Melinda Gates dote les militants de l’avortement et les féministes d’un milliard de dollars
Melinda Gates.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Medill DC/Wikimedia Commons
3 juin 2024 (LifeSiteNews) — Bill et Melinda Gates sont depuis longtemps des défenseurs passionnés de l’industrie de l’avortement, versant des dizaines de millions dans des initiatives conçues pour s’assurer que moins d’enfants viennent au monde. Bill a fait des dons considérables à l’International Planned Parenthood, a financé des journalistes pour qu’ils écrivent des articles en faveur de l’avortement, a condamné les politiques en faveur de la vie et a célébré une fois, lors d’une entrevue avec Bill Moyers, la façon dont les initiatives de « santé mondiale » amènent les gens à décider qu’ils « n’ont pas besoin d’avoir autant d’enfants ».
Pour Bill, le problème est intergénérationnel ; lorsque Moyers lui a demandé d’où venait sa passion, Gates a répondu : « Mon père était à la tête de Planned Parenthood ».
La Fondation Bill et Melinda Gates subit actuellement une série de secousses sismiques après que le célèbre couple s’est séparé en raison des adultères en série de Bill ; Melinda démissionne à présent de son poste de coprésidente de l’organisation, qui changera de nom pour devenir la Fondation Gates. Melinda, qui est une catholique nominale, va se lancer seule dans la vie active et investir son argent dans des causes qui lui tiennent à cœur.
Le 13 mai, elle a annoncé sur X que sa priorité serait de se concentrer sur « les femmes et les filles aux États-Unis et dans le monde » — Hillary Clinton a réagi : « Melinda, c’est très excitant ».
Quand Hillary Clinton trouve quelque chose d’excitant, on peut être sûr que c’est une mauvaise nouvelle pour les personnes vulnérables. Le PDG Mark Suzman a écrit une lettre aux employés de la Fondation Gates pour leur signaler que Melinda voulait se concentrer sur les questions relatives aux femmes : « Après avoir passé quelques années difficiles à voir les droits des femmes [à l’avortement] reculer aux États-Unis et dans le monde entier, elle souhaite mettre à profit ce nouveau chapitre pour s’efforcer de modifier cette trajectoire. » En bref, une fortune considérable est sur le point d’être jetée dans les guerres de l’avortement — la dotation de la Fondation Gates s’élevait à plus de 75 milliards de dollars l’année dernière.
Lire la suiteJamais les femmes ne trouveront de meilleurs alliés que chez les chrétiens pro-vie
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
Réflexions à l’occasion du 8 mars, dit « Journée internationale des femmes »
En ce 8 mars, au Québec et ailleurs dans le monde, est soulignée la « Journée internationale des femmes », connue également sous le nom de « Journée internationale des droits des femmes ».
Cette journée fut d’abord célébrée au début du 20e siècle à la suite d’un appel du Parti socialiste d’Amérique. En 1921, l’Union soviétique, par la voix de son président Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine, fut le premier pays à officialiser cette fête laïque et à consacrer la date du 8 mars, ce qui mène à croire qu’il s’agissait avant tout d’une campagne de recrutement des femmes afin d’attiser la lutte des classes et transformer un capitalisme en déliquescence en utopie des travailleurs affranchis de leurs chaînes.
D’abord cantonnée au bloc soviétique, cette journée fut importée en Occident par le truchement du mouvement féministe des années 60. À cette époque, certaines femmes — mais certainement pas toutes, heureusement — croyaient que la reconnaissance de leur dignité passait par une lutte à la fois contre l’homme, « l’oppresseur » qui bafouait leurs droits, et contre le système d’oppression qu’il aurait mis en place pour protéger ses acquis.
Or, ce système d’oppression comprenait tous les éléments qui forment notre civilisation : famille, religion, mœurs et coutumes, modes de pensée, tout devait être rejeté pour ce qu’il contenait « d’opprimant ». Bien évidemment, la religion du Père tout-puissant devait être rejetée sous prétexte qu’il légitimait la structure patriarcale de la famille et de la société.
Lire la suiteL’Union européenne joue avec le langage
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : monticellllo/Adobe Stock
2 février 2024 (LifeSiteNews) — Alors que l’Europe est secouée par des manifestations d’agriculteurs de plus en plus explosives — au moment où j’écris ces lignes, des tracteurs bloquent la frontière entre les Pays-Bas et la Belgique, bloquent les principales artères en Espagne et assiègent Paris — on pourrait penser que l’Union européenne a trop à faire pour prêter attention à l’absurdité woke en cours qui informe une grande partie de ses opérations quotidiennes. Vous auriez tort. Le 29 janvier, le Daily Mail a rapporté que l’UE s’attaquait au « langage genré ».
Dans un document de 61 pages [en anglais seulement] de l’Institut européen pour l’égalité entre les hommes et les femmes, intitulé « Toolkit on Gender-sensitive Communication » [Boîte à outils sur la communication sensible au genre], les bureaucrates conseillent d’éliminer complètement un grand nombre de termes et d’en remplacer ou d’en réorganiser d’autres. Par exemple, l’expression « no man’s land » — qui, soit dit en passant, décrit assez bien ce à quoi ressemblait la zone de guerre devant le Parlement européen cette semaine après l’arrivée des agriculteurs — ne devrait plus être utilisée, en raison de sa nature excluante. Le document suggère plutôt d’utiliser l’expression « territoire non réclamé ». Aucun conseil n’a été donné sur ce que les féministes devraient faire en lisant « All Quiet on the Western Front » (« À l’ouest rien de nouveau »).
Lire la suiteLe président argentin Javier Milei dénonce « l’agenda sanglant de l’avortement » au sommet de Davos 2024
Javier Milei, président d'Argentine.
Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
17 janvier 2024, Davos, Suisse (LifeSiteNews) — Le président argentin Javier Milei a dénoncé le contrôle de la population et l’« agenda sanglant de l’avortement » lors de son discours au Forum économique mondial (FEM).
Lors de son allocution spéciale, Milei a déclaré qu’« un autre conflit présenté par les socialistes est celui de l’homme contre la nature, affirmant que nous, les êtres humains, endommageons la planète qui devrait être protégée à tout prix, allant même jusqu’à préconiser un mécanisme de contrôle de la population ou l’agenda sanglant de l’avortement ».
« Malheureusement, ces idées néfastes se sont imposées dans notre société. Les néomarxistes ont réussi à prendre le contrôle du sens commun du monde occidental, en s’appropriant les médias, la culture, les universités et les organisations internationales. Ce dernier cas est probablement le plus grave, car il s’agit d’institutions qui ont une influence énorme sur les décisions politiques et économiques des pays qui composent les organisations multilatérales ».
Lire la suiteL’avortement est le « sacrement » de la société du déchet
Par le pasteur Andrew Isker (gab) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : SciPro/Adobe Stock
Cette semaine, l’Ohio a voté avec une marge de près de 10 % l’inscription de l’avortement dans sa constitution. L’Ohio n’est pas un État bleu d’extrême gauche comme la Californie ou New York, c’est un État rouge conservateur que Donald Trump a remporté avec presque la même marge en 2020. Les résultats de ce référendum ont choqué de nombreux membres du mouvement pro-vie.
Cela ne devrait pas être le cas.
Pendant des décennies, Pro-vie inc. et la majeure partie de l’évangélisme conservateur ont défendu cette seule question en l’isolant de tout le reste de la vie américaine moderne. Ils ont agi comme si tout le reste de la vie américaine pouvait rester inchangé pourvu que nous cessions de tuer des bébés. Cela a toujours été un non-sens.
Lire la suiteLe Père Ripperger souligne l’importance de la maternité et met en garde contre l’« attaque en règle » contre la vie familiale
Le Père Chad Ripperger.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
11 janvier 2023, Pine Bluff, Wisconsin (LifeSiteNews) — Le Père Chad Ripperger, prêtre catholique, théologien, philosophe et exorciste bien connu, a marqué la fête de la Sainte Famille en prononçant un avertissement sévère lors de son sermon sur l’état précaire de la famille moderne et de la vie conjugale, qui, selon lui, sont « attaquées de plein fouet ». Il a déclaré qu’il est important de reconnaître la noblesse de la maternité et la structure de droit naturel du mariage et de la vie familiale afin de restaurer la culture.
Le père Ripperger a fait ces commentaires dans un sermon prononcé lors de la messe traditionnelle en latin de 7 h 30 à l’église St. Mary of Pine Bluff, au Wisconsin. Il a commencé par citer des statistiques suggérant que les gens d’aujourd’hui sont moins susceptibles de valoriser la loyauté dans le mariage, puis il a dénoncé les effets corrosifs du divorce sans faute.
« Il n’y a pas un seul aspect de la vie conjugale ou familiale qui ne soit attaqué de plein fouet par notre culture », a-t-il déclaré.
Né à Casper, dans le Wyoming, le père Ripperger est un prêtre catholique traditionnel qui détient deux licences distinctes en théologie et en philosophie de l’Université de San Francisco. Il détient également deux maîtrises (également en philosophie et en théologie) du Centre d’études thomistes de l’Université de St. Thomas au Texas et du Holy Apostles College and Seminary dans le Connecticut, ainsi qu’un doctorat en philosophie de l’Université de la Sainte-Croix à Rome.
Dans son sermon de dimanche, le théologien de 58 ans a rappelé que le mariage est défini comme « un contrat solennel entre un homme et une femme dans le but d’avoir des enfants. La finalité première du mariage est d’avoir des enfants. C’est vers cela qu’il est ordonné ».
« C’est une chose qui, malheureusement, n’est pas comprise aujourd’hui », a-t-il poursuivi, ajoutant que beaucoup de gens aujourd’hui ne reconnaissent même plus que le mariage ne peut être qu’entre un homme et une femme.
Observant que les unions homosexuelles ne répondent pas à la définition d’un véritable mariage, le père Ripperger a déclaré que le fait de traiter les relations homosexuelles comme un « mariage » invite le jugement de Dieu sur la culture.
Lire la suiteLa Cour européenne juge que la pro-avortement poitrine nue qui a profané une église de Paris avait droit à la « liberté d’expression »
Par Jeanne Smits, correspondante à Paris — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Facebook/Baya Komza
13 octobre 2022 (LifeSiteNews) — La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a accordé près de 10 000 euros (9791 dollars américains) de dommages et intérêts et de frais de justice à une ancienne membre des « Femen », Éloïse Bouton, au motif que son droit à la « liberté d’expression » a été violé par les tribunaux français qui l’ont condamnée pour son intrusion choquante « seins nus » dans l’église parisienne de La Madeleine peu avant 10 heures du matin le 20 décembre 2013.
Les juges européens ont décidé que le gouvernement français, défendeur dans cette affaire, devait verser 2 000 euros de dommages et intérêts et 7 800 euros supplémentaires pour couvrir les frais de justice de Bouton, car elle a été condamnée à une peine pénale trop lourde pour des actes qui visaient à exprimer une opinion politique.
Au moment de « l’exhibition » de Bouton devant le maître-autel de La Madeleine, la France sortait à peine de plusieurs mois d’affrontements entre partisans et adversaires du « mariage » homosexuel, devenu loi en mai 2013. Pendant plus d’un an, dans toute l’Europe, des femmes membres de l’organisation féministe d’origine ukrainienne « Femen » s’étaient introduites dans des événements publics et des lieux symboliques chrétiens, les seins nus et affichant des slogans offensants peints sur leur corps.
Éloïse Bouton, une journaliste indépendante travaillant pour la presse grand public qui a ensuite quitté les Femen en 2014, était la vedette de l’événement prévu par le groupe pour exiger la protection du « droit » à l’avortement. Accompagnée d’une douzaine de journalistes, dont un rédacteur de la grande agence France Presse, elle est entrée à La Madeleine pendant une répétition de la chorale, se déshabillant jusqu’à la taille et plaçant un voile bleu clair sur sa tête ainsi qu’une « couronne » de fleurs rouges.
Les mots « 344e salope » (expression obscène désignant une femme aux mœurs légères) sont peints en rouge sur sa poitrine, en référence au manifeste de 343 « salopes » autoproclamées, incluant des célébrités, qui ont admis en 1971 avoir avorté illégalement afin de faire pression sur les autorités pour légaliser le meurtre des enfants à naître. L’avortement sera dépénalisé en France peu après, en décembre 1974.
Sur le dos de Bouton étaient peints les mots suivants : « Christmas is canceled » (sic).
Elle « simule un avortement » puis se tient face à la nef, les bras tendus comme si elle était crucifiée, portant dans ses deux mains des morceaux de foie de bœuf ensanglantés. Selon le curé de La Madeleine, elle aurait également uriné sur les marches de l’autel, bien que ce point n’ait jamais été confirmé. Bouton a été arrêtée et placée en garde à vue pendant quelques heures avant d’être inculpée d’« attentat à la pudeur », appelé « exhibition sexuelle » dans le Code pénal français.
Ce choix d’inculpation s’explique par le fait que la loi française n’incrimine pas la profanation d’objets sacrés en tant que telle, ni les blasphèmes ; tout au plus permet-elle de poursuivre la discrimination religieuse, les appels à la « haine » ou la diffamation dans la mesure où ils touchent les croyants d’une croyance donnée.
Lire la suiteUne colonne du New York Times expose les objectifs antichrétiens et pro-avortement de la révolution féministe
Par John Horvat II — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Jordan Uhl/Flickr
13 septembre 2022 (LifeSiteNews) — L’une des plus fortes contradictions de l’avortement provoqué est que cette pratique est si contraire à l’instinct maternel. Elle défie l’imagination de tous ceux qui ont connu et révèrent leur mère.
Le lien intime qui s’établit pendant le temps de la grossesse crée une affection indéniable entre la mère et l’enfant. Ainsi, les mères chérissent et nourrissent leurs enfants avec tendresse et amour. Dans une famille saine, le lien se prolonge toute la vie, car les enfants rendent naturellement la pareille en exaltant leur mère. C’est ainsi que les choses devraient être.
Les féministes ne sont pas d’accord. Cependant, elles ont du mal à surmonter ce récit parce qu’il est si naturel. L’affection maternelle s’est toujours avérée un obstacle à la révolution sexuelle qui cherche à priver la sexualité de sa conséquence naturelle : les enfants. L’idéal de la maternité doit être détruit pour une véritable « libération ». Plus important encore, la véritable cible est le christianisme et la plus haute manifestation de l’instinct maternel que l’on trouve dans la Sainte Mère.
La maternité, produit de l’imagination fertile des hommes ?
Pour faciliter cette attaque, certaines féministes prétendent maintenant que l’instinct maternel n’est pas féminin. « La science » vient à la rescousse en déclarant que l’instinct maternel est la création d’imaginations masculines fertiles et oppressives. Ces féministes affirment que de nouvelles preuves suggèrent que la maternité est une construction sociale qui aide les hommes à opprimer les femmes.
Cette conclusion irrationnelle se trouve dans un long et scandaleux essai du New York Times intitulé « L’instinct maternel est un mythe créé par les hommes ». L’auteur en est Chelsea Conaboy, journaliste spécialisée dans la santé et auteur du livre à paraître Mother Brain : How Neuroscience Is Rewriting the Story of Parenthood.
Il est rare de voir un mélange aussi explosif de pseudoscience, de dialectique marxiste et de rhétorique anti-chrétienne. L’article est plein de ressentiment et de colère. Il n’y a rien de spirituel dans cette évaluation. Elle réduit l’instinct maternel à des impulsions neurologiques. En effet, rien n’est sacré. La maternité et la tarte aux pommes ne sont plus à la mode, mais les « personnes qui accouchent » le sont.
Lire la suiteLes chiffres sur les décès dus à l’avortement illégal au Mexique ont été « gonflés », reconnaît une meneuse pro-avortement
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une meneuse du mouvement féministe mexicain a été filmée en train d’admettre que les partisans de l’avortement ont déformé les chiffres des décès par avortement, dans leurs efforts visant à dépénaliser l’avortement au Mexique.
« Nous avons gonflé les chiffres », a admis Marta Lamas, l’une des fondatrices du Groupe d’information sur la reproduction élective (GIRE) et enseignante à l’Université nationale autonome du Mexique (UNAM) : « À l’époque, je me souviens, nous, les femmes, nous disions “100 000 femmes meurent d’avortements clandestins”. Il s’avère que 100 000 personnes sont mortes dans tout le pays, hommes et femmes, de toutes les maladies. Nous avons gonflé les chiffres ».
Lamas s’exprimait lors d’une table ronde intitulée « Conversation sur le mouvement féministe ». Lorsqu’elle a annoncé qu’ils avaient menti, le public a ri.
Bien que la vidéo ait été filmée en 2016, elle est devenue virale tout récemment, car elle démontre les efforts que les défenseurs de l’avortement étaient prêts à déployer pour faire avancer leur programme. Le gonflement des chiffres concernant les décès liés à l’avortement n’est pas nouveau ; c’est une tactique fréquemment utilisée, même aujourd’hui aux États-Unis. Lorsque les gens craignent les dangers et la mort qui accompagnent les avortements clandestins, ils pensent que la légalisation de la procédure est le seul moyen de protéger les femmes. Malheureusement, des femmes meurent aussi à la suite d’avortements légaux — bien que leur décès soit rarement rapporté par les médias.
Frida Espinosa, de la plateforme Jeunesse et Vie, a déclaré à ACI Prensa que les groupes de défense de l’avortement dans le pays gonflent les chiffres depuis des années et « utilisent la mort par avortement clandestin comme argument, en fournissant des centaines de chiffres qui ne peuvent être vérifiés nulle part ».
« La vérité cachée derrière ces données est la manipulation et la tromperie », a-t-elle déclaré. « Et bien que ce soit quelque chose que nous sussions déjà, Marta Lamas, une militante qui a passé des années à essayer de légaliser le meurtre d’êtres humains, l’accepte. »
Bien que le Mexique soit historiquement un pays pro-vie, sa Cour suprême a dépénalisé l’avortement en septembre 2021. Il est désormais légal dans huit des États du pays, bien que des groupes comme GIRE s’efforcent de promouvoir l’avortement dans tout le pays.
Marcial Padilla, directeur de la plateforme pro-vie mexicaine ConParticipación, a déclaré que la vidéo rappelle que le travail pro-vie est loin d’être terminé, notant qu’« il est très triste de voir que dans une chose aussi grave que l’avortement, on croit à des mensonges et on utilise la santé des femmes et leur vie, précisément pour avorter et la laisser affronter seule sa grossesse ».
« Nous, les groupes pro-vie, devons continuer à agir clairement, fermement, pour défendre, et avec amour, la mère et la vie de l’enfant », a-t-elle déclaré.
Le budget 2022 de Trudeau favorise des maux qui minent la famille
Justin Trudeau.
Par Campaign Life Coalition — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lovers Lounge/Flickr
Le budget 2022 de Justin Trudeau consacre des millions de dollars à la promotion de nombreux maux qui sont anti-vie et anti-famille.
Voici quelques éléments que Campaign Life Coalition a trouvés particulièrement inquiétants.
« Aide pour les Canadiens qui veulent devenir parents »
Un élément troublant du budget est le projet des libéraux d’offrir un crédit d’impôt pour la maternité de substitution et la fécondation in vitro afin que les homosexuels et d’autres personnes puissent « bâtir la famille dont ils rêvent ».
« Partout au Canada, il y a ceux qui font face à des défis dans leur parcours pour devenir parents. Qu’ils soient confrontés à des problèmes de fertilité, qu’ils fassent partie d’un couple de même sexe ou qu’ils veuillent simplement pouvoir être une mère ou un père à leurs propres conditions, certains Canadiens ont recours à la maternité de substitution et à des procédures coûteuses afin de construire la famille dont ils rêvent. Mais actuellement, le crédit d’impôt pour frais médicaux n’est pas disponible pour ceux qui doivent payer les frais médicaux d’autres personnes afin de devenir un parent », indique le budget.
« Le budget 2022 propose de permettre de réclamer les frais médicaux liés à une mère porteuse ou à un donneur de sperme, d’ovules ou d’embryons qui sont engagés au Canada pour les années d’imposition 2022 et les suivantes. Cela comprendrait les coûts qui ont été remboursés à une mère porteuse pour les frais de fécondation in vitro. »
« Le budget 2022 propose également de permettre que les frais payés aux cliniques de fertilité et aux banques de donneurs au Canada afin d’obtenir du sperme et des ovules de donneurs soient admissibles au crédit d’impôt pour frais médicaux pour 2022 et les années d’imposition suivantes », ajoute le document.
Les traitements de fertilité qui impliquent de séparer l’étreinte conjugale de la procréation sont gravement immoraux. Les enfants ont le droit d’être conçus par l’union amoureuse d’un homme et d’une femme engagés l’un envers l’autre dans un mariage stable. Le bon sens, appuyé par les sciences sociales, montre clairement que les enfants s’épanouissent mieux dans le contexte d’une relation stable et aimante entre une mère et un père. Un tel traitement de la fertilité transforme la vie humaine en marchandise, la dégradant en un « objet » qui peut être acheté et vendu. Il s’agit d’une attaque contre la vie humaine, et en particulier contre les enfants qui sont mis au monde de cette manière.
Lire la suite