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Un avortement qui tourne mal

Un avortement à 14 semaines de grossesse qui tourne mal. Pour la mère... Mais selon moi, tout les avortements tournent mal pour l'enfant tué.

Pour ce qu'a l'air l'enfant à naître à 14 semaines. Ou bien ici (la 4e image est à 16 semaines).

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Non à l'euthanasie et au suicide assisté: Aucune condition particulière ne les justifie

Ce qui suit s'agit d'une version abrégée d’un mémoire présenté au Collège des médecins du Québec le 30 août 2009 par Joseph Ayoub, m.d. André Bourque, m.d, Catherine Ferrier, m.d., François Lehmann m.d., et José Morais,m.d.. Le mémoire a aussi reçu l’appui d’un nombre significatif de médecins de la province de Québec.

Le débat sur la dépénalisation de l’euthanasie et du suicide assisté ne cesse de ressurgir au Canada et au Québec depuis les derniers vingt ans. Le mouvement en faveur de l’euthanasie motive son instauration sur la nécessité de respecter l’autonomie et la « dignité » de la personne. Nos tribunaux ont été interpellés sur quelques cas particuliers au cours des dernières années et la Cour Suprême du Canada a réaffirmé la valeur intrinsèque de la vie humaine et les limites imposées à l’autonomie de la personne qui souhaite mettre fin à ses jours. Le mouvement en faveur de l’euthanasie s’est donc retourné vers la seule issue légale possible: le parlement du Canada et l’amendement du droit criminel. Le Projet de loi C-384, présenté par Mme Francine Lalonde, députée du Bloc Québécois, en est la plus récente manifestation.

L’adoption du projet de loi C-384 rendrait légal l’euthanasie et le suicide assisté au Canada. Puisque nous allons tous un jour connaître la mort, la question soulevée est au cœur de ce que nous pouvons avoir comme conception de la personne. Elle interpelle toute la société. Les enquêtes d’opinion sur l’euthanasie sont difficiles à interpréter mais une constante demeure: celle du désir des personnes de se voir entourées et soutenues, et épargnées de la douleur et des souffrances terminales. Certes, lorsqu’on demande aux personnes si elles sont favorables à l’euthanasie dans le cas où une personne n’est pas soulagée de douleurs atroces, il est prévisible que la majorité des individus vont répondre que oui. Cela place les individus devant le choix entre l’euthanasie et une absence de soins appropriés pour le soulagement de la douleur, et donc de choisir l’euthanasie comme modalité de soulagement de la douleur. Pendant que le débat des dernières années sur l’euthanasie s’est poursuivi, des milliers de patients sont décédés de diverses maladies terminales sous les soins de personnels compétents, et avec l’entourage de la famille et de bénévoles. Nos hôpitaux et autres établissements de santé ont au cours des 30 dernières années développé des services de soins palliatifs tels qu’il n’y en avait jamais eu auparavant. Il reste encore beaucoup à faire, particulièrement pour la catégorie des patients atteints de maladies chroniques et qui n’ont que quelques mois ou quelques années de vie devant eux. Les questions éthiques entourant les soins proportionnés, l’acharnement thérapeutique, l’interruption de traitement et le soulagement de la douleur sont quotidiennement au cœur des discussions dans les milieux d’enseignement et de pratique de la médecine.

La très grande majorité des malades qui terminent leur vie dans un état de diminution physique et psychologique arrivent à la fin naturelle de leur vie dans un environnement de soutien et de palliation bien supérieurs à tout ce qu’on avait connu auparavant. Nous sommes encore loin des limites de ce que peuvent offrir les soins palliatifs. Les avancées pharmacologiques et les moyens thérapeutiques de la radio-oncologie et de la chirurgie oncologique permettent de soulager les malades de beaucoup de malaises pour lesquels on n’avait auparavant que peu de solutions. La maîtrise de la douleur est certes parfois incomplète dans les états terminaux et il arrive qu’on ne puisse l’obtenir sans des effets secondaires de sédation, que le malade ne souhaite pas. Il est considéré une bonne pratique médicale et même une obligation d’utiliser les opiacés et tout l’arsenal analgésique disponible dans l’intention d’apaiser le plus possible la douleur du malade, même si c’est au prix d’abréger ses jours par les effets secondaires de la médication (ce qui est très rarement le cas). Depuis les dernières années, des pratiques d’induction du sommeil sont venues compléter l’arsenal thérapeutique pour les plus rares cas de douleur très mal maîtrisée.

Pour reprendre les mots de l’éthicienne Margaret Somerville, c’est la douleur qu’il faut tuer, pas le malade. La pharmacologie et les autres modalités de la médecine et de la chirurgie feront encore des avancées dans le soulagement de la douleur, mais la souffrance existentielle du malade atteint d’une maladie terminale demeurera toujours un phénomène lié à notre humanité, à notre quête de sens pour nos tourments immédiats, à nos croyances sur l’au-delà: souffrance et humiliation de se voir diminué physiquement et mentalement, de se voir dépendant et de se considérer un poids pour les autres, humiliation de devoir se plier à recevoir de l’aide pour les besoins de l’hygiène, peine de devoir quitter ceux que l’on aime, peine d’être témoin des souffrances des proches. Plus que les douleurs « incoercibles », c’est cette souffrance qui peut amener le malade dont les jours sont comptés à sombrer dans le découragement ou la dépression et à demander que l’on abrège ses jours. La grande majorité de ces malades trouveront un réconfort dans leur souffrance par la sollicitude de l’entourage ou parfois par la médication antidépressive. La pratique démontre aussi que la demande à mourir est une sorte de cri du cœur qui est le plus souvent un appel à la sympathie et ne représente pas une demande concrète d’euthanasie.

Il demeure qu’il y aura toujours dans nos sociétés le problème des personnes atteintes de maladies terminales et dégénératives sévères, qui voient venir les complications de leur maladie, qui ne sont pas nécessairement déprimées, qui bénéficient de beaucoup de support et de soins mais qui voudraient mettre fin à leurs jours en un temps et un lieu, et qui ne sont pas capables de le faire seules. Ces personnes ne voient plus de sens à ce qui leur reste à vivre naturellement, et l’échéance naturelle avant leur mort est parfois longue. Les personnes qui demandent l’euthanasie dans ces circonstances ne sont pas nombreuses dans notre société et la majorité de ceux et celles qui ont une condition physique semblable à la leur ne souhaitent nullement mettre fin à leurs jours. Il ne sera jamais possible de discriminer en fonction de l’âge et de la sévérité de l’atteinte ou de l’espérance de vie dans ce groupe de personnes car ce qui est véritablement en jeu est le droit au suicide. Or notre société a choisi pour de très bonnes raisons, que la personne suicidaire et qui est capable de poser un geste de suicide, peut être retenue de passer à l’acte.

C’est le sort de ces personnes, que la souffrance mène à demander qu’on les aide à abréger leurs jours, qui motive le mouvement en faveur de l’euthanasie et du suicide assisté. Nous ne devons pas nier que ces situations existent ni affirmer que ces personnes sont toutes déprimées ou inaptes à donner un consentement éclairé à leur demande. Ces personnes doivent être entendues et aidées le plus possible, mais leur demande demeure pour nous absolument irrecevable.

Il y a aussi un autre groupe de patients dont le sort nous interpelle: celui des malades en voie de mourir et dont l’agonie n’en finit plus. Les derniers mois et les dernières semaines de la vie sont pour certains malades un lent atterrissage où les organes fléchissent les uns après les autres, où la peau se détériore, où il vient un temps que l’esprit n’y est plus, et où les fonctions vitales ne tiennent qu’à un fil. Les soins sont toujours exigeants pour le personnel et les familles s’épuisent de veiller le malade, ne demandent qu’à voir arriver la fin et demandent parfois au médecin d’intervenir. La tentation en pareilles circonstances serait d’autoriser le médecin à mettre un terme à l’agonie. La frontière entre la palliation et l’euthanasie peut sembler ténue pour certains puisque la distinction entre l’une et l’autre sera dans l’intention du geste et non pas dans ce qu’il comporte. L’interdit total de l’euthanasie doit cependant demeurer même dans ces situations.

En terminant nous retenons 9 arguments pour lesquels l’euthanasie et le suicide assisté ne devraient jamais être dépénalisés au Canada

  1. Les demandes d'euthanasie disparaissent lorsque la famille et le patient reçoivent le support ou les soins qui leurs sont dus. La pratique de la médecine nous enseigne que les patients qui expriment le désir de mourir le font le plus souvent parce qu’ils ont besoin de réconfort, qu’ils sont déprimés, ou que leur douleurs et leurs symptômes ne sont pas bien contrôlés. Pour la très grande majorité, les bons soins médicaux, le traitement de la dépression ou l’approche palliative sont les solutions à leur demande. Les patients qui demandent à mourir changent aussi souvent d’idée avec le temps. Souvent la demande origine non pas des malades, mais plutôt des familles qui sont épuisées, alors que le malade, lui, n’a pas demandé qu’on hâte sa mort : le plus souvent, lorsque la famille est mieux épaulée, la demande disparaît. Quand il y a de la souffrance, il vaut mieux chercher de trouver un sens à la vie qui reste, développer des stratégies pour faire face aux questionnements existentiels et travailler pour les soins optimaux, que de trouver un raccourci vers la mort.
     
  2. Le médecin à tout à sa disposition pour soulager n'importe quelle souffrance physique. Faire mourir le patient n’est pas une solution humaine pour soulager les situations dramatiques de douleur ou de souffrance terminales : le médecin a toujours le devoir de faire mourir la douleur, et non pas de faire mourir le patient. La proposition d’euthanasie marque un refus de confiance à l’égard des progrès de la science médicale. Il n’y a pas de limites imposées au médecin lorsqu’il met en œuvre les moyens pour soulager la douleur. Ces moyens sont larges, accessibles, de plus en plus élaborés et progressent sans cesse. Dans les cas extrêmes, la sédation profonde qui fait dormir le malade peut même être une solution ultime pour le soustraire aux souffrances jusqu’à ce qu’il meure de causes naturelles. En présence d’états terminaux il n’y a pas d’obstacles à l’arrêt des traitements jugés futiles ou disproportionnés par le patient ou par le médecin. Il existe toujours des issues, même pour les cas plus complexes. Il n’y a pas de questions taboues sur la mort au sein de la profession médicale. Le questionnement sur l’acharnement thérapeutique et l’interruption des traitements futiles ou disproportionnés, les refus de traitement par les patients autonomes, sont au cœur de la clinique et sont abordés ouvertement et sereinement par les médecins en pratique et dans le cadre des programmes de formation. Les médecins connaissent bien la frontière qui existe entre le soulagement de la douleur et l’euthanasie.
     
  3. Une modification de nos lois pour satisfaire à un petit nombre mettra en péril la vie d'un beaucoup plus grand nombre. Il y a néanmoins des personnes qui revendiquent sérieusement ou avec insistance l’euthanasie ou le suicide assisté. Elles sont très peu nombreuses. Les demandes sont généralement liées à la personnalité de l’individu et au besoin qu’il ressent de contrôler sa vie… et sa mort. La très grande majorité des personnes dans une situation similaire à la leur ne demandent pas qu’on intervienne pour abréger leurs jours. La liberté et l’autonomie de la personne s’arrêtent là où elles empiètent sur celles des autres membres de la société. Une modification de nos lois pour satisfaire la demande de ce petit nombre de personnes mettra en péril la vie d’un beaucoup plus grand nombre, qui n’étaient même pas initialement visées. L’expérience des quelques pays qui se sont aventurés dans la voie de l’euthanasie et du suicide assisté démontre que les pratiques deviennent vite ingérables malgré la mise en place de contrôles et de balises : les protocoles ne sont pas respectés, les consentements non obtenus, les pressions des familles se font fortes et difficiles à gérer. Des personnes qui ne le demandaient pas sont mises à mort.
     
  4. La dépénalisation de l’euthanasie est une « pente » qui mène inévitablement vers un glissement plus large, difficile à contrôler. Les médecins dans les pays où l’euthanasie est légale en ont l’expérience. Dès qu’on accepte de faire mourir les patients dans un état terminal et qui le demandent, on devient confronté à la demande des malades avec des handicaps et des atteintes chroniques qui les minent, puis à celle des patients avec des atteintes psychologiques, puis à s’interroger sur le sort des nouveaux-nés fortement handicapés…qui ne demandent pas à mourir. Des personnes même jeunes et atteintes de maladies chroniques invoqueront les chartes pour qu’on ne discrimine pas envers elles dans leur demande de suicide assisté, et qu’on les aide donc à mettre fin à leurs jours. Accepter que donner la mort peut être une solution pour un problème ouvre la porte à donner la mort pour cent autres. L’euthanasie deviendra une « issue thérapeutique » vers laquelle des personnes se tourneront pour soulager leurs souffrances, alors qu’il y a beaucoup d’autres options.
     
  5. La dépénalisation de l’euthanasie et du suicide assisté engendrerait des pressions indues sur les personnes avec des atteintes chroniques, des handicaps sévères, ou les personnes qui doivent recevoir beaucoup d’aide ou des traitements coûteux: ces personnes en viendraient à avoir le sentiment qu’elles sont un fardeau indu pour les proches ou la société, et qu’elles devraient considérer l’euthanasie ou le suicide assisté. L’euthanasie aura des retentissements défavorables sur les attitudes sociales envers les personnes gravement malades, avec des handicaps, ou d’un âge avancé.
     
  6. Ni la maladie, ni la déchéance physique ou psychologique, ni la douleur, ni la souffrance, ni la perte d’autonomie ne diminuent la dignité fondamentale de la personne. La personne n’est pas indigne du fait qu’elle dépend des autres chroniquement ou lorsqu’elle se meurt. La solution pour assurer le « mourir dans la dignité » demeure avant tout dans l’approche palliative compétente, le respect, l’accompagnement et la tendresse envers ces personnes.
     
  7. Pour donner une "droit à la mort" au patient on doit donner un "droit de tuer" au médecin. La dépénalisation de l’euthanasie et du suicide assisté repose entièrement sur une participation de la profession médicale ; ultimement c’est le médecin qui est appelé à porter un jugement sur l’utilité de préserver la vie ou d’y mettre fin : il se voit imposé un rôle d’arbitre. Il en résulte une perte de l’autonomie des patients, au profit d’un accroissement de pouvoir de la profession médicale sur les personnes. Pour donner un « droit à la mort » au patient on doit donner un « droit de tuer » au médecin. Il s’ensuit une érosion de la relation médecin-patient, le médecin n’étant plus seulement celui qui guérit, soulage ou réconforte, mais aussi celui qui donne la mort. La mise à mort devient alors une « option thérapeutique » de la profession médicale au même titre que les autres traitements médicaux ou chirurgicaux, ce qui érode le lien de confiance envers toute la profession médicale.
     
  8. Le médecin qui participe au suicide encouragera par son geste le suicide au niveau de la société. Bien que le suicide soit parfois revendiqué comme une liberté, il demeure avant tout un drame personnel fondamentalement contraire à la nature humaine et un échec de la société. Le suicide n’est jamais sans retentissement sur les autres personnes et sur toute la société. La réponse médicale face aux tentatives de suicide a toujours été de venir en aide à la personne : elle doit le demeurer. Le médecin qui participe au suicide encouragera par son geste le suicide au niveau de la société.
     
  9. L’interdit de l’euthanasie et du suicide assisté de la tradition hippocratique est plus que millénaire. Il a été une valeur forte de générations de médecins qui y ont adhéré. Il demeure empreint de sagesse et de compassion et mérite d’être défendu avec fermeté.

 

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La liberté d'expression à l'université québecoise est un mythe

Mise-à-jour: Les organisateurs (c'est à dire le groupe Choose Life McGill) on décidé d'aller de l'avant avec la présentation de Jojo Ruba du Centre Canadien pour la réforme en bioétique, en dépit des objections du conseil étudiant... les pro-avortements n'ont pas aimé ça. Ils sont venus à la présentation et, lorsqu'elle avait à peine commencée, ils ont commencé à faire du grabuge, et cela a continué pour deux (2) heures. Absolument incoyable:

Billet original: La liberté d'expression à l'université québecoise est un mythe...Au moins pour les sujets qui doivent le plus être débattus, comme l'avortement.

Choose Life McGill, un groupe pro-vie à l'université McGill, a récemment invité José Ruba du Centre canadien pour la réforme en bioéthique. Ce dernier était sensé présenter, le 6 octobre, son "Echoes of the Holocaust", une présentation qui démontre les ressemblances entre l'holocauste juive et l'avortement. (C'est cette même présentation qui a été intérrompue l'année dernière par une foule hurlante à l'université Saint-Mary's à Halifax.)

Le membres du gouvernement étudiant (la "SSMU") n'en voulaient pas. Ils ont voté pour que la SSMU fasse une demande officielle auprès de la direction pour interdire la présentation. Ils ont votés massivement en faveur de cette motion. Mais en plus, ils ont ajouté que si jamais Choose Life présentait quand même (car la SSMU savait que même leur demande officielle auprès de la direction serait probablement ignorée) que Choose Life perdrait tous leur fonds de club officiel.

Donc Choose Life, pour ne pas perdre leur budget, on été forcés de trouver une salle à l'extérieur du campus, ce dernier étant redevenu la pouponnière rose des socialistes.

La leçon: vous ne pouvez pas être un club universitaire avec des opinions qui sortent de l'orthodoxie socialiste. Et ces gens là seront nos futurs dirigeants...

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Lancement des 40 jours pour la vie


Communiqué de presse

 

Pour diffusion immédiate

Montréal, ce 18 septembre 2009

 

QUI: Le comité organisationnel 40 Jours pour la vie–Montréal et Campagne Québec-Vie

QUOI: le lancement des 40 jours pour la vie, avec invités "Rompre le Silence"

: Dans le Parc Lahaie, en face de la clinique d'avortements Morgentaler, située au 30 St. Joseph E. à Montréal

QUAND: 19h00-21h00

POURQUOI: Pour la cause du respect de la vie humaine, dès la conception.

 

La prochaine édition des 40 jours pour la vie débute le mercredi 23 septembre au Parc Lahaie à 19h00 avec une cérémonie de lancement avec "Rompre le Silence" (Silent No More Awareness Campaign— http://www.silentnomoreawareness.org/), une organisation internationale regroupant des femmes et des hommes qui font le deuil d'un avortement et qui témoignent des dommages psychologiques et spirituels que l'avortement aurait causé dans leurs vies. (S'il pleut, la soirée entière, de 19h00 à 21h00, aura lieu au 60 Laurier E.)

Les 40 jours pour la vie (www.40daysforlife.com) sont une vigile internationale biannuelle de 40 jours en file, minimum 12 heures par jour, où, cet automne, des chrétiens de plus de 200 villes prieront et jeûneront en communion devant un centre d'avortement. Cet automne, avec Montréal, il y a 6 autres villes canadiennes: Halifax, Fredericton, Ottawa, Toronto, Kitchener/Waterloo, et Winnipeg. La première édition des 40 jours pour la vie à Montréal a eu lieu du 25 février au 5 avril de cette année. (Pour plus d'info sur comment s'est déroulé cette édition des 40 jours, voir www.40daysforlife.com/montreal ) La vigile à Montréal cet automne aura lieu devant le centre d’avortements Morgentaler, débutant le 24 septembre à 7h00 et se terminant le 1er novembre à 19h00.

Depuis ses débuts officiels en automne 2007, les 40 jours ont sauvés 1561 enfants à naître : 1561 mères ayant décidé de garder leur enfant après avoir vu la vigile devant le centre d'avortement—et ce ne sont que les mères qui ont laisser connaître leur décision aux participants à la vigile.

Les gens qui veulent s'impliquer d'une façon ou d'une autre à cette très importante vigile des 40 jours à Montréal sont demandés de contacter [email protected]. On peut aussi s'enregistrer à la vigile en suivant ce lien: http://www.vigilcalendar.com/montreal

 

-30-

 

Contact médiatique: Georges Buscemi (514) 928-4819

 

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Plus de 100 médecins du Québec disent "non" à l'euthanasie

Un groupe de médecins du Québec -- les docteurs Joseph Ayoub, André Bourque, Catherine Ferrier, François Lehmann, et José Morais -- ont soumis le 30 août, 2009 un mémoire au Collège des médecins demandant l'interdiction de l'euthanasie et du suicide assisté. Le mémoire, intitulé "Non à l'euthanasie et au suicide assisté--Aucune condition particulière ne les justifie", a reçu jusqu'à cette heure l'appui de plus de 100 médecins québecois, affirme André Bourque, un médecin de Montréal, à CQV.

Pour l'instant, le mémoire complèt en français, et une version abrégée en anglais et en français sont disponibles en cliquant sur le lien "fichiers attachés" ci-dessous.

Les médecins de partout au Canada qui désirent appuyer ce mémoir sont priés de contacter Campagne Québec-Vie, qui relayeront ensuite l'information à Dr. Bourque.

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Le Planned Parenthood québecois célèbrera le 20e de Chantal Daigle

La Fédération du Québec pour le planning des naissances (FQPN) célébrera avec un spectacle au théatre plaza sur St-Hubert le jeudi 1er octobre à 20h la "victoire" de Chantal Daigle d'il y a 20 ans. En 1989, lorsqu'elle était à sa 22e semaine de grossesse, Chantal Daigle a fait tuer son enfant à naître. Cliquer le "En lire plus" pour voir exactement l'évènement que célèbrera la FQPN le 1er octobre prochain:

Bravo! Quelle belle victoire: nous avons maintenant le droit de tuer les enfants pour vivre comme bon nous semble. C'est ça le progrès!

Pour ma part, je ne pense pas qu'il y a de quoi célébrer. Son enfant aurait aujourd'hui 19 ans. C'est un dueil que je ferai.

Prions pour la FQPN et les autres qui sont pris dans la logique de la mort, c'est à dire la logique qui dicte qu'il faut tuer des êtres innocents pour réussir dans la vie. Malheureusement, c'est la même logique qui nourrit la guerre, jadis un jeu macabre résèrvé aux hommes; maintenant les femmes ont le "droit" de tuer pour défendre leur égo et défendre le faux "bien commun", c'est à dire une société commercialisée, individualiste, hédoniste, perpetuellement festive et égoïste.

 

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Les francophones manquent à l'appel

À la une dans la Presse de Montréal aujourd'hui, on lit que les allophones (personnes dont la langue première est autre que l'anglais ou le français) sont majoritaires dans les écoles publiques de Montréal. Une des hypothèses émises: taux de reproduction. En effet, selon la Presse, les francophones se reproduisent à un taux 30% moins élevé que les allophones (qui, d'ailleurs, ont un taux qui me semble très bas, soit de seulement 1,7--il faut un peux plus de 2 enfants par femme en moyenne pour remplacer la population). Et les allophones, bien sûr, sont issus de familles d'immigrants récents.

Donc nous voyons pourquoi un cours comme le cours d'étique et culture religieuse est si important pour l'élite dirigeante de la province. C'est comme si elle raisonnait de la façon suivante: "donnons-nous comme citoyens une autonomie démesurée en nous permettant de baiser comme bon nous semble et de tuer nos enfants à naître. Le prix à payer sera le manque de contribuables dans une génération ou deux. Mais ce n'est pas un problème, car nous irons chercher ces contribuables dans d'autres pays. Or, il faut s'assurer que ces gens ne gardent pas leurs coutumes et leurs croyances de là bas, car ça gâcherait notre petite utopie hédoniste. Donc forçons leurs enfants à subir un cours de lavage de cerveau, dès la première année."

Et voilà la course est lancée: sur un côté de la piste, la culture de mort, notre élite nihilo-libérale-syndicaliste qui contracepte et avorte à tour de bras, mais qui tente d'assimiler, avec des cours de lavage de cerveau comme le CECR, le manque à faire en enfants, et sur l'autre côté il y a les cultures qui, demeurant  ouvertes à la vie, héritent de façon naturelle de la majorité et ainsi du droit de refaire la culture québecoise à leur image.

On voit presque la panique chez les technocrates, voyant les cultures ouvertes à la vie à veille de les dépasser dans cette course démographique.

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Les funérailles du "lion du sénat" -- Ted Kennedy (1932-2009)

Ted Kennedy, voteur 100% pro-mort au sénat américan et 100% anti-famille est lionisé par Obama et les autres promotteurs de la culture de la mort en plein jour à la basilique Notre-Dame du secours perpétuel à Boston aujourd'hui. Un scandale qui fait de l'imbroglio à Notre-Dame une peccadille. Le plus triste, c'est que ça ne surpends pas du tout. Ça me rappelle même les funérailles d'un certain premier ministre pro-mort "catholique" dont les funérailles hautement publicisées ont eu lieu dans une basilique dans un diocèse que je ne nommerai pas non plus.

Par contre, j'ai espoir que cette terrible génération où hommes d'église main-en-main avec les pourvoyeurs de la mort oeuvraient à détruire l'église de l'intérieur est en train de s'éclipser, pour être remplacée par une nouvelle et vigoureuse génération de clercs et de fidèles laïc qui n'ont pas peur de faire la promotion d'une vrai culture de la vie centrée sur le Christ.

(L'illustration vient du site LifeSiteNews)

 

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Bulletin CQV mai 2009

Montréal, mai 2009

Bonjour à tous, amis dans le Christ,

qui êtes donc amis des plus démunis de notre planète : les malades et les faibles que l’on vise avec l’euthanasie, et les enfants à naître!

Comme vous pourrez vous-même le constater en lisant la note dans le bulletin sur les 40 jours pour la vie qui viennent de se terminer le 25 avril, beaucoup de grâces sont venues des prières qui ont été récitées au coeur des 40 jours pour la vie, événement organisé à Montréal par Campagne Québec-Vie ainsi qu’avec l’aide de plusieurs bénévoles extrêmement dévoués.

Nous sommes convaincus que ces 40 Jours pour la Vie ont beaucoup compté : Nous avons établi des contacts pour des levées de fonds et avec des personnes ressources pour des consultations sur trottoir (le "sidewalk counselling"). De plus, nous avons tissé des liens avec des centres de grossesses, des programmes d’éducation pro-vie, de nouveaux bénévoles pro-vie, et de nouveaux donateurs. Nous avons aussi créé d’inestimables liens avec des pasteurs et membres du clergé de Montréal et de ses environs. Ce n’est pas mal pour 40 jours --moins de 6 semaines-- de travail.

Et si ce fut un Carême très riche en grâces, ces grâces ne nous aurons pas été accordées en vain car l’année qui vient pour le mouvement pro-vie au Québec s’avère être FORT intéressante. Il s’agit de préserver les contacts précieux et de conserver l’élan que nous a donné cette merveilleuse vigile du temps du Carême.

À cette fin nous vous proposons « Opération Grain de Sénevé ». Il s’agit d’un excellent moyen, nous le croyons, de rendre Campagne Québec-Vie encore plus efficace « sur le terrain » et de conserver les gains en contacts et en enthousiasme réalisés lors des 40 jours. Pour plus de détails, consultez la rubrique « Opération Grain de Sénevé » dans le bulletin ainsi que la feuille ci-jointe du même titre: vous y trouverez, entre autres, une liste des projets que nous avons en vue pour 2009-2010. Pour l’instant, nous nous contraignons à vous annoncer un de ces projets: la deuxième édition des 40 jours pour la vie, qui débutera le 23 septembre, 2009!

Mais si ces projets se réalisent, cela dépendra en grande partie de la PRIÈRE, du BÉNÉVOLAT, et des DONS réguliers de vous, nos membres fidèles!

Aussi, n’oubliez surtout pas la Marche nationale pour la Vie qui aura lieu le 14 mai prochain. Le mois dernier vous avez reçu avec l’envoi « Carême 2009 » le dépliant pour la Marche nationale pour la Vie. Si vous vivez dans les environs de Montréal et choisissez de prendre un autobus nolisé, SVP nous rejoindre par téléphone ou par courriel (numéro et adresses indiquées ci haut).

Merci à tous les participants aux 40 jours pour la vie, ainsi qu’à tous nos militants pour la vie, et nous espérons vous voir à la Marche!

Luc Gagnon, président

Georges Buscemi, secrétaire général

p.s. Le coupon réponse ce mois-ci est assez différent de ceux des mois précédents. Donc veuillez bien le lire avant de le remplir, et merci de donner généreusement et de faire partie d’Opération Grain de Sénevé! Vous pouvez être persuadé de l’importance primordiale de votre participation active et nous vous en remercions d’avance au nom de tous les petits êtres qui ont besoin de votre courage et de votre ténacité à défendre la Vie.

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Lancement officiel du nouveau site de Campagne Québec-Vie

J'aimerais vous souhaiter la bienvenue au nouveau site de Campagne Québec-Vie (www.cqv.qc.ca). Nous voulions que ce site soit un endroit propice au dialogue et à la promotion d'une véritable culture de la vie au Québec. Merci d'être venu, et bonne visite!

- Georges Buscemi, président

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