DeSantis interdit les mutilations transgenres sur les enfants
Ron DeSantis, gouverneur de Floride.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : State of Florida/Wikimedia Commons
17 mai 2023, Tampa, Floride (LifeSiteNews) — Le gouverneur républicain de Floride et candidat probable à la présidence, Ron DeSantis, a officiellement interdit les opérations mutilantes et les produits transgenres pour les mineurs dans le cadre d’un vaste paquet législatif visant à protéger les enfants de Floride de l’idéologie transgenre.
N’hésitant pas à s’immiscer dans les questions de guerre culturelle, M. DeSantis a choisi de signer les projets de loi à l’occasion de la « Journée internationale contre l’homophobie, la biphobie et la transphobie ».
« La Floride est fière de montrer la voie en défendant nos enfants », a déclaré M. DeSantis dans un communiqué de presse publié mercredi. « Alors que le monde devient fou, la Floride représente un refuge de santé d’esprit et une citadelle de normalité ».
Inclus dans le paquet législatif « Let Kids Be Kids », le projet de loi 254 du Sénat interdira explicitement les opérations transgenres destructrices et les produits expérimentaux, y compris les bloqueurs de puberté et les hormones de sexe opposé, pour toute personne âgée de moins de 18 ans. La loi codifiera le vote du conseil de médecine de Floride, en octobre, visant à interdire ces médicaments et ces opérations aux mineurs.
Lire la suiteAvec ma signature, la Floride interdit définitivement les procédures chirurgicales de mutilation génitale et les bloqueurs de puberté expérimentaux pour les mineurs.
Les mineurs soumis à ces procédures sans leur consentement pourront désormais obtenir des dommages-intérêts en cas de lésions permanentes ou de décès causés par ces expériences médicales.
— Ron DeSantis (@GovRonDeSantis) 17 mai 2023
La plupart des États républicains s’attaquent à l’horrible crise de mutilation des jeunes « transgenres » aux États-Unis
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Jacob Lund/Adobe Stock
5 mai 2023 (LifeSiteNews) — Les États dirigés par des républicains s’opposent au mouvement LGBT radical avec une vague de nouvelles lois limitant les opérations et les produits transgenres, dévastateurs pour les enfants.
2023 a été une année décisive dans la lutte contre l’idéologie LGBT et le grave danger qu’elle représente pour les enfants. Depuis janvier, 14 États ont approuvé des lois interdisant ou limitant les « transitions de genre » pour les mineurs, dont la popularité a explosé ces dernières années avec la montée en puissance de la confusion quant au genre chez les jeunes.
Ces États sont l’Arkansas, la Géorgie, l’Idaho, l’Indiana, l’Iowa, le Kentucky, le Mississippi, le Montana, le Dakota du Nord, l’Oklahoma, le Dakota du Sud, le Tennessee, l’Utah et la Virginie-Occidentale.
Des restrictions sont également entrées en vigueur en Floride, où l’administration du gouverneur Ron DeSantis a interdit ces pratiques par l’intermédiaire des conseils médicaux de Floride. Dans le Missouri, le procureur général Andrew Bailey a publié en avril un règlement qui limiterait fortement les opérations chirurgicales et les produits destinés aux transgenres, tant pour les enfants que pour les adultes, mais un juge l’a temporairement bloqué.
En Floride, au Missouri et dans quatre autres États, des projets de loi interdisant les « transitions de genre » chez les mineurs ont été adoptés par au moins une chambre législative cette année. Des lois similaires sont en cours d’élaboration en Louisiane, au Nebraska, en Ohio et en Caroline du Sud.
L’Alabama, l’Arizona, l’Arkansas, le Tennessee et le Texas ont déjà adopté des lois ou des décrets limitant ces procédures.
Lire la suiteScandale autour d’une clinique de genre opérant des transitions pour enfants aux États-Unis
Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info) — Photo : standret/Adobe Stock
Dans le deuxième volet d’une enquête en trois parties exposant l’industrie transgenre, enquête réalisée par Project Veritas, il a été révélé qu’une clinique de genre du New Jersey et une pharmacie de Houston, au Texas, étaient apparemment disposées à entamer des procédures de transition de genre pour les très jeunes enfants et les immigrés illégaux sans papiers.
Dans le premier volet de l’enquête, des journalistes infiltrés avaient découvert que les cliniques de genre voyaient des patients âgés d’à peine huit ou neuf ans. Le reportage montre un médecin déclarant à un journaliste infiltré de Veritas que son centre de genre pourrait prescrire des médicaments bloquant la puberté à un enfant de 10 ans.
Le dernier reportage vidéo, publié jeudi, porte principalement sur le Babs Siperstein PROUD Center du New Jersey à Somerville.
« Cette enquête de Project Veritas révèle une activité en plein essor de chirurgies transgenres, d’hormones et de bloqueurs de puberté pour les enfants mineurs en passe de devenir une industrie d’un milliard de dollars par an », déclare un journaliste de Veritas au début de la vidéo.
Des employés du Babs Siperstein PROUD Center ont déclaré à des journalistes infiltrés qu’ils avaient vu des patients dès l’âge de huit ans et qu’ils prescrivaient des hormones à un adolescent sans papiers.
« Donc, le plus jeune que nous ayons vu venir ici et qui sait qu’il est trans, a huit ou neuf ans », a déclaré Ashley Isaiah Harris, qui s’occupe de la santé LGBTQIA +.
Les journalistes ont également demandé si le centre recevrait des mineurs qui se trouvaient illégalement dans le pays et n’avaient « pas de papiers, de parents ou d’assurance ».
Lire la suiteL’Indiana rejoint la vague d’États républicains interdisant le « changement de sexe » des enfants
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : LumineImages/Adobe Stock
6 avril 2023, Indianapolis (LifeSiteNews) — Le gouverneur de l’Indiana a signé une loi visant à protéger les enfants souffrant de confusion sexuelle contre les médicaments et les opérations chirurgicales irréversibles.
Mercredi, le gouverneur républicain Eric Holcomb a signé un projet de loi qui interdit aux professionnels de la santé de distribuer des bloqueurs de puberté et des hormones du sexe opposé, ainsi que de pratiquer des opérations chirurgicales de « transition de genre » pour les citoyens âgés de moins de 18 ans.
M. Holcomb, qui avait déjà opposé son veto à des lois pro-famille, a signé le projet de loi à contrecœur, après l’avoir critiqué.
« Un médecin ou un autre praticien ne peut pas aider ou encourager un autre médecin praticien à fournir des procédures de transition de genre à un mineur », stipule le projet de loi SB 480. « Cet article n’interdit pas à un médecin ou à un autre praticien de fournir des services à des personnes nées avec un trouble du développement sexuel médicalement vérifiable ».
Les médicaments interdits comprennent l’œstrogène, la testostérone et la progestérone qui sont « administrés à un individu dans une quantité supérieure à celle qui serait normalement produite de manière endogène chez un individu sain de l’âge et du sexe de cet individu ».
Les « procédures de transition de genre » comprennent « les services d’un médecin, les services d’un praticien, les services hospitaliers et ambulatoires, ou les médicaments prescrits liés à la transition de genre ». Dans ce cadre, tout médicament ou toute procédure visant à « modifier ou supprimer des caractéristiques physiques ou anatomiques typiques du sexe de l’individu » ou à « créer... des caractéristiques qui ressemblent à un sexe différent du sexe de l’individu » sont strictement interdits.
Lire la suiteUne éminente chercheuse sur les « transgenres » fait volte-face et soutient désormais les « détransitionneurs »
Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pormezz/Adobe Stock
16 mars 2023 (LifeSiteNews) — Une éminente chercheuse pro-LGBT et professeur « trans » dans une université canadienne a déclaré qu’elle avait changé de position et qu’elle appelait à plus de soutien pour ceux qui cherchent à inverser les effets de leurs prétendues procédures de « réassignation de genre ».
« Kinnon » MacKinnon, professeur adjoint de travail social à l’université York de Toronto et femme biologique* qui a « transité » en homme, est une chercheuse bien connue sur la question des « détransitionneurs ». Bien qu’elle ait nié par le passé la pertinence d’une telle question, MacKinnon plaide aujourd’hui en faveur d’une meilleure prise en charge des personnes en détransition et appelle les experts à prendre la question plus au sérieux.
« Il est très important de comprendre cette expérience », a déclaré MacKinnon lors d’un symposium sur la détransition organisé par l’Université York le 21 novembre. « Le modèle actuel de soins liés au genre doit vraiment s’adapter afin de reconnaître et de répondre aux besoins des personnes qui “détransitionnent” ».
Au cours du symposium, MacKinnon a déclaré que les professionnels de la santé doivent commencer à se pencher sérieusement à la question des détransitionnistes, que le nombre de ceux qui cherchent à obtenir des soins soit grand ou petit.
« La détransition est complexe et souvent source d’isolement », a-t-elle déclaré. « Les gens peuvent perdre le soutien de leur communauté. Certains peuvent éprouver de la méfiance à l’égard des prestataires de soins de santé... et aussi de la peine ou du deuil pour les changements permanents apportés à leur corps par les interventions d’affirmation du genre ».
Si MacKinnon défend aujourd’hui la cause des personnes qui inversent leur processus de « réassignation sexuelle », elle n’a pas toujours eu les mêmes convictions.
Dans un entretien avec Reuters, Mme MacKinnon a déclaré qu’elle n’avait pas toujours pensé que la détransition était un problème. Elle a déclaré qu’elle croyait auparavant que ceux qui choisissaient d’inverser le processus de « transition » le faisaient uniquement en raison d’un manque de soutien, et qu’en écoutant une présentation universitaire sur les détransitionnistes en 2017, elle s’était dit « Cela n’arrive même pas vraiment » et « nous ne sommes pas censés en parler ».
Cependant, depuis ce temps, MacKinnon a connu un changement de cœur, réalisant que les détransitionneurs ont besoin d’aide, mais que beaucoup de gens ont peur de les soutenir.
Lire la suiteLe Tennessee interdit les spectacles de travestis et les « transitions de genre » pour les enfants
Le gouverneur du Tennessee, Bill Lee.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : WBIR Channel 10/YouTube
6 mars 2023, Nashville (LifeSiteNews) — Le gouverneur républicain du Tennessee, Bill Lee, a signé la semaine dernière une loi interdisant les spectacles de drag queens sexuellement explicites pour les mineurs et une loi interdisant les opérations chirurgicales et les médicaments transgenres destinés aux mineurs.
Les deux projets de loi, SB 1 et SB 3, ont été signés jeudi 2 mars, alors que les parents de l’« État des Volontaires » (devise du Tennessee) s’inquiètent de plus en plus de la sexualisation des enfants par les obscénités des spectacles de drag-queens qui ciblent des mineurs innocents dans les écoles et les bibliothèques publiques, ainsi que de la mutilation irréversible de certaines parties du corps et de la castration chimique qu’impliquent les opérations « trans » et les bloqueurs de puberté. Ces lois entreront en vigueur le 1er juillet.
La loi contre les spectacles de travestis pour mineurs, SB 3, interdit l’exposition des mineurs à tous les « spectacles de cabaret pour adultes », tels que « les danseuses sans haut, les danseurs et danseuses érotiques (go-go) ou exotiques, les strip-teaseurs et strip-teaseuses, les imitateurs masculins ou féminins qui offrent un divertissement qui incite à la luxure ». La loi ajoute des termes supplémentaires à une loi existante créant une zone tampon de 300 mètres entre tous ces spectacles et les biens publics, les écoles, les parcs publics et les lieux de culte d’où des mineurs pourraient potentiellement les regarder. La première infraction sera considérée comme un délit, tandis que les infractions suivantes seront considérées comme des crimes.
La mesure interdisant les spectacles de travestis pour mineurs avait été adoptée à une écrasante majorité par la Chambre du Tennessee lors d’un vote de 74 voix contre 19 à la fin du mois de février. En signant la loi, le gouverneur conservateur a déclaré qu’elle visait à empêcher les enfants d’être « potentiellement exposés à des divertissements sexualisés, à l’obscénité ».
Lire la suiteUne Ontarienne « détransitionnée » poursuit les médecins qui l’ont amputée de ses seins et de son utérus
Michelle Zacchigna.
Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Post Millennial Live/Rumble
22 février 2023, Orillia, Ontario (LifeSiteNews) — Une Canadienne qui regrette ses opérations de prétendues « réassignation de genre » poursuit maintenant les professionnels de la santé impliqués dans son processus de « transition ».
Michelle Zacchigna, 34 ans, d’Orillia, en Ontario, qui a subi un traitement hormonal et des opérations chirurgicales il y a plus de dix ans afin d’apparaître comme un homme, a lancé le tout premier procès canadien de dé-transition, poursuivant les huit médecins et « experts en santé mentale » qui l’ont accompagnée dans ce processus d’automutilation.
« Je tiens cette carte près de ma poitrine depuis un moment, et je suis prête à la montrer », écrivit Zacchigna mardi sur Twitter. « En novembre 2022, j’ai entamé une action en justice contre les prestataires de soins de santé canadiens qui ont facilité ma transition médicale en Ontario. »
Cela fait un moment que je garde cette carte près de ma poitrine, et je suis prête à la montrer. En novembre 2022, j’ai entamé une action en justice contre les fournisseurs de soins de santé canadiens qui ont facilité ma transition médicale en Ontario.
– Michelle (@somenuancepls) 21 février 2023
« Je vivrai le reste de ma vie sans seins, avec une voix grave et une calvitie de type masculin, et sans la capacité de devenir enceinte », a-t-elle déclaré.
« L’ablation de mon utérus entièrement sain est mon plus grand regret », a déploré Mme Zacchigna.
Dans une déclaration, Zacchigna a expliqué qu’elle a pensé pour la première fois à la transition en 2009, alors qu’elle n’avait que 21 ans. Dépressive, anxieuse et autodestructrice, elle a trouvé une communauté en ligne où elle s’est enfin sentie chez elle.
« En ligne, j’ai été aspirée dans un monde où j’avais l’impression d’être enfin à ma place », se souvient-elle. « Dans des endroits comme Tumblr, on me rassurait constamment en me disant que seules les personnes trans passent autant de temps à penser à leur genre (ce qui n’est pas vrai en réalité) et que chaque personne trans a des doutes sur sa transition. »
Lire la suiteUne mère a arrêté la « transition » de ses deux jeunes fils, comprenant les torts qu’ils encouraient
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Adobe Stock
7 février 2023 (LifeSiteNews) — Une mère de deux garçons qui se décrit comme une « guerrière de la justice sociale » a déclaré qu’elle a cessé d’affirmer les identités « transgenres » supposées de ses fils après avoir réalisé que l’idéologie transgenre est un « culte ».
L’ancienne « vraie croyante » progressiste, qui partage la garde de ses fils avec une autre femme, a déclaré que les garçons s’épanouissent maintenant qu’elle a réalisé qu’elle devait les élever en fonction de leur véritable identité biologique.
Cette mère, identifiée seulement sous le nom de « Rose », a fait ces déclarations dans un suivi du 6 février2023, d’un article du 20 août 2022 intitulé « True Believer », tous deux publiés sur le site Substack Parents with Inconvenient Truths about Trans (PITT).
Dans son premier essai, Rose disait avoir plongé dans l’idéologie progressiste, se décrivant comme « une organisatrice et une animatrice de la justice sociale avant que la justice sociale n’envahisse le monde ».
Elle a « fait son coming out en tant que lesbienne et s’est identifiée comme queer », puis a « entamé une relation engagée avec [sa] conjointe », une autre femme. Ensemble, elles ont eu deux fils [il n’est pas précisé comment]*.
« Nous avons élevé nos deux fils de la manière la plus neutre possible, avec des vêtements, des jouets et un langage non sexistes », écrit Rose. « Alors que nous utilisions les pronoms il/le et que d’autres personnes dans leur vie les appelaient garçons, nous ne les appelions pas garçons, ni même ne leur disions qu’ils étaient des garçons. Nous avons rendu tout le langage neutre en termes de genre. »
Lire la suiteLa Suède freine les « transition » chez les mineurs
Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info) — Photo : Pezibear/Pixabay
Les autorités sanitaires suédoises ont radicalement changé leur politique sur le changement de sexe chez les mineurs, considérant que l’hormonothérapie chez les enfants et les adolescents a de graves effets secondaires.
La Suède, qui en 1972 a été le premier pays au monde à autoriser le changement de sexe légal, est également devenue le premier pays d’Europe, en l’an 2000, à proposer des tests d’identité de genre aux mineurs pour un éventuel traitement médical complémentaire. Mais les autorités sanitaires suédoises ont récemment radicalement changé leur point de vue sur le sujet, considérant que l’hormonothérapie chez les enfants et les adolescents qui souhaitent changer de sexe a une série d’effets secondaires potentiellement graves. Pour cette raison, les autorités suédoises ont adopté une nouvelle ligne de « prudence » très restrictive en ce qui concerne les traitements pour les mineurs considérés trans. Au point que, dans la pratique, ces pratiques sont stoppées, y compris des mastectomies, sauf cas exceptionnel.
Les spécialistes de l’hôpital Karolinska Institutet de Stockholm, le plus grand du pays, ont été les premiers à suspendre l’hormonothérapie pour les mineurs atteints de dysphorie de genre, la jugeant controversée et risquée. Selon les nouvelles analyses établies par les autorités sanitaires, le traitement peut entraîner des effets secondaires tels que le cancer, les maladies cardiovasculaires, l’ostéoporose et l’infertilité.
Jusqu’en 2021, environ 700 enfants et adolescents ont subi des traitements hormonaux en Suède. Entre 2008 et 2018, le nombre de cas de changement de sexe a augmenté de plus de 1 000 %, en particulier chez les filles âgées de 13 à 17 ans.
Lire la suiteL’Utah interdit les « transitions de genre » pour les mineurs et limite les bloqueurs de puberté
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Natali/Adobe Stock
30 janvier 2023, Salt Lake City (LifeSiteNews) — Le gouverneur de l’Utah a signé la semaine dernière un projet de loi qui empêche réellement les mineurs souffrant de confusion de genre d’accéder à des opérations mutilantes et aux bloqueurs de puberté et hormones transsexuelles.
Le gouverneur républicain Spencer Cox, qui soutient ouvertement le programme LGBT, a signé la loi SB 16, qui protège les mineurs victimes du mensonge selon lequel ils peuvent « passer » au sexe opposé.
Le projet de loi, intitulé « Transgender [sic] Medical Treatments and Procedures Amendments », a été parrainé par le sénateur républicain Michael Kennedy et prend effet immédiatement.
Le SB 16 « interdit à un prestataire de soins de santé de fournir un traitement hormonal transgenre [sic] à de nouveaux patients qui n’ont pas reçu de diagnostic de dysphorie de genre avant une certaine date » et « interdit de pratiquer des procédures chirurgicales portant sur les caractéristiques sexuelles d’un mineur dans le but d’effectuer un changement de sexe [sic] ». La loi impose un moratoire indéfini sur les médicaments hormonaux.
Les personnes « peuvent intenter une action pour faute professionnelle médicale » en réponse à des procédures qui altèrent leur vie et « désavouer leur consentement » aux opérations chirurgicales et aux hormones mutilantes.
La législation insiste également pour qu’un « examen systématique des preuves médicales concernant les traitements hormonaux des transsexuels » soit effectué par le ministère de la Santé et des Services sociaux afin de proposer d’autres « recommandations à la législature ».
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