État-Unis : Planned Parenthood tue un nombre « record » annuel de bébés
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hourick/Wikimedia Commons
13 mai 2025 (LifeSiteNews) — Planned Parenthood a tué plus de 400 000 bébés entre 2022 et 2023, selon son dernier rapport annuel.
Le géant de l’avortement a choisi de publier, entre tous les jours, son rapport le lendemain de la fête des Mères.
Le vendeur d’avortements y affirme être une « force d’espoir », en référence à son « espoir » que l’avortement soit plus facilement accessible. « Chaque fois qu’une patiente franchit les portes d’un centre de santé de Planned Parenthood, c’est un acte d’espoir — l’espoir qu’elle recevra les soins dont elle a besoin, que ses décisions concernant son propre corps seront respectées, qu’elle sera vraiment considérée », affirme le groupe.
Le rapport porte sur la période qui suit immédiatement l’infirmation de l’arrêt Roe v. Wade, en juin 2022. Il souligne que Planned Parenthood continue d’engranger l’argent des contribuables tout en se concentrant de plus en plus sur l’avortement.
Lire la suiteUn rapport confirme les dommages « irréversibles » causés par la « transition » de genre chez les enfants
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
1er mai 2025 (LifeSiteNews) — Le ministère américain de la Santé et des Services sociaux a publié le 1er mai un « Examen complet des interventions médicales pour les enfants et les adolescents atteints de dysphorie de genre », il s’agit d’une mise en accusation dévastatrice du soi-disant modèle de « soins d’affirmation du genre » qui a nui à des milliers de mineurs au cours de la dernière décennie.
Selon le résumé, l’étude « met en évidence un nombre croissant de preuves indiquant des risques importants — y compris des préjudices irréversibles tels que l’infertilité — tout en trouvant de très faibles preuves de bénéfices », et que cette « faiblesse a été une constatation constante des examens systématiques des preuves dans le monde entier ». Le président Donald Trump avait déclaré que l’examen serait à venir lorsqu’il a signé le décret « Protéger les enfants des mutilations chimiques et chirurgicales » le 28 janvier.
« Notre devoir est de protéger les enfants de notre pays — et non de les exposer à des interventions médicales non prouvées et irréversibles », a déclaré le Dr Jay Bhattacharya, directeur des NIH. « Nous devons suivre l’étalon-or de la science, et non les agendas des activistes ». Les contributeurs à l’étude représentaient « un large éventail de points de vue politiques » et comprenaient des médecins, des éthiciens médicaux et un méthodologiste.
Lire la suiteMark Carney continuera de soutenir les bloqueurs de puberté stérilisants, « sans exception », même pour les enfants
Mark Carney.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/cpac/YouTube
10 avril 2025, Calgary, Alberta (LifeSiteNews) — Le premier ministre Mark Carney a promis de poursuivre l’héritage libéral en promouvant la fourniture de bloqueurs de puberté stérilisants aux enfants, « sans exception ».
Au cours d’une conférence de presse tenue le 8 avril en Alberta, Carney a réaffirmé sa volonté de promouvoir l’agenda LGBT en s’engageant à protéger le soi-disant « droit fondamental » à des médicaments et à des chirurgies irréversibles pour les Canadiens confus du genre.
« L’accès aux soins de santé est un droit fondamental », a déclaré Carney aux journalistes environ 28 minutes après le début de la conférence de presse.
Les médias ont demandé s’il inclurait les « droits » des LGBT dans la loi canadienne sur la santé, compte tenu de la législation récemment adoptée par l’Alberta, qui empêche les mineurs de prendre des bloqueurs de puberté irréversibles ou de subir des opérations de « réassignation » sexuelle.
Lire la suiteUn ex-transgenre rend gloire au Christ de l’avoir sauvé de l’opération de mutilation sexuelle
Joshua McParland.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : @joshuamcparland/TikTok
24 mars 2025 (LifeSiteNews) — Un autre détransitionneur de premier plan s’est présenté pour expliquer pourquoi il regrette profondément d’avoir eu recours à des « soins d’affirmation du genre » pour obtenir un changement de sexe.
Joshua McParland, de Belfast, a commencé à lutter contre la dysphorie de genre à un très jeune âge. « À l’école primaire, les gens me prenaient pour une fille parce que j’avais une voix aiguë et des cheveux longs », a-t-il expliqué à Good Morning Ulster. « C’est comme ça que la confusion de mon identité s’est installée... parce que j’avais l’air si féminin. Quand on est enfant, on absorbe les opinions des autres comme une éponge ».
McParland a donc décidé de tenter une « transition » vers le sexe féminin et a commencé à prendre des hormones du sexe opposé à l’âge de 17 ans. Selon lui, il a dû faire pression sur sa mère pour obtenir l’autorisation de « transitionner », mais elle l’a finalement soutenu. « En tant que mère, elle voulait simplement m’aimer », a-t-il déclaré. « Je pense qu’à l’adolescence, on croit tout savoir, mais ce n’est pas le cas. Je faisais la fête, je me droguais, je faisais des choses folles ». En janvier 2024, il s’est rendu en Turquie pour se faire poser des implants mammaires afin de mieux « se présenter » en tant que femme.
La mère de McParland le soutient également dans ses efforts pour inverser les changements qu’il a entrepris à l’âge de 17 ans. En février, à peine un an après son voyage en Turquie, il a été opéré pour retirer les implants mammaires qu’il avait achetés. Il a également cessé de prendre des hormones transsexuelles. McParland affirme qu’il reconnaît aujourd’hui qu’il « fuyait » ses problèmes et qu’il n’aurait pas dû essayer de changer de sexe.
Lire la suiteUn jeune Canadien est acquitté des charges criminelles qui pesaient sur lui pour avoir dénoncé les dangers de la chirurgie transgenre
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
10 mars 2025 (LifeSiteNews) — Un jeune Canadien, qui avait protesté contre les dangers de la chirurgie dite de « réassignation de genre » dans son école, a vu les charges criminelles contre lui abandonnées par un juge de la Cour de justice de l’Ontario après un procès de deux jours.
L’étudiant de 18 ans a été inculpé après avoir placé dans son école des affiches comportant un code QR qui renvoyait à une vidéo mettant en garde les personnes confuses quant au genre contre les dangers et les risques graves liés à la chirurgie transgenre.
Lorsque les autorités scolaires ont découvert que les affiches avec les codes QR étaient liées à l’étudiant de 18 ans, après avoir regardé seulement les 15 premières secondes de la vidéo de 14 minutes, elles ont déclaré que le contenu était « haineux » et ont appelé la police. Cela a conduit à une enquête criminelle et à des poursuites.
Selon The Democracy Fund (TDF), qui a aidé l’adolescent en se chargeant de sa défense, son avocat Alan Honner a déclaré que, bien que la vidéo liée au code QR contienne des éléments que certains pourraient considérer comme « offensants », il ne s’agit pas d’un discours de haine.
Lire la suiteUne étude d’Oxford indique que l’opération de transition augmente les taux de dépression et d’idées suicidaires
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik
3 mars 2025 (LifeSiteNews) — Une étude publiée dans l’Oxford Journal of Sexual Medicine a révélé que le fait de subir une chirurgie dite de « changement de sexe », loin de réduire les taux de dépression chez les personnes dysphoriques, augmentait considérablement les taux non seulement de dépression, mais aussi d’anxiété, d’idées suicidaires et de troubles liés à la consommation d’alcool et de drogues.
Les hommes ayant subi une opération transgenre présentaient un taux de dépression de 25,4 %, contre 11,5 % pour ceux qui n’avaient pas subi d’opération. De même, les femmes ayant subi une intervention chirurgicale présentaient un taux de dépression de 22,9 %, contre 14,6 % pour celles qui n’avaient pas subi d’intervention.
L’étude note que les hommes qui subissent des interventions chirurgicales « féminisantes » présentent un risque particulièrement élevé de dépression et de troubles liés à l’utilisation de substances [psychoactives].
« Sur 107 583 patients, des cohortes appariées ont démontré que ceux qui subissaient une intervention chirurgicale présentaient un risque significativement plus élevé de dépression, d’anxiété, d’idées suicidaires et de troubles liés à l’utilisation de substances que ceux qui ne subissaient pas d’intervention chirurgicale », ont constaté les chercheurs.
Plutôt que de conclure que la chirurgie dite « d’affirmation du genre » est une pratique dangereuse et inutile qui devrait être abandonnée parce qu’elle met la vie des patients en danger, les chercheurs suggèrent plutôt que leurs résultats montrent la nécessité « après une chirurgie d’affirmation du genre, d’un soutien à la santé mentale qui soit attentif aux particularités de genre, pour traiter les risques psychologiques post-chirurgicaux ».
Lire la suiteLe président argentin Javier Milei interdit les médicaments et les chirurgies transgenres pour les mineurs
Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : BARLOP/Adobe Stock
6 février 2025 (LifeSiteNews) — Le président argentin Javier Milei a interdit les injections d’hormones et les chirurgies de genre mutilantes pour les mineurs.
Le Buenos Aires Times rapporte que Milei a signé un décret qui modifie la loi sur l’identité de genre du pays pour « interdire les traitements hormonaux et les chirurgies d’adaptation corporelle pour les personnes de moins de 18 ans ».
Le porte-parole de la présidence, Manuel Adorni, a déclaré lors d’une conférence de presse mercredi : « Ces interventions auxquelles les enfants sont exposés constituent un risque grave pour leur santé physique et mentale, car elles impliquent une interruption de leur processus de maturation. »
« Dans l’état actuel des choses, les mineurs qui le souhaitent peuvent subir des traitements et des interventions chirurgicales pour modifier leur corps conformément à la perception qu’ils ont d’eux-mêmes », a déclaré M. Adorni.
En vertu de la loi actuelle sur l’identité de genre, adoptée en 2012, les mineurs doivent généralement obtenir le consentement de leurs parents pour entamer des procédures dites de « changement de sexe ». Toutefois, si l’un des parents s’oppose aux mesures, l’affaire peut être portée devant un tribunal, qui peut passer outre le parent dissident.
Lire la suiteUn chirurgien américain obtient gain de cause après avoir dénoncé des « changements de sexe » sur mineurs
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : ipuwadol/Adobe Stock
L’arrivée de l’ère Trump aura fait son effet : toutes les charges retenues contre le chirurgien lanceur d’alerte, le Dr Eithan Haim, ont été abandonnées. Le ministère de la Justice du nouveau président a déposé, il y a une semaine, une requête pour rejeter l’affaire qui avait été portée par l’administration Biden. Un petit « miracle » selon le mot de Haim !
Le médecin avait en effet osé faire révéler, par un journaliste d’investigation, qu’un hôpital pour enfants effectuait des traitements de transition de genre sur des mineurs alors qu’il avait affirmé ne plus en faire pour se conformer aux lois de son Etat, le Texas. Le chirurgien avait été rapidement poursuivi par le Département de la justice sous divers chefs d’accusation, tous fallacieux, attaqué par une procureur démocrate dépourvue de tout souci de probité. Car on ne dénonce pas impunément une telle infraction et un tel mensonge quand ils servent l’idéologie du genre : il s’en est fallu de peu pour qu’Eithan Haim perde tout.
Le progressisme n’a que faire de la Justice — mais il sait gangrener les institutions pour promouvoir la sienne.
Lire la suiteRFK Jr déclare qu’il mettra fin à l’obligation des médecins de proposer la transition de genre
Robert F. Kennedy Jr.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/YouTube
30 janvier 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Robert F. Kennedy Jr, le candidat du président Donald Trump au poste de secrétaire à la santé et aux services sociaux, a déclaré que, s’il était confirmé, il abolirait le mandat du département de la santé et des services sociaux (HHS) de Joe Biden qui oblige les médecins à pratiquer des interventions « transgenres ».
Lors de l’audition de confirmation de M. Kennedy au Sénat, le sénateur républicain Josh Hawley (Missouri) a expliqué que le ministère de la Santé et des Services sociaux de Joe Biden avait « édicté une règle exigeant que tous les médecins des États-Unis, y compris les pédiatres, qui bénéficient d’un financement fédéral » — ce qui signifie, selon M. Hawley, « presque tous les prestataires de soins de santé des États-Unis » — pratiquent des interventions « transgenres ».
Cela comprendrait, selon Hawley, à la fois [l’administration] d’hormones, telles que les bloqueurs de puberté, et des chirurgies mutilantes.
Lire la suiteTrump signe un décret protégeant les enfants contre les transitions de genre
Par Doug Mainwaring (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info) — Photo : gpointstudio/Freepik
Le décret exécutif stipule que « la politique des États-Unis est de ne pas financer, parrainer, promouvoir, assister ou soutenir la soi-disant “transition” d’un enfant d’un sexe à un autre, et d’appliquer rigoureusement toutes les lois qui interdisent ou limitent ces procédures destructrices et qui changent la vie. »
Protéger les enfants de l’idéologie du genre
Le président Donald Trump a signé un décret interdisant la mutilation chimique et chirurgicale des enfants et protégeant les enfants des mesures les plus extrêmes de l’idéologie du genre, qui a longtemps fait miroiter à des jeunes vulnérables une promesse creuse de transition de genre grâce à ce que l’on appelle des « soins affirmant le genre ».
« Aujourd’hui, dans tout le pays, des professionnels de la santé mutilent et stérilisent un nombre croissant d’enfants influençables sous prétexte que les adultes peuvent changer le sexe d’un enfant par une série d’interventions médicales irréversibles. Cette tendance dangereuse va ternir l’histoire de notre nation et elle doit cesser », précise le décret.
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