« Elle » a raison d’avoir peur : quand l’idéologie du genre disloque l’âme et le corps
Par Campagne Québec-Vie — Photo : Trey Musk/Unsplash
L’article du Devoir « “Elle” a peur » aborde les vives critiques que le magazine « Elle » a reçues pour avoir inclus deux transgenres parmi ses « huit femmes canadiennes extraordinaires » et la reculade d'« Elle » face audites critiques. L'article du Devoir pourfend les contempteurs réactionnaires d'« Elle » qui rejettent le genre et défendent la différence sexuelle. Bien que l'article s'apparente à un plaidoyer pour plus de liberté individuelle et une défense de la fluidité de genre, sa position mérite une réflexion critique, car elle repose sur une idéologie dangereuse aux conséquences anthropologiques sérieuses.
La dislocation corps-âme : une aliénation profonde
Le discours promouvant l’idéologie du genre — qui dissocie de plus en plus le corps du ressenti personnel — pose un risque fondamental pour la compréhension de la nature humaine. Cette idéologie soutient que le corps n’a pas de signification intrinsèque et que l’« identité de genre » (si on se considère comme homme ou femme) est uniquement déterminée par la subjectivité de chacun. Mais cette séparation entre l’âme et le corps, poussée à l’extrême, entraîne une perte du sens profond de ce que signifie être humain.
Lorsque la biologie, pourtant porteuse de vérités objectives sur la sexualité humaine, est totalement écartée, il devient alors impossible de fonder une morale cohérente. Si l’on accepte que l’âme et le corps soient si disjoints que le corps n’a plus de rôle à jouer dans l’identité, la notion même de nature humaine est éclipsée. La morale, issue de cette nature — ce que l’on appelle la loi naturelle — devient alors une construction arbitraire.
Lire la suiteLe système de santé britannique demandera désormais aux hommes s’ils sont « enceints » avant les radiographies
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (montage) : Freepik/Canva
13 août 2024 (LifeSiteNews) — Le Service national de santé britannique (NHS) a demandé aux opérateurs de radiologie de demander aux hommes s’ils sont « enceints » avant d’effectuer des radiographies, ce qui aurait incité les patients à « quitter » leurs rendez-vous en colère face à l’absurdité de la question.
Cette directive dite « inclusive » a été inspirée par un incident au cours duquel une femme qui se présentait comme un homme a passé une radiographie alors qu’elle était enceinte sans le savoir, exposant ainsi son bébé à des radiations dangereuses, a rapporté The Telegraph.
Toutefois, le personnel du NHS a souligné que les nouvelles lignes directrices posaient un risque pour la sécurité des patients en décourageant les rendez-vous en raison de la détresse suscitée chez les hommes et les femmes par les nouvelles questions de rendez-vous, qui demandent leur « sexe à la naissance » et leurs « nom et pronoms préférés » et font des affirmations « ridicules » sur les « personnes qui sont nées avec des variations dans les caractéristiques sexuelles », selon The Telegraph.
Un homme bénéficiant d’un « parcours urgent de cancérologie » « a été tellement agacé par les questions du formulaire qu’il a crié, a quitté le service et n’a pas passé de radiographie », a déclaré un radiographe au Telegraph.
« Il y a un risque inutile pour ces patients s’ils sont tellement ennuyés qu’ils ne passent pas la radiographie », a déclaré le radiographe.
Des femmes auraient également pleuré à cause des questions « invasives » sur la fertilité, qui les invitent désormais à préciser les raisons de leur infertilité, ce qui leur rappelle des souvenirs traumatisants de fausses couches et de grossesses extra-utérines, qu’elles sont tenues de mentionner dans les formulaires de demande d’information.
Le personnel affirme que des patients des deux sexes ont été insultés ou gênés par la suggestion que leur sexe n’est pas nécessairement évident et que les formulaires « endoctrinent » les mineurs en leur demandant leurs noms et pronoms préférés, tandis que les parents sont « furieux » à ce sujet.
Lire la suiteUne ex-trans poursuit Planned Parenthood pour lui avoir administré de la testostérone après une consultation de 30 minutes
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lightfield studios/Adobe Stock
12 août 2024, Hudson, New York (LifeSiteNews) — Bien qu’il soit surtout connu pour ses avortements, Planned Parenthood est également très impliqué dans le secteur de la « transition » de genre, ce qui lui a récemment valu un procès de la part d’une jeune femme autiste à qui PP a donné de la testostérone après seulement une demi-heure de consultation.
Le 7 août, The Free Press a publié l’histoire de Cristina Hineman, qui, à l’âge de 18 ans en novembre 2021, s’est rendue dans un centre de Planned Parenthood à New York pour obtenir la thérapie à la testostérone qu’elle recherchait sans le consentement de ses parents.
Elle était confrontée à divers problèmes, notamment l’automutilation, la dépression, l’anxiété et l’autisme, dont beaucoup avaient été exacerbés par l’isolement social dû aux confinements du COVID-19. Et elle se souvient avoir été attirée par la possibilité que le genre en soit la source par des vidéos YouTube qui l’ont amenée à conclure : « le terme “trans” inclut toutes les choses que j’ai ressenties : mon inconfort avec ma poitrine, mon inconfort d’être appelée “jeune femme”, le fait de ne pas être sûre de qui je suis ou de ce que je voudrais être ».
Après avoir rempli un formulaire de consentement, répondu à quelques questions et passé en revue les « changements attendus » de l’hormone — un processus prenant moins de 30 minutes — Hineman a reçu une prescription de gel de testostérone. Mais après un an de traitement hormonal ainsi que l’ablation de ses seins sains à l’âge de 19 ans, Hineman regrette sa transition.
« J’ai subi un lavage de cerveau », a-t-elle déclaré. « Beaucoup de gens disent que les adultes devraient pouvoir faire ce qu’ils veulent. Mais si vous souffrez d’une maladie mentale qui obscurcit votre vision, ou si vous êtes mal informé sur ce que signifie la dysphorie de genre, alors vous ne pouvez pas consentir à des traitements aussi invasifs. »
Lire la suiteLe Parlement bulgare adopte une loi interdisant la propagande LGBT dans les écoles
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pressfoto/Freepik
8 août 2024 (LifeSiteNews) — Le 7 août, le Parlement bulgare a adopté un amendement à la loi sur l’éducation préscolaire et scolaire interdisant la « propagande » LGBT dans les écoles par une majorité massive de 159 voix pour, 22 contre et 12 abstentions.
L’amendement a été proposé par le parti Vazrazhdane (Renouveau) et a reçu un large soutien de la part de tous les partis politiques, les députés citant des brochures et des livres d’éducation sexuelle inappropriés fournis aux enfants et aux adolescents.
L’amendement interdit « la propagande, la promotion ou l’incitation de quelque manière que ce soit, directement ou indirectement, dans le système éducatif, d’idées et de points de vue liés à l’orientation sexuelle non traditionnelle ou à l’identité de genre autre que biologique ». Les parlementaires ont également voté un texte qui définit spécifiquement « l’orientation sexuelle non traditionnelle » comme « différente des notions généralement acceptées et établies dans la tradition juridique bulgare de l’attirance émotionnelle, romantique, sexuelle ou sensuelle entre personnes de sexes opposés ».
Kornelia Ninova, chef du parti socialiste, a déclaré que des familles bulgares expatriées l’avaient contactée pour la mettre en garde contre l’influence de « l’idéologie du genre » qui, selon elle, « s’insinue et s’empare des écoles bulgares » ainsi que de la société européenne en général, citant le spectacle blasphématoire des « transgenres » lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques à Paris ainsi que le récent vainqueur du concours Eurovision de la chanson, Nemo Mettler, qui s’identifie comme « non binaire ».
Mme Ninova a également déclaré que l’idéologie du genre était poussée par des personnes qui s’identifient comme « une chose le matin, une deuxième l’après-midi, une troisième le soir », et a affirmé sans équivoque : « Je répète ce que je dis depuis sept ans : ne touchez pas aux enfants bulgares ». Zvezdelina Karavelova, du parti Vazrazhdane, a abondé dans ce sens, déclarant dans un discours que la sexualisation des enfants et la « pédérastie » devaient être combattues, ajoutant qu’elle espérait que son fils, actuellement âgé d’un an, épouserait un jour une femme plutôt qu’un homme. La Bulgarie ne reconnaît en droit que le mariage naturel.
Lire la suiteKamala Harris : propriété des industries pharmaceutiques, de transition de genre et d’avortement
Kamala Harris.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Capture d'écran vidéo/X
8 août 2024 (LifeSiteNews) — Tout au long de sa mystifiante et fulgurante carrière politique, Kamala Harris a démontré à maintes reprises sa fidélité aux industries pharmaceutiques, de l’avortement et du transgenrisme, utilisant sa position d’autorité pour nourrir leur soif inextinguible de profit en promouvant leurs requêtes pour des vaccins expérimentaux dangereux, pour leurs monstrueux traitements médicaux et chirurgicaux dits « de changement de sexe » pour les jeunes et les enfants, et pour la dévalorisation et la destruction de la vie humaine par le biais de l’avortement.
Mme Harris et son nouveau colistier à la vice-présidence, Tim Walz, sont de dangereux extrémistes radicaux, plus enclins à remplir les poches des industries démoniaques de la « santé » qu’à protéger la dignité et l’épanouissement de la vie des Américains.
Harris : combattre pour l'industrie pharmaceutique, pas pour la santé publique
Mme Harris a fait la promotion du vaccin COVID-19 (C19) dès le début et continue de le faire, comme en témoigne son exigence d’une vaccination « à jour » pour tous ceux qui cherchent un emploi au siège de sa campagne.
Harris exige en effet que les personnes qu’elle emploie mettent continuellement à jour leur statut vaccinal C19, bien que les Centres de contrôle des maladies (CDC) admettent depuis août 2021 que le vaccin C19 n’empêche en rien la transmission du COVID.
« Harris a toujours soutenu les obligations fédérales de Biden en matière de vaccins et de masques, ainsi que les fermetures d’entreprises, d’écoles et de lieux de culte dans toute l’Amérique pendant la période du COVID », a déclaré Nikos Biggs-Chiropolos, du Honest Media Project. « Il est clair que la priorité absolue de la députée, qui a passé toute sa carrière à essayer de plaire aux élites et aux donateurs du parti démocrate plutôt qu’aux gens ordinaires, est de soutenir ces puissantes entreprises plutôt que de lutter pour une meilleure santé publique ».
Lire la suiteKamala Harris voudrait « éliminer la liberté de religion » et a un programme anticatholique « extrême », dénoncent des personnalités catholiques
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
26 juillet 2024 (LifeSiteNews) — L'éventuelle présidence de Kamala Harris représenterait une menace pour les libertés religieuses des catholiques et la vie des bébés à naître, avertissent des personnalités catholiques.
La vice-présidente Kamala Harris est actuellement le choix du Parti démocrate pour l'élection présidentielle de 2024. Sauf changement de dernière minute, les démocrates la désigneront officiellement au cours de la première semaine d'août.
Ses antécédents d'opposition aux catholiques et aux valeurs catholiques suscitent des inquiétudes.
Sous l'administration Biden-Harris, le ministère de la Justice a appliqué de manière agressive et sélective la Loi sur la liberté d'accès aux entrées des cliniques (FACE Act), en s'en prenant notamment à des pères pro-vie pacifiques comme Mark Houck.
Ce même ministère de la Justice a également publié, par l'intermédiaire du Bureau fédéral d'enquête (FBI), un document accusant sans fondement d'« extrémisme » les catholiques qui assistent à la messe traditionnelle en latin. Le FBI a même espionné des églises pratiquant la messe en latin sous l'administration Biden-Harris.
De même, le procureur général de Biden, Merrick Garland, et le ministère de la Justice ont publié un document suggérant que les parents et les activistes inquiets qui s'opposaient à la politique d'identité raciale et à l'idéologie sexuelle dans les salles de classe étaient assimilés à des terroristes nationaux.
Lire la suiteUne détransitionniste raconte l’histoire terrifiante des tactiques insidieuses des idéologues du genre
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Adobe Stock
18 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Alors que le débat sur la transition de genre fait rage dans les législatures des États à travers l’Amérique, de plus en plus de « détransitionneurs » se présentent pour raconter leurs histoires brutales. Ces histoires mettent toujours plus en évidence la réalité terrifiante que nous sommes au milieu de l’un des plus grands scandales médicaux depuis l’eugénisme. En effet, le terme « détransitionneur » lui-même est nouveau, car il fallait inventer un mot pour décrire ceux qui ont été broyés dans le complexe médical transgenre et qui ont survécu pour raconter leur histoire.
« Je suis née de sexe féminin et j’ai grandi en Caroline du Nord », écrit Prisha Mosley, 26 ans. « J’ai découvert la communauté transgenre en ligne lorsque j’étais adolescente et j’ai été persuadée de faire une transition sociale ». Cette histoire s’est répétée des milliers de fois aux États-Unis et au Canada. Des centaines de parents ont contribué anonymement à la lettre d’information de Substack « Parents With Inconvenient Truths About Trans (PITT) » (Parents avec des vérités dérangeantes sur le transgenrisme) et ils sont unanimes à désigner Internet comme un facteur clé dans la conversion de leurs enfants au culte transgenre.
Mais au cours de la dernière décennie, les institutions médicales ont été envahies par les activistes — et les enfants et adolescents en difficulté peuvent trouver des professionnels de la santé prêts à les aider à changer de sexe avec une facilité déconcertante. « Je n’avais que 17 ans lorsque les médecins ont commencé à m’injecter de la testostérone », se souvient Mosley. « Rétrospectivement, j’étais la victime idéale. J’étais jeune, impressionnable, isolée et je souffrais de graves problèmes de santé mentale, notamment d’anorexie, d’automutilation et de tentatives de mettre fin à mes jours. Les médecins m’ont dit que la transition était le remède à ma douleur émotionnelle ».
Lire la suiteJohn Deere forme le personnel à dénoncer leurs collègues qui s’opposent à ce que des hommes utilisent les toilettes des femmes
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : HCQ/Wikimedia Commons
8 juillet 2024 (LifeSiteNews) — John Deere, autrefois perçu comme un producteur de machines agricoles et de matériel lourd entièrement américain avec des valeurs alignées sur le cœur du pays, fait à nouveau les manchettes alors que de plus en plus de rapports sur l’asservissement de la société aux idéaux marxistes woke continuent de faire surface, grâce au cinéaste conservateur Robby Starbuck.
Le 9 juillet, Starbuck a publié sur X/Twitter une vidéo sur ses découvertes, détaillant comment l’entreprise est « devenue woke » sous la direction du PDG John May.
Selon l’enquête, John Deere s’ouvre de diverses manières aux militants LGBT, y compris en sollicitant les « pronoms préférés » des employés, en formant ceux-ci sur l’identité de genre au moyen de l’aide visuelle tristement célèbre du bonhomme en pain d’épice « du genre », et en parrainant un événement de la « fierté » pour enfants à partir de trois ans.
La société se vanterait également d’un « engagement total » à l’égard du concept DEI, « diversité, équité et inclusion », y compris la participation de son équipe de comptabilité et de finances au programme de formation de 21 jours de Centraide « Unis pour l’équité » et en ayant divers groupes d’identité basés sur la race et la sexualité à son siège social.
Lire la suiteLe gouvernement Trudeau va rendre toutes les toilettes « neutres » dans les bâtiments du Parlement
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pkanchana/Adobe Stock
24 juin 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Pour la première fois depuis des décennies, les femmes n'auront pas leurs propres toilettes sur la colline du Parlement canadien après que le gouvernement fédéral canadien du Premier ministre Justin Trudeau ait annoncé que toutes les toilettes deviendront bientôt « neutres quant au genre ».
Cette mesure, qui privera les femmes et les hommes de leur intimité lorsqu'ils utiliseront les toilettes sur la colline du Parlement, a été annoncée récemment par le ministre des services publics, Jean-Yves Duclos. Sous sa direction et avec la bénédiction de M. Trudeau, environ 200 toilettes de l'édifice du Centre, ainsi que le nouveau centre d'accueil, seront rendues plus « accessibles » et plus « inclusives ».
Selon M. Duclos, les rénovations des toilettes ont pour but de « répondre aux attentes et aux besoins » des Canadiens LGBT et de s'adapter à leurs « besoins des années 2030 et au-delà ».
Selon M. Duclos, la dernière mesure prise par le gouvernement Trudeau en faveur des LGBT s'inscrit dans le cadre d'un « message très large d'inclusion ».
L'initiative en faveur de toilettes « neutres » intervient après que le député néo-démocrate Don Davies ait présenté une pétition à la Chambre des communes demandant l'interdiction des toilettes exclusivement pour hommes ou pour femmes dans les lieux de travail fédéraux.
« Les politiques d'exclusion en matière de toilettes créent des obstacles importants pour les personnes transgenres, non binaires et non conformes au genre », a déclaré M. Davies.
Lire la suiteLe cours de Culture et citoyenneté québécoise imposera l’idéologie du genre à la rentrée
Jean-Léon Laffitte, président de l'Association des parents catholiques du Québec.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton — (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jordaniste/YouTube
Le nouveau cours Culture et citoyenneté québécoise, qui remplacera l’ancien cours d’ÉCR à la prochaine rentrée, comprendra dans son volet d’éducation sexuelle (déjà néfaste) l’idéologie du genre.
Dans une entrevue avec Michel Lizotte, journaliste indépendant, Jean-Léon Laffitte, président de l’Association des parents catholiques du Québec (APCQ), explique les fondements de l’idéologie du genre, qui prétend que le sexe est « assigné » à la naissance et est une construction sociale.
La théorie du genre est-elle fondée scientifiquement ? M. Laffitte nous parle du tout récent rapport Cass produit en Grande-Bretagne, où des milliers de personnes ayant subi une « transition de genre » regrettent maintenant d’avoir suivi cette procédure irréversible, qui affirme qu’aucune étude probante ne soutient les prétentions de la théorie du genre, à savoir que les « traitements » comme les bloqueurs de puberté, les hormones transsexuelles ou les opérations sont bénéfiques aux enfants atteints de dysphorie du genre.
Le suicide des jeunes à qui on ne procurerait pas de transition est souvent brandi comme argument pour forcer les parents à approuver la transition de leur enfant atteint de dysphorie. Pour répondre à cet argument, M. Laffitte mentionne une autre étude qui démontre que le taux de suicide chez les jeunes n’est pas plus élevé si on s’occupe de leur santé mentale plutôt que de les transitionner.
Le gouvernement britannique, sur le fondement du rapport Cass est en train de revenir sur l’expérience de l’idéologie du genre. Pourtant, au Québec, souligne M. Laffitte, nous ne profitons pas de l’expérience britannique et persévérons dans la même erreur (Errare humanum est, perseverare diabolicum...).
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