Transition secrète de genre pour les enfants en Ontario
Siège du York Catholic District School Board.
Par David Cooke (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rossipedia/Wikimedia Commons
Pouvez-vous imaginer que des enseignants cachent à une mère que sa fille de 11 ans subit une transition secrète à l’école et qu’elle est traitée comme un garçon ? Pouvez-vous imaginer que des enseignants et des médecins — à l’insu des parents et sans leur consentement — encouragent cette jeune fille impressionnable à adopter de faux pronoms, à prendre un nom de garçon, à porter de douloureux « cache-seins » et à envisager une thérapie hormonale artificielle ? Et puis, pouvez-vous imaginer, lorsque la mère finit par l’apprendre, qu’au lieu de s’excuser l’école la signale à l’Aide à l’enfance avec la menace implicite qu’elle pourrait perdre son enfant en raison de ses objections ?
J’aimerais que ce ne soit pas le cas, mais il ne s’agit pas d’un conte dystopique imaginaire. C’est le pire cauchemar d’un parent qui se réalise. Comme l’ont récemment rapporté les médias nationaux, ces événements effroyables se sont produits en 2022 dans une école catholique de la région de York !
Le Catéchisme de l’Église catholique (n° 2393) affirme : « En créant l’être humain homme et femme, Dieu donne la dignité personnelle d’une manière égale à l’un et à l’autre. Il revient à chacun, homme et femme, de reconnaître et d’accepter son identité sexuelle ». Comme l’a enseigné Jésus, « Dieu les fit homme et femme ». (Marc 10,6). En d’autres termes, nous devons tous accepter qui nous sommes, dans le corps que Dieu nous a donné — hommes et femmes, garçons et filles. Le transgenrisme est en fait un mensonge. Mais cette école catholique de la région de York a décidé de rompre avec l’enseignement catholique, avec la Parole de Dieu, et de suivre la mode de l’idéologie transgenre !
Lire la suiteUn juge approuve les poursuites engagées contre les médecins qui ont « fait changer de sexe » une jeune fille en difficulté à l’âge de 17 ans
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sergign/Adobe Stock
30 mai 2024 (LifeSiteNews) — Un juge de Caroline du Nord a décidé que le procès d’une femme de 25 ans, contre les médecins qui l’ont « fait changer de sexe » alors qu’elle était adolescente, peut avoir lieu, ouvrant la porte à un précédent potentiellement transformateur pour l’établissement médical américain.
Le Washington Examiner rapporte que Prisha Mosley a été incitée à « transitionner » à l’âge de 16 ans pour faire face aux graves problèmes mentaux dont elle souffrait à l’époque. « À l’âge de 16 ans, on m’a diagnostiqué un trouble dépressif majeur, un trouble obsessionnel compulsif et un trouble de l’alimentation », explique-t-elle. « Je me suis automutilée en me coupant, ce qui est devenu si grave que j’ai été emmenée aux urgences ».
Sur les conseils des médecins, elle a commencé à prendre des injections importantes de testostérone et a subi une ablation chirurgicale des seins. Mais le fait de se transformer pour ressembler à un garçon n’a fait qu’aggraver ses souffrances.
« Ma voix a changé de façon permanente ; je ne suis plus capable d’élever ma voix et de chanter, ce que j’aimais faire auparavant », explique Mme Mosley. « J’ai ressenti de fortes douleurs dans les épaules, le cou et la région génitale. Je ne sais pas si je pourrai concevoir et donner naissance à un enfant. À la suite de l’opération mammaire, je dois vivre sans mes seins et je ne pourrai pas allaiter d’enfant, si toutefois je parviens à en concevoir un. J’ai des douleurs dans la poitrine à l’endroit où se trouvaient mes seins ».
Lire la suiteNouvelle étude : les personnes qui subissent une opération de transition ont 12 fois plus de risques de se suicider
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Martin Barraud/Caia Image/Adobe Stock
23 mai 2024 (LifeSiteNews) — Une nouvelle étude complète fournit les preuves sans équivoque que ceux qui subissent une chirurgie dite de « réassignation de genre » s’exposent à un risque de suicide considérablement accru — un risque stupéfiant 12 fois supérieur à celui de la population générale.
L’étud de grande envergure, « impliquant 56 organismes de santé américains et plus de 90 millions de patients », a analysé les données recueillies sur une période de 20 ans, de février 2003 à février 2023, en examinant « les tentatives de suicide, les décès, les automutilations et les troubles de stress post-traumatique (TSPT) dans les cinq ans suivant l’événement index ».
Les chercheurs ont comparé les expériences des personnes âgées de 18 à 60 ans qui se sont rendues aux urgences d’un hôpital et qui avaient subi une opération de « transition » à celles des personnes qui s’étaient rendues aux urgences sans avoir subi d’opération de transition : un pourcentage impressionnant de 3,47 % des personnes ayant subi une opération de « transition » ont été traité pour des tentatives de suicide, contre 0,29 % pour les patients n’ayant pas subi d’opération de « transition ».
Principale conclusion de l’étude : « Les personnes ayant subi une chirurgie d’affirmation du genre [sic] présentaient un risque de tentative de suicide 12,12 fois plus élevé que celles qui n’en avaient pas subi ».
Lire la suiteDes parents d’Ontario dénoncent le fait que les écoles favorisent secrètement la « transition de genre » de leurs enfants
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pressfoto/Freepik
6 mai 2024 (LifeSiteNews) — Des parents de l’Ontario ont condamné les politiques scolaires pro-LGBT qui ont conduit les enseignants ne pas divulguer d’informations sur le désir de leurs enfants d’effectuer une « transition » de genre.
Selon un article publié le 30 avril par le National Post, de nombreux parents ontariens ont révélé que les écoles publiques ne demandaient pas le consentement des parents avant de procéder à la « transition de genre » sociale de leurs enfants, ce qui a eu pour effet de déchirer les relations parents-enfants.
« Je pense que les enseignants et les parents devraient être sur la même longueur d’onde et devraient communiquer davantage, et non moins, sur tout ce qui concerne l’enfant », a déclaré une mère. « C’est dommageable pour l’enfant. Je pense que c’est préjudiciable à la structure familiale ».
Dans un cas, les parents n’ont appris que leur fille Claire, âgée de 14 ans, avait subi une « transition sociale » — terme utilisé pour décrire le fait qu’une personne confuse sur le plan du genre commence à utiliser un nom et des pronoms différents — à l’école, lorsqu’un rapport scolaire de Noël a désigné la jeune fille sous le nom de « Carl ».
« Carl se débrouille très bien », avait écrit un enseignant dans un rapport de fin d’année.
« Mon mari et moi nous sommes regardés », se souvient Robin, et avons demandé « Qui est Carl ? ».
Lire la suiteL’Alberta soutient la Saskatchewan dans sa bataille juridique pour défendre l’autorité parentale face aux « changements de pronoms »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
11 avril 2024, Alberta (LifeSiteNews) — L’Alberta a annoncé son soutien à la politique de la Saskatchewan exigeant le consentement parental lorsque les enfants veulent utiliser des pronoms différents à l’école, au milieu d’un procès intenté contre cette politique par un groupe d’activistes LGBT.
Le 9 avril, Mickey Amery, ministre de la Justice et procureur général de l’Alberta, et Bronwyn Eyre, ministre de la Justice et procureur général de la Saskatchewan, ont révélé que l’Alberta interviendrait dans le procès où est contestée la Loi des droits des parents de la Saskatchewan, la nouvelle loi pro-famille de cette province.
« La Saskatchewan et l’Alberta conviennent que les figures clés dans la vie des enfants sont leurs parents, et nos provinces sont toutes deux déterminées à soutenir les familles et les enfants afin qu’ils puissent faire face ensemble à leurs besoins uniques », peut-on lire dans la déclaration commune.
« Le fait d’informer les parents et d’exiger leur consentement avant que le nom ou les pronoms d’un enfant puissent être changés à l’école, et avant que des discussions en classe sur l’identité de genre et d’autres sujets sensibles aient lieu, garantit que la relation parent-enfant est respectée et primordiale », poursuit la déclaration.
La politique relative aux pronoms n’est qu’une partie des nouvelles « politiques d’inclusion et de consentement parental » de la Saskatchewan, qui comprennent également des dispositions garantissant que les parents sont autorisés à exclure leurs enfants des cours d’éducation sexuelle et que les présentations par des tiers de groupes tels que Planned Parenthood seront interdites.
Lire la suiteJustin Trudeau promeut sans vergogne la « Journée de la visibilité des transgenres » le dimanche de Pâques
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
2 avril 2024 (LifeSiteNews) — 2023 a vu surgir la première réaction significative à l’idéologie du genre au Canada, des manifestations à grande échelle dans les principales villes canadiennes et des politiques pour les droits parentaux menées par des premiers ministres.
Au début de l’année, le premier ministre de l’Alberta, Danielle Smith, a poussé cette opposition encore plus loin en annonçant un projet de loi interdisant les bloqueurs de puberté et les chirurgies de « changement de sexe » pour les mineurs. On peut supposer que d’autres politiciens canadiens attendent de voir si la politique de Mme Smith aboutira — le chef du parti conservateur fédéral, Pierre Poilievre, a déclaré qu’il s’opposait à de tels « traitements ».
Bien que les politiques de Mme Smith reflètent un consensus croissant — au Royaume-Uni, le Service national de santé vient d’interdire la prescription de bloqueurs de puberté aux enfants en dehors des essais cliniques — les élites canadiennes ont réagi avec férocité. Le dimanche de Pâques, le premier ministre Justin Trudeau a publié cette déclaration sur les réseaux sociaux :
Un message à tous les Canadiens transgenres en ce jour de visibilité transgenre : Vous comptez. Vous avez votre place. Et c’est grâce à vos revendications que nous avons adopté des lois pour rendre notre pays plus inclusif, qu’il s’agisse d’interdire les thérapies de conversion ou de renforcer les protections contre la haine envers les trans. Alors, merci. Merci d’être authentique et d’aider à construire un monde où chacun peut se sentir en sécurité et fier d’être aussi.
Megan Murphy, une militante canadienne, a répondu : « Être son “moi authentique” ne devrait pas nécessiter des bloqueurs de puberté, des traitements hormonaux et des interventions chirurgicales expérimentales, nocives et inutiles. Ce que vous appelez “thérapie de conversion” consiste en fait à “laisser les enfants être eux-mêmes” et à “ne pas détruire leur corps pour la vie alors qu’ils sont mineurs et ne comprennent pas les effets à long terme de ces médicaments”. » La plupart des commentaires sous l’article de Trudeau vont dans le même sens.
Lire la suiteUne journaliste de Radio-Canada défend son reportage sur les « cliniques du genre » pour enfants « en transition »
Pasquale Turbide à l'émission Tout le monde en parle.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tout le monde en parle/Radio-Canada
18 mars 2024 (LifeSiteNews) — Une journaliste de Radio-Canada défend son rapport d’enquête qui a révélé qu’une clinique du « genre » au Québec avait prescrit en moins de dix minutes des hormones potentiellement stérilisantes à une actrice se faisant passer pour une jeune adolescente.
Dans une entrevue accordée le 3 mars à l’émission Tout le monde en parle, Pasquale Turbide, journaliste à Radio-Canada, a révélé que les préoccupations des parents étaient à l’origine de son reportage d’investigation sur la « transition » de genre des enfants, et qu’elle restait fidèle à son travail malgré les réactions négatives.
« C’étaient vraiment des parents qui nous ont écrit. C’était l’été dernier, je me souviens, il commençait à y avoir un petit peu de controverse autour des prénoms, des pronoms, de la question des toilettes mixtes ».
« Mais les lettres qu’on recevait ce n’était pas du tout de ça dont ça parlait. Ça parlait des transitions médicales », explique-t-elle.
Selon Mme Turbide, les parents qui ont contacté Radio-Canada ont révélé que leurs enfants, qui « tout d’un coup » voulaient « être transgenres », se voyaient proposer des « bloqueurs de puberté » stérilisants au nom de soins.
Lire la suiteUn reportage de Radio-Canada peu flatteur pour les pratiques de « transitions »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : StockPhotoPro/Adobe Stock
7 mars 2024 (LifeSiteNews) — La branche francophone du radiodiffuseur public canadien a publié un rapport d’enquête sur les enfants « en transition », employant une actrice de 14 ans se faisant passer pour une patiente — elle s’est vu prescrire de la testostérone après seulement neuf minutes de consultation !
Le 29 février, Radio-Canada a publié un documentaire montrant qu’une actrice se faisant passer pour une patiente de 14 ans dans une « clinique du genre » privée au Québec s’est vu prescrire de la testostérone et conseiller des interventions chirurgicales mutilantes qui changeront sa vie, au cours d’une consultation qui n’a duré que neuf maigres minutes.
La femme médecin anonyme a demandé à l’actrice incarnant Sacha, une patiente de 14 ans souffrant d’un trouble du genre qui se présentait à son premier rendez-vous de consultation de « genre » sans l’intervention de ses parents, de lui dire, au fond d’elle-même, depuis quand elle savait qu’elle n’était pas dans le corps qui lui convenait.
L’actrice, qui se fait passer pour Sacha, a expliqué au médecin qu’elle s’était fait vomir à l’âge de 12 ans, après quoi sa mère l’avait emmenée voir un psychologue qui lui avait dit qu’elle souffrait d’un trouble du comportement alimentaire.
Lire la suiteLa transition du genre ne règle aucun problème chez les mineurs, selon une méta-étude
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Freepik
Quoi qu’en dise la gauche, les interventions hormonales et chirurgicales sur les transgenres ne règlent pas les problèmes de santé mentale des enfants souffrant de dysphorie de genre, révèle une nouvelle évaluation de la littérature scientifique disponible sur le sujet. L’analyse d’une soixantaine d’études par l’American College of Pediatricians l’affirme carrément : « Il n’existe pas d’études à long terme démontrant les avantages ni d’études évaluant les risques associés aux interventions médicales et chirurgicales pratiquées sur ces adolescents. Il n’existe aucune preuve à long terme que les problèmes de santé mentale diminuent ou s’atténuent après une thérapie d’affirmation du genre. » Avant comme après la thérapie, les jeunes concernés, dont l’« identité de genre » ne correspondrait pas au sexe dit « biologique », présentent un risque plus élevé de psychopathologie que ceux ne souffrant pas de cette discordance. Le traitement ne change rien à leur mal-être, en somme…
L’étude note une véritable explosion du nombre de jeunes qui se disent eux-mêmes « bisexuels, gays ou en questionnement », en se fondant sur les statistiques des Centers for Disease Control : le pourcentage est passé de 11 % en 2015 à plus du double (25 %) en 2021. Parmi ceux-ci, les mineurs diagnostiqués comme souffrant de « dysphorie de genre » sont ceux qui présentent des taux plus élevés de problèmes de santé mentale, allant jusqu’aux tendances suicidaires. L’étude Adolescent Brain Cognitive Development Study a étudié les cas de plus de 11 000 enfants de 9 et 10 ans…
Lire la suiteUn projet de loi de l’Illinois condamnerait les parents qui tentent d’empêcher l’avortement d’une mineure
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Adobe Stock
Un nouveau projet de loi présenté dans l’Illinois suscite l’inquiétude des groupes de défense des droits des parents.
Le projet de loi HB4876, présenté par la députée Anne Stava-Murray, vise à modifier la loi sur le signalement des enfants maltraités et négligés afin d’inclure les enfants à qui l’on refuse les « soins médicaux nécessaires » dans la catégorie des victimes de maltraitance. Si le fait de se voir refuser des soins de santé légitimes constitue en fait une forme de maltraitance, Mme Stava-Murray a inclus l’avortement et les « soins d’affirmation du genre » dans la catégorie des « soins médicaux nécessaires », de sorte que si un parent refuse que son enfant subisse un avortement, il peut être accusé de maltraitance.
Elle réaffirme également que les enfants peuvent consentir à obtenir un avortement ou des « soins d’affirmation du genre » sans avoir besoin de l’approbation d’un parent.
Lire la suiteModifie la loi sur le signalement des enfants maltraités et négligés. Prévoit que l’expression « enfant maltraité » désigne un enfant dont le parent ou un membre de la famille immédiate, ou toute personne responsable du bien-être de l’enfant, ou toute personne résidant dans la même maison que l’enfant, ou un amant du parent de l’enfant refuse à l’enfant l’accès aux soins médicaux nécessaires, y compris, mais sans s’y limiter, les services de soins primaires, les services d’avortement ou les services d’affirmation du genre. Modifie la loi sur le consentement des mineurs aux soins de santé. Précise que le consentement à la prestation de services d’avortement et de services d’affirmation du genre exécuté par un mineur n’est pas annulable en raison de sa minorité. Prévoit qu’un professionnel de la santé fournissant des services d’avortement et des services d’affirmation du genre n’encourt pas de responsabilité civile ou pénale pour défaut d’obtention d’un consentement valable ou de sanction professionnelle pour défaut d’obtention d’un consentement valable si le professionnel de la santé s’est appuyé en toute bonne foi sur les déclarations faites par la personne mineure.