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L’ONU adopte une résolution comprenant un langage pro-avortement

Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) — Photo (rognée, couleurs modifiées) : cookie studio/Freepik

L’Assemblée générale des Nations Unies vient d’adopter [assez récemment*] une résolution longtemps attendue sur le coronavirus, après sept mois de négociations.

Cependant, elle fait toujours polémique, notamment à cause de certains termes plus qu’ambigus, qui démontrent clairement la volonté affichée des responsables onusiens de profiter de la pandémie [du confinement, en fait*] pour renforcer leur politique antifamille.

« Nous n’acceptons pas les références à la santé sexuelle et reproductive », ont déclaré fermement les Etats-Unis. « Il n’y a pas de droit international à l’avortement, ni d’obligation de la part des États de financer ou de faciliter l’avortement », a expliqué leur représentant.

Dans le camp opposé, la majorité des pays européens soutient le texte.

Le Royaume-Uni, par exemple, a osé qualifier la santé sexuelle et génésique de « vitale » en ce qui concerne la réponse des Nations Unies au coronavirus !

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De fait, dès le début de la pandémie du COVID-19, l’Organisation mondiale de la Santé a soutenu que la santé sexuelle et génésique, et plus particulièrement l’avortement, devait être un élément essentiel des interventions du gouvernement face à la crise sanitaire.

Le Secrétaire général des Nations Unies a suivi leur exemple et continue de promouvoir l’avortement pendant l’urgence sanitaire mondiale.

Plusieurs délégations ont exprimé leur solidarité avec les préoccupations pro-vie des Etats-Unis, comme l’Irak qui estime que la résolution de l’ONU sur le COVID-19 n’est pas le lieu « approprié » pour aborder les questions sociales sensibles ; ou encore la Libye qui tacle, à juste titre, l’expression « santé sexuelle et reproductive » de « terminologie controversée. »

Le Guatemala a aussi pour sa part émis une réserve sur le libellé relatif à la santé sexuelle et reproductive, affirmant que celui-ci « pourrait être interprété à tort », notamment comme un droit à l’avortement. De son côté, la Russie s’est distanciée des « conférences d’examen » des Nations Unies qui sont connues pour promouvoir l’avortement, les « droits LGBT » et l’autonomie sexuelle des enfants.

Enfin, le Saint-Siège s’est également déclaré préoccupé par les problèmes pro-vie révélés lors de la gestion de la pandémie du COVID-19 de manière générale.


*Commentaires d'A. H.



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