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« J’ai quitté mon emploi à la clinique d'avortement après avoir assisté à l’avortement de quadruplets parfaitement formés ». Le témoignage d’une ex-employée.

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Par Ben Johnson avec contribution de Dustin Siggins de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Une employée de Planned Parenthood a démissionné – et a convaincu quatre de ses collègues de faire de même – peu après avoir assisté à l’avortement de quadruplets. La plupart sont mort-nés alors que la mère était assise sur la toilette ou qu’elle trébuchait dans le couloir en se tordant de douleur. 

Deux des garçons « parfaitement formés […] se serraient dans leurs bras », selon un courriel envoyé à la militante pro-vie Abby Johnson.

Selon Johnson, qui est à la tête de And Then There Were None (ATTWN), un organisme offrant de l’aide aux employés de l’industrie de l’avortement, la femme a quitté l'avortoir Planned Parenthood le jour où elle a assisté à l’avortement médicamenteux de quatre enfants dans le ventre de la mère.

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Un jeune couple adopte un bébé trisomique, célèbre sa première année

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Par Rebecca Downs de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

En mai dernier, Andy et Mercedes Laura ont adopté Sunflower, qui souffre de la trisomie 21 (syndrome de Down), trois jours après sa naissance et ils en ont fait un rapport détaillé sur YouTube et les médias sociaux.

Travaillant avec des personnes nécessitant des soins particuliers, le jeune couple a ressenti le besoin d’adopter un bébé trisomique. Malheureusement, 90% des enfants diagnostiqués avant leur naissance comme étant porteurs de ce syndrome sont avortés.

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Cet homme passe toutes ses journées en face de cette clinique d'avortement, et il a sauvé des centaines de vies

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Par Jonathon Van Maren de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Parmi les nombreux héros pro-vie que j’ai eu le privilège de rencontrer, l’un d’entre eux a retenu mon attention par son humilité totale et son dévouement sans relâche. Son nom est John Barros, et pendant dix ans, il s’est tenu debout en face d'une clinique d'avortement à Orlando, en Floride, interpellant les femmes et les filles qui en franchissaient les portes, les suppliant de changer d’idée, les implorant de ne pas avorter leur bébé. Des centaines l’ont écouté.

J’étais avec une équipe de bénévoles : des étudiants qui débattaient devant un présentoir pro-vie sur le campus de l'Université de Floride Centre. John Barros est passé à notre stand, et nous avons décidé que la veille de notre départ de Floride nous irions nous joindre à John à l'extérieur de la clinique d'avortement.

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«Je ressentis la mort» : Une employée de clinique d'avortement est devenue pro-vie après avoir vu le visage d'un bébé qu'on avortait.

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Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

En 2008, l'Institut de recherche sur la population a publié le témoignage d'une ex- directrice médicale d'une clinique d'avortement sous le nom de Zlata. Bien qu'elle était très engagée pour l'avortement et qu'elle ait travaillé six ans à la clinique, Zlata se considère maintenant pro-vie. Elle raconte son histoire :

«Je me souviens, une fois en particulier, avoir aidé dans la salle d'opération à la clinique où j'ai travaillé pendant six ans comme assistante médicale. Je me tenais derrière le docteur et je pouvais tout voir pendant qu'il pratiquait un avortement sur une femme enceinte de 20-22 semaines.

A 20 semaines, le bébé est complètement développé. Il ou elle pèse environ 9 onces et mesure à peu près 10 pouces de longueur. Elle a des doigts, des orteils, un visage et tous les organes d'un bébé nouveau-né incluant, si c'est une fille, son utérus et ses ovaires propres. Ses cordes vocales sont assez développées pour déclencher des mimiques de pleurs. Elle est capable de goûter, et au cours d'une expérience, on a démontré que des bébés de son âge buvaient moins de liquide amniotique lorsqu'on y ajoutait de l'huile de pavot, ce qui le rendait plus amer. Elle entend depuis la 14e semaine après la conception; elle répond au toucher et peut ressentir la douleur. Vous pouvez voir une vidéo d'une échographie en 4D d'un bébé de 21 semaines ici. Dans cette échographie, vous pouvez clairement voir le visage de l'enfant.

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Le gouvernement nigérien envisage d'interdire les sites pornographiques: officiel

Goodluck_Jonathan_World_Economic_Forum_2013_(2)_810_500_55_s_c1.jpgGoodluck Jonathan, président du Nigéria

Par Thaddeus Baklinski de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

KADUNA, Nigeria, le 26 Janvier 2015 (LifeSiteNews.com) - Un responsable du gouvernement nigérian a déclaré aux participants d’un atelier sur l'utilisation des médias sociaux organisé pour les chefs religieux et les jeunes que le gouvernement fédéral envisage d'introduire une loi qui interdira tout site pornographique dans le pays.

« Le gouvernement envisage d'interdire et de bloquer les sites Web qui inculquent des attitudes négatives chez nos enfants, mais nous avons besoin d'une loi pour soutenir une telle décision », a déclaré dimanche le conseiller de sécurité nationale Sambo Dasuki lors de la cérémonie de clôture de l'atelier de trois jours tenu à Kaduna, selon la Abuja Prime Times.

« Parce que sans loi, les gens peuvent aller au tribunal et réclamer la violation de leurs droits », a expliqué Dasuki.

Les critiques de la décision disent que le gouvernement n'a pas d'affaire à censurer l'Internet. Cependant, le gouvernement nigérian ainsi que les chefs religieux du pays sont prêts à faire face à toute réaction hostile que cette décision peut générer.

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Idéologie du genre : et maintenant, l’avortement pour les hommes

Par Jeanne Smits

A_TransGender-Symbol_Plain3.pngOn croit trop facilement avoir touché le fond… C’est dans le plus récent numéro du doyen des hebdomadaires des Etats-Unis, The Nation, fondé en 1865 pour combattre l’esclavage, que l’on peut trouver un article évoquant la revendication étrange qui demande que l’avortement ne soit plus présenté comme étant un droit des femmes. L’avortement, dit cette étonnante théorie, peut intéresser les hommes : les hommes transgenres par exemple, et encore des personnes qui ne se conforment pas à leur genre d’origine.

Pendant la plus grande partie de l’histoire, reconnaissent ses tenants, ce sont les femmes et les jeunes filles qui avortaient. « Plus maintenant. Les gens avortent. Ce sont des patients qui avortent. Il y a des hommes qui avortent. » Prétendre le contraire, c’est faire preuve de cissexisme : ce nouveau préjugé discriminatoire qui affecte les institutions et la société qui favorisent « les individus qui s’identient au genre qui leur a été assigné à la naissance (cisgenres), au détriment des individus s’identifiant à un genre autre que celui assigné à la naissance (trans) ».

Attention, ce n’est pas de la transphobie, concept bien trop étroit pour dénoncer les micro-agressions et l’invisibilité structurelle dont sont victimes les personnes trans, et qui se traduisent par les « privilèges » que se réserve la « majorité transgenre ». (Je cite, évidemment.)

Il est donc urgent de cesser de parler de la « guerre contre les femmes » menée par les opposants à l’avortement, assurent quelques féministes activistes.

L’auteur de l’article de The Nation, Katha Pollitt, n’est pas d’accord. Parce que c’est faire trop peu de cas des femmes qui constituent « 99,999 % » des personnes qui attendent un enfant. A parler ainsi, l’avortement perd son sens historique, symbolique et social au cœur du combat féministe. « Mettre un frein à l’avortement, c’est garder les femmes sous la domination masculine : c’est tout le sens du patriarcat qui veut contrôler les capacités sexuelles et reproductrices de la femme. » Les femmes, soutient-elle, doivent pouvoir continuer de se nommer elles-mêmes « femmes ».

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Cours controversé de sexualité à l'école primaire en Ontario : un des responsables du cours coupable de pédophilie

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De gauche à droite, Benjamin Levin, Justin Trudeau et Kathleen Wynne au défilé de la « fierté » homosexuelle à Toronto le 30 juin 2013

Par Pour une école Libre au Québec

Un ancien sous-ministre de l’Éducation en Ontario a plaidé coupable mardi à trois des sept accusations de pornographie juvénile déposées contre lui.

Benjamin Levin, 63 ans, ancien professeur à l’Université de Toronto et membre de l’équipe de transition de la Première ministre Kathleen Wynne, a reconnu sa culpabilité à une accusation d’avoir conseillé un adulte à agresser sexuellement un enfant, à un chef de possession de pornographie juvénile et à un chef pour avoir écrit de la littérature pornographique juvénile.

Les accusations avaient été déposées en juillet 2013 à la suite d’une enquête policière en Nouvelle-Zélande et en Ontario.

Détails sordides

Ben Levin arrive au tribunal
en compagnie de son avocat, Clayton Ruby.
Me Ruby veut interdire les diplômés en droit
de Trinity Western de pratiquer le droit.

Benjamin Levin aimait à fréquenter un salon de discussion en ligne consacré à l’inceste pour conseiller les mères célibataires sur la façon d’agresser sexuellement leurs filles pour son plaisir à lui et celles de ces mères. Site où son profil indiquait en regard de sa sexualité : « aucun tabou ».

Le 12 août 2012, l’agent détective Janelle Blackadar de la police de Toronto est allée sur le site en se faisant passer pour une mère célibataire sexuellement soumise et intéressée à sexualiser ses enfants. Levin l’a encouragée à entreprendre des attouchements sur ses deux filles et lui a dit qu’il avait fait la même chose avec ses trois filles à lui alors qu’elles n’avaient encore que 12 ans. L’avocat de M. Levin a plaidé qu’il ne s’agissait là que de paroles en l'air et qu’il n’y avait aucune preuve que Levin avait sexuellement agressé ses filles et qu’il n’est donc pas accusé à ce titre.

En décembre 2012, Levin était également en ligne, mais cette fois avec Angela Johnson, une enquêtrice de London (Ontario) qui se faisait passer pour une mère célibataire de trois enfants. Levin lui a également dit qu’il avait eu des relations sexuelles avec ses propres filles. « Cela me manque beaucoup », a-t-il écrit en ligne, « mais nous avons vécu là de nombreuses années merveilleuses ».

« M. Levin a également déclaré qu’il espérait que ses filles “partageraient” leurs propres enfants (ses petits-enfants) avec lui et sa femme », a déclaré le procureur de la Couronne Allison Dellandrea en lisant une déclaration commune.

L’éducateur de renom avait déclaré à la « mère » de London qu’il aimerait les « b.... r » toutes les trois (ses trois enfants) devant toi et avec ton aide... vont-ils se soumettre ou aurais-je besoin de les attacher ? » Quand on lui a répondu qu’il devrait s’y prendre doucement, Levin promit : « pas de correction ni de douleur en échange de ton aide et de tes encouragements. »

Ah, « Les Ontariens et le sexe » comme dirait la grande chroniqueuse du Journal de Montréal, Sophie Durocher. Plus de détails très crus dans The Star (en anglais).

Question sur son implication dans l’établissement des programmes scolaires

Comme on le sait, de nombreux parents s’opposent au nouveau programme d’éducation sexuelle en Ontario qui introduit des notions considérées comme prématurées pour ceux-ci. Il promeut une certaine promiscuité et la théorie du genre (la fluidité des identités sexuelles, simples constructions sociales). La question que de nombreuses personnes se posent en Ontario est de savoir si Benjamin Levin a participé à l’élaboration de ce programme.

Lorsque Levin a été arrêté en 2013, la ministre de l’Éducation, Liz Sandals, a publié un communiqué où elle affirmait « que la collaboration récente du Dr Levin avec le ministère se bornait à des projets de recherche sous contrat et à des invitations à titre de conférencier en sa qualité de professeur à l’OISE » (école normale ontarienne/institut de formation d’enseignants). Les courriels dévoilés hier tendent à démontrer que cette présentation des faits est fausse. Benjamin Levin a non seulement été invité à des retraites de haut niveau avec de hauts fonctionnaires, mais on lui a demandé son avis sur les documents confidentiels liés à politique éducative de l’Ontario, avant même que le ministre de l’Éducation ne les eût approuvés. Levin entretenait également une amitié personnelle avec George Zegarac, l’actuel sous-ministre de l’Éducation, il l’a rencontré pour boire des pots ensemble et l’a invité à un match de baseball des Blue Jays.

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Sept photos incroyables qui démontrent l'humanité des bébés prématurés

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Par Becky Yeh de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Les images façonnent le dialogue et le dialogue donne naissance au changement.  Des photos qui captivent ne sont pas seulement des testaments d’une époque mais aussi des outils efficaces de promotion de changement social.  Les fortes images qui remplissent les pages d'histoire ont initié maints combats pour la justice.

Sans doute que la méthode la plus efficace pour démontrer la violence de l’avortement et la brutalité de l’industrie de l’avortement, ainsi que la dignité de la vie humaine sont par le biais de photographies.  Ci-dessous sont sept images percutantes ou touchantes qui parlent fort de la violence des avortements et de l’humanité des prématurés.

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Oui, j'ai vu un avortement quand j'étais en 8e année et cette expérience a changé ma vie pour toujours.

 

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Par Melanie Pritchard de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Avant même d'avoir jamais entendu le mot avortement, je l'ai vu représenté sur un écran quand j'étais en 8e année à l'école catholique.

Après que mon professeur nous ait fait visionner The Silent Scream  (Le Cri silencieux) qui montre un avortement se déroulant sous nos yeux, j'étais là en état de choc et fâchée. Je suis revenue à la maison et j'ai demandé à ma mère : «Comment peut-on permettre l'avortement dans ce pays libre d'Amérique? Est-ce que ces bébés ne méritent pas de vivre?» Même dans ma naïveté, je comprenais le simple bon sens.

Ma mère a vu ma colère et a fait une suggestion qui allait me permettre de convertir ma passion en action. Elle a dit : «Allons à une clinique d'avortement et tenons-nous à l'extérieur en priant pour les femmes qui y entrent et pour les bébés qui vont perdre la vie.» Ce jour-là, je décidai que j'allais être une voix pour ceux qui ne peuvent parler pour eux-mêmes, les enfants à naître.

 

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Photo qui fait sensation sur Facebook : un fétus de 7 semaines !

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Par John Jalsevac de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Vous pensez peut-être qu’un fétus de sept semaines n’est encore qu’un amas de tissus (alors que bien des femmes, à ce stage, ignorent  encore qu’elles sont enceintes) ? Un «amas de tissus», voilà ce que disent souvent les employés des cliniques d’avortement  aux femmes qui viennent s’y faire avorter à un stage dépassant de beaucoup sept semaines.

Mais essayez de le dire à David Raphael, ce minuscule bébé à naître dont la photo a fait sensation sur Facebook après qu’une ancienne directrice de clinique de Planned Parenthood, Abby Johnson, l’eut fait paraître sur sa page.

Voici ce que Johnson, maintenant pro-vie, a écrit sur sa page de Facebook (qui compte une clientèle de plus  130 000 visiteurs) : «Je veux vous partager cette belle image, car nous sommes vraiment créés à Son image. Merci à cette maman qui a eu le courage de nous partager également son histoire».

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