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La folie des fédérations féministes québécoises

Le discours des fédérations des femmes ou autres conseils du statut de la femme est particulièrement inquiétant. Pour ces groupes, il n’est pas question d’interroger une femme sur les motivations de son avortement, que ce soit parce qu’elle part en voyage, parce qu’elle n’aime pas avoir un gros ventre, ou encore parce que son enfant à naître est une fille, toutes les raisons sont bonnes pour avorter.
Ici ou de chez vous, vous entendez maintenant les cris hystériques de ces lobbys… Il est impossible qu’une femme se fasse avorter pour une mauvaise raison du moment que c’est elle qui prend la décision, disent-elles… Selon le raisonnement poussé à bout de ces lobbys, une femme pourrait se faire avorter à répétitions par goût du sang versé de jeunes enfants et personne n’aurait le droit de lui poser la moindre question…  
Dans une entrevue parue le 4 octobre 2012, Louise Langevin, professeure à la faculté de droit de l’université Laval répondait à une question sur l’avortement selon le sexe de l’enfant :
Un autre député conservateur d’arrière-ban s’apprête à déposer une motion visant à condamner les avortements sélectifs, qui concernent surtout les fœtus féminins. Comment les pro-choix peuvent-ils s’opposer à ce que beaucoup considèrent comme des féminicides?
 « Les avortements sélectifs de fœtus de sexe féminin sont un problème en Chine ou en Inde. On y valorise les bébés mâles pour toutes sortes de raisons économiques et culturelles, car les filles sont une charge pour les parents. Au Canada, est-ce qu’il y a tant d’avortements sélectifs? Je me pose la question. Cependant, comme je suis pour l’avortement en toutes occasions, et que je considère que les femmes sont capables de faire des choix pour elles-mêmes, je fais confiance à leur jugement. Si certaines décident de se faire avorter, car elles ont un fœtus de sexe féminin, il faut réfléchir à la position des femmes dans notre société. Cela veut donc dire que l’égalité n’est pas atteinte, en particulier dans certaines communautés où il y a un travail d’éducation à accomplir à propos des valeurs d’égalité entre les hommes et les femmes »
« Je fais confiance à leur jugement » — « Si certaines décident… il y a un travail d’éducation à accomplir »
Pourquoi vouloir faire un travail d’éducation si l’on fait toujours confiance au jugement des femmes et que celui-ci est infaillible : un avortement voulu par une femme est toujours fait pour de bonnes raisons, dogme no 1 des féministes. Mme Langevin n’est-elle pas pour l’avortement en toutes occasions?
On le voit, il y a clairement quelque chose qui ne tourne pas rond dans les lobbys féministes québécois, une sorte de divinisation de la femme qui ne peut ni se tromper, ni nous tromper… Lorsque nous écoutons La Parole de la fédération des femmes du Québec dont le nombre impressionnant de quelques centaines de membres prétendent parler au nom de toutes les femmes, nous devrions nous mettre à quatre pattes devant la télévision ou la radio, front dans la poussière, ou démissionner de nos fonctions et demander pardon, si nous sommes une femme ministre de la condition féminine osant diverger d’opinion avec la fédération…
Tiens, je vais faire un blasphème… Plutôt que d’écouter aveuglément l’oracle de la Fédération des Femmes du Québec, je propose que l’on fasse un référendum pancanadien sur la nécessité d’une législation sur l’avortement.
Que la théocratie féministe m’excuse, je suis un athée impénitent semblable à Aristote, considéré comme athée parce qu’il ne croyait qu’à un seul Dieu. Et ce Dieu n’est certainement pas une fédération de centaines de femmes usurpant la parole de millions de femmes au Québec, rageant de les voir parler en leur nom !
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