNews) — L’héroïne pro-vie Linda Gibbons a été acquittée après avoir été arrêtée pour avoir témoigné devant un centre d’avortement de Toronto en février.
Le 16 juin, la Cour de l’Ontario a statué que la grand-mère pro-vie de 76 ans n’était pas coupable d’avoir enfreint une injonction vieille de près de 30 ans lui interdisant de tenir une pancarte pro-vie devant la tristement célèbre clinique Morgentaler de Toronto.
« L’héroïne pro-vie Linda Gibbons a été déclarée NON COUPABLE et est maintenant libre », a déclaré la Coalition nationale pour la vie, une organisation pro-vie.
« Après des décennies de témoignage pacifique, plus de 11 ans de prison et d’innombrables arrestations, Linda a été une nouvelle fois prise pour cible pour avoir défendu pacifiquement et dans la prière la vie devant une clinique d’avortement de Toronto », poursuit la CNV.
Linda Gibbons est emprisonnée depuis son arrestation, le 12 février, pour avoir témoigné en faveur des enfants à naître devant une clinique d’avortement de Toronto, portant sa marque de fabrique, une pancarte montrant un bébé en pleurs avec la légende « Pourquoi maman ? Quand j’ai tant d’amour à donner ».
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L'administration Trump annule les directives forçant les médecins à pratiquer des avortements
Par Doug Mainwaring et Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie - Photo : Prostock Studio/Adobe Stock
3 juin 2025 (LifeSiteNews) — L’administration Trump a officiellement annulé les directives de l’ère Biden qui contraignaient les médecins urgentistes à pratiquer des avortements en vertu de la Loi sur le traitement médical d’urgence et le travail (EMTALA). Cette décision confirme les termes clairs de la loi : L’EMTALA protège à la fois la « femme enceinte » et l’« enfant à naître ».
« Les médecins — en particulier dans les salles d’urgence — ont pour mission de préserver la vie. L’administration Trump a annulé un mandat néfaste de l’ère Biden qui obligeait les médecins à mettre fin à des vies à naître, en violation de leurs convictions profondes », a expliqué l’avocat principal d’Alliance Defending Freedom (ADF), Matt Bowman, directeur de la pratique réglementaire.
L’ADF représentait un groupe de médecins catholiques et de prestataires de soins de santé qui avaient contesté le mandat.
« Les médecins des salles d’urgence peuvent traiter et traitent effectivement des pathologies mortelles telles que les grossesses extra-utérines, et tous les États autorisent les médecins à faire tout ce qui est nécessaire pour préserver la vie d’une mère », a déclaré M. Bowman. « Désormais, les médecins pourront s’acquitter de leurs tâches vitales sans craindre que des fonctionnaires les obligent à mettre fin à la vie et à violer leurs croyances. »
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