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Un reportage de Radio-Canada peu flatteur pour les pratiques de « transitions »

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : StockPhotoPro/Adobe Stock

7 mars 2024 (LifeSiteNews) — La branche francophone du radiodiffuseur public canadien a publié un rapport d’enquête sur les enfants « en transition », employant une actrice de 14 ans se faisant passer pour une patiente — elle s’est vu prescrire de la testostérone après seulement neuf minutes de consultation !

Le 29 février, Radio-Canada a publié un documentaire montrant qu’une actrice se faisant passer pour une patiente de 14 ans dans une « clinique du genre » privée au Québec s’est vu prescrire de la testostérone et conseiller des interventions chirurgicales mutilantes qui changeront sa vie, au cours d’une consultation qui n’a duré que neuf maigres minutes.

La femme médecin anonyme a demandé à l’actrice incarnant Sacha, une patiente de 14 ans souffrant d’un trouble du genre qui se présentait à son premier rendez-vous de consultation de « genre » sans l’intervention de ses parents, de lui dire, au fond d’elle-même, depuis quand elle savait qu’elle n’était pas dans le corps qui lui convenait.

L’actrice, qui se fait passer pour Sacha, a expliqué au médecin qu’elle s’était fait vomir à l’âge de 12 ans, après quoi sa mère l’avait emmenée voir un psychologue qui lui avait dit qu’elle souffrait d’un trouble du comportement alimentaire.

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« Je me suis dit qu’il ne pouvait pas s’agir de troubles alimentaires. Cela n’avait pas de sens dans ma tête », a déclaré Sacha au médecin. « Mais à 13 ans, je suis tombée sur une vidéo d’une personne trans [sic] qui parlait de troubles alimentaires, mais en fait c’était parce qu’elle n’était pas dans le bon corps ».

« À ce moment-là, je me suis vraiment reconnue dans cette personne », a-t-elle raconté.

Après seulement cinq minutes, le médecin a demandé à la jeune fille si elle envisageait de subir une intervention chirurgicale, en mentionnant plus particulièrement les mastectomies, c’est-à-dire l’ablation définitive des seins de la jeune fille. L’actrice a répondu « oui ».

« Il existe d’autres interventions chirurgicales », a indiqué le médecin. « Nous avons un utérus en bas, avec des ovaires, qu’il est donc possible d’enlever. C’est quelque chose qui peut provoquer une dysphorie ».

Le médecin a ensuite demandé à Sacha, âgée de 14 ans, si elle souhaitait préserver sa fertilité avant de lui prescrire de la testostérone, qui peut entraîner la stérilité.

« Je comprends que la fertilité c’est peut-être loin pour toi à 14 ans, mais est-ce que tu veux la préserver avant de commencer ? »

« Non, j’ai toujours su que je ne voulais pas d’enfants », a répondu Sacha.

Finalement, après moins de neuf minutes, le médecin a dit à Sacha qu’elle lui prescrirait de la testostérone, malgré l’impact permanent qu’elle peut avoir sur la fertilité et la foule d’autres problèmes de santé qu’elle peut causer.

« La logique veut que je prescrive des hormones aujourd’hui, parce que rien dans ton profil ne m’empêche de te donner des hormones », a expliqué le médecin.

« Je commencerai par une dose. Ce n’est pas une mini-dose. C’est comme une dose intermédiaire entre les adultes et les non binaires, disons », a ajouté le médecin.

« D’accord », a répondu la jeune fille.

« Il n’y a pas de problème. Le meilleur est à venir », promet le médecin.

Lorsque Radio-Canada a interrogé le médecin après le rendez-vous, lui demandant comment une mesure aussi radicale pouvait être prise en si peu de temps, le médecin a répondu : « Une consultation médicale ne s’évalue pas en termes de durée, mais plutôt en termes de qualité de l’échange d’informations ».

Selon Radio-Canada, les délais d’attente pour entrer dans les cliniques de « transition » de genre sont de plus en plus longs. Par conséquent, certains se tournent vers des cliniques privées qui peuvent fournir des lettres de recommandation pour l’hormonothérapie après une ou deux séances. Ces séances coûtent entre 115 et 120 dollars.

Chris Elston, un éminent défenseur canadien des droits parentaux connu sous le nom de « Billboard Chris », a réagi sur X au documentaire en déclarant à Radio-Canada : « Ce médecin doit faire l’objet d’une enquête du Collège des médecins du Québec. Comment puis-je trouver son nom ? »

« Incroyable », a répondu Elon Musk, magnat de la technologie et défenseur de la liberté d’expression, en réponse au message de M. Elston.

Le documentaire est devenu viral en ligne la semaine même où des fuites de communications internes montrent que les médecins qui offrent des soins dits « d’affirmation du genre » savent que les hormones transgenres provoquent des maladies graves, y compris le cancer.

Lundi, le journaliste Michael Shellenberger a publié des documents internes de la World Professional Association for Transgender Health (WPATH), qui « est considérée comme la principale autorité mondiale » dans le domaine de la médecine dite « de genre », bien qu’il s’agisse d’un groupe d’activistes LGBT.

Les « DOSSIERS WPATH » comprennent des courriels et des messages issus d’un forum de discussion interne entre médecins, ainsi que des déclarations issues d’un appel vidéo entre membres de la WPATH. Les dossiers révèlent que les médecins travaillant pour la WPATH savent que les soi-disant « soins d’affirmation du genre » peuvent causer de graves maladies mentales et physiques et qu’il est impossible pour les mineurs de donner un « consentement éclairé » à ces soins.

Comme LifeSiteNews l’a déjà noté, la recherche ne soutient pas les affirmations des activistes transgenres selon lesquelles l’intervention chirurgicale ou pharmaceutique pour « affirmer » la confusion est un « soin médical nécessaire » ou qu’elle est utile pour prévenir les suicides des personnes confuses du genre.

En fait, outre l’affirmation d’une fausse réalité selon laquelle il est possible de changer de sexe, les chirurgies et les médicaments transgenres ont été associés à des dommages physiques et psychologiques permanents, notamment des maladies cardiovasculaires, une perte de densité osseuse, des cancers, des accidents vasculaires cérébraux et des caillots sanguins, l’infertilité et la tendance au suicide.  

 Il existe également des preuves irréfutables que les personnes qui subissent une « transition de genre » sont plus susceptibles de se suicider que celles qui ne subissent pas d’intervention chirurgicale irréversible. Une étude suédoise a révélé que le risque de suicide était 19,2 fois plus élevé chez les personnes ayant subi une opération de « réassignation sexuelle ». 

En effet, il est prouvé que l’approche la plus aimante et la plus utile à l’égard des personnes qui pensent être d’un autre sexe n’est pas de les conforter dans leur confusion, mais de leur montrer la vérité. 

Une nouvelle étude sur les effets secondaires des opérations de « changement de sexe » pour les transgenres a révélé que 81 % des personnes ayant subi une opération de « changement de sexe » au cours des cinq dernières années ont déclaré avoir ressenti des douleurs simplement en se déplaçant normalement dans les semaines et les mois qui ont suivi — et que de nombreux autres effets secondaires se sont également manifestés.

En outre, LifeSiteNews a compilé une liste de professions médicales et d’experts qui mettent en garde contre les chirurgies transgenres, avertissant de changements irréversibles et d’effets secondaires à vie.



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