À Toronto, les élèves des écoles secondaires vont à la salle de bains de leurs choix..
Sur le site de Radio-Canada du 5 octobre 2012:
Laissez un commentaireLe conseil scolaire public de Toronto se dote de lignes directrices pour leurs élèves transgenres, afin de les accommoder selon le sexe auquel ils s'identifient.
Les lignes directrices publiées par le conseil prévoient que les élèves peuvent utiliser la salle de bains qui correspond au sexe auquel ils s'identifient. La politique veut aussi que l'école ne divulgue pas le genre d'un élève aux parents, sans le consentement de l'élève.
(...)
Inédit: Michael Jackson chante contre l'avortement
Sur le site du Nouvel Observateur du 24 septembre 2012 (via Famille Chrétienne):
(Michael Jackson)
La sortie, la semaine dernière, d’un nouveau coffret collector est l’occasion pour les fans de Michael Jackson de découvrir une nouvelle facette de leur idole : celle d’un militant anti-avortement et fervent catholique. (...)
Le disque est en effet une compilation de démos, de morceaux non retenus pour l’album et de remixes. La fiche de description du produit précise que "ce matériel est publié tel qu’il a été enregistré durant les sessions de "Bad". Rien n’a été ajouté ou changé". Si l’ensemble se révèle de qualité et d’intérêt très variables, la troisième piste a au moins l’avantage de nous en apprendre un peu plus sur les convictions du "King of Pop".
Intitulé "Song Groove (A/K/A Abortion Papers)", ce morceau est en effet une véritable charge religieuse contre le droit à l’avortement. Les paroles, relativement courtes, racontent l’histoire d’une jeune fille, vivant encore chez ses parents, et ayant décidé d’avorter, tandis que le refrain affirme (en anglais) :
Ce formulaire d’avortement
Signé en ton nom contre la parole de Dieu
Ce formulaire d’avortement
Pense à la vie, j’aimerais avoir mon enfant.Il est impossible de dire pour quelles raisons cette chanson a été écartée de l’album "Bad"… ni de prédire quelles auraient les conséquences dans le cas contraire, alors que Michael Jackson était au sommet de sa gloire et que l’album s’est vendu à plus de 40 millions d’exemplaires dans le monde.
Qui a écarté la chanson du roi du beat? Quelqu'un qui voulait protéger la carrière du chanteur probablement...
Pour écouter cette chanson, cliquezici et cliquer au bas de l'écran sur le clip
Laissez un commentaireBill Clinton encourage la stérilisation des populations des pays en développement
Sur le blog de Jeanne Smits du 2 octobre 2012:
(Bill Clinton)
En marge de l'Assemblée générale des Nations Unies, mercredi dernier, l'ex-président des Etats-Unis, Bill Clinton, flanqué du Premier ministre norvégien Jens Stoltenberg et du président Goodluck Jonathan du Nigeria, a annoncé un nouveau partenariat avec les laboratoires Bayer visant à éviter 30.000 morts maternelles et 280.000 morts infantiles. Magnifique, non ?
Sauf que l'initiative en question porte sur la fourniture, à moitié prix, d'implants contraceptifs de longue durée aux pays en voie de développement, assurant la stérilisation dite « réversible », par périodes de cinq ans, de 27 millions de femmes. Et le premier but est bien évidemment d'éviter 30 millions de « grossesses non désirées » ; le second, celui qu'affichent ces philanthropes, étant d'épargner 250 millions de dollars de coûts sanitaires (suivi, accouchement, naissances prématurées, etc…). (...)
Pourquoi s'occuper de la santé des familles quand on peut tout simplement empêcher ces familles d'exister?
Laissez un commentaireLa folie des fédérations féministes québécoises
Un autre député conservateur d’arrière-ban s’apprête à déposer une motion visant à condamner les avortements sélectifs, qui concernent surtout les fœtus féminins. Comment les pro-choix peuvent-ils s’opposer à ce que beaucoup considèrent comme des féminicides?« Les avortements sélectifs de fœtus de sexe féminin sont un problème en Chine ou en Inde. On y valorise les bébés mâles pour toutes sortes de raisons économiques et culturelles, car les filles sont une charge pour les parents. Au Canada, est-ce qu’il y a tant d’avortements sélectifs? Je me pose la question. Cependant, comme je suis pour l’avortement en toutes occasions, et que je considère que les femmes sont capables de faire des choix pour elles-mêmes, je fais confiance à leur jugement. Si certaines décident de se faire avorter, car elles ont un fœtus de sexe féminin, il faut réfléchir à la position des femmes dans notre société. Cela veut donc dire que l’égalité n’est pas atteinte, en particulier dans certaines communautés où il y a un travail d’éducation à accomplir à propos des valeurs d’égalité entre les hommes et les femmes »
Le Parti Québécois veut commencer l'euthanasie des patients le plus rapidement possible...
Sur le site du journal Le Soleil du 2 octobre 2012:
(Geoffrey Kelly du parti libéral, et Véronique Hivon, du parti québécois, tous deux de la commission "Mourir dans la dignité", commission qui a pris des décisions contraires aux experts et organismes qui majoritairement, refusaient toute euthanasie. Toute une écoute!)
(Québec) La ministre déléguée à la Santé publique, Véronique Hivon, déposera d'ici le printemps prochain le projet de loi autorisant «l'aide médicale à mourir» au Québec.
«Notre objectif est de travailler très rapidement et très fort pour donner suite aux recommandations» de la Commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité, a déclaré, lundi, au Soleil, la ministre Véronique Hivon.
Le gouvernement du Parti québécois veut être celui qui donnera vie à la possibilité d'obtenir une aide médicale à mourir. Le projet de loi sera présenté aux élus de l'Assemblée nationale «en juin prochain au plus tard», a assuré la ministre. C'est ce que recommandait le rapport de la Commission qu'elle a coprésidée.
«C'est avec cet échéancier-là que je fonctionne», dit-elle.
En poste depuis deux semaines, Véronique Hivon affirme que le respect de ce calendrier présente un vrai défi. «Il va falloir mettre les bouchées doubles parce que peu de travail a été demandé sur le sujet par le précédent gouvernement», a-t-elle laissé tomber durant l'entretien.
La ministre recevra tout de même d'ici la fin du mois les conclusions d'un comité de juristes experts créé par le gouvernement de Jean Charest. Présidé par l'avocat Jean-Pierre Ménard, le groupe a reçu le mandat de se pencher sur le cadre juridique «du droit à l'aide médicale à mourir».
La ministre du gouvernement Marois se dit convaincue que le Québec dispose d'une réelle marge de manoeuvre pour agir même si le Code criminel relève d'Ottawa.
Y-a-t-il un parti désirant mettre les bouchées doubles pour renverser ce gouvernement de dangereux idéologues et nous ramener en élection? Mais n'oublions pas que la CAQ s'est engagée dans la même voie que le Parti Québécois...
Laissez un commentaireÀ la tête des libéraux, le défenseur extrémiste de l’avortement Justin Trudeau pourrait gravement nuire aux enfants à naître
L'enseignement des chakras à l'école
On a souvent reproché à l'Église d'enseigner la religion chrétienne à l'école. Maintenant que cette religion n'y est plus présente, on peut parler de chakras, de salut au soleil et d'autres croyances diversifiées selon la foi du professeur. Et les enfants n'ont pas l'option d'un cours de morale. Sur le site de Pour une école libre du 30 septembre 2012:
On vous l'avait déjà montré ici, le cours gouvernemental obligatoire d'éthique et de culture religieuse (ECR) et l'animation « spirituelle » des écoles québécoises sont souvent prétextes à l'introduction d'une pléthore de spiritualités, de pratiques douteuses et aux visites de gourous. Les parents s'en sont inquiétés dès le début, on ne les a pas écoutés même en séance publique. Pire, le représentant du gouvernement, Pierre Pettigrew, a même recommandé de mettre fin à ces réunions publiques qui donnaient une tribune aux parents inquiets.
Les enfants sont donc invités à « laisser entrer un animal en eux », on leur raconte que Jésus était un emmerdeur, qu'il fréquentait des prostituées, ailleurs on apprend que Bouddha, Mahomet et Jésus c'est la même chose. Dans une autre école on nous a communiqué que « Hare Krishna ! Hare Krishna ! » était en visite régulière au cours d'ECR. Des parents nous ont raconté que leur enfant avait commencé à s'intéresser à la spiritualité autochtone depuis ses cours d'ECR, qu'il s'était acheté un capteur de rêves et priait la Terre-Mère, un autre encore consultait désormais sa roche dans ses exercices spirituels. La liste est longue, la spiritualité amérindienne rentre en force dans les écoles québécoises : tant au primaire dans les manuels, que dans les activités scolaires ou parascolaires (les journées de la Terre, les heures de la Terre et autres célébrations écologistes qui rentrent en grand dans l'école québécoise).
C'est donc sans surprise que nous avons pu lire ceci dans La Presse de ce vendredi :
La théorie des chakras au primaire
Trois écoles primaires de Lanaudière ont récemment permis à une enseignante et orthopédagogue de donner des ateliers parascolaires pour aider les élèves « à réorganiser leur énergie » en utilisant une approche basée sur la théorie des chakras.
Et d'après ce qu'elle nous a indiqué, d'autres écoles et une autre commission scolaire envisagent d'offrir le même atelier, possiblement durant les heures de classe, dans le cadre du cours d'éthique et de culture religieuse. Depuis quatre ans, au moins 10 intervenants ont payé 1 100 $ pour apprendre aux enfants à harmoniser leurs supposés « champs électromagnétiques », représentés sous forme de treillis connecté à l'univers. L'approche a été inventée par l'Américaine Peggy Dubro, qui dit canaliser des esprits. Au Québec, elle est enseignée par une coach de vie des Laurentides, Gisèle Proulx. Sa lettre type propose d'aider les directions d'école à répondre à la montée des cas de déficit d'attention. Connaître « leur nature énergétique » aide les enfants à se concentrer et à gérer leurs émotions, dit-elle. Allergique à l'ésotérisme, le chercheur en psychoéducation Serge Larivée est choqué. « Les enseignants sont une courroie de transmission du paranormal », dénonce-t-il.
Quand trois élèves sont devenus psychotiques à quelques semaines d'intervalle, la directrice elle-même est rentrée un dimanche « pour faire chasser les mauvais esprits » de son école, confirme une professionnelle (à condition que nous ne nommions pas l'endroit).
Nous sommes dans une société qui ne croit plus en Dieu, remplacé par toutes les croyances non fondées sur la raison que constitue la nébuleuse nouvel-âge. Vous pouvez trouver dans votre pharmacie Jean Coutu des livres pour enfants leur enseignant la pratique de la Wicca, en d'autres termes, la sorcellerie. Le non respect du droit des parents d'éduquer leurs enfants selon leurs convictions est un mal répandu dans la quasi totalité des écoles du Québec.
Laissez un commentaireUne lettre aux féministes!
Sur le site Contrepoids du 2 octobre 2012:
Mesdames,
Je m’explique mal votre attitude au sujet de l’avortement et de la motion m-312, ainsi que sur la position de Rona Ambrose sur cette motion. Ne vous en faites pas, je ne suis pas un zélote religieux, je ne crois pas en Dieu; mais ça ne m’empêche pas tout de même d’avoir un sens de la moralité et de l’éthique pour autant. Étant libertarien, je tire ma moralité des principes de cette philosophie. L’un d’eux, vous serez contentes de savoir, est que nous sommes tous propriétaires de notre corps. Je ne pourrais donc pas remettre en question votre droit de disposer de votre corps selon votre volonté sans trahir ce principe. Cependant, dans le cas de l’avortement, entre le noir de la prohibition et le blanc de votre droit absolu, il existe un océan de gris, et dans les faits, ce n’est pas parce qu’un juge a déclaré une loi inconstitutionnelle, que la question est réglée pour autant et que le débat est clos. Il n’y a en fait, jamais vraiment eu de véritable débat. Nous n’avons en réalité qu’un vide juridique qu’il faudrait combler car si vous avez effectivement le droit de disposer de votre corps, il faudrait aussi considérer un autre droit considéré inviolable par plusieurs : le droit à la vie.
Je sais, vous direz certainement que je suis un homme et que je ne peux pas comprendre. Je n’ai jamais eu à endurer la douleur l’accouchement, mais je n’ai jamais aussi ressenti la joie de sentir la vie croitre dans mes entrailles et de sentir ses moindres mouvements. Les libertariens ont la réputation d’être froids et calculateurs, mais je ne pourrais jamais avoir la froideur de considérer cette vie dans votre utérus comme un vulgaire parasite ou une tumeur à exciser. Je suis père et j’ai eu la joie, comme bien des parents, de voir ma fille alors qu’elle n’avait que 16 semaines dans le sein de sa mère. Elle avait ses deux bras, ses deux jambes, des yeux, un nez, une bouche et commençait déjà à montrer des comportements typiques de tous les bébés humains comme sucer son pouce. Comment peut-on dire que ce n’est pas un être humain? Comment ne pas ressentir une certaine réticence à l’idée de vouloir le tuer? Si ce n’est pas un dilemme moral dans votre cœur de femme et que vous ne ressentez rien, pour moi et bien d’autres, ça l’est et nous le ressentons.
(...)
Il est quand même intéressant de voir des organisations féministes comme la FFQ, qui se confessent à gauche de l’échiquier politique et que typiquement, la gauche s’attribue le monopole du cœur; vociférer contre une motion qui vise à défendre des êtres foncièrement faibles et sans défense des abus d’un système trop permissif. Dans ce débat, c’est la droite qui détient le monopole du cœur alors que la gauche revendique une liberté à tout crin. Seulement, dans une société, la liberté des uns s’est toujours terminée là ou celle des autres commence. Comment équilibrer le droit d’une femme de disposer de son corps et le droit d’un fœtus de vivre est une question qui mérite une réponse et qu’une société se doit de débattre. L’avortement ne devrait pas être considéré comme une méthode contraceptive, ni comme une méthode de sélectionner le sexe(...)
Ne vous en déplaise mesdames, les femmes comme Rona Ambrose, Sophie Durocher ou Lise Ravary ont certainement le droit de croire et d’exprimer que dans certaines circonstances, un fœtus doit être protégé. Elles parlent pour ceux qui ne peuvent se défendre. Pour cela, elles ne méritent pas votre hargne, mais plutôt le respect.
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Entrevue à Maurais Live sur radio choi 98,1 de la chroniqueuse Sophie Durocher sur la motion M-312 et les féministes extrémistes
Une entrevue très intéressante (bien que nous ne partagions pas tous les propos émis): des voix qui osent émettre des objections aux jérémiades de la Fédération des Femmes du Québec qui ne représente que quelques centaines d'extrémistes largement subventionnées et confisquant la parole aux femmes équilibrées voulant s'exprimer sur le sujet.
(Sophie Durocher, chroniqueuse au Journal de Montréal)
Pour écouter l'entrevue, cliquez ici.
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