M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Pressions LGBT : un acteur s’excuse d’avoir déclaré les enfants de 3 ans trop jeunes pour choisir un « genre »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Mario Lopez, Américain, acteur, producteur de films, animateur et père de trois enfants, avait eu l’imprudence (louable) de se prononcer sur le trangenrisme que l’on introduit chez les jeunes enfants, d’un âge aussi bas que trois ans, notamment parmi ceux des acteurs de cinéma. En retour, il a subi la critique de la gent LGBT, particulièrement transgenres et protransgenrisme, qui lui reprochait de tenir des propos qui osaient mettre en doute le bien-fondé d’accéder aux fantaisies d’un enfant de trois ans concernant son sexe. Extrait de People :

Le nouveau coanimateur d'Access Hollywood est apparu au The Candace Owens Show en juin, où la commentatrice conservatrice a évoqué « cette nouvelle tendance parmi les célébrités à se distinguer... en annonçant que leur enfant choisissait son genre. »

En réponse, Lopez dit à Owens que lui aussi avait du mal à comprendre cette mentalité, et qu'il était « en quelque sorte sidéré ».

« Écoutez, je ne suis pas du genre à dire à qui que ce soit comment élever ses enfants, évidemment, et je pense que si vous venez d'un lieu aimant, vous ne pouvez vraiment pas vous tromper », affirma-t-il. « Mais en même temps, mon Dieu ! si vous avez 3 ans et que vous dites que vous vous sentez d'une certaine façon, ou que vous pensez être un garçon ou une fille, ou peu importe ce que ça pourrait être, je pense qu'il est dangereux pour un parent de prendre cette décision : "Bon, alors vous allez être un garçon ou une fille", peu importe le cas. C'est un peu alarmant et, bon sang ! je pense aux répercussions plus tard. »

[…]

L'ancienne vedette de Saved by the Bell a continué, encourageant les parents de jeunes enfants à « être l'adulte dans la situation » et à attendre les « années formatives » de l'enfant pour avoir des discussions et faire des déclarations concernant le genre.

Je rajouterais aux paroles d’alors de M. Lopez que peu importe l’âge de l’enfant, il est dangereux et faux de prétendre qu’il est autre chose que ce qu’il est, à savoir un garçon ou une fille, ce qui est déterminé par sa biologie, par son ADN. Mais M. Lopez s’est fait tomber dessus par la vindicte LGBT et s’est soumis à ses volontés, dommage qu'il ait manqué de courage. Extrait de People :

Dans une déclaration publiée dans People, mercredi, Lopez s'est excusé pour ses remarques.

« Les commentaires que j'ai faits étaient ignorants et insensibles, et je comprends maintenant mieux à quel point ils étaient blessants », protestait-il. « J'ai été et je serai toujours un ardent défenseur de la communauté LGBTQ, et je vais profiter de cette occasion pour mieux m'éduquer. Allant de l'avant, je serai mieux informé et plus réfléchi. »

Laissez un commentaire

L’implant contraceptif qu’une femme portait est passé de son bras à son poumon


Implant contraceptif Essure.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Les diverses méthodes de contraception ont parfois, comme on peut le voir, certains effets secondaires assez surprenants, mais bien réels, outre ceux plus ordinaires, notamment ceux dus à la contraception hormonale. Ces effets négatifs sont bien normaux si l’on considère qu’empêcher une fonction saine du corps, surtout sur une longue période, ne pourra que nuire au corps. Extrait de LifeSiteNews :

L’étude détaille le cas d’une femme de 31 ans, dont le nom est tu, qui a utilisé des implants contraceptifs (de fines tiges destinées à rester dans le bras pendant une période de cinq ans libérant du progestatif dans le corps) pendant huit ans sans incident, selon Business Insider. Mais après trois mois de saignements anormaux, elle s’est rendue chez son médecin, qui s’est efforcé de localiser son plus récent implant, l’Implanon NXT, dans son corps.

Une échographie a finalement révélé que la tige avait migré de son bras à son poumon gauche, que l’on dut opérer par chirurgie vidéo-assistée pour retirer l’implant. Cette femme est sortie de l’hôpital quatre jours plus tard, et ses médecins rapportent qu’elle n’a souffert d’aucune complication.

Bien cela soit rare, le fait que les implants contraceptifs se déplacent du bras vers le poumon n’est pas sans précédent. Les médecins supposent que cela se produit lorsque l’implant est placé trop profondément dans le bras, où il court le risque de pénétrer dans une veine. L’« exercice intense » peut aussi provoquer la migration d’un implant.

L’année dernière, l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux a imposé des restrictions sur la dispensation de l’implant Essure. l’Agence « a signalé 10 cas de décès d’adultes potentiellement liés à Essure, 20 cas de fausses couches et quatre cas de décès de nourrissons après une naissance vivante, » rapporte LifeSitenews.

La contraception, ce fléau :

Au cours des dernières années, de plus en plus de femmes ont commencé à dénoncer les réactions physiques et mentales négatives aux contraceptifs oraux, qui ont été associées à une augmentation de 80 % de la probabilité de dépression et à une multiplication par six du risque de thrombose (caillots sanguins), une forte augmentation de perte de cheveux, de maladie de Crohn, de rétraction du cerveau, de cancer du sein, de durcissement des artères, de glaucome et de cancer du col utérin.

En 2016, une enquête menée par Denver7 a révélé que les dispositifs intra-utérins (DIU) étaient responsables de plus de 62 000 « événements indésirables » sur une période de quatre ans seulement, y compris des perforations utérines, des infections [...]

Laissez un commentaire

Une femme atteinte d’un cancer en phase terminale : « Le suicide assisté n’est pas la réponse »

Par Anna Reynolds (LiveActionNews) — traduction par Campagne Québec-Vie

Le Massachusetts étudie actuellement un projet de loi intitulé « An Act Relative to End of Life Options », qui légaliserait le suicide assisté dans certaines circonstances. Dans une lettre, Pauline Morris, résidente du Massachusetts, offre un point de vue souvent négligé dans le débat : celui des personnes qui ont vécu le suicide d’un être cher. Mme Morris écrit ayant examiné la législation, « je ne peux m’empêcher de penser à mon expérience du suicide. »

Il y a près de cinq décennies, le mari de Mme Morris s’est suicidé à l’âge de 31 ans, la laissant elle et leurs quatre jeunes enfants en profondément choqués. Elle reconnaît que les motivations du suicide de son mari peuvent sembler différentes de celles sanctionnées par le projet de loi proposé, mais elle affirme que « le suicide assisté demeure un suicide ». Faisant référence à des études portant sur les raisons pour lesquelles les patients recherchent le suicide assisté, Mme Morris note que les patients le désirent non pas à cause de la douleur physique, mais à cause de la souffrance existentielle, les mêmes souffrances qui ont poussé son mari à s’enlever la vie.

Alors que les défenseurs du suicide assisté considèrent cette pratique comme une « solution » à la souffrance, elle met fin à la vie d’une personne, et la souffrance ne s’arrête pas pour les proches d’un patient [euthanasié]. Mme Morris écrit : « Il y a toujours cet endroit vide où l’être aimé devrait être. Le temps ne guérit pas les blessures du suicide. Les [effets] de l’acte ne sont jamais finis pour les êtres chers laissés derrière. La douleur est permanente et a un effet de répercussion sur les générations futures. » D’autres ont exprimé des sentiments similaires.

Cet effet d’entraînement se traduit par une plus grande probabilité chez les personnes touchées par la perte [de quelqu’un s’étant suicidé] qu’elles se suicident elles-mêmes, car le suicide est contagieux. Alors que certains groupes affirment que le suicide assisté n’influence pas le taux global de suicide, d’autres ont tiré la sonnette d’alarme en affirmant que le taux de suicide chez les adolescents a doublé en Oregon, où le suicide assisté est légal et a reçu une couverture médiatique importante.

Mme Morris, qui a maintenant un cancer et dont le mari a souffert de démence, réclame des soins pour traiter la dépression des patients, au lieu de présenter le suicide assisté comme soin médical. Elle écrit : « L’expérience de chaque personne atteinte d’une maladie en phase terminale est unique, mais d’après mon expérience avec mon mari, le suicide n’est pas la solution. La légalisation du suicide assisté par surdose légale létale envoie un message : certaines vies ne valent pas la peine d’être vécues, à savoir la vie des personnes handicapées ou en phase terminale d’une maladie. »

Laissez un commentaire

Marche pour la Vie de Tokyo : procession, prière et témoignage

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :

Une petite, mais belle marche pour la vie. Extrait de LifeSiteNews :

Plus de 300 personnes ont participé à la Marche pour la Vie à Tokyo ayant avec eux la statue de Notre Dame de Fatima, cette année.

La marche pro-vie annuelle a eu lieu le lundi 15 juillet, qui est le Umi no hi (Jour de la mer — un des jours fériés du Japon). Bien que le nombre de participants ait été modeste (300), deux évêques et plusieurs prêtres se sont joints à la marche, priant pour la venue d’une culture de vie au Japon et dans le monde.

Laissez un commentaire Lire la suite

Le sombre portrait de Jonathan « Jessica » Yaniv, activiste « transgenre »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere

Avertissement, les sujets abordés sont choquants à lire, bien que je m’efforce de les aborder d'une façon respectant le plus possible la pudeur. — A. H.

Jonathan Yaniv dit « Jessica » est un homme qui se dit « femme transgenre » et lesbienne, mais qui n’a pas subi d’opération pour se démasculiniser (opération qui ne rend pas femme pour autant), ce qui se fait assez couramment chez les « femmes transgenres » quand ils veulent ressembler à de vraies femmes.

Yaniv s’est récemment illustré en demandant à la municipalité de Langley en Colombie-Britannique la permission d’organiser une fête-baignade à la piscine municipale, lors de laquelle les personnes admises pourraient être d’un âge aussi bas que celui de 12 ans, mais de laquelle les parents seraient exclus. De plus, le code vestimentaire de l’éventuelle fête indiquerait que les participants n’étaient uniquement requis que de couvrir les parties intimes en dessous de la taille… Heureusement, le Conseil municipal de Langley a décidé de reporter à septembre leur réponse à cette inquiétante requête ; dommage qu’il n’est pas tout simplement dit « Non ! »

Yaniv s’est aussi distingué (si l’on peut dire) dans les médias, parce que portant 16 motifs de plainte devant les tribunaux contre des esthéticiennes qui avaient refusé d’épiler ses parties intimes. Qu’un tribunal accepte d’écouter une plainte aussi monstrueuse dépasse l’entendement.

Par ailleurs, Yaniv poursuivrait aussi l’activiste chrétien Bill Whatcott, qui est connu pour être la cible de la persécution LGBT, demandant 35 000 $ pour avoir parlé de lui comme d’un homme et pour avoir dit qu’il était « un “travesti déviant” qui “cible les femmes biologiques* vulnérables” », d'après LiseSiteNews.

Laissez un commentaire Lire la suite

Unplanned projeté devant le « méga-centre d’avortement » de Planned Parenthood à Washington

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :

Les dirigeants de cet avortoir n’ont pas dû beaucoup aimer que des pro-vie projettent devant leur établissement le film pro-vie Unplanned, qui montre ce qui se passe réellement dans les cliniques de Planned Parenthood (au Québec une telle projection devrait se faire au minimum à cinquante mètres de l'avortoir). Extrait de LifeSiteNews :

Unplanned, le film racontant la conversion d’Abby Johnson de directrice d’établissement en avortement à celui de militante pro-vie, a été projeté sur le trottoir devant le complexe d’avortement de Planned Parenthood à Washington.

Patrick Mahoney, directeur de Christian Defense Coalition, fortement impliqué dans cette projection inusitée exprime ses pensées, selon LifeSiteNews :

« Montrer Unplanned devant un centre de Planned Parenthood est un témoignage puissant de la dignité de chaque vie et de l’exemple que nous devons tous suivre pour protéger les droits de la personne et mettre fin à la violence dans notre société », poursuit Mahoney. Le film explique aussi pourquoi la Dr Wen a été congédiée alors qu’elle révélait que Planned Parenthood avait « doublé » le nombre d’avortements et négligé les vrais soins de santé féminins.

Un vaste projet à la grandeur des États-Unis :

« Notre espoir est de lancer une campagne à l’échelle nationale pour éventuellement montrer Unplanned devant les centres d’avortement de Planned Parenthood à travers les États-Unis, » a-t-il ajouté.

Laissez un commentaire

Un juge rejette les charges lancées contre trois pro-vie qui étaient entrés dans un avortoir

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : PxHere

Un juge de la Cour supérieure de Washington a laissé tomber les chefs d’accusation dont étaient chargés les pro-vie Bud Shaver, Père Stephen Imbarrato et Lauren Handy, eux qui étaient entrés dans un avortoir en mars dernier, pour donner des roses aux femmes venues là pour un avortement, et pour les supplier de ne pas faire avorter leur enfant à naître, refusant eux-mêmes de quitter les lieux. Extrait de LiveActionNews :

Un juge fédéral a rejeté toutes les accusations portées contre trois militants pro-vie qui ont mené une opération Red Rose Rescue dans un centre d'avortement tardif de Washington, le 19 mars.

Bud Shaver, le Père Stephen Imbarrato et Lauren Handy sont entrés dans la Washington Surgi-Clinic du Dr Cesare Santangelo et ont refusé de la quitter. Ils étaient là pour offrir des roses rouges aux mères qui envisagent l'avortement, ou en suivent la procédure. Les sauvetages Red Rose Rescue, inspirés par la militante canadienne Mary Wagner, consistent, pour des pro-vie, à risquer l'arrestation pour refus de quiter les lieux, dans le but de distribuer des roses et supplier les mères de ne pas avorter leurs enfants.

Le trio a été accusé d'entrée illégale et de refus de sortir. Le juge John Ramsey Johnson de la Cour supérieure du district de Columbia a rejeté les accusations. Le P. Imbarrato avait déposé une requête en irrecevabilité après que l'accusation eut laissé passer la date limite du 2 juillet pour la divulgation. Il a déclaré à LifeSiteNews que l'accusation l'avait appelé le 9 juillet pour l'informer qu'elle demandait une prolongation. Le P. Imbarrato, qui se représentait lui-même, leur a dit qu'il s'y opposait et qu'il demanderait le non-lieu.

Le juge a dit que les charges pourraient éventuellement être rétablies, ce que le Père Imbarrato a supposé être « leur façon subtile de nous dire : "Ne recommencez pas". »

Avertissement, qu’il soit réel ou non, que ces braves pro-vie n'écouteront très certainement pas.

Laissez un commentaire

Pressions des médecins pour qu’une nièce consente à l’euthanasie de sa tante atteinte de pneumonie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : PxHere

Et en plus, comme cette tante est en train de se remettre dans un hôpital de Toronto, la nièce pense que si elles font encore l’objet de pressions de la part du service médical, c’est parce que la patiente a 89 ans. L’euthanasie n’est ni digne, ni bon. Extrait de LifeNews :

Sa tante est allée à l'hôpital il y a quelques semaines avec une pneumonie. Son médecin a décidé de ne rien faire pour elle. Le docteur a dit :

« Elle n'ira pas mieux. »

Le médecin a fait pression sur la nièce pour que sa tante soit sédatée et déshydratée jusqu'à la mort.

La nièce a demandé un autre médecin et a insisté pour qu'on soigne sa tante, qui maintenant n'a plus de pneumonie.

La tante se rétablit, mais l'hôpital continue de faire pression sur sa nièce pour que la première soit sédatée et déshydratée à mort. La seule raison pour laquelle sa nièce pense qu'ils font cela est que sa tante a 89 ans. Sa nièce a affirmé :

« Elle n'a pas de cancer, elle n'a pas de maladie potentiellement mortelle. »

Laissez un commentaire

La ministre fédérale de la Santé demande aux provinces de financer entièrement les frais de l’avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : Nouveau-Brunswick/Flickr

La ministre fédérale de la Santé exige des provinces, dans une lettre destinée aux législateurs, qu’elles payent rubis sur l’ongle les frais liés à l’avortement. L’Ontario et le Nouveau-Brunswick se rebifferaient. Extrait du The Globe and Mail :

La ministre fédérale de la Santé, Ginette Petitpas Taylor, demande à toutes les provinces d'éliminer les obstacles à l'accès à l'avortement, se disant préoccupée par les politiques et les frais qui sont « en décalage » avec la loi fédérale. 

Cependant, ses homologues provinciaux de l'Ontario et du Nouveau-Brunswick, où certaines patientes doivent payer pour avoir accès à des services d'avortement […] ont promptement rejeté la demande de Mme Petitpas Taylor.

Devant la réaction de certaines provinces, le gouvernement fédéral ne dédaignerait pas de les obliger à suivre ses désirs en les menaçant de retenues fiscales dans le domaine de la santé (comme il l’a déjà fait pour l’Île-du-Prince-Édouard, pour l’obliger à fournir des avortements), d’après The Globe and Mail :

Le cabinet de Mme Petitpas Taylor a dit qu'il était trop tôt pour préciser les mesures qu'il prendrait si les provinces continuaient de faire fi de la loi fédérale sur la santé. Par le passé, le gouvernement fédéral a eu recours à la retenue des paiements de transfert en matière de santé pour réagir aux infractions à la Loi canadienne sur la santé.

Le Nouveau-Brunswick semble décidé à ne pas céder, d’après The Globe and Mail :

Dans une déclaration, un porte-parole du ministère de la Santé du Nouveau-Brunswick a rejeté la demande de Mme Petitpas Taylor de modifier la politique.

"Il n'y a aucune intention de notre part de changer le statu quo, a écrit Bruce Macfarlane.

Laissez un commentaire Lire la suite

Un évêque américain lance un appel à ses confrères évêques : « Le dépôt de la foi a été fragmenté et corrompu »


Mgr Joseph Strickland, évêque de Tyler au Texas.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :

Mgr Joseph Strickland, évêque de Tyler, aux États-Unis, a lancé sur Twitter un appel aux catholiques, et tout spécialement aux évêques, de revenir à l’enseignement plein et entier de l’Église catholique, surtout dans le domaine du mariage et de la famille. Extrait de LifeSiteNews :

Mgr Joseph Strickland, évêque de Tyler, au Texas, a dénoncé sur Twitter cette fin de semaine la façon dont l’enseignement moral de l’Église catholique sur la sexualité et la famille a été brisé et entaché dernièrement, et il a appelé les laïcs et évêques catholiques à un retour à la vérité de cet enseignement.

Il écrit :

« Le dépôt de la foi n’a pas été gardé, au contraire, il a été fragmenté et corrompu, surtout dans les domaines du mariage, de la famille et de la sexualité. Je prie pour que les évêques et tous les catholiques reviennent à cette source de vérité révélée et prient pour la purification et le renouveau de la vie et de la grâce de Dieu. »

Mgr Strickland a déclaré à LifeSiteNews que son tweet était motivé par le prochain anniversaire de Humanæ Vitæ, et qu’il avait essayé de tweeter périodiquement sur les thèmes contenus dans le document.

[...]

La veille de son tweet sur la fragmentation et la corruption du dépôt de la foi, Strickland tweetait sur l’encyclique Casti Connubii du pape Pie XI de 1930, qui affirmait la doctrine de l’Église catholique sur le mariage.

« Si seulement l’humanité avait écouté il y a presque 100 ans », a-t-il dit. « Que les croyants lisent cet enseignement à cœur ouvert aujourd’hui. »

Laissez un commentaire