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Une analyse pro-vie des principaux partis politiques fédéraux du Canada 2024

For the English version, click here.

À l’approche des élections fédérales de 2024 ou 2025, tous les partis politiques cherchent à déterminer quels seront leurs candidats. Dans ce contexte, il m’a semblé utile de partager une analyse simple de nos partis fédéraux d’un point de vue pro-vie. 

Campagne Québec-Vie appuie les valeurs pro-vie dans tous les partis politiques et c’est pourquoi je vous présente des recommandations pour chaque parti. Dans notre correspondance régulière avec vous, nous écrivons davantage sur certains partis simplement parce qu’il y a plus de possibilités de faire avancer les valeurs pro-vie dans ces partis. Si vous êtes actif dans un parti dont nous parlons rarement, veuillez nous le faire savoir afin que nous puissions trouver de meilleurs moyens d’encourager une culture de la vie dans ces endroits plus difficiles d’accès. 

Voici mon analyse de nos partis politiques fédéraux, en ordre du nombre de députés dans la Chambre de Communes:

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Une joueuse canadienne de hockey féminin déclare que la nouvelle politique transgenre est une « gifle » pour les athlètes féminines

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : master305/Adobe Stock

13 mars 2024, Calgary, Alberta (LifeSiteNews) — Une joueuse de hockey canadienne a averti qu’une nouvelle règle permettant aux hommes « transgenres » de concourir dans le hockey récréatif féminin est mauvaise pour le sport et les joueuses de hockey en herbe, car elle permettra aux hommes qui prétendent être des femmes de « venir et de dominer » dans la ligue.

Selon un rapport du Western Standard, une joueuse de hockey de 34 ans de Calgary, qui a demandé à rester anonyme et qui joue dans une équipe exclusivement féminine composée de joueuses âgées de 30 à 70 ans, a averti que la nouvelle politique de l’Association canadienne de hockey récréatif pour adultes (CARHA), basée en Ontario, autorisant « tous les genres » à jouer dans les équipes féminines, gênera les femmes qui veulent jouer uniquement avec des femmes.

Selon la joueuse de hockey, désignée sous le nom de Rachel dans le rapport du Western Standard, elle a « personnellement choisi d’être dans une ligue féminine » et a déclaré qu’elle n’aime pas « se changer et se déshabiller devant les gens, mais que cela ne me dérange pas s’il n’y a que des femmes ».

« J’essaie juste d’imaginer ce que ce serait (avec des hommes dans les vestiaires) », a-t-elle ajouté.

CARHA se présente comme un « organisme sportif à but non lucratif qui soutient le marché du hockey récréatif au Canada » et qui fournit des ressources aux ligues de hockey récréatif, notamment en offrant une assurance et des avantages aux équipes.

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Le gouvernement québécois autorise l’inscription d’un « X » comme « genre » sur les permis de conduire


François Legault.

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CBC News/YouTube

12 mars 2024 (LifeSiteNews) — Le gouvernement du Québec a annoncé qu’il autoriserait désormais les permis de conduire à indiquer « X » comme option de genre pour quelqu’un qui « s’identifie » comme n’étant ni homme ni femme.

Le 4 mars, la ministre québécoise de la Famille, Suzanne Roy, a annoncé que la province ajouterait « X » comme option de genre sur les permis de conduire, à la suite d’une annonce du gouvernement de François Legault selon laquelle la décision ne serait pas prise avant 2025.

« Compte tenu du consensus atteint et partagé par le comité, le gouvernement du Québec convient que le marqueur peut maintenant être apposé sur les cartes d’assurance maladie et les permis de conduire, comme c’est déjà le cas pour les certificats de naissance et les autres documents (d’état civil) », a déclaré Mme Roy dans un communiqué obtenu par CBC News.

« Le marqueur X peut maintenant être utilisé par les personnes qui en font la demande avec les mêmes règles que celles qui sont déjà en vigueur à l’état civil », a-t-elle poursuivi.

Le Québec permet déjà à ses citoyens d’indiquer leur genre comme « X » sur les documents d’état civil, tels que les certificats de naissance.

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Le discours sur l’état de l’Union de Joe Biden a clairement montré que l’avortement est au cœur de sa campagne 2024


Joe Biden.

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr

8 mars 2024 (LifeSiteNews) — Dans un discours prononcé en juin dernier, le président Joe Biden a tenté d’adopter un ton nuancé sur la pratique consistant à tuer des enfants dans l’utérus. « Je suis un catholique pratiquant », a-t-il menti avec désinvolture. « Je ne suis pas très favorable à l’avortement. Mais devinez quoi ? Roe v. Wade a raison ». À partir de là, M. Biden s’est lancé dans une série d’affirmations presque aussi incohérentes que l’arrêt Roe lui-même, rendu en 1973.

« Roe v. Wade a tranché dans un domaine où la grande majorité des religions se sont mises d’accord », a-t-il affirmé. Selon M. Biden, pendant « les trois premiers mois, ou à peu près, dans toutes les grandes religions », la décision d’avorter un enfant à naître est une décision personnelle. « Les trois mois suivants sont l’affaire d’une femme et de son médecin. Les trois derniers mois doivent être négociés, parce qu’on ne peut pas — à moins d’être dans une situation où sa santé physique est en jeu — on ne peut pas le faire ».

Le cadre de l’avortement de M. Biden — qu’il semble avoir inventé à la volée — n’est en fait soutenu par aucune grande religion, en particulier le christianisme que M. Biden prétend absurdement pratiquer. En fait, même le parti démocrate n’est pas d’accord avec la position du président. Selon les militants de l’avortement et leurs alliés, l’avortement doit être légal tout au long des neuf mois de la grossesse, sur demande, pour quelque raison que ce soit — et pas seulement lorsque « votre santé physique est en jeu ».

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Trudeau fait l’éloge de « l’accès universel aux contraceptifs », mais les pro-vie le critiquent vivement

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

12 mars 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Le principal groupe pro-vie du Canada a blâmé le premier ministre Justin Trudeau pour avoir encouragé le « meurtre de bébés nouvellement conçus » après que le premier ministre ait fait l’éloge d’une nouvelle législation visant à fournir un « accès universel aux contraceptifs », y compris la « pilule du lendemain ».

« Accès universel aux contraceptifs. Voici ce que cela signifiera pour les femmes du Canada : elles n’auront plus à payer de leur poche pour leurs soins de santé génésique. Et oui, cela inclut la pilule du lendemain — car lorsque nous disons que nous soutenons les droits reproductifs, nous le pensons vraiment », a publié aujourd’hui sur X M. Trudeau, favorable à l’avortement.

Les remarques de M. Trudeau concernent le projet de loi C-64, également connu sous le nom de « loi relative à l’assurance-médicaments », qui vise à créer un programme national d’assurance-médicaments, alors que les soins de santé au Canada relèvent exclusivement de la compétence des provinces. Le projet de loi a été présenté le 29 février à la Chambre des communes.

La nouvelle législation sur l’assurance-médicaments a été élaborée à la demande du Nouveau Parti démocratique (NPD) et de son chef Jagmeet Singh. Le chef du NPD a déclaré que son soutien au gouvernement Trudeau — qui maintient les libéraux au pouvoir — s’effriterait si le premier ministre ne présentait pas un projet de loi sur l’assurance-médicaments avant le mois de mars.

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Pas d’exemption à l’euthanasie pour la Maison St-Raphaël

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik

Le 1er mars 2024, le juge Piché de la Cour supérieure du Québec a rendu une décision, en attendant le jugement de fond, sur la demande de l’archidiocèse de Montréal d’accorder une exemption temporaire à la maison de soins palliatifs St-Raphaël quant à l’euthanasie, rapporte The Catholic Register.

Le juge a dit non.

Le bâtiment de la Maison St-Raphaël est une ancienne église louée par l’archidiocèse de Montréal par bail emphytéotique pour la symbolique somme d’un dollar, à la condition expresse que la maison ne commette jamais d’euthanasie.

Maintenant, avec la Loi 11 du Québec, toutes les maisons de soins palliatifs doivent « offrir » l’euthanasie. L’archidiocèse de Montréal ne peut accepter que des euthanasies soient perpétrées sur sa propriété déclarait-il dans un communiqué le 6 février 2024 annonçant sa poursuite contre le gouvernement du Québec :

La nouvelle Loi a pour conséquence que des actes que nous jugeons moralement inacceptables seront commis sur notre propriété. L’État détourne ainsi de facto l’intention des fondateurs et des donateurs ainsi que la mission de l’ancienne église, que nous mettons gracieusement à la disposition d’un organisme communautaire.

En résumé, ce que le Pourvoi demande est ni plus ni moins de permettre aux maisons de soins palliatifs, comme il est permis aux professionnels de la santé, « de refuser d’administrer l’aide médicale à mourir en raison de ses convictions personnelles et (de) refuser de participer à son administration pour le même motif. »

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Macron promet d’inscrire l’avortement dans la Charte des droits de l’UE après que la France l’ait inscrit dans sa Constitution

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : BFMTV/YouTube

11 mars 2024 (LifeSiteNews) — Lors d’une cérémonie chargée d’émotion organisée le 8 mars pour marquer l’occasion de l’inscription de l’avortement dans la constitution française, le président Emmanuel Macron — sans un soupçon d’ironie — a déclaré dans un discours de célébration que cette mesure était l’aboutissement d’un combat pour « la liberté, un combat fait de larmes, de drames et de destins brisés ». Il ne faisait pas référence aux innombrables enfants éliminés sous le régime français du fœticide, mais au fait que la France est devenue le premier pays à inscrire l’avortement dans sa Constitution.

La cérémonie s’est déroulée en grande pompe, la Constitution ayant été officiellement scellée par une presse manuelle de 300 kilos datant du XIXe siècle, installée devant le ministère de la Justice à Paris, afin que le public puisse assister à l’estampillage officiel de la Constitution aux côtés des politiciens et des célébrités rassemblés. L’inscription de l’avortement dans la Constitution, a déclaré M. Macron, devrait rappeler « le sort de générations de femmes privées du plus intime de leurs choix : celui d’avoir ou non un enfant ».

Il poursuit : « Le destin de ces femmes au visage de souffrance, d’effroi ; des adresses échangées sous le manteau, des opérations clandestines, des cris ravalés, des convalescences impossibles ; du secret, des soupçons, des sermons ; le risque de tout perdre, son bonheur et sa vie. Oui, durant de trop longues années, le destin des femmes était scellé par d’autres. Leurs vies capturées, leur liberté bafouée ».

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Les Coptes orthodoxes rompent le dialogue avec le Vatican à cause des « bénédictions » homosexuelles


Le patriarche copte orthodoxe Tawadros II.

Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Coptic Orthodox Church/YouTube

11 mars 2024, Wadi El-Natrun, Égypte (LifeSiteNews) — L'Église copte orthodoxe a condamné les bénédictions homosexuelles et a suspendu son dialogue œcuménique avec l'Église catholique, évoquant un « changement de position » du Vatican à propos de l'homosexualité.

Dans une déclaration publiée le 7 mars, l'Église copte orthodoxe a annoncé qu'elle mettait fin à son dialogue avec l'Église catholique :

Après avoir consulté les Églises sœurs de la famille orthodoxe orientale, il a été décidé de suspendre le dialogue théologique avec l'Église catholique, de réévaluer les résultats obtenus depuis le début du dialogue, il y a vingt ans, et d'établir de nouvelles normes et de nouveaux mécanismes pour que le dialogue se poursuive à l'avenir.

Les Coptes orthodoxes — dirigés par le patriarche de l'Église copte orthodoxe Tawadros II d'Alexandrie — n'acceptent pas l'autorité du pontife romain, bien que le dialogue entre Rome et les Coptes soit en cours depuis 1973.

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Un reportage de Radio-Canada peu flatteur pour les pratiques de « transitions »

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : StockPhotoPro/Adobe Stock

7 mars 2024 (LifeSiteNews) — La branche francophone du radiodiffuseur public canadien a publié un rapport d’enquête sur les enfants « en transition », employant une actrice de 14 ans se faisant passer pour une patiente — elle s’est vu prescrire de la testostérone après seulement neuf minutes de consultation !

Le 29 février, Radio-Canada a publié un documentaire montrant qu’une actrice se faisant passer pour une patiente de 14 ans dans une « clinique du genre » privée au Québec s’est vu prescrire de la testostérone et conseiller des interventions chirurgicales mutilantes qui changeront sa vie, au cours d’une consultation qui n’a duré que neuf maigres minutes.

La femme médecin anonyme a demandé à l’actrice incarnant Sacha, une patiente de 14 ans souffrant d’un trouble du genre qui se présentait à son premier rendez-vous de consultation de « genre » sans l’intervention de ses parents, de lui dire, au fond d’elle-même, depuis quand elle savait qu’elle n’était pas dans le corps qui lui convenait.

L’actrice, qui se fait passer pour Sacha, a expliqué au médecin qu’elle s’était fait vomir à l’âge de 12 ans, après quoi sa mère l’avait emmenée voir un psychologue qui lui avait dit qu’elle souffrait d’un trouble du comportement alimentaire.

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L’Irlande vote en faveur de la protection de la maternité et de la famille lors d’un double référendum retentissant

Par Paul Bennett — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : v.ivash/Frepik

11 mars 2024, Dublin (LifeSiteNews) — La fin de semaine de la fête des mères en Irlande, le public a rejeté massivement les propositions d’amendement de la Constitution irlandaise visant à redéfinir la famille, le mariage et la maternité.

À l’issue de ce scrutin historique, les électeurs ont rejeté massivement, à 67,7 %, le référendum sur la famille qui proposait d’élargir la définition de la famille pour y inclure les relations extraconjugales « durables », et à 73,9 % le référendum sur les soins, qui proposait de réécrire une partie de la Constitution de la nation dans un langage neutre du point de vue du genre. Le résultat du référendum sur le rôle de la femme au foyer représente le pourcentage le plus élevé de « non » de tous les référendums organisés en Irlande. Le comté de Donegal a enregistré le plus grand nombre de votes négatifs dans tout le pays, plus de 80 % des électeurs rejetant les amendements du gouvernement. Le taux de participation au double référendum a été de 44 %.

Maria Steen, qui a joué un rôle central dans les débats sur le référendum, a réagi à l’énorme victoire en déclarant à Gript News que la victoire du référendum était le « meilleur cadeau de fête des mères qui soit ».

Le résultat sans appel du double référendum a mis en lumière l’énorme décalage entre le gouvernement irlandais et la population.

Sur X (Twitter), le sénateur Ronan Mullen a averti le gouvernement qu’il devait « cesser de jouer à des jeux idéologiques » et qu’il devait « appuyer sur le bouton pause de ses politiques de guerre culturelle ».

Le 8 mars, les électeurs irlandais ont été invités à modifier des articles clés de la Constitution irlandaise de 1937 sur les questions de la famille et des soins dans le cadre d’un double référendum.

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