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L’histoire nous renseigne


Vladimir Ilich Lénine.

Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie)

Nous ne sommes pas les premiers

Soit que les mondialistes donneront un grand coup cet automne pour finaliser la prise de contrôle fasciste de nos populations et nous enfermer dans une dictature sanitaire, soit qu’ils feront une pause, préférant reprendre l’empoisonnement graduel de nos sociétés en attendant la prochaine opportunité. Dans les deux cas, cependant, les mêmes milliardaires tireront les ficelles et les mêmes élites corrompues contrôleront nos institutions. Ceux qui résistent devront donc vivre, dans l’avenir prévisible, dans les entrailles d’un régime maléfique et hostile. Comment faire ?

Les solutions varieront selon la situation. Certains se retrouveront seuls, réfractaires marginalisés et incompris, au sein de leur famille et de leurs amis. Parfois des familles entières résisteront, ailleurs ce sera des communautés ou même des états.

L’histoire nous fournit une première piste de réflexion. En effet, nous ne serons pas les premiers à survivre au sein d’une tyrannie fasciste*. Avec la pandémie, l’Occident est en train de basculer dans la troisième des trois dictatures modernistes décrites par C. S. Lewis dans « Abolition of Man » ; le Nazisme et le Stalinisme étant les deux premières. Dans le cas présent, le contrôle est moins brutal mais il sera plus invasif. Cependant, derrière ces différences, c’est le même agenda de destruction des racines sapientiales de l’humanité (en particulier ses racines chrétiennes) et de transformation radicale des humains qui est en cours.

Au Canada, nous n’avons jamais connu ce type de dictature. Nous n’avons pas de références, dans notre mémoire collective, pour nous guider. Cependant, d’autres ont vécu sous de tels régimes. Pour prendre la mesure de ce qui nous attend, on peut donc se demander comment c’était d’être un chrétien anti-nazi dans l’Allemagne de 1937, alors que cette idéologie dominait tous les discours et que famille et collègues étaient des partisans d’Hitler. Ou encore, comment vivait cette Russe qui s’obstinait à fréquenter l’église dans la Russie stalinienne de 1950 malgré les menaces du parti et le dénigrement des siens. Nous ne connaîtrons jamais l’immense courage et la dignité lucide de ces vies anonymes qui ont persévéré dans la droiture et la foi au milieu des menaces et des mensonges de régimes politiques monstrueux ; ils sont la moisson secrète de Dieu.

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On pourrait se demander aussi comment c’était de vivre en famille quand les parents craignaient d’être dénoncés par leurs enfants (« Mon papa est transphobe, il faudrait le soigner », ne riez pas, ça s’en vient !). Vous croyez que j’exagère ? Ce régime veut déjà criminaliser les parents qui s’opposent au changement de sexe de leurs enfants !

Ce n’est pas facile de vivre au sein d’une culture qu’on perçoit comme toxique. Nous voulons tous croire que nos dirigeants sont bienveillants et que notre société est saine. C’est exigeant de vivre en marge de sa culture et dans le rejet de ses dirigeants. Ça demande une vigilance constante. C’est plus facile et beaucoup plus agréable de faire confiance que de se méfier. Mais, quand un régime politique est malfaisant et que les valeurs qu’il propose sont nocives, que ce soit facile ou non, il faut le faire.

Nous ne sommes pas les premiers à être subjugués par une idéologie démentielle. L’exemple de ceux qui ont vécu des conditions autrement plus difficiles et sous les régimes plus brutaux du nazisme et du stalinisme peut nous guider. En examinant comment c’était de vivre à ces époques on trouvera des renseignements utiles pour persévérer à notre tour dans le Nouvel Ordre Mondial.


* J’utilise le terme de « fasciste » de préférence à « communiste » parce qu’il s’agit, dans le cas du Great Reset, d’un socialisme autoritaire promu par le grand capital et au service de ses intérêts plutôt qu’un mouvement social qui émergerait d’un prolétariat.



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