Commission sur le statut de la femme 2025, partie 1
La beauté (ou l’absence de beauté) du bâtiment principal des Nations unies reflète bien le contenu de ce qui se passe à l’intérieur.
Par Arpad Nagy (Campagne Québec-Vie) — Photos : Arpad Nagy
Quelques jours se sont écoulés depuis mon retour de New York. J’étais aux Nations unies en tant que déléguée à la Commission de la condition de la femme (CSW).
Je travaille d’arrache-pied pour terminer mes rapports sur l’ONU, répondre aux courriels et continuer à rattraper le retard accumulé pendant mon séjour là-bas. Comme les rapports du vendredi sont encore frais dans ma mémoire, voici un petit résumé de trois des événements auxquels j’ai assisté vendredi dernier. Il y a eu plusieurs centaines d’événements au cours de cette première semaine de la CSW, et notre équipe s’est dispersée pour assister à autant d’entre eux que possible.
Tout d’abord, j’ai assisté à un événement organisé par la République de Guinée. Cet événement était axé sur l’égalité entre les hommes et les femmes sur le marché du travail et sur les progrès déjà réalisés dans ce domaine. Charlotte Daffé, ministre de la Promotion de la femme, de l’enfant et des personnes vulnérables de la République de Guinée, a dévoilé un projet appelé Simandou 2040. Ce projet a pour but de mettre en avant des femmes d’affaires clés qui ont fait un travail exceptionnel dans leur domaine. D’autres ministres et délégués se sont exprimés sur des sujets connexes. Par exemple, dans le domaine de l’éducation, la distribution de 19 000 kits d’hygiène pour les filles scolarisées et la création de toilettes séparées pour les garçons et les filles ont été soulignées.
Lire la suiteLe programme pro-avortement radical de Holt pour le Nouveau-Brunswick se dévoile
Susan Holt.
Par David Cooke (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/CBC
Avant les élections provinciales de l’automne dernier, Susan Holt n’a pas beaucoup parlé de son plan radical d’expansion des avortements et de la débauche LGBT. Elle est restée discrète, sachant que de nombreux Néo-Brunswickois n’accepteraient pas ses idées. Elle souhaitait profiter de la vague de mécontentement populaire à l’égard de l’ancien premier ministre Blaine Higgs sans faire de vagues.
Nous avons travaillé dur, ici à la Coalition nationale pour la vie, pour exposer au grand jour le plan infâme de Mme Holt, en envoyant des cartes postales informatives à des centaines de milliers de foyers. Mais les médias, les libéraux et de nombreux groupes de gauche se sont moqués de nos avertissements, nous ont traités de haineux et ont rejeté nos préoccupations. Malheureusement, de nombreux électeurs ont été trompés.
Le premier ministre Holt prône une idéologie radicale en matière de genre
Une fois que Mme Holt a remporté les élections du 21 octobre, elle a fait exactement ce que nous savions qu’elle ferait. Elle s’est immédiatement attelée à la mise en œuvre de son programme dépravé. Dans l’une de ses toutes premières actions en tant que premier ministre, trois semaines à peine après l’élection, elle a mis en œuvre des changements qui, espère-t-elle, « faciliteront l’accès à l’avortement », c’est-à-dire « tueront davantage de bébés à naître ».
Lire la suiteUn jeune Canadien est acquitté des charges criminelles qui pesaient sur lui pour avoir dénoncé les dangers de la chirurgie transgenre
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
10 mars 2025 (LifeSiteNews) — Un jeune Canadien, qui avait protesté contre les dangers de la chirurgie dite de « réassignation de genre » dans son école, a vu les charges criminelles contre lui abandonnées par un juge de la Cour de justice de l’Ontario après un procès de deux jours.
L’étudiant de 18 ans a été inculpé après avoir placé dans son école des affiches comportant un code QR qui renvoyait à une vidéo mettant en garde les personnes confuses quant au genre contre les dangers et les risques graves liés à la chirurgie transgenre.
Lorsque les autorités scolaires ont découvert que les affiches avec les codes QR étaient liées à l’étudiant de 18 ans, après avoir regardé seulement les 15 premières secondes de la vidéo de 14 minutes, elles ont déclaré que le contenu était « haineux » et ont appelé la police. Cela a conduit à une enquête criminelle et à des poursuites.
Selon The Democracy Fund (TDF), qui a aidé l’adolescent en se chargeant de sa défense, son avocat Alan Honner a déclaré que, bien que la vidéo liée au code QR contienne des éléments que certains pourraient considérer comme « offensants », il ne s’agit pas d’un discours de haine.
Lire la suiteLe triste sort du garçon « transgenre » qui a fait la couverture du National Geographic
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Eric Ward/Unsplash
10 mars 2025 (LifeSiteNews) — Depuis une décennie, les médias et l’industrie du divertissement ont travaillé main dans la main avec le mouvement transgenre pour créer le phénomène de l’enfant vedette « transgenre ». Cependant, nous avons rarement l’occasion d’entendre comment ces histoires se sont terminées.
Nous avons droit à des histoires en haute définition, soigneusement élaborées, sur des enfants nés dans le mauvais corps. Et la conclusion inévitable de ces histoires est que la société doit adopter des « soins d’affirmation du genre » pour s’assurer que ces enfants reçoivent les médicaments et les chirurgies dont ils ont besoin pour être équipés d’un nouveau corps qui correspond au « vrai eux » qui se cache à l’intérieur, prêt à être libéré par des chirurgiens compatissants qui pratiquent des castrations et des mastectomies sur des enfants en bonne santé.
L’enfant vedette « transgenre » le plus célèbre est peut-être Jazz Jennings, qui a participé à sa propre émission de téléréalité « I Am Jazz », ainsi qu’à un livre pour enfants à succès soutenu par les activistes transgenres du monde entier. Son histoire a toutefois pris une tournure sinistre et tragique : les opérations chirurgicales et les opérations de suivi ont échoué, il souffre de dépression et, dans un moment d’honnêteté brutale (que je suis sincèrement choqué que les producteurs n’aient pas coupé), il a admis qu’il se sentait complètement perdu.
Une presse grand public responsable demanderait à des journalistes de suivre l’histoire de ces « transgenres » pour savoir où ils en sont aujourd’hui, d’autant plus que le nombre de « détransitionneurs » monte en flèche et qu’il ne se passe pas un mois sans qu’une nouvelle étude ne fasse exploser le consensus fabriqué selon lequel les « soins d’affirmation du genre » sauvent des vies. 2025 est très différent de 2015, et les prémisses de l’idéologie du genre sont rejetées par de nombreuses institutions médicales d’élite, y compris le Service national de santé du Royaume-Uni.
Lire la suiteUne étude d’Oxford indique que l’opération de transition augmente les taux de dépression et d’idées suicidaires
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik
3 mars 2025 (LifeSiteNews) — Une étude publiée dans l’Oxford Journal of Sexual Medicine a révélé que le fait de subir une chirurgie dite de « changement de sexe », loin de réduire les taux de dépression chez les personnes dysphoriques, augmentait considérablement les taux non seulement de dépression, mais aussi d’anxiété, d’idées suicidaires et de troubles liés à la consommation d’alcool et de drogues.
Les hommes ayant subi une opération transgenre présentaient un taux de dépression de 25,4 %, contre 11,5 % pour ceux qui n’avaient pas subi d’opération. De même, les femmes ayant subi une intervention chirurgicale présentaient un taux de dépression de 22,9 %, contre 14,6 % pour celles qui n’avaient pas subi d’intervention.
L’étude note que les hommes qui subissent des interventions chirurgicales « féminisantes » présentent un risque particulièrement élevé de dépression et de troubles liés à l’utilisation de substances [psychoactives].
« Sur 107 583 patients, des cohortes appariées ont démontré que ceux qui subissaient une intervention chirurgicale présentaient un risque significativement plus élevé de dépression, d’anxiété, d’idées suicidaires et de troubles liés à l’utilisation de substances que ceux qui ne subissaient pas d’intervention chirurgicale », ont constaté les chercheurs.
Plutôt que de conclure que la chirurgie dite « d’affirmation du genre » est une pratique dangereuse et inutile qui devrait être abandonnée parce qu’elle met la vie des patients en danger, les chercheurs suggèrent plutôt que leurs résultats montrent la nécessité « après une chirurgie d’affirmation du genre, d’un soutien à la santé mentale qui soit attentif aux particularités de genre, pour traiter les risques psychologiques post-chirurgicaux ».
Lire la suiteLe président argentin Javier Milei interdit les médicaments et les chirurgies transgenres pour les mineurs
Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : BARLOP/Adobe Stock
6 février 2025 (LifeSiteNews) — Le président argentin Javier Milei a interdit les injections d’hormones et les chirurgies de genre mutilantes pour les mineurs.
Le Buenos Aires Times rapporte que Milei a signé un décret qui modifie la loi sur l’identité de genre du pays pour « interdire les traitements hormonaux et les chirurgies d’adaptation corporelle pour les personnes de moins de 18 ans ».
Le porte-parole de la présidence, Manuel Adorni, a déclaré lors d’une conférence de presse mercredi : « Ces interventions auxquelles les enfants sont exposés constituent un risque grave pour leur santé physique et mentale, car elles impliquent une interruption de leur processus de maturation. »
« Dans l’état actuel des choses, les mineurs qui le souhaitent peuvent subir des traitements et des interventions chirurgicales pour modifier leur corps conformément à la perception qu’ils ont d’eux-mêmes », a déclaré M. Adorni.
En vertu de la loi actuelle sur l’identité de genre, adoptée en 2012, les mineurs doivent généralement obtenir le consentement de leurs parents pour entamer des procédures dites de « changement de sexe ». Toutefois, si l’un des parents s’oppose aux mesures, l’affaire peut être portée devant un tribunal, qui peut passer outre le parent dissident.
Lire la suiteTrump signe un décret interdisant aux transgenres de participer aux compétitions féminines
Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info) — Photo : Freepik
Le président américain Donald Trump a signé un décret interdisant aux transgenres de participer à des compétitions sportives féminines à tous les niveaux, de l’école primaire aux Jeux olympiques.
« Garder les hommes hors du sport féminin »
L’ordonnance, intitulée « Garder les hommes hors du sport féminin », est basée sur une interprétation du Titre IX, une loi fédérale qui interdit la discrimination fondée sur le sexe dans tout programme ou activité éducative recevant un financement fédéral. et menace de retirer les fonds fédéraux aux établissements d’enseignement qui ne s’y conformeraient pas.
Lors de la présentation du décret à la Maison-Blanche, devant un grand groupe d’enfants et de leurs mères, Trump a déclaré :
« Désormais, le sport féminin sera réservé aux femmes. Nous défendrons fièrement la tradition des athlètes féminines et ne permettrons pas aux hommes de battre, de blesser et de tromper nos femmes et nos filles. »
Impact international
Trump a également annoncé que les États-Unis refuseraient d’accorder des visas aux athlètes transgenres, ce qui pourrait affecter la participation de certaines équipes aux compétitions internationales.
Le décret vise également à influencer la scène sportive internationale. Trump a demandé au secrétaire d’État Marco Rubio de faire pression sur le Comité international olympique (CIO) pour qu’il modifie les règles régissant les événements sportifs olympiques afin que l’éligibilité à participer aux événements féminins soit déterminée par le sexe attribué à la naissance plutôt que par l’identité de genre ou un taux de testostérone réduit.
Cette mesure pourrait avoir des conséquences importantes pour les Jeux olympiques de Los Angeles de 2028, où des tentatives seront faites pour empêcher les transgenres d’y participer.
Pierre-Alain Depauw
Les employés de Meta protestent contre le retrait des tampons des toilettes pour hommes
Par Sarah Holliday (republié par LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pkanchana/Adobe Stock
4 février 2025 (The Washington Stand) — Meta, la société mère de Facebook, est récemment devenue l’une des nombreuses organisations qui mettent au rebut leurs politiques de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI).
Selon Breitbart, la décision du PDG Mark Zuckerberg de retirer les tampons des toilettes pour hommes dans les bureaux de Silicon Valley, du Texas et de New York fait partie de ce mouvement de « retour sur la voie de la raison ». Le média ajoute que ces tampons étaient « auparavant fournis [...] aux employés non binaires et transgenres qui (utilisaient) les toilettes pour hommes, mais (avaient) besoin de serviettes hygiéniques parce qu’ils étaient des femmes ».
Selon certaines informations, des employées trans ont décidé de protester en apportant leurs propres produits d’hygiène féminine dans les toilettes pour hommes. Le New York Times écrit : « Pour protester contre les actions de M. Zuckerberg, certaines employées de Meta ont bien vite apporté leurs propres tampons et serviettes hygiéniques dans les toilettes pour hommes, ont déclaré cinq personnes au fait de cette initiative. Un groupe d’employés a également fait circuler une pétition pour sauver les tampons ».
Apparemment, cela fait partie d’une série plus large de « rébellions discrètes que les travailleurs de la Silicon Valley ont mises en place alors qu’ils sont aux prises avec le virage à droite de leurs patrons ». Mais comme le souligne le Times, outre Zuckerberg, plusieurs autres figures de la Big Tech, comme le PDG de X « Elon Musk, le fondateur d’Amazon Jeff Bezos, le directeur général de Google Sundar Pichai, le directeur d’Apple Tim Cook et le cofondateur de Google Sergey Brin ont accueilli » le président Donald Trump et adopté son éloignement des agendas de gauche.
Lire la suiteUn chirurgien américain obtient gain de cause après avoir dénoncé des « changements de sexe » sur mineurs
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : ipuwadol/Adobe Stock
L’arrivée de l’ère Trump aura fait son effet : toutes les charges retenues contre le chirurgien lanceur d’alerte, le Dr Eithan Haim, ont été abandonnées. Le ministère de la Justice du nouveau président a déposé, il y a une semaine, une requête pour rejeter l’affaire qui avait été portée par l’administration Biden. Un petit « miracle » selon le mot de Haim !
Le médecin avait en effet osé faire révéler, par un journaliste d’investigation, qu’un hôpital pour enfants effectuait des traitements de transition de genre sur des mineurs alors qu’il avait affirmé ne plus en faire pour se conformer aux lois de son Etat, le Texas. Le chirurgien avait été rapidement poursuivi par le Département de la justice sous divers chefs d’accusation, tous fallacieux, attaqué par une procureur démocrate dépourvue de tout souci de probité. Car on ne dénonce pas impunément une telle infraction et un tel mensonge quand ils servent l’idéologie du genre : il s’en est fallu de peu pour qu’Eithan Haim perde tout.
Le progressisme n’a que faire de la Justice — mais il sait gangrener les institutions pour promouvoir la sienne.
Lire la suiteUn gynécologue suspendu par l’Ordre des médecins de France pour avoir refusé d’examiner un transgenre
Par Rastignac (Médias-Presse-Info) — Photo : Freepik
Le gynécologue accusé de transphobie a été sanctionné par six mois d’interdiction d’exercer, dont un ferme !
Cela se passe à Pau, la ville de François Bayrou actuel premier ministre d’une France qui marche sur la tête.
Parce qu’en août 2023 le docteur Victor Acharian s’était déclaré incompétent sur le cas d’un homme devenu femme, il avait déclenché les foudres des associations LGBT et a été traîné devant les tribunaux chargés de protéger les « victimes de discrimination » (sic).
SOS homophobie et SOS transphobie avaient déposé chacune une plainte directement auprès du procureur de la République.
En attendant l’éventuel procès au correctionnel, le gynécologue palois vient d’être sanctionné par le conseil régional de l’Ordre des médecins parce qu’il avait refusé d’examiner « gynécologiquement » le cas d’un homme devenu femme, venu en consultation avec son compagnon.
Passé par Doctolib, le couple s’était présenté au secrétariat qui a relaté « l’incident » :
« La dame m’a expliqué qu’elle était en transition. J’ai aussitôt prévenu le docteur par messagerie interne. Il m’a répondu: “Je ne m’occupe pas de ça ; il y a des spécialistes à Bordeaux ou à Toulouse”, message que je leur ai transmis. Mais ils sont devenus très agressifs, et m’ont traitée de transphobe. »
En outre, le gynécologue avait osé déclarer :
« Je n’ai aucune compétence pour m’occuper des hommes, même s’ils se sont rasé la barbe et viennent dire à ma secrétaire qu’ils sont devenus femmes ».
Horresco referens ! Oser dire, oser même ne serait-ce que penser, qu’un homme n’est pas une femme : comment ce médecin a-t-il pu ?
Oui, vraiment, on marche sur la tête !
Rastignac