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Après avoir été violée à 13 ans, une merveilleuse jeune fille de l’Indiana a choisi la vie !

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Par Monica Kelsey de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Il y a deux ans, nous vous avons raconté l’incroyable histoire d’Ashley, une extraordinaire jeune fille de 13 ans d’Elwood, dans l’Indiana, qui a été violée par un ami de son frère et est tombée enceinte. Ashley a poursuivi son violeur, et il a été accusé et reconnu coupable de trois chefs d’accusation, étant donné qu’Ashley n’était pas sa seule victime. Cette histoire a touché les cœurs de millions d’Américains, alors que cette jeune fille a décidé de mener à terme sa grossesse et a donné naissance à un beau petit garçon qu’elle a nommé Aiden.

Via sa page Facebook officielle, même l’organisation Planned Parenthood de l’Indiana a donné son point de vue sur cette histoire en publiant un lien vers un article paru dans le Indianapolis Star, en disant ceci: « Comme cet article le souligne, de déchirantes histoires de ce genre sont trop fréquentes dans l’Indiana, qui occupe le deuxième rang pour ce qui est du nombre d’agressions sexuelles chez les adolescents. Une éducation sexuelle complète peut faire une différence dans la prévention des agressions sexuelles. » Il semble que Planned Parenthood estime que donner aux violeurs plus d’éducation sexuelle va les empêcher de violer des femmes.

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Un « bébé miracle » naît d’une maman dans le coma après que la famille ait décidé de laisser grandir l’enfant

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Par Kirsten Andersen de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Les membres d’une famille d’Alaska rurale accueillent un « bébé miracle » qu’ils ont nommé Faith (prénom signifiant foi), après qu’elle soit née par césarienne le 8 juillet de mère mourante, qui a été dans le coma et sous maintien artificiel des fonctions vitales pour les six derniers mois.

Personne ne savait que Jessie Ayagalria était enceinte lorsqu’elle fut atteinte d’une crise suivie d’un arrêt cardiaque durant le mois de janvier 2014. Cette femme de 29 ans, vivait avec sa tante et parlait de ses plans de mariage avec son petit ami qu’elle fréquentait depuis dix ans. Sa mère, Shirley Jerry, a dit à la station locale KTTU qu’avant qu’Ayagalria s’effondre, celle-ci riait et parlait avec les membres de sa famille. Tout semblait bien aller.

« Je pouvais l’entendre rire avec son oncle et son autre sœur », rapporte Jerry au KTTU. « Je me rappelle aussi qu’ils m’ont appelée à l’aide et je leur ai dit d’appeler les services d’urgence. C’est arrivé si vite ».

Les ambulanciers ont réussi à redémarrer le cœur d’Ayagalria et à la transporter jusqu’à un hôpital local. A leur arrivée, les médecins l’ont examinée et ont décidé de la transférer dans un hôpital mieux équipé d’Anchorage. Cependant, avant de l’embarquer dans l’hélicoptère, ils donnèrent à la famille une nouvelle étonnante : leur examen médical avait révélé qu’Ayagalria était enceinte de trois mois.

La joie de la famille à la nouvelle de l’enfant à naître se transforma vite en chagrin. A l’arrivée de la famille à Anchorage, les docteurs les informèrent qu’Ayagalria n’avait plus d’activité cérébrale mesurable – elle était considérée comme ayant une mort cérébrale, et ne se réveillerait probablement plus.

L’oncle d’Ayagalria, Henry Combs dit aux médias que le premier instinct de la famille était de débrancher Ayagalria (d’arrêter le maintien vital artificiel) et de laisser le bébé partir. Ils ne pensaient pas qu’avec tant de mois restants de grossesse, il serait possible pour l’enfant à naître de grandir.

« Au départ, il n’y avait pas beaucoup d’espoir. La plupart des médecins à l’ANMC (Centre médical de naissance d’Alaska) dirent qu’elle ne pourrait pas porter le bébé, que cela ne marcherait pas », dit Combs au KUYK.

Cependant, un neurologue, le Dr Brian Trimble, les pressa de reconsidérer leur décision. Il dit qu’il était envisageable, avec l’aide d’une alimentation par sonde, de l’oxygène et une réhydratation par intraveineuse, qu’Ayagalria serait capable de porter le bébé jusqu’à ce qu’il soit viable.

« J’ai pensé perdre une fille et un bébé jusqu’à ce que j’apprenne qu’elle pouvait le porter », dit Shirley Jerry au KTVA. « J’ai voulu tenter le coup ».

En définitive, bébé Faith a pu continuer à grandir dans le ventre de sa mère jusqu’à la 35ème semaine de grossesse, où elle a été accouchée par césarienne. Faith eut des problèmes respiratoires et passa quelques jours dans l’unité néo-natale de soins intensifs, dont elle a depuis été libérée; sa famille dit qu’elle va bien. La sœur d’Ayagalria, Krissy Medina, projette d’adopter légalement l’enfant.

« Elle mange bien plus. Elle grandit. Elle me fait rire chaque jour », dit Medina au KYUK. « C’est comme si ma sœur était née à nouveau. Tout son visage lui ressemble, particulièrement son nez et ses joues ».

« Elle est étonnante et dépasse chaque jour les attentes des médecins », c’est ce qu’a écrit la cousine d’Ayagalria, Catherine Greydanus, sur la page « GoFundMe » (ce qui signifie « viens me financer »), où elle poste des mises à jour et lève des fonds pour le soin de bébé Faith. « C’est vraiment une battante ».

« C’est incroyable (étonnant) que nous ayons réussi à aller sur cette voie, car nous n’étions pas certains de l’aboutissement, que nous pourrions la voir et la porter, et maintenant qu’elle est en bonne santé, chaque jour est une bénédiction », dit Greydanus à la KTVA.

Quant à Ayagalria, sa famille a arrêté le maintien vital artificiel après la naissance de bébé Faith. Elle mourut trois jours plus tard. Ses obsèques furent tenues le samedi suivant. Henry Combs déclara au KYUK qu’il croit que l’abus d’alcool de sa nièce serait la cause qui l’a menée à la crise cardiaque dont découle sa mort. Il dit qu’il ressent le besoin de partager cette part de l’histoire d’Ayagalria, l’alcoolisme est un problème très répandu à Bethel, la ville rurale d’Alaska où vit sa famille. (…)
Cependant, malgré la perte insensée et tragique de sa jeune nièce, Combs dit que la naissance de bébé Faith a renouvelé sa propre foi en Dieu et dans les miracles.

« Dans les pires situations, il y a toujours de l’espoir et la foi », déclara Combs au KYUK. « Vous savez, toute cette histoire a vraiment mis notre famille à l’épreuve dans sa foi et dans son espérance. Parfois, il nous est arrivé de perdre tout espoir, toute foi. Parfois, nous tirions tous ensemble – c’était un long chemin. Ce que j’en retiens, c’est que ça a renouvelé ma foi, mon espérance, vous savez, que les miracles se produisent. Bébé Faith en est la preuve vivante, ici même ».

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Une épouse dit à son mari de choisir entre l'abandon de leur bébé trisomique, ou le divorce: il a choisi le bébé

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Par Ben Johnson de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Les familles sont faites pour grandir ensemble unies, mais il arrive que ça ne marche pas comme ça.  Après que son fils fut venu au monde trisomique, Samuel Forrest eut à vivre un choix déchirant : garder sa femme ou bien garder son enfant.  Cet homme d’Aukland en Nouvelle-Zélande était rempli de bonheur quand sa femme donna naissance à leur fils dans un hôpital d’Arménie ce 21 janvier dernier.  Mais c’est alors qu’il apprit que tous ne partageaient pas son bonheur. 

Quand le docteur est venu, il a dit qu’il y avait un gros problème avec notre fils , c’est ce qu’il rapporta au réseau de nouvelles ABC.

Quand j’entrai dans la chambre, ils se sont tous tournés vers moi en me disant que Léo notre bébé était trisomique.  Dans les hôpitaux d’Arménie, ils permettent aux parents de bébé trisomique, de les donner de suite en adoption si les parents décident de ne pas garder l’enfant.  Ma femme avait déjà pris sa décision et tout s’est décidé et s’est fait dans mon dos.

Son épouse Ruzan Badalyan avait exigé de son mari d’accepter de donner leur bébé en adoption ou bien elle entreprendrait une démarche en divorce; du moins c’est ce que rapporta Forrest.

Ils m’amenèrent le voir à la pouponnière, je le regardai et me dit comme il est beau et parfait et que je tiens à le garder.

Alors que Badalyan qui s’adressait au réseau de nouvelles ABC, leur disait avoir entrepris une demande de divorce.  Le père garda Léo et pour aider à faire face aux dépenses en restant un père seul, il créa une page blogue GoFundMe.

Le but était d’amasser suffisamment d’argent pour un an et que je puisse me permettre d’avoir un emploi à temps partiel pour bien m’occuper de Léo et éviter d’avoir à le placer en garderie.

Au moment d’écrire ces lignes, il avait déjà amassé $340 194.00 soit un moment dépassant largement les $60 000 prévus.

Neuf jours après avoir commencé cette campagne pour Léo et moi, je découvrais au milieu de la nuit qu’on avait dépassé nos projections.  C’est vraiment un enfant chanceux d’avoir le support de milliers d’amis qui l’aiment et ce, à travers le monde; écrivait ce père très fier.

Il dit que l’argent servira à créer un bon environnement pour Léo et lui permettre d’aller à une bonne école, et que le surplus d’argent servira à des projets.

On peut lire sur son blogue : Après ce que je dû passer à travers avec Léo, je ne resterai pas assis à regarder d’autres bébés comme lui être envoyés en orphelinat.  Nous utiliserons ce surplus pour financer des installations de programmes pour permettre aux futurs parents de garder leur bébé malgré son handicap, et pour améliorer les soins aux bébés délaissés par leurs parents.  On aimerait aussi partager un montant avec les orphelinats d’Arménie qui trop souvent reçoivent des bébés trisomiques, mais aussi pour aider d’autres organisations qui viennent en aide à ces enfants abandonnés; grâce à votre support et votre générosité, sachez que déjà nous faisons une différence.

L’adoption est l’une des formes discriminatoires qu’ont à faire face les bébés avec des retards de développement.  Les parents vivant une grossesse trisomique ont souvent à subir d’énormes pressions pour avorter.  Des études ont démontré que 90% de ces grossesses trisomiques finissent en avortement, établissant ainsi de facto une forme d’eugénisme.  Et à peine 4% des parents ayant gardé leur bébé disent le regretter, selon une étude de 2011 du Journal Génétique Médical Arménien.  Pas moins de 99% de ces enfants trisomiques se disent heureux de leur vie.

Je suis l’un des 10% n’ayant pas été avorté qui réussit à s’en sortir, de dire David DeSanctis, cet acteur de 23 ans qui devint une star dans un film indépendant Where Hope Grows.

Forrest espère que d’autres parents, et un jour le reste de la société, en viendront à aimer et chérir ces enfants spéciaux. 

Un enfant trisomique devient vite une étiquette, mais quand on les regarde au-delà de cette étiquette, on voit bien que ce sont des enfants normaux, dit Forrest au réseau de nouvelles ABC.

Et d’ajouter : Je vais travailler fort pour trouver ce que Léo a de spécial car ce petit bout de chou est vraiment génial.

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Voulez-vous être heureux en tant qu’homosexuel? Pratiquez la continence physique et mentale, affirme un « activiste gai » français

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Par Hilary White de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

ROME, 4 Février 2015 (LifeSiteNews.com) — Est-il possible d'être « gai », célibataire et heureux? Le christianisme offre-t-il en fait une façon de faire face à des tendances homosexuelles, sans les problèmes psychologiques et émotionnels qui les accompagnent si souvent? Un homme, qui se qualifie lui-même d’« activiste gai », en est persuadé et il a proposé l'idée à d'autres homosexuels.

Comment conciliez-vous « être gai et croyant? – Par la continence », réplique Philippe Ariño, un français, catholique et « activiste gai » autoproclamé, qui a aidé à fonder La Manif pour tous, un mouvement qui s’oppose au « mariage gai » en Europe. La « continence » va plus loin que de simplement s’abstenir de relations sexuelles; c’est une approche plus globale qui implique « la maîtrise de l'instinct sexuel » [NDT L’auteur définit la continence comme « le renoncement à la génitalité et à la sentimentalité homosexuelles, tout cela pour les donner entièrement à Jésus. » (L’homosexualité en vérité, page 66)].

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Ce pays a interdit l'avortement, le résultat en a surpris plus d'un !

Par Personhood USA, publié sur LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

« Interdisez l'avortement, les avortements ne cesseront pas. Des femmes le feront illégalement, et des femmes mourront ! »

Tel est donc leur argument... Mais aussi embêtant que ce soit, les faits sont là, et ils démontrent que le contraire est vrai au Chili.

Selon les nouvelles études de l'Institut MELISA, depuis que le gouvernement chilien a interdit l'avortement, non seulement la santé maternelle s'est améliorée, mais le nombre de femmes cherchant à se faire avorter clandestinement a chuté !

Depuis que le Chili a banni l'avortement en 1989, le nombre de décès lors de l'accouchement est passé de 41,3 à 12,7 sur 100 000 naissances (soit une baisse de 69,2%). Ce chiffre place le Chili à la deuxième place des pays américains ayant le taux de mortalité maternelle le plus bas (en faisant même mieux que les Etats-Unis).

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Elard Koch, professeur en épidémiologie moléculaire et aussi auteur principal de l'étude en question, affirme que les femmes ont été mises au courant de l'existence de ressources de santé, ce qui leur a permis d'y avoir de plus en plus accès. Aussi, depuis que ces centres emploient de réels spécialistes en maternité, le nombre de morts maternelles durant la grossesse et l'accouchement a diminué.

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Une adolescente d’Alaska a envoyé pendant des semaines du lait maternel à l’enfant qu’elle avait donné en adoption

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Par Lisa Bourne de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Une adolescente d’Alaska, après avoir donné son bébé en adoption, s’est sacrifiée, pour le bien de son enfant, en donnant son lait maternel à la famille adoptive du bébé.

En plus de généreusement partager son enfant en optant pour l’adoption, Kaleena Pysher, dix-neuf ans, a réussi à fournir à son bébé du lait, même si les parents adoptifs vivent hors de l’état. Elle a aussi réussi cela malgré le sentiment complexe de séparation qu’elle vivait, sachant que le cadeau qu’elle offrait était un cadeau d’amour.

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Il reprend vie alors que l’hôpital menaçait de le faire déclarer «en état de mort cérébrale» malgré l’opposition de ses parents.

Par Kirsten Anderson de LifeSiteNews, traduit par Campagne Québec-Vie

CORPUS CHRISTI, Texas, 2 février 2015 (LifeSiteNews.com) – Un garçon de 12 ans, tombé dans le coma suite à une crise d’asthme très sérieuse, a recommencé à respirer normalement quelques heures à peine après que les responsables d’un hôpital du Texas aient menacé d’arrêter son respirateur artificiel en prétextant que le garçon était légalement «en état de mort cérébrale». Les parents de l’enfant ont d’ores et déjà obtenu une ordonnance du tribunal exigeant que l’hôpital le nourrisse par gavage jusqu’à son transfert dans un autre hôpital dans quelques jours.

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Joey Cronin a été admis au Driscoll Children’s Hospital de Corpus Christi le 14 janvier dernier alors qu’il souffrait d’un arrêt cardiaque suite à une crise d’asthme. Dans une entrevue accordée la semaine dernière à LifeSiteNews, le père de Joey, George Cronin, déclarait que le personnel de l’hôpital en question était plutôt pessimiste dès le départ quant aux chances de Joey de s’en sortir même si le garçon avait présenté des signes de lucidité comme ouvrir ses yeux, serrer la main de ses parents et répondre à d’autres stimuli externes. 

«Ils étaient très pessimistes» confia George Cronin à LifeSiteNews la semaine dernière. «Le soir même de son admission à l’hôpital, on me dit que Joey n’avait probablement que quelques heures avant qu’on ne doive lui enlever le respirateur artificiel». Néanmoins, après avoir ausculté le jeune garçon pour s’assurer qu’il était bien en état de mort cérébrale, ils durent faire marche arrière face à la réaction du patient et se plièrent alors au désir des parents de le maintenir sur le respirateur artificiel. Ils refusèrent cependant de lui installer une sonde d’alimentation.

Quelques jours plus tard, lorsque Joey tomba dans le coma, l’hôpital devint plus décidé que jamais de le faire déclarer en état de mort cérébrale (le seuil critique qui légalise, au Texas, l’émission d’un certificat de décès). Avec un tel certificat, l’hôpital peut enlever les appareils de maintien en vie et ce malgré l’opposition des parents. Après avoir consulté un avocat, les parents s’opposèrent à toute auscultation ultérieure et allèrent demander de l’aide au groupe Alliance Defending Freedom, une association chrétienne de défense légale. Leur seul désir était de maintenir Joey en vie jusqu’à son transfert dans un autre hôpital, un établissement qui lui procurerait des soins adéquats sans pour autant perdre confiance en sa survie.

Un hôpital de Houston avait déjà accepté de le prendre et un autre du New Jersey avait manifesté son intérêt. La grande difficulté, pour les parents, était de savoir si Joey pourrait recevoir de l’hôpital où il était présentement les traitements nécessaires à son transfert ultérieur. Ils contactèrent à cette fin les divers médias pour alerter la population à ce sujet et pour inviter les gens à contacter le personnel de l’hôpital en question pour leur demander de ne pas abandonner tout espoir pour Joey.

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Au tour du PQ de restreindre la liberté d’expression

expression.pngAprès la Coalition Avenir Québec (CAQ) c’est au tour du Parti Québécois (PQ) de vouloir restreindre la liberté d’expression des groupes religieux. Encore une fois, nos politiciens visent la mauvaise cible.

Récemment, la CAQ voulait retirer les lettres patentes, les certificats d’occupation et les exemptions de taxes des organismes religieux qui contredisent leur vision de l’égalité homme-femme et de la pratique homosexuelle. La semaine dernière, c’était au Parti Québécois de vouloir limiter la liberté des organismes religieux en les étiquetant d’intégristes.

Effectivement, le Parti Québécois croit que tout débat sur l’égalité homme-femme et sur la pratique homosexuelle doit se limiter à sa vision du monde. À défaut, un organisme religieux qui diffère de son opinion serait identifié comme un mouvement intégriste. C’est essentiellement ce qu’on retrouve dans cette motion déposée à l’Assemblée nationale par le PQ, mercredi dernier à 15h04 :

«Que l'Assemblée nationale affirme, à l'instar du rapport Bouchard-Taylor, que l'intégrisme est une interprétation littérale et monolithique des religions, en vertu de laquelle ces dernières acquièrent une préséance absolue sur les autres considérations sociales, politiques, scientifiques, et qui conduit à rejeter toute évolution1 :

«Qu'elle déclare que l'intégrisme religieux s'exprime le plus souvent par une atteinte au principe fondamental d'égalité entre les femmes et les hommes ainsi qu'aux droits fondamentaux des personnes homosexuelles;

«Qu'elle soutienne que la pratique de l'intégrisme religieux a des impacts sur la collectivité et qu'elle ne peut se résumer à l'expression d'un choix personnel;

«Enfin, qu'elle rappelle l'urgence de documenter ce phénomène par un observatoire de l'intégrisme religieux.»

Le PQ veut non seulement se limiter à assimiler le discours des groupes religieux à sa vision du monde; il veut par surcroît, coller l’étiquette d’intégriste sur le front de ceux qui diffèrent de sa perspective sociale. Quoiqu’en matière de conséquences, la CAQ n’y aille pas avec le dos de la cuillère, le PQ exprime sa sévérité par les mots qu’il utilise. L’ex-parti de René Lévesque n’y va pas de main morte en qualifiant d’intégrisme religieux ceux qui divergent de sa perspective sociale.

Ainsi donc, le PQ et la CAQ visent la mauvaise cible. Ils se servent du ras-le-bol populaire pour s’en prendre à notre liberté d’expression. Cette motion ne contribue en rien au renforcement de la sécurité publique. Au contraire, elle démontre aux terroristes qu’au Québec on ne se préoccupe vraisemblablement pas d’eux. En visant volontairement la mauvaise cible, le PQ, tout comme la CAQ, préfère l’opportunisme à la sécurité publique.

Les Québécois ont besoin d’un gouvernement qui cerne les vrais enjeux et qui prend les moyens pour remédier aux vrais problèmes. Les honnêtes citoyens qui visent le bien commun n’ont pas besoin de muselière. Certes non! Ce sont les gens odieux, haineux et sans scrupule qui doivent être privés de liberté et non le contraire. C’est envers eux que l’État doit sévir. À défaut, les intégristes associés au terrorisme vont poursuivre aisément leur déplorable mission.

Dans une société civile et civilisée on se doit de primer la civilité et non de la brimer. Si le PQ et la CAQ pouvaient comprendre cela, notre démocratie s’en porterait beaucoup mieux. À nous, concitoyens, d’être vigilants, spécialement le jour du scrutin.

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Multiplication du nombre de bébés sauvés grâce au changement de nom d’un centre de grossesse et son déménagement à côté de l'avortoir

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Par Pete Baklinski de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Leurs finances à sec seraient le cauchemar de n’importe quel comptable. Payer les employés était quelques fois difficile à accomplir. La persévérance, le dur labeur et la puissance de la prière n’ont pas meilleur témoignage que ceci : Les centres de grossesse communautaires de Silicon Valley en Californie ont réussi à rester ouverts quatre jours par semaine, mois après mois, année après année, depuis leur ouverture en 1981.

Mais tout ceci a commencé à changer il y a environ 15 ans. La direction a décidé d’améliorer les centres en offrant, en plus des ressources de base pour les femmes enceintes, des échographies dans des cliniques ultramodernes par du personnel professionnel. Les donateurs ont aimé la vision et se sont engagés en finançant les modifications.

Ce n’est qu’après le changement de nom des trois centres et leur déménagement à côté des centres d’avortement de Planned Parenthood que les donateurs ont vraiment pu voir les fruits de leur investissement. Le nombre de femmes visitant les cliniques a augmenté drastiquement et le nombre de bébés sauvés a grimpé en flèche.

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La nouvelle publicité percutante de Pampers célébrant les bébés - nouveau-nés et à-naître

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Par Kristi Burton Brown de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Ce mois-ci, la marque Pampers présente une nouvelle publicité : "l'aventure des premières fois d'un bébé." Pampers a été connu dans le passé pour ses belles images émouvantes qui transmettent un message anti-avortement. Une précédente publicité était appelée "le miracle des bébés" qui méritent d'être protégés et montrait un fœtus sur une échographie en le désignant par "he" - pronom réservé aux êtres humains - au lieu de "it", utilisé pour un objet ou une chose non humaine.

Cette fois, la publicité de Pampers - qui a déjà été vue plus de 860 000 fois sur Youtube - commence avec une femme caressant tendrement son ventre rond. La scène suivante présente une incroyable échographie sur laquelle un fœtus bouge dans le ventre de sa mère, et, comme l'interprète Pampers, dit pour la première fois "bonjour."

En dessous de la vidéo, Pampers écrit :

De la première échographie au premier enlacement, toutes les premières fois sont importantes, même si elles paraissent insignifiantes. Pour le bébé comme pour la mère, c'est une aventure de premières fois, et rien n'est plus beau que de vivre chacune d'entre elles ensemble.

Et bien sûr, même si la première existence du bébé - au moment de la fécondation - est si petite que nous ne pouvons pas la voir à l'œil nu, elle est extrêmement importante. Car à partir de ce moment, un nouvel être humain unique existe. Cet être humain n'existera jamais une nouvelle fois dans un autre corps. Tout ce dont il a besoin est la chance de pouvoir se développer et grandir. La même chance dont a besoin un bébé, un jeune enfant ou un adolescent.

Même le journal libéral "Huffington Post", dans un article présentant la publicité de Pampers, approuve le fait que "dès qu'une fécondation a lieu, votre bébé commencera un périple de milliers de changements à travers les prochaines 40 semaines." A noter le fait que "fécondation" est aussi appelée "première étape de vie de votre bébé."

Célébrons avec Pampers l'aventure des premières fois du bébé. Et admirons la beauté de la vie humaine au moment de ses différentes étapes. Comme en conclut "the Huffington Post", les futurs parents et leur bébé "sont ensemble mêlés dans l'aventure."

Oui, à partir du tout premier instant de la fécondation.

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