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Le Nouveau-Brunswick retire ses mesures vaccinales pour les épiceries devant le tollé public

Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Farknot Architect/Adobe Stock

20 décembre 2021, Fredericton, Nouveau-Brunswick (LifeSiteNews) — Les Canadiens non vaccinés du Nouveau-Brunswick sont maintenant autorisés à accéder de nouveau à toutes les épiceries, après que la pression intense de la population ait conduit le gouvernement à se rétracter de sa politique qui laissait aux entreprises le soin de [décider comment] traiter les personnes qui refusent le vaccin COVID, contaminé par l’avortement.

Vendredi, la province du Nouveau-Brunswick a fait marche arrière sur un aspect de son « plan d’hiver » COVID-19 qui obligeait les épiceries soit à appliquer la distance sociale, soit à exiger que tous les clients soient « entièrement vaccinés ». Cette mesure avait été initialement mise en place le 4 décembre et avait immédiatement suscité une forte opposition de la part de la population, des médias indépendants et du Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCCF).

« Une option permettant aux magasins qui vendent des produits d’épicerie de demander aux clients de 12 ans et plus une preuve de vaccination, au lieu de mettre en œuvre des exigences de distanciation, est retirée du décret obligatoire de la province », a écrit la province vendredi. « L’intention initiale était de donner le choix aux magasins, et que ceux qui choisissent l’option de la preuve de vaccination offrent la livraison ou le ramassage en bordure de rue ; il n’a jamais été question que quiconque croie qu’il ne pouvait pas avoir accès aux produits d’épicerie. »

Trois jours seulement après l’annonce de la mesure coercitive, la JCCF a envoyé une « mise en demeure » à la province pour lui reprocher sa politique ─ désormais annulée ─ tout en l’informant que la mesure transgressait la loi.

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Le 7 décembre, le JCCF a écrit : « Le droit à l’alimentation est un droit humain fondamental consacré par divers instruments internationaux, notamment l’article 25 de la Déclaration universelle des droits de l’homme et l’article 11 du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, parmi d’autres instruments relatifs aux droits de l’homme. »

« Il va sans dire que l’accès à la nourriture pour tous les Canadiens, y compris les citoyens du Nouveau-Brunswick, est un service essentiel qui ne devrait pas être refusé et que le gouvernement ne doit pas inviter à refuser à quiconque. Le paragraphe contesté de l’ordonnance invite et incite le secteur privé à faire preuve de discrimination à l’égard des citoyens du Nouveau-Brunswick en ce qui concerne un service essentiel, tel que défini par le gouvernement du Canada », ont ajouté les experts en droit. « Une telle discrimination est interdite par l’article 6 (1) de la Loi et, de plus, l’invitation implicite du gouvernement à s’engager dans de telles pratiques déclenche la Charte. À cette fin, le paragraphe contesté contrevient aux articles 7 et 15. »

« Ceci doit vous servir d’avertissement pour ces violations inadmissibles. On s’attend à ce que vous corrigiez immédiatement le paragraphe 3 pour qu’il soit conforme à la Charte et à la Loi et, à tout le moins, que vous incluiez les épiceries dans les exceptions énumérées auxquelles le paragraphe 3 ne s’applique pas », poursuit la JCCF.

Alors que la province semble avoir tenu compte de l’avertissement de la JCCF et retiré sa politique inhumaine, le gouvernement provincial ainsi que tous les autres gouvernements canadiens restent silencieux sur le fait qu’il n’existe aucune preuve scientifique suggérant que les mandats et les passeports vaccinaux sont nécessaires ou efficaces.

Malgré les affirmations trompeuses du gouvernement et des médias grand public, les essais de vaccins contre le coronavirus n’ont jamais apporté la preuve que ces vaccins arrêtent l’infection ou la transmission. Ils ne prétendent même pas réduire les hospitalisations, mais la mesure du succès est la prévention des symptômes graves de la maladie à COVID-19. En outre, il existe des preuves solides que les « vaccinés » sont tout aussi susceptibles de porter et de transmettre le virus que les personnes non vaccinées.

Cette réalité, ainsi que le fait que la liste des effets indésirables des vaccins COVID reconnus par la FDA s’est allongée, passant de réactions anaphylactiques graves à des événements thrombotiques mortels, à la myocardite, une maladie cardiaque inflammatoire, et à des maladies neurologiques invalidantes comme le syndrome de Guillain Barré, a conduit un nombre croissant d’experts à décrier la pratique de la vaccination forcée comme inefficace et même nuisible.

Comme l’a récemment affirmé l’éminent médecin Peter McCullough, « [Pour] les personnes de moins de 50 ans qui ne présentent fondamentalement aucun risque pour la santé, il n’y a aucune raison scientifique de les vacciner » contre le COVID-19.



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