Les fanatiques LGBT qualifient la « masculinité authentique » de terme offensant et dépassé
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ivan/Adobe Stock
30 mai 2023 (LifeSiteNews) — En avril, j’ai eu une longue discussion avec Jojo Ruba sur la façon dont l’interdiction des thérapies de conversion au Canada était appliquée depuis l’adoption de la loi.
Ruba, qui a eu recours à la thérapie pour faire face à sa propre attirance pour le même sexe, s’est exprimé sur ce projet de loi depuis qu’il a été présenté par le gouvernement Trudeau et a témoigné contre l’interdiction devant un comité parlementaire (vous pouvez regarder son témoignage ici).
L’un des principaux objectifs de cette loi, m’a-t-il dit, n’est pas simplement de poursuivre les pasteurs, les parents ou les conseillers qui aident les jeunes souffrant de dysphorie de genre ou d’attirance non désirée pour le même sexe. Il s’agit de produire un effet dissuasif dans tout le pays qui amènera les gens à refuser volontairement de s’occuper de ces questions par crainte d’être inculpés.
Lire la suiteLors d’un congrès à Rome, un théologien moraliste démystifie un nouveau livre défiant l’enseignement de l’Église sur la contraception
Dr John Haas.
Par Maike Hickson — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : nbccenter.org
24 mai 2023 (LifeSiteNews) — Le Professeur John Haas, ancien membre de l’Académie pontificale pour la vie et président émérite du Centre national de bioéthique, a prononcé un discours samedi dernier à Rome, dans lequel il s’est attaqué aux récents mouvements visant à saper l’enseignement de l’Église sur les actes intrinsèquement mauvais, en particulier en ce qui concerne la contraception.
Le congrès des 19 et 20 mai, organisé par la Chaire internationale de bioéthique Jérôme Lejeune, s’est déroulé à l’Institut patristique Augustinianum. Parmi les intervenants figuraient de hauts prélats de l’Église, tels que le cardinal Luis Ladaria (préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi) et le cardinal Matteo Zuppi (président de la conférence épiscopale italienne). Le congrès avait pour thème « “Mon corps, mon choix...” Humanae Vitae : l’audace d’une encyclique sur la sexualité et la procréation » et a porté sur l’encyclique Humanae Vitae du pape Paul VI et ses implications pour aujourd’hui.
Le discours du Pr Haas a été prononcé le 20 mai et était intitulé « La beauté d’Humanae Vitae 50 ans après et les défis du futur ». Le Pr Haas a aimablement fourni à LifeSite une copie de sa présentation.
Dans sa conférence, le théologien américain s’attaque en partie à un livre paru en 2022, On Theological Ethics of Life, publié par l’Académie pontificale pour la vie, qui avait suscité de nombreuses controverses, car il semblait plaider en faveur de certaines formes de contraception.
Haas revient sur ce livre dès le début de son discours :
« L’année dernière, un livre a été publié par une maison d’édition du Vatican qui remettait en question l’enseignement de l’Église sur la contraception. L’éditeur du livre a écrit à propos de la contraception : “Le choix judicieux sera réalisé en évaluant de manière appropriée toutes les techniques possibles en fonction de leur situation spécifique et en excluant évidemment les techniques abortives” [Etica Theologica della Vita, ed. Vincenzo Paglia, Académie pontificale pour la vie] ».
Lire la suiteUn conseil scolaire catholique d’Ontario vote 6-4 contre le déploiement du « drapeau de la fierté » en juin
L'York Catholic Distrct School Board.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Myles Vosylius/Twitter
30 mai 2023, Aurora, Ontario (LifeSiteNews) — Un conseil scolaire catholique d’Ontario situé juste au nord de Toronto a voté contre le déploiement du drapeau de la « fierté » au sommet de ses écoles pendant le mois de juin, alors que les Canadiens protestent de plus en plus contre l’agenda LGBT dans le système éducatif.
Lors de la réunion du 29 mai du York Catholic District School Board (YCDSB), les administrateurs ont voté par 6 voix contre 4 contre l’exhibition du drapeau pro-LGBT au sommet de ses écoles et autres bâtiments à l’occasion du « mois de la fierté », une décision qui a été accueillie avec une agréable surprise par les défenseurs de la famille.
« C’est une rare bonne nouvelle en ces temps sombres où le groupe de pression LGBT s’empare de toutes les institutions de la société », a déclaré Jack Fonseca de la Coalition nationale pour la Vie (CNV) à LifeSiteNews, alors que CNV a récemment lancé une pétition auprès de ses partisans pour qu’ils fassent campagne auprès du YCDSB contre le déploiement du drapeau.
« La CNV est très reconnaissante aux parents et aux contribuables catholiques concernés qui sont allés voir les administrateurs du YCDSB, et à ceux qui ont envoyé des courriels et téléphoné aux administrateurs pour leur demander de ne pas hisser le drapeau de la “fierté” homosexuelle », a poursuivi M. Fonseca.
« Sans eux, ce vote aurait probablement été très différent », a-t-il ajouté, en remerciant les six administrateurs qui ont voté contre le déploiement du drapeau.
Lire la suiteJe suis médecin. Accepterais-je une greffe d’organe pour moi-même ?
Par Heidi Klessig, docteur en médecine (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : peoplecreations/Adobe Stock
24 mai 2023 (American Thinker) — On m’a récemment demandé si j’accepterais une greffe pour moi-même. J’ai souvent abordé cette question dans mes conférences et mes vidéos sur l’éthique du prélèvement et de la transplantation d’organes.
Comme la plupart des questions, la réponse à cette question est : « Cela dépend ! ». Il existe de nombreux types de transplantations, dont certaines sont éthiques et d’autres non. Et comme les questions éthiques nécessitent un cadre moral, mes réponses sont basées sur la loi morale que l’on trouve dans les dix commandements contre le meurtre, le mensonge et le vol.
Recevrais-je une greffe de tissu ? Absolument ! Les tissus sont des éléments tels que la peau, les os, les valves cardiaques et les cornées. Les tissus sont des structures simples qui tolèrent très bien l’absence de circulation sanguine. Ils peuvent être prélevés sur un cadavre (un donneur biologiquement mort et dont l’esprit est parti) et sont tout à fait éthiques.
Le don de tissus comporte toutefois une mise en garde d’ordre éthique. Un article du LA Times a révélé que des organisations de collecte d’organes prélevaient des tissus sur les cadavres de donneurs d’organes enregistrés avant que le médecin légiste n’ait eu la possibilité de déterminer la cause du décès. Cet article fait part de la tristesse dévastatrice des familles qui n’ont pas pu tourner la page parce que leurs proches avaient signé de manière désintéressée une carte de donneur. Malheureusement, lors de l’autopsie, les corps de ces victimes sont tellement mutilés par le prélèvement de tissus que les pathologistes du laboratoire criminel sont parfois incapables de déterminer si les blessures seraient liées à de la violence domestique ayant entraîné un meurtre. Je recommande donc que personne ne soit enregistré comme donneur d’organes ou de tissus. Si vous souhaitez faire don de vos tissus, il vous suffit d’informer votre famille qu’elle peut libérer votre corps pour le don de tissus après que l’on ait répondu à toutes ses questions concernant votre décès.
Lire la suiteLes étudiants commencent à résister à la propagande LGBT qui leur est imposée
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : WavebreakMediaMicro/Adobe Stock
29 mai 2023 (LifeSiteNews) — Le collège Lakeridge dans l’Oregon a récemment rencontré un problème intéressant : des garçons arrachaient les distributeurs de tampons des murs de leurs salles de bain et les jetaient dans les toilettes. L’école a officiellement demandé aux garçons de cesser de détruire les produits menstruels gratuits qui leur sont fournis, et a donné aux parents des ressources sur « les menstruations, les produits menstruels, la sexualité et la santé » afin de les aider à expliquer à leurs enfants que les menstruations sont normales pour une « personne qui a un utérus ».
Pourquoi y a-t-il des distributeurs de tampons dans les toilettes des garçons ? La loi de l’Oregon de 2021 sur la dignité menstruelle impose à toutes les écoles publiques de fournir des produits menstruels à tous les élèves, quels que soient leur sexe, leur âge, leurs capacités et leur statut socio-économique, afin de promouvoir « l’intimité, l’inclusion, l’accès et l’éducation ». L’impact éducatif de l’installation de distributeurs de tampons dans les salles de bains des garçons est bien sûr d’informer les enfants que les garçons peuvent avoir des règles, ce qui revient à dire que les filles peuvent être des garçons.
« Chaque fois que les distributeurs sont enlevés, l’école doit consacrer du temps et des ressources pour les remettre en place afin de se conformer à la loi sur la dignité menstruelle », indique un courriel envoyé par les responsables de l’école. « Nous demandons à nos élèves de respecter les biens de l’école et d’être sensibles aux besoins de tous nos élèves ».
Lire la suiteAyant refusé l’avortement suggéré par les médecins, elle est aujourd’hui la mère d’un enfant de 11 mois en bonne santé
Jasmine.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
26 mai 2023, Brisbane, Australie (LifeSiteNews) — La mère d’une petite fille de 11 mois en pleine santé se dit « très reconnaissante de ne pas avoir écouté les médecins » qui l’ont encouragée à avorter son bébé à naître.
Dans une entrevue accordée au site internet australien pour parents Kidspot, une mère de 39 ans, identifiée uniquement sous le nom de « Jodie », a déclaré qu’elle considérait sa dernière grossesse comme sa dernière chance d’avoir un enfant après de multiples fausses couches et une relation récemment rompue.
Cependant, elle raconte que ses médecins ont commencé à l’encourager à avorter en raison de prétendus handicaps.
« Ils m’ont dit qu’en raison de mon âge, de mes antécédents de fumeuse et d’autres statistiques, il y avait un risque élevé de syndrome de Down », a déclaré la nouvelle maman, ajoutant qu’elle était « furieuse » lorsque les médecins l’ont incitée à « envisager l’avortement ».
Les femmes enceintes sont souvent encouragées à avorter sur la base d’un diagnostic de trisomie 21. On estime que 60 à 90 % des bébés diagnostiqués avec ce handicap aux États-Unis sont tués dans l’utérus, et cette pratique est courante dans le monde entier. Pourtant, les personnes atteintes du syndrome de Down se décrivent en grande majorité comme heureuses et les progrès médicaux ont permis d’augmenter considérablement l’espérance de vie des personnes atteintes de cette maladie.
Lire la suiteLes parents canadiens sont invités à ne pas envoyer leurs enfants à l’école le 1er juin 2023 pour protester contre le « mois de la fierté »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Melanie Van Alphen/Twitter
27 mai 2023 (LifeSiteNews) — Le principal groupe pro-vie et pro-famille du Canada exhorte les parents canadiens à garder leurs enfants à la maison le 1er juin pour protester contre la promotion du « Mois de la Fierté » dans le système d’éducation publique.
Le 25 mai, l’organisation pro-vie et pro-famille Coalition nationale pour la Vie (CNV) a annoncé la première journée nationale annuelle de Refus du drapeau de la fierté, qui aura lieu le 1er juin, alors que les écoles arboreront le « drapeau de la fierté » pour marquer le début du « mois de la fierté » homosexuelle.
« Le groupe de pression LGBT cause de réels dommages aux enfants, notamment par la pandémie de confusion sexuelle qu’il a créée en utilisant le système scolaire pour endoctriner l’idéologie du genre », a déclaré Jack Fonseca, directeur des opérations politiques de CNV, à LifeSiteNews.
« Les écoles sont le jouet personnel des militants LGBT depuis un certain temps maintenant, et nous en voyons le résultat : une contagion sociale de jeunes enfants et d’adolescents qui demandent des bloqueurs de puberté, des hormones de sexe opposé, et même l’amputation de parties saines de leur corps », a-t-il averti.
« Nous devons commencer à contester pacifiquement leur pouvoir et à affirmer nos propres droits parentaux sur l’éducation morale de nos enfants », a recommandé M. Fonseca.
« Nous ne pouvons pas laisser les groupes de pression gays et transgenres continuer à dominer nos enfants, à oblitérer nos droits parentaux et à semer la confusion dans l’esprit de nos enfants, ce qui leur causera des dommages durables », a-t-il insisté.
Pour ceux qui souhaitent participer à la lutte contre l’agenda LGBT mais qui n’ont pas d’enfants scolarisés dans les écoles où le drapeau de la fierté sera hissé, CNV a prévu quelques « prières » au conseil scolaire de Toronto et aux bureaux de divers évêques catholiques à Hamilton, Toronto et Ottawa. Pour plus d’informations sur les horaires et les lieux, cliquez ici.
Lire la suiteDes élèves québécois arrachent et piétinent le drapeau de la « fierté » de l’école pour protester contre l’agenda LGBT
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Orlandowood365/Wikimedia Commons
26 mai 2023, Pincourt, Québec (LifeSiteNews) — Une foule d’étudiants, protestant récemment contre l’agenda LGBT dans une école québécoise, a arraché et piétiné un drapeau arc-en-ciel de la « fierté ».
La semaine dernière, des adolescents de l’école secondaire du Chêne-Bleu à Pincourt, au Québec, ont applaudi l’un de leurs camarades de classe qui a arraché un drapeau représentant l’agenda LGBT. Ils ont soutenu l’acte de défi en piétinant le drapeau une fois qu’il ne flottait plus.
Une séquence vidéo de 51 secondes diffusée par Neomedia montre une foule de plus d’une centaine d’élèves protestant au niveau inférieur de l’école tandis que leur camarade arrache le drapeau d’un poteau situé sur un balcon au-dessus d’eux. L’incident a eu lieu le 16 mai, un jour avant la Journée internationale contre l’homophobie, la biphobie et la transphobie (2023).
Une centaine d'étudiants du Chêne-Bleu, à Pincourt, ont arraché et piétiné le drapeau LGBT
— Marcel D. (@DubreuilhMarcel) May 19, 2023
L’idéologie du #wokisme semble perdre de son attrait et agace les élèves qui doivent habituellement se conformer à la doxa dans le silence.
Plus d'infos➡️https://t.co/Wh9Ehk4gcb#LGBT pic.twitter.com/oVUaZnE3Pj
Les responsables de l’école et les médias ont qualifié la manifestation d’événement malheureux, la directrice de l’école se déclarant « déçue » par la prétendue attaque contre les élèves ayant des troubles du genre. Un autre défenseur des LGBT a déclaré que le nombre d’élèves rejetant l’idéologie ne faisait qu’augmenter, citant une hausse des protestations contre l’endoctrinement LGBT dans les écoles canadiennes.
Un autre média a rapporté que, le même jour, des élèves de l’école internationale Phare ont lancé une pétition pour que tous les drapeaux et affiches arc-en-ciel soient enlevés dans le bâtiment, une tentative qui a été contrecarrée par les responsables de l’école. Certains élèves, qui ont protesté en arrachant eux-mêmes la propagande LGBT, auraient été suspendus pour leur action.
La réaction des élèves contraste directement avec celle du premier ministre national pro-LGBT, Justin Trudeau, qui a une nouvelle fois approuvé le programme dans une déclaration publiée le 17 mai.
Lire la suiteUne mère ontarienne demande au conseil scolaire catholique pourquoi on fait jouer des élèves de 4e année à des jeux de « préparation sexuelle » en classe
Patricia Castillo.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
25 mai 2023, Waterloo, Ontario (LifeSiteNews) — Un conseil scolaire catholique de l’Ontario a refusé de répondre aux questions des parents sur la raison pour laquelle on fait jouer leurs enfants à des jeux axés sur la sexualité dans une classe de quatrième année.
Au cours d’une réunion tenue le 1er mai, le conseil scolaire Waterloo Catholic District School Board (WCDSB) est resté silencieux lorsque Patricia Castillo, un parent inquiet, a révélé que sa fille de quatrième année jouait à un « jeu du pénis et du vagin » en classe de santé, sur les instructions de l’enseignant.
« Je veux mettre fin à l’endoctrinement des enfants par des adultes idéologiquement possédés à l’école », a déclaré Mme Castillo, qualifiant le jeu de « préparation sexuelle ».
« Cette tendance populaire à sexualiser les enfants ne devrait pas être encouragée dans les salles de classe ou dans les bibliothèques scolaires », a-t-elle ajouté.
Selon la fille de Mme Castillo, le jeu consistait à ce que deux élèves se tiennent devant la classe et se voient attribuer le mot « pénis » ou « vagin ». Les élèves prononçaient à tour de rôle le mot qui leur avait été attribué jusqu’à ce que l’un d’entre eux se mette à rire. L’élève qui riait le premier était le perdant du jeu.
Mme Castillo a déclaré que sa fille lui avait parlé du jeu pendant les vacances d’été. En septembre 2022, elle s’est adressée au directeur de l’école, lui demandant si le jeu était toujours pratiqué et quel en était l’objectif. Toutefois, Mme Castillo n’a toujours pas reçu de réponse de sa part.
Bien que Mme Castillo ait été autorisée à présenter ses préoccupations au conseil d’administration, ce dernier avait annoncé que les administrateurs ne répondraient pas aux questions au cours de la réunion.
Lire la suiteUn père catholique demande à un conseil scolaire d’Ontario d’abandonner le drapeau de la fierté et d’adopter la croix comme symbole de l’amour
Matthew Wojciechowski s'exprimant lors de la réunion du Dufferin-Peel Catholic School Board.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CampaignLifeTV
25 mai 2023, Mississauga, Ontario (LifeSiteNews) — Un père canadien exhorte un conseil scolaire catholique de l’Ontario à ne pas faire flotter le drapeau de la fierté mais à « prendre la croix » comme symbole d’amour et de miséricorde.
Lors d’une réunion de la commission scolaire Dufferin-Peel Catholic District School Board (DPCDSB) le 23 mai, Matthew Wojciechowski, père catholique et vice-président de la Coalition nationale pour la Vie (CNV), a supplié le conseil de reconsidérer la décision de faire flotter le drapeau de la fierté pendant le « mois de la fierté » homosexuelle en juin.
« J’aime tant les personnes qui s’identifient comme LGBTQ que je préfère être accusé à tort de sectarisme et de haine plutôt que de prétendre que le chemin qu’elles empruntent n’est pas mortel », a déclaré Wojciechowski, citant sa collègue de CNV, Josie Luetke.
« Les personnes ici présentes diront que le drapeau représente l’amour et l’inclusion », a-t-il poursuivi. « Je ne suis pas d’accord ; il est naïf et irresponsable, en tant qu’éducateurs catholiques et en tant que parents, de ne pas reconnaître l’idéologie que ce drapeau représente ».
« Pour essayer de réconcilier le drapeau de la fierté avec l’Église catholique, il faut l’arracher complètement à ses origines et fermer les yeux sur la façon dont il est utilisé aujourd’hui », a-t-il déclaré.
Wojciechowski a déclaré à LifeSiteNews que lorsqu’il a entendu parler de la décision du conseil de faire flotter le drapeau de la fierté, il a considéré qu’il était de son « devoir de parent de s’exprimer ».
« Avec tous les conseils scolaires de la province qui cèdent à la pression des LGBT, je savais que cela finirait par arriver chez nous », a-t-il expliqué. « Lorsque j’ai appris que des activistes imposaient cette question à nos administrateurs, j’ai immédiatement contacté le conseil et envoyé l’inscription de ma délégation ».
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