Les démocrates du Minnesota adoptent une loi légalisant l’avortement jusqu’à la naissance
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
30 janvier 2023 St. Paul, Minnesota (LifeSiteNews) — Le Sénat du Minnesota a adopté samedi un projet de loi qui autorisera l’avortement pour n’importe quelle raison jusqu’à la naissance, plaçant l’État au même niveau que « la Chine et la Corée du Nord », comme l’a souligné un dirigeant pro-vie.
On s’attend maintenant à ce que le gouverneur démocrate Tim Walz — qui a reçu une note de 100 % de Planned Parenthood — signe cette loi, appelée « Protect Reproductive Options » (PRO), qui affirme le « droit fondamental » des femmes à « obtenir un avortement ».
Le projet de loi interdit en outre aux collectivités locales du Minnesota d’adopter des mesures de protection de l’enfant à naître qui imposeraient des limites « plus restrictives » à l’avortement, c’est-à-dire toute mesure qui interdirait même l’avortement par naissance partielle, comme les législateurs l’avaient décidé précédemment.
Au début du mois, les républicains ont proposé des amendements à la loi PRO qui auraient limité les avortements tardifs et les avortements par naissance partielle, mais ils ont été rejetés par la Commission des finances et des politiques de santé de la Chambre du Minnesota, contrôlée par les démocrates.
Les sénateurs ont approuvé le projet de loi par une seule voix d’écart, 34-33, selon LifeNews, alors qu’il a été adopté par la Chambre du Minnesota 69-65, un vote pratiquement conforme à la ligne du parti.
Tim Miller, directeur général de Pro-Life Action Ministries Action, a averti qu’une fois le projet de loi adopté, cela signifie qu’« un enfant à naître peut être assassiné jusqu’à la dernière seconde avant qu’il ne quitte le canal de naissance de sa mère ».
Lire la suiteMark Houck acquitté des deux chefs d’accusation dans une grande victoire pro-vie
La famille Houck.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
30 janvier 2023, Philadelphie (LifeSiteNews) — Le jury du procès de Mark Houck, conseiller catholique de trottoir et père de sept enfants, qui avait fait l’objet d’une descente du FBI et était inculpé de deux délits pour avoir poussé un membre d’« escorte » d’avortoir qui, selon les avocats, harcelait le fils de Houck âgé de 12 ans, a rendu son verdict lundi, déclarant Houck non coupable des deux chefs d’accusation — une grande victoire pro-vie.
S’il avait été reconnu coupable, M. Houck aurait été passible de onze ans de prison et d’une amende de 350 000 dollars.
Dans un communiqué de presse publié lundi, Peter Breen, vice-président général et responsable des litiges de la Thomas More Society, a déclaré que l’équipe de défense était « bien sûr, ravie du résultat ».
« Mark et sa famille sont maintenant libérés du nuage que l’administration Biden a jeté sur eux. Nous avons affronté le Goliath — toute la puissance du gouvernement des États-Unis — et nous avons gagné. Le jury a vu clair et a rejeté le dossier discriminatoire de la poursuite, qui consistait en du harcèlement dès le premier jour. La tentative d’intimidation du ministère de la Justice de Biden contre les pro-vie et les personnes de foi a été rembarrée. »
Dans une déclaration à LifeSiteNews, Ashley Garecht, porte-parole de la Pro-Life Coalition of Pennsylvania et amie de la famille Houck, a déclaré : « Nous nous réjouissons de ce que Mark Houck ait été déclaré non coupable de tous les chefs d’accusation. »
« Cette affaire a toujours porté sur le droit d’un père à protéger son fils, et n’a jamais rien eu à voir avec la loi FACE », a-t-elle ajouté. « Nous sommes reconnaissants envers le juge pour son intégrité, et aux jurés pour leurs délibérations réfléchies. Nous sommes reconnaissants envers les avocats de Mark qui ont travaillé si assidûment à sa défense. Et nous sommes reconnaissants envers tous ceux qui ont entouré et soutenu Mark et sa famille dans la prière tout au long de cette épreuve difficile. »
Lire la suiteProcès du pro-vie Mark Houck — le jury n’est pas encore parvenu à rendre le verdict
Mark Houck et deux de ses enfants.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Houck Family
27 janvier 2023, Philadelphie (LifeSiteNews) — Le procès retentissant de Mark Houck a été ajourné jusqu’à lundi après que le jury soit arrivé à une impasse aujourd’hui après 2 heures et demie de délibération à huis clos.
Cette nouvelle survient après une journée intense et émouvante de contre-interrogatoires, au cours de laquelle le procureur du gouvernement américain a cuisiné Houck sur ses croyances religieuses et a affirmé que le père catholique de sept enfants avait délibérément agressé Bruce Love, un « accompagnateur » d’avortements, parce qu’il « était un accompagnateur de clinique pour les services de santé génésique ».
La Société Thomas More a publié une mise à jour vidéo récapitulant les procédures judiciaires de vendredi. La vidéo peut être visionnée (ici).
Comme le rapportait initialement LifeSiteNews, Houck a fait l’objet d’une descente à l’aube du FBI du président Joe Biden l’année dernière. Le DOJ a accusé Houck de deux crimes pour avoir prétendument violé la loi sur la liberté d’accès aux entrées des cliniques (FACE) lorsqu’il a poussé Love, 73 ans, lors d’altercations sur le trottoir à deux occasions distinctes en 2021.
Le procès de Houck, United States v. Mark Houck, a commencé mardi et devait initialement se terminer vendredi.
Dans une déclaration à LifeSiteNews après la nouvelle de l’impasse du jury, Ashley Garecht, porte-parole de la Pro-Life Coalition of Pennsylvania et amie de la famille Houck, a déclaré que son groupe allait « passer cette fin de semaine dans la prière et dans l’espoir d’un acquittement complet pour Mark lorsque le tribunal se réunira à nouveau la semaine prochaine ».
« L’équipe juridique de Mark Houck a fait un travail formidable en démontrant que Mark n’avait agi qu’en tant que père défendant son fils d’une escorte connue pour son hostilité et son agressivité — en fait, Planned Parenthood était tellement préoccupé par les frasques de M. Love qu’il l’a retiré comme bénévole pendant plusieurs mois, indépendamment de l’incident avec Mark l’année dernière », souligne Garecht.
Lire la suite« Je n’abandonnerai pas » : un député finlandais poursuivi pour avoir défendu le vrai mariage promet de se battre en appel
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : wolfhound911/Adobe Stock
25 janvier 2023 — Dans l’épisode de cette semaine du Van Maren Show, Jonathon s’entretient avec Päivi Räsänen, une députée finlandaise qui a été ciblée pendant des années par un procureur pro-LGBT en raison de ses convictions chrétiennes franches sur l’homosexualité et le mariage.
Pour la petite histoire : Räsänen a publié un tweet en 2019 dans lequel elle dénonce le soutien de l’Église évangélique luthérienne à l’événement « LGBT Pride » d’Helsinki. Räsänen est connue depuis longtemps pour sa défense du mariage et de la sexualité bibliques, ce qui a fait d’elle une cible parmi les gauchistes radicaux pro-LGBT qui veulent la punir pour ses croyances chrétiennes.
Bien que Mme Räsänen ait été déclarée non coupable de trois accusations d’« incitation contre un groupe minoritaire » l’année dernière, le procureur pro-LGBT à l’origine de l’affaire, Raija Toiviainen, a fait appel de la décision, ce qui signifie que l’affaire est toujours en cours.
Mme Räsänen déclare à Jonathon que toute cette situation est « choquante », car la Finlande a une longue tradition de défense de la liberté d’expression et de religion.
« Je n’aurais jamais imaginé que mes convictions et mes opinions sur le christianisme et la Bible conduiraient à ce genre de processus », dit-elle, ajoutant que la police l’a interrogée sur la signification du « péché » et l’enseignement de saint Paul sur l’homosexualité.
« Je n’ai parlé que de ce que la Bible enseigne et de ce que Dieu représente, du mariage, c’est-à-dire entre un homme et une femme, et aussi de ce qu’elle enseigne sur l’homosexualité. »
Räsänen note également que Toiviainen n’est pas seulement militante pro-LGBT, son objectif principal déclaré est « le ciblage, la lutte et les discours de haine ».
Heureusement, Räsänen a reçu une avalanche de soutien de la part des organisations et des chefs religieux finlandais, y compris de ceux de divers pays du monde. Malgré l’épreuve ardue et les difficultés de sa situation, Räsänen voit quelques bons côtés.
« L’Association finlandaise pour la liberté d’expression et de religion a été fondée dès le début pour soutenir cette affaire et éventuellement d’autres similaires à l’avenir », dit-elle. « Et je dois dire que je suis particulièrement heureuse pour les personnes homosexuelles qui m’ont dit avoir trouvé Jésus dans leur vie grâce à cette affaire ».
Des milliers de pro-vie défilent à Paris alors que le Parlement français examine une loi en faveur de l’avortement
Marche pour la Vie à Paris, 22 janvier 2023.
Par Jeanne Smits — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : KTO News/YouTube
26 janvier 2023, Paris (LifeSiteNews) — Vingt mille pro-vie ont défilé pour la vie le 22 janvier à Paris, alors qu’en 2023 la France fait face à deux batailles législatives majeures qui menacent d’ajouter « l’égalité d’accès au droit à l’avortement » à la Constitution et de rendre l’euthanasie pleinement légale.
Compte tenu de l’importance des enjeux, il est dommage que la participation de dimanche n’ait pas été plus élevée que les années précédentes, même si le nombre écrasant d’adolescents et de très jeunes adultes présents à la Marche pour la vie de cette année est certainement un signe que la génération montante ne tient pas la culture de la mort pour acquise.
« La vie vaut la peine d’être vécue » était l’un des slogans de la Marche. L’événement, sous une forme quelque peu différente, a eu lieu [pour la première fois] le 17 janvier 1988, à l’occasion du 13e anniversaire de l’entrée en vigueur de la tristement célèbre « Loi Veil ». C’est le nom donné en France à la loi sur l’avortement promue au Parlement par la ministre de la Santé Simone Veil en 1974. Cette loi levait les sanctions pénales pour les avortements pratiqués dans des circonstances bien définies et était assortie d’un certain nombre de « garanties », telles qu’une limite de temps [de gestation] de dix semaines, une période de réflexion d’une semaine et un conseil obligatoire pour aider les femmes à obtenir une aide sociale afin de poursuivre leur grossesse. Simone Veil a fait valoir que l’objectif principal de « sa » loi était de « dissuader » les femmes d’avorter, mais de nombreuses dispositions de la loi, telles que la création de centres d’aide aux femmes enceintes financés par des fonds publics, n’ont jamais été mises en œuvre.
Dès l’adoption de la loi, les chiffres officiels annuels de l’avortement en France ont explosé pour atteindre plus de 200 000 par an. Après un fléchissement temporaire et, au fil du temps, la levée ou l’assouplissement de toutes les conditions d’accès à l’avortement volontaire, les chiffres annuels de l’avortement ont atteint plus de 220 000 par an. La plupart (plus de 70 %) sont des avortements chimiques. Au cours des dernières années, il est devenu de plus en plus facile d’obtenir un avortement chimique. Les fermetures de COVID-19 ont servi de prétexte pour autoriser temporairement la prescription de pilules abortives chimiques par le biais de consultations médicales en ligne jusqu’à sept semaines de gestation au lieu de cinq ; ces mesures sont depuis devenues permanentes. Cent pour cent des frais médicaux liés aux avortements sont pris en charge par la sécurité sociale française depuis 2016. Il n’en va pas de même pour les frais médicaux liés à la grossesse, et l’une des demandes régulièrement formulées par la Marche pour la vie est que la grossesse soit traitée financièrement au moins au même niveau que l’avortement.
Lire la suiteTrudeau affirme le « droit de choisir » de la femme face à des photos de victimes de l’avortement
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
25 janvier 2023 Hamilton, Ontario — Hier soir, alors qu’il était confronté à des pro-vie montrant des photos d’enfants avortés, le premier ministre canadien Justin Trudeau a décidé de réaffirmer sa position sur la question, en disant aux militants : « Je crois au droit de la femme de choisir. »
Dans une vidéo enregistrée mardi soir par le principal groupe pro-vie canadien Campaign Life Coalition (CLC), on peut voir et entendre Trudeau défendre sa position sur l’avortement alors qu’il marche à l’extérieur d’un bar du centre-ville de Hamilton, en Ontario, avec des membres de son personnel, tandis que des militants pro-vie de CLC, Hamilton Against Abortion (HAH) et Canadian Centre for Bio-Ethical Reform (CCBR) tiennent des pancartes affichant des photos de victimes d’avortement dans le cadre d’une manifestation de la « chaîne du choix » visant à « dévoiler aux yeux du public l’injustice de l’avortement ».
PM Trudeau confronted by abortion victim photography on way to dinner in Hamilton. Watch what he says pic.twitter.com/IeBgTXuzOz
— Campaign Life Coalition (@CampaignLife) January 25, 2023
« Monsieur le premier ministre, croyez-vous en l’égalité des droits pour tous les êtres humains ? » a demandé l’une des femmes pro-vie présentes à la manifestation.
« Je crois au droit de la femme de choisir », a répondu Trudeau.
« Qu’en est-il de cet humain qui a été tué ? » a rebondi la militante pro-vie.
« Je défendrai les droits des femmes tous les jours », a répondu Trudeau à la femme.
La femme a crié « Pour tuer des êtres humains ? », alors que Trudeau et les personnes qui l’accompagnaient commençaient à entrer dans le restaurant.
À ce moment de la vidéo, Myles Vosylius, de CLC, qui enregistrait l’événement, a crié : « Vous êtes catholique ! Vous ne pouvez pas soutenir l’avortement ! »
On peut entendre un autre homme s’exclamer peu après : « Ce massacre se déroule sous vos yeux », avant d’ajouter sarcastiquement : « Profitez bien de votre dîner ! »
Lire la suiteUn ex-gay est menacé d’emprisonnement et d’amendes pour avoir témoigné de son abandon de l’homosexualité
Matthew Grech.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Christian Legal Centre
23 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Un travailleur caritatif chrétien qui s’est détourné de l’homosexualité à la suite de sa conversion au Christ, a livré son puissant témoignage lors d’une émission de radio. Peu de temps après, les forces de l’ordre l’ont menacé d’une possible peine de prison et d’une forte amende pour avoir prétendument enfreint la loi de son pays interdisant les « pratiques de conversion » LGBT.
L’action du gouvernement maltais à l’encontre de Matthew Grech, 33 ans, serait la première du genre et elle est considérée comme un test par les groupes de défense de la liberté d’expression et les organisations chrétiennes qui visent à protéger les droits des anciens gays et lesbiennes à raconter leur histoire et à vivre librement sans être harcelés par les groupes LGBT. Certains de ces derniers affirment que l’enseignement chrétien sur le mariage et le débat sur les modes de vie LGBT doivent être traités comme des infractions pénales.
Le message de Grech est simple : il y a dix ans, il s’est converti au Christ, a réalisé que les actes sexuels en dehors du mariage homme/femme sont des « péchés » et a choisi librement d’abandonner la vie homosexuelle qu’il menait.
S’il est reconnu coupable, il risque jusqu’à cinq mois de prison et une amende de 5 000 euros.
Grech fait partie d’un nombre non négligeable d’anciens homosexuels et de transsexuels, hommes et femmes, qui se heurtent à l’opposition croissante des médias et du gouvernement lorsqu’il s’agit de raconter au public leurs histoires souvent héroïques.
Criminalisation des convictions chrétiennes
Le Christian Legal Centre (CLC), basé à Londres, qui participe à la défense de M. Grech, a expliqué l’importance de l’affaire judiciaire qui se profile :
Lire la suiteCe qui se passe à Malte sur ces questions a une portée internationale, car Malte est devenu le premier pays de l’Union européenne à interdire en 2016 ce que les groupes de pression LGBT décrivent comme une « thérapie de conversion ».
Le Texas a pratiquement éliminé l’avortement deux mois seulement après le jugement Dobbs
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hollie Santos/Unsplash
5 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Le Texas a connu zéro avortement électif légal en août 2022 et seulement trois avortements pour des menaces physiques à la vie de la mère, selon de nouvelles statistiques qui soulignent l’impact de permettre aux États de fixer [les dispositions concernant] l’avortement après environ 50 ans de Roe v. Wade.
En juin dernier, la Cour suprême des États-Unis a annulé Roe, l’arrêt de 1973 qui obligeait les 50 États à autoriser la plupart des avortements. Cela a permis à de nouvelles et anciennes lois pro-vie d’entrer en vigueur dans tout le pays, y compris une interdiction totale et directe de l’avortement datant de 1925, qui avait été temporairement bloquée après la décision d’un juge inférieur. Le Texas a également une interdiction de l’avortement basée sur le battement de cœur qui a pu entrer en vigueur avant l’annulation de Roe grâce à son mécanisme d’application unique (poursuites par les citoyens plutôt que par le gouvernement).
La loi sur le battement de cœur a été créditée d’une réduction significative des avortements dans l’État de l’étoile unique. Aujourd’hui, Texas Right to Life présente de nouvelles données du département de la santé et des services sociaux du Texas qui révèlent que la réactivation de la loi de 1923 a pratiquement éradiqué cette pratique.
Deux mois seulement après le renversement de Roe, le Texas rapporte qu’il n’y a eu aucun avortement légal électif et seulement trois avortements légaux commis pour sauver la vie de la mère. Il s’agit d’une baisse par rapport aux 67 avortements électifs du mois précédent et aux 5 706 d’août 2021.
Les experts médicaux pro-vie maintiennent que l’avortement direct n’est jamais médicalement nécessaire pour sauver la vie d’une mère ; la fiche de données du HHS du Texas ne permet pas de savoir si les trois avortements « médicalement nécessaires » étaient réellement des avortements ou plutôt des traitements de sauvetage qui ont eu pour résultat indirect et involontaire la perte du bébé. Quoi qu’il en soit, le fait qu’il n’y en ait eu que trois porte un coup sévère à la désinformation des pro-avortement sur la fréquence de telles situations et sur les lois pro-vie qui mettraient la vie des femmes en danger.
Lire la suiteLeslyn Lewis révèle que Trudeau a signé la charte du Forum économique mondial en 2020 y faisant adhérer le Canada
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie
20 janvier 2023, Ottawa (LifeSiteNews) — Mme Leslyn Lewis, députée du Parti conservateur du Canada, a révélé les modalités selon lesquelles le gouvernement libéral du premier ministre Justin Trudeau a signé en 2020 une charte du Forum économique mondial (FEM) qui pourrait priver le pays de son autonomie en matière de soins de santé et d’environnement.
« En novembre 2020, alors que les Canadiens étaient distraits par le COVID, le gouvernement libéral a signé une charte initiée par le Forum économique mondial. Cette “Charte des nations agiles” facilitera l’élaboration de règles agiles en dehors du Parlement », a tweeté Lewis mercredi.
« Pourquoi ce secret ? »
Mme Lewis, députée pro-vie, a inclus un lien vers un document qu’elle a reçu en réponse à une demande de renseignement d’un membre du parlement qu’elle a déposée en octobre 2022 et qui demandait quel était l’engagement du gouvernement canadien envers le réseau « Nations agiles » dirigé par le FEM.
Les réponses contenues dans le document, qui ont été remises à Mme Lewis par le député libéral Greg Fergus, montrent que le Canada était l’un des sept pays qui ont participé aux réunions organisées en 2020 par le FEM, ainsi que par l’Organisation de coopération et de développement économiques.
Les réunions ont porté sur la « réglementation agile sur les technologies émergentes », Fergus notant que le Canada « a exprimé son soutien à la proposition et a fourni des commentaires sur les premières ébauches de la Charte pour étoffer la version finale qui a été signée en novembre 2020 ».
« Le Canada a soutenu le Royaume-Uni dans son mandat de premier président des “Nations agiles” pour établir des mécanismes de coordination et de gouvernance », peut-on lire dans la réponse.
Selon les réponses de Fergus, la « “Charte des nations agiles” est une reconnaissance par les pays membres de la nécessité d’une collaboration internationale pour créer un environnement réglementaire dans lequel l’innovation peut prospérer. »
Lire la suiteUne étoile de la NHL refuse de porter un maillot LGBT et reçoit un soutien massif de son entraîneur et de ses admirateurs
Ivan Provorov.
Par Stephen Kokx — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Philadelphia Flyers/YouTube
20 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Les amateurs de sport sont venus en aide au joueur de hockey russe orthodoxe Ivan Provorov, qui a subi les foudres des commentateurs libéraux pour avoir refusé de porter des vêtements d’échauffement aux couleurs de l’arc-en-ciel avant un match de la « Nuit de la fierté » cette semaine.
Selon le Daily Wire, le maillot n°9 de Provorov, qui joue pour les Flyers de Philadelphie, est presque épuisé dans plusieurs boutiques en ligne.
Le maillot d’Ivan Provorov est maintenant complètement épuisé sur NHL Shop et Fanatics à l’exception des très petites tailles.
— Greg Price (@greg_price11) 19 janvier 2023
« En date de jeudi après-midi, sur les sites Fanatics et NHL Shop, le maillot ne semblait pas être disponible en coupe homme et ne pouvait être acheté qu’en coupe femme », rapporte le média. Fanatics et NHL Shop disaient tous deux que les maillots étaient « presque épuisés ».
Mardi, Provorov a déclaré aux journalistes qu’il voulait simplement « rester fidèle à moi-même et à ma religion » lorsqu’on lui a demandé pourquoi il n’avait pas participé aux exercices pro-LGBT d’avant-match.
La décision de Provorov de vivre sa foi a déclenché une tempête de commentaires dans le monde du sport. Des journalistes d’ESPN, de Sports Illustrated et d’ailleurs l’ont immédiatement condamné pour ne pas s’être plié à l’ordre du jour woke. E.J. Hradek, de NHL Network, l’a dégoûté en l’exhortant à « retourner en Russie » où il pourrait « peut-être » se battre dans la guerre avec l’Ukraine.
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