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Hommages au meurtrier

Le journal La Presse du 4 juin 2009 a publié une très longue lettre anonyme en hommage à l'avorteur Tiller, assassiné aux États-Unis. La Québécoise de Gatineau auteure de ladite lettre «rêvait d’un être humain normal». Après 25 semaines de gestation, les spécialistes en génétique lui ont proposé plusieurs solutions pour soigner les problèmes de malformations du bébé. Elle et son conjoint ont plutôt décidé de toutes les rejeter et d’opter pour l’avortement tardif, car ils «ne voulaient prendre aucun risque».

Ces parents exigeaient un bébé parfait. Et cette mère énumère une litanie de raisons qui ont motivé sa décision: «Nous sommes jeunes, nous avons la vie devant nous, nous avons des aspirations professionnelles, des projets de vie et de voyages plein la tête. Nous gérons deux belles carrières, etc.». Cet enfant devait mourir, car il était devenu trop incommodant. Et la mère ajoute: «Je ne suis pas faite pour les sacrifices; je ne suis pas une aidante naturelle».

Dans cette lettre épouvantable, aucune compassion pour son bébé déchiqueté et envoyé aux ordures. La banalisation de ce genre d’avortement nous donne une idée du degré de décadence de notre société. L’enfant à naître ne doit surtout pas déranger nos plans. Alors, bienvenue à la culture de la mort qui est pour beaucoup une délivrance. Et on appelle cela une civilisation moderne et très avancée.

Le meurtre du Dr Tiller est ignoble. Mais tous ces meurtres de bébés de 25, 28 et 30 semaines, démembrés dans le sein de leur mère et jetés aux ordures, sont également épouvantables et inacceptables. Mais c’est le complot du silence

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