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Le mariage en déclin à Montréal... et la proportion des partenaires de même sexe "mariés" est de 1,3% des mariages

Sur le site du journal La Presse du 19 septembre 2012:

 

(mariage à Montréal)

 

(...)Lorsque le recensement a été effectué en mai 2011, il y avait 1 034 500 familles vivant dans la région métropolitaine de recensement de Montréal. Statistique Canada définit une «famille de recensement» comme étant composée d'un couple marié ou en union libre, incluant ceux possédant ou ne possédant pas d'enfants, ou composée d'un adulte vivant seul avec au moins un enfant.

Les couples mariés - avec ou sans enfant - représentent 54,9 % des familles dans la région de Montréal. Il s'agit d'une diminution par rapport au recensement de 2006, lorsque 56,5 % des couples étaient mariés. Les conjoints en union libre représentent 26,7 % des familles, en hausse par rapport à 2006.

Au pays, le nombre de couples mariés a diminué au cours des cinq dernières années, passant de 68,6 % à 67 % de l'ensemble des familles. Les couples vivant en union libre composent 16,7 % de l'ensemble des familles du pays, une progression comparativement au recensement de 2006, alors que leur proportion était de 15,5 %.

Les nouvelles données du recensement révèlent d'autres détails intéressants concernant les familles dans la region métropolitaine de Montréal:

> Les familles reconstituées - définies par Statistique Canada comme des couples vivant avec un ou plusieurs enfants, et où au moins l'un des enfants est le descendant biologique ou adopté d'un seul des parents - représentent 8 % de l'ensemble des familles en couple dans la région de Montréal. Il s'agit de la première fois où Statistique Canada a recensé les familles reconstituées.

> La proportion des gens dans la région de Montréal qui sont divorcés est de 10,5 %, en hausse par rapport à 10,3 % en 2006.(...)

> 18,3 % des familles sont monoparentales: 14,4 % d'entre elles sont composées d'une mère célibataire, et 3,9 % d'un père célibataire.

> Il y a 10 630 couples homosexuels (1,3 % de tous les couples de Montréal), en hausse par rapport à 8 365 couples homosexuels (1 %) en 2006. (...)

1,3 % des "couples" de Montréal sont constitués de partenaires de même sexe, ce qui confirment la proportion de personnes homosexuelles selon les dernières données de statistiques Canada, environ 1% également. Nous sommes loin des 10% que le lobby gai s'entête à présenter comme la réalité, sans aucun fondement.

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En voie de produire et entretenir des humains esthétiquement "parfaits"

Si la fécondation in vitro tentent d'éliminer les candidats qui ont un handicap, le botox et les stéroïdes visent à corriger ceux qui n'ont pas eu la "chance" d'être dépisté avant la naissance. Sur le site du journal La Presse du 18 septembre 2012, cet article de Marie-Claude Lortie:

 

 

(...) Avez-vous lu la stupéfiante série publiée la semaine dernière dans La Presse sous la plume d'Hugo Meunier?

On y apprenait que de plus en plus de jeunes hommes utilisent des stéroïdes pour gagner rapidement de la masse musculaire à des fins esthétiques.

Ils avalent des comprimés et s'injectent ces substances obtenues illégalement, dans un but qui n'a rien à voir avec la force de leur frappe au baseball ou leur temps sur 100 m à la course. Ce qu'ils veulent, c'est devenir rapidement des colosses baraqués façon Occupation double. Ou avoir des abdos d'acier qui mériteraient une sortie sans chemise au Beach Club de Pointe-Calumet.

Évidemment, le tout est assorti d'heures incalculables au gym et d'un régime pour assurer que le moins de gras possible cache la définition de ces deltoïdes et chers quadriceps...

Et en plus des stéroïdes, on vend aussi - légalement cette fois - toutes sortes de poudres et gels aux oméga-3, vitamines, créatine, protéines, glutamine, qui promettent là encore une silhouette de mannequin Calvin Klein. Sans oublier les «boost de testostérone», les mélanges «pré-workout».

Alors que les obsédées du poids féminines vident leurs portefeuilles en achetant des livres de régime, des fioles de thé, des diurétiques et mille recettes de «detox» plus charlatanesques les unes que les autres, les gars, eux, cherchent aussi follement, à la porte d'à côté, avec leur carte de crédit, le muscle dodu, solide, rêvé...

Voilà 30, 40 ans qu'on s'intéresse et qu'on cherche à comprendre l'anorexie et la boulimie, un problème particulièrement féminin. On a eu le temps de tirer des leçons.

De chercher des pistes de solution.

Pourtant, on n'a pas changé grand-chose dans nos relations avec nos corps et nos assiettes.

En fait, la situation a même empiré.

Non seulement le recours aux régimes minceur n'est pas découragé, ceux-ci sont même plutôt insidieusement encouragés par des politiques de santé publique qui mitraillent des messages anti-obésité qui sont essentiellement anti-calorie. Officiellement, on veut bien faire pour endiguer notre prise de poids collective, mais en réalité, on parle de contrôle alimentaire de la même façon que ces régimes amaigrissants supposément décriés.

De plus, les images corporelles véhiculées dans les médias - à la télé comme au cinéma, autant dans la publicité que dans les reportages mode et compagnie - ne sont pas plus diverses qu'il y a 40 ans. À part une Beth Ditto et quelques autres tailles "" affichées ici et là, les mannequins sont toujours ultra minces, comme si entre ces deux extrêmes, il n'y avait rien.

Et s'il y a un nouveau modèle corporel qui s'est ajouté, ce n'est pas celui de la normalité, c'est un idéal à la fois filiforme et extra pulpeux sorti de l'imagination des réalisateurs de films pornos, biologiquement improbable, bancal.

Voilà 30, 40 ans, donc, qu'on n'arrive pas à aider autant qu'il le faudrait ces femmes qui ont des relations destructrices avec leur corps, leur poids, la nourriture.

Et que s'est-il passé?

Le problème s'est étendu.

Encouragés par ces politiques publiques anti-obésité et qui se veulent pro-santé mais diffusant sans suffisamment de discernement des messages encourageant la pratique du sport et la lutte contre les calories, on s'est mis à féliciter les jeunes hommes de commencer à 13 ou 14 ans la musculation et le contrôle alimentaire.

Pendant ce temps, le marché de la beauté, des vêtements, de la coquetterie s'est étendu aux hommes, avec, en prime, toutes sortes d'images, supposément vendeuses, mais surtout déstabilisantes, troublantes. «Et si je n'étais pas assez beau», se demandent-ils aussi.

Les voilà donc qui, eux aussi, s'inquiètent de leur apparence, de leur taille, de leurs formes, qui cherchent des solutions rapides, flambent leur argent chez les charlatans, les vendeurs de rêve.

Les voilà eux aussi pris dans notre piège.

Quel désastre!

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Nouvelles statistiques sur le pourcentage d'enfants victimes de la décomposition des familles au Québec et au Canada...

Sur le site du journal La Presse du 19 septembre 2012:

 

 

 

Les plus récentes données du recensement de 2011 dévoilées mercredi par Statistique Canada démontrent que la famille nucléaire conventionnelle est de moins en moins la norme.

Couples vivant en union libre, familles monoparentales, mariages entre personnes de même sexe: toutes ces formes de cellule familiale sont en pleine expansion depuis les cinq dernières années au pays. Le mariage conventionnel qui conclut depuis toujours les contes pour enfants, en revanche, recule. (...)

Si l'union libre gagne du terrain un peu partout au Canada, le Québec est sans contredit la province où ce type de ménage fait le plus d'adeptes. Pas moins de 31,5 % des couples québécois vivent hors mariage, soit une augmentation de 13,5 % depuis le précédent recensement de 2006. La moyenne de couples habitant dans le même foyer sans pour autant avoir prêté serment ne dépasse pas 12,5 % dans les autres provinces. Il s'agit-là d'un écart «très significatif», selon M. Martel. (...)

La «blonde de mon père», le «copain de maman», «mon demi-frère», «ma petite soeur par alliance» font désormais partie du vocabulaire d'un enfant canadien sur 10. En effet, 10 % des jeunes de 14 ans et moins vivent sous un toit où l'un des deux adultes n'est pas son parent biologique (ou adoptif), ou encore avec des frères et soeurs qui ne sont pas issus du même couple que lui.

Encore une fois, les données concernant le Québec se distinguent de celles du reste du pays, puisque c'est dans la province francophone où l'on retrouve une plus forte proportion de ces familles recomposées, soit 16,1 % des couples avec enfants contre 12,6 % pour la moyenne nationale.

Les familles monoparentales sont également de plus en plus fréquentes, en croissance de huit % par rapport à 2006 pour l'ensemble du pays. Fait à noter, même si huit familles monoparentales sur 10 ont à leur tête une femme, la proportion de pères élevant seuls leurs enfants a bondi de 16,2 % depuis cinq ans. (...)

Une autre nouveauté du recensement de 2011 - le dénombrement des enfants en famille d'accueil - révèle que 0,5 % des jeunes de moins de 15 ans vivent dans ce type de ménage.

(...)

 

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Réplique à l'Afeas (Association féminine d'éducation et d'action sociale) qui se prononce contre la Motion M-312

Sur le site de l'Afeas du 18 septembre 2012:

 

(Association féminine d'éducation et action sociale)

 

D’ici la fin de septembre, la Chambre des Communes sera appelée à voter sur la motion 312 visant à accorder une reconnaissance juridique au foetus. L’Afeas demande le rejet de cette motion qui soulève des questions sur lesquelles la Cour suprême du Canada a déjà statué. Les instances juridiques ont toujours considéré une femme enceinte et son foetus comme un seul être humain.

Le fait d’accorder une reconnaissance juridique au foetus mettrait en péril les droits constitutionnels des femmes et menacerait leur vie et leur santé. Accorder une reconnaissance juridique au foetus ouvrirait la porte à des poursuites à l’encontre des femmes enceintes soupçonnées de porter préjudice à leur foetus.

 

Non, les instances juridiques n'ont pas toujours considéré une femme enceinte et son foetus comme un seul être humain. Elles ne le font que depuis qu'elles n'ont plus le courage de prendre position selon les données scientifiques et réalistes, mais selon le dictat politiquement correct d'organisations douteuses sur le plan éthique et moral.

En aucune façon la reconnaissance juridique de l'enfant à naître ne nuirait à la vie et à la santé des femmes enceintes, comme viennent de l'affirmer 140 gynécologues et obstétriciens:

Un symposium international sur les soins aux mères a réuni quelque 140 professionnels de la santé le 8 septembre dernier à Dublin, qui se sont mis d'accord pour publier une déclaration confirmant que l'avortement volontaire – la mise à mort directe volontaire d'un enfant avant sa naissance – n'est jamais nécessaire pour sauver la vie d'une mère.

The Dublin Declaration veut donner une information claire et sûre aussi bien aux législateurs qu'aux médecins, sur la foi d'une expérience large du suivi de la grossesse.

Le choix du lieu de cette conférence est en soi tout un programme : alors qu'en Irlande, l'avortement est toujours interdit, ce pays se situe depuis des années dans le peloton de tête des pays présentant le plus bas taux de mortalité maternelle…

Voici le texte de la Déclaration :

 

« En tant que praticiens et chercheurs confirmés en gynécologie et en obstétrique,

• Nous affirmons que l'avortement direct n'est pas médicalement nécessaire pour sauver la vie d'une femme.

• Nous proclamons qu'il existe une différence fondamentale entre l'avortement et les soins médicaux nécessaires pratiqués pour sauver la vie de la mère, même si de tels soins ont pour effet la perte de la vie de son enfant à naître.

• Nous confirmons que l'interdiction de l'avortement n'affecte d'aucune façon la disponibilité des meilleurs soins possibles aux femmes enceintes. »

Les chercheurs, gynécologues, accoucheurs, spécialistes en biologie moléculaire ou de la santé mentale ont à cette même occasion publié une série d'articles scientifiques sur la santé maternelle, abordant la question des grossesses à hauts risques, les anomalies fœtales, la santé mentale et la mortalité maternelle.

L'un des objectifs principaux de la réunion était de montrer que les arguments mettant en avant la nécessité de légaliser l'avortement au moins pour permettre de sauver la vie des femmes repose sur une tromperie qui brouille les pistes entre le fait de courir le risque de provoquer la mort de l'enfant à naître sans la rechercher, et celui de le tuer purement et simplement « pour » sauver la mère, ce que l'avortement ne fait « absolument jamais », a souligné l'organisateur du symposium, le Dr Eoghan de Faoite.

On peut ajouter quelques exemples.

Le cas relativement fréquent de la grossesse ectopique (avec une nidation ailleurs que dans l'utérus) ne fait pas exception : dans cette configuration, il n'est pas question d'avortement (sauf si l'on donne à la mère un médicament qui a pour but et effet de provoquer la mort de l'embryon), mais d'intervenir chirurgicalement sur un organe malade, la trompe de Fallope, dans le cas où elle menace de rompre et de provoquer une hémorragie mortelle. La mort de l'embryon – si elle n'est pas intervenue déjà comme cela semble être fréquemment le cas – n'est alors ni voulue ni recherchée.

Le cas de la chimiothérapie ne se situe pas non plus dans la logique de l'avortement. La chimiothérapie peut léser et tuer l'enfant dans le cadre d'un effet indirect non voulu et non recherché. Si des mères choisissent de ne pas y avoir recours tant que leur enfant n'est pas né – et que certaines, héroïquement, y laissent la vie – après avoir donné le jour à leur bébé, ce n'est pas pour ne pas avorter, mais parce qu'elles prennent la décision délibérée de mettre la vie et la santé de celui-ci avant la leur. De lui donner le maximum de chances. Nul n'exige cela d'une mère, mais ce genre de décision n'est pas inouï.(...)
 

(Blog de Jeanne Smits du 18 septembre 2012)

Enfin, si dans certains cas, comme dans celui de cette femme qui s'est avorté elle-même à la 39e semaine de grossesse, la mère pourrait être poursuivie, c'est surtout le médecin avorteur qui est visé par une criminalisation de l'avortement. Il n'est pas dans une situation de détresse qui altère son jugement et pourtant il agit clairement comme un tueur à gages, cherchant à berner la conscience de sa cliente.

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Donner pour former l'électorat de demain

C'est la troisième journée de notre campagne de financement pour l'automne 2012. Nous avons à ce jour reçu 237 $, ce qui est un bon début. Mais nous avons fixé comme objectif la somme de 5 000 dollars, qui s'agit du strict nécessaire pour financer nos projets qui feront avancer, j'en suis convaincu, la culture de vie au Québec.

 


Hier et avant hier, je vous ai parlé des 40 jours pour la vie et de l'annuelle Marche pour la vie à Ottawa. Aujourd’hui, j’aimerais vous parler de notre congrès annuel ainsi que de nos conférences. 

Je l'ai déjà remarqué : la politique partisane n'est pour le moment aucunement en mesure de freiner et de faire reculer la culture de mort au Québec. Seul le témoignage individuel et la sensibilisation des consciences créera un terreau fertile pour d'éventuelles réformes législatives. Cela veut dire que nous avons d'abord à instruire, éduquer et à convertir, et seulement après pouvons nous envisager de faire changer les lois pour la protection des familles, des enfants à naître et des personnes vulnérables visées par l'euthanasie.

C'est pourquoi Campagne Québec-Vie a fait de la formation et de la sensibilisation du grand public une priorité numéro 1. Nous accomplissons cette tâche de formation en grande partie par les conférences que nous organisons, en particulier notre conférence annuelle.

En 2010, notre conférence annuelle a fait les manchettes avec l'intervention du Cardinal Ouellet -- c'est en partie grâce à notre conférence qu'on a tant parler de l'avortement en mai 2010.

En 2011, notre conférence a rassemblé une brochette d'importants acteurs dans le combat pour la vie et la famille au Québec et au Canada.

Cette année, nous avons le plaisir d'accueillir ce 6 octobre nul autre que le député responsable de raviver le débat sur l'avortement au parlement canadien, l'honorable Stephen Woodworth.

Nous tenons, en plus des conférences annuelles, des conférences mensuelles ainsi qu'une conférence anglophone annuelle que nous espérons lancer en mai de l'année prochaine. Mais bien sûr, tout cela nous coûte des sous !

Suivez ce lien pour donner à Campagne Québec-Vie

Vos dons nous permettent, entre autres, de rémunérer un peu nos conférenciers, de louer une salle si besoin est, de payer la publicité, de payer le transport des conférenciers (certains arrivent même par avion, donc c'est assez cher), de fournir un service de traduction simultanée pour les présentateurs anglophones, etc. Puisque nous tentons de fixer nos prix d'admission à nos conférences à un minimum pour ne décourager personne d'y assister, nous ne pouvons pas compter sur nos recettes pour tout payer... nous nous tournons donc vers vous !

Merci de contribuer par vos dons à la formation des électeurs du Québec !

Pour la Vie,

Georges Buscemi

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En Grande-Bretagne, huit ans de prison pour un avortement à la 39e semaine!

Une information à faire parvenir au Barreau du Québec, aux associations médicales canadiennes et québécoises et aux députés du parlement. Sur le blog  de Jeanne Smits du 17 septembre 2012:

(Sarah Louise Catt)

Une femme de trente-cinq ans vient d'être condamnée à huit ans de prison par un juge britannique pour avoir pratiqué un auto-avortement qui a provoqué la mort de son bébé à 39 semaines de grossesse. Sarah Louise Catt, de Sherburn-in-Elmet, dans le Yorkshire, avait déjà deux enfants de son mari au moment où elle a découvert qu'elle était enceinte d'un collègue de travail qui était son amant depuis plusieurs années. Hors-délais pour un avortement légal – elle a découvert sa grossesse à 30 semaines lors d'une échographie, et l'avortement n'est autorisé « que » jusqu'à 24 semaines en Grande-Bretagne – elle s'est procuré du misoprostol par internet, et a donné naissance à un garçon mort-né qu'elle dit avoir enterré.

Le cadavre de l'enfant n'a jamais été retrouvé mais l'affaire a été prise au sérieux. On a en effet constaté que l'échographie n'avait jamais été suivie d'une inscription à l'état-civil, ce qui a éveillé les soupçons. Sarah Catt a soutenu qu'elle avait subi un avortement légal dans une clinique de Manchester. Mais une enquête policière policière a permis de trouver trace dans son ordinateur de recherches sur l'avortement médicamenteux tardif ainsi que de sa commande de misoprostol en Inde. Elle a d'ailleurs plaidé coupable, tout en refusant de révéler où elle avait enterré le corps de son enfant.

Son mari n'était pas au courant de la grossesse et elle s'est éloignée de son amant pendant les mois autour de l'avortement.

Le juge a refusé de considérer l'affaire comme un homicide involontaire, jugeant que si le bébé avait été tué quelques jours plus tard à la naissance, Mme Catt aurait été accusée de meurtre. Il a donc prononcé une sentence assez lourde, précisant que celle-ci sanctionne le « choix délibéré, en pleine connaissance de la date du terme de la grossesse, d'avoir mis fin à celle-ci » alors qu'elle était parfaitement au courant que l'avortement était illégal :

« Ce que vous avez fait, c'est de voler à un enfant apparemment en bonne santé, vulnérable et sans défense, de la vie qu'il s'apprêtait à commencer. L'enfant encore dans le sein était si proche de la naissance, qu'à mon jugement toute personne qui pense droit estimerait ce délit plus grave que l'homicide involontaire », a dit le juge Cooke.(...)
 

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M-312 : la CECC invite les membres du Parlement canadien à prendre en compte le caractère sacré de l’enfant à naître

Sur le site de la CECC du 18 septembre 2012:

 

 

 

Ce mois-ci, le 21 septembre, les membres du Parlement fédéral vont poursuivre le débat sur la Motion 312 qu’a présentée le député Stephen Woodworth. Quelques jours plus tard, soit le 26 septembre, la Chambre des communes est censée voter sur la Motion. Le texte demande à la Chambre d’instituer un comité spécial pour examiner une déclaration du Code criminel selon laquelle « un enfant devient un être humain seulement lorsqu’il est complètement sorti du sein de sa mère ». L’article 223 (1) du Code dit : « Un enfant devient un être humain au sens de la présente loi lorsqu’il est complètement sorti, vivant, du sein de sa mère. » On trouvera le texte officiel complet de la Motion 312 sur le site Internet du Parlement du Canada, à l’adresse http://www.parl.gc.ca/HousePublications/Publication.aspx?Language=E&DocId=5437818

L’Église catholique soutient que l’être humain existe dès la conception. La vie des êtres humains est, par conséquent, sacrée à chaque stade de notre existence – du début à la fin naturelle. « Béni soit le fruit de vos entrailles», dit l'Évangile de Luc en référence à Marie, qui était enceinte de l'enfant, Notre-Seigneur.

Au moment où la Chambre des communes s’apprête à débattre de la Motion 312, les évêques du Canada invitent tous les membres du Parlement canadien à bien prendre en compte le caractère sacré de l’enfant à naître et de chaque vie humaine. Nous encourageons aussi les catholiques du Canada, et toutes les personnes de bonne volonté, à prier pour que nos législateurs reçoivent la sagesse et le courage de faire ce qui est le plus susceptible de préserver et de promouvoir le bien commun, bien commun qui se fonde sur le respect de la dignité humaine de tous et de chacun.

+ Richard Smith
Archevêque d’Edmonton
Président
Conférence des évêques catholiques du Canada

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Quels est le nombre exact d'avortements par année au Québec?

Sur le site de YaPasdPRESSE du 16 septembre 2012:

 

(En 1997, déjà, il y avait plus de grossesse se terminant par un avortement chez les adolescentes que d'accouchements..., source Statistiques Canada)

 

 

 

Les statistiques officielles sur les avortements au Québec ne tiennent pas compte de toutes les interruptions volontaires de grossesses (IVG) ou avortements provoqués volontairement. C'est que les statistiques diffusées dans les médias n'incluent pas les IVG pratiquées par des médecins rémunérés à salaire plutôt qu'à l'acte; une sous-estimation d'environ 3 à 10 pourcent du nombre d'avortements par année selon l'Institut de la statistique du Québec. En incluant l'estimation de ceux-ci aux chiffres diffusés (généralement entre 3 et 10 pourcent de plus selon les années), il n'est donc pas faux de dire que pour la décennie de référence, le Québec a "géré" environ 30000 avortements par année. C'est en quelque sorte, une "ville" par année qui est ainsi éliminée des naissances entre 2001 et 2010.
 
Il faut préciser que ce ne sont pas des données secrètes, mais on ne les crie pas sur les toits non plus. Environ 30,000 avortements provoqués par année au Québec, c'est ce à quoi on arrive, avec une moyenne ajustée se situant entre 3% de plus, soit entre 29289 avortements par année (minimum moyen approximatif) et 10% de plus, soit 30684 avortements par année (maximum moyen approximatif), pour la période de 10 ans de 2001 à 2010.(...)
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Nazisme, esclavagisme et avortement. Une comparaison de Stephen Woodworth qui tient la route!

Certains vont de nouveau crier au scandale. Il n’y a pourtant pas matière à s’offusquer. Dans les trois cas, une catégorie de personnes s’arroge le droit de décider de la vie ou de la mort d’autres personnes. Pour les nazis, les Juifs ne sont pas des êtres humains; pour certains Américains du Sud au 19e siècle, les noirs n’en sont pas, et pour certains médecins du 21e siècle, un enfant presque né dont le talon est toujours dans le ventre de sa mère n’est pas un être humain. Il n’est qu’un tas de cellules lucratives quand on les élimine… Parce que cet enfant peut déranger, il ne saurait être reconnu comme un être humain, avec les droits qui en découlent.

Campagne Québec-Vie approuve la comparaison tout à fait juste du député Woodworth. Il est profondément stupide de définir un être humain selon les désagréments qu’il peut apporter à une autre catégorie de personne. Ce n’est pas parce qu’une personne peut être déranger par votre présence que cela lui accorde le droit de vous définir, par conséquence, comme non-humain et demander votre élimination… Un être humain est un être humain ou il n’en est pas un, indépendamment de sa relation avec tout environnement ou avec les autres personnes de son entourage. Toute autre considération est du pur délire.

Il est temps de reconnaître les droits des enfants à naître, comme nous le faisons déjà pour les enfants prématurés, dès la 20e semaine de grossesse. Personne ne conteste leur humanité. Le fait qu’un enfant de 20 semaine de grossesse ne soit pas considéré comme un être humain parce qu’il réside au sein de sa mère est incohérent. Il est temps de réviser une loi vieille de 400 ans.

Et pour ceux qui aimeraient définir l’être humain à partir de la 20e semaine, il faut rappeler que cette limite n’est qu’une limite de nos appareils actuels pour permettre la vie et la croissance de cet enfant prématuré à l'extérieur de l'utérus. Quand nos prochains incubateurs permettront de sauver des enfants prématurés à la 12e semaine de la conception, des enfants de 12 semaines de grossesse auront les mêmes droits que tout autre être humain. Encore une fois, nous ne pouvons définir un être humain selon les capacités technologiques extérieures à cet être humain!

Campagne Québec-Vie félicite le député Stephen Woodworth pour son courage et son honnêteté intellectuelle, si rare dans un monde ou le discours politiquement correct envoie les enfants, sources de soucis, à l’abattoir.

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La Marche pour la vie -- Un pèlerinage essentiel

C'est la deuxième journée de notre campagne de financement pour l'automne 2012. Nous nous avons fixé comme objectif la somme de 5 000 dollars. Je vous écris car plus que jamais, le Québec a besoin de Campagne Québec-Vie.

Pour les prochaines deux semaines, nous vous présenteront les projets que nous entreprenons pour sensibiliser le Québec aux menaces contre la vie et la famille telles l'avortement, l'euthanasie, le suicide assisté, la dénaturation du mariage et le démantèlement de la famille.


Aujourd’hui, j’aimerais vous parler de la Marche annuelle pour la vie à Ottawa. L'année dernière, près de 20 000 personnes se sont rassemblées sur la colline parlementaire à Ottawa pour livrer un message simple et direct au gouvernement et au peuple canadien : "Oui à la vie, Non à l'avortement !"

Cette marche est d'autant plus un succès puisqu'elle attire, d'année en année de plus en plus de gens. Ce qui est de mieux, c'est que la grande majorité des participants sont des jeunes, ce qui nous donne à espérer pour le futur !  

http://www.youtube.com/embed/9JI_fUJJEu0

Par contre, organiser et faire la promotion d'une telle Marche n'est pas une mince affaire. Au contraire ! Cette marche engage des coûts monstrueux pour le mouvement pro-vie canadien. Pour notre part, ici à Campagne Québec-Vie, le coût de promotion de cette marche s'élève à quelques milliers de dollars par année: impression de circulaire et d'affiches, publicité payante sur Internet, publicité dans les journaux locaux, et j'en passe. C'est pourquoi nous avons besoin de votre aide pour faire rayonner la bonne nouvelle qu'il existe une telle marche annuelle à Ottawa.

Suivez ce lien pour donner à Campagne Québec-Vie

La Marche n'est pas seulement un témoignage auprès du public et des parlementaires canadiens, mais bel et bien un pèlerinage annuel pour les pro-vie du Canada et du Québec. C'est un temps fort de prière et de louange pour le Dieu qui donne la Vie en abondance, et qui nous exhorte à défendre les plus vulnérables de notre société et non de les supprimer. 

Merci de contribuer à l'essor de cette Marche par vos dons !

Pour la Vie,

Georges Buscemi

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