Un médecin kényan accuse l'Organisation mondiale de la santé et l'UNICEF de stériliser des jeunes femmes
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
16 février 2023 (LifeSiteNews) — Un médecin kényan révèle plus d’informations sur une campagne de vaccination contre le tétanos de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dont il dit, avec d’autres, qu’elle faisait partie d’une campagne de stérilisation massive des jeunes femmes pour contrôler la croissance démographique [dans son pays].
Le Dr Wahome Ngare, obstétricien et gynécologue basé à Nairobi, a eu l’amabilité de discuter de cette question dans l’épisode d’aujourd’hui du John-Henry Westen Show. Il a accusé l’OMS et même l’UNICEF (Fonds des Nations unies pour l’enfance) de stériliser intentionnellement les jeunes femmes kényanes sous prétexte d’éradiquer le tétanos, et a également accusé ses collègues de tenter de discréditer ses recherches sur la question.
Selon lui, les investigations menées par un comité d’experts sur les flacons de [vaccin contre le] tétanos ont montré qu’ils contenaient de la βhCG (bêta HCG, c’est-à-dire de la gonadotrophine chorionique humaine bêta), une hormone qui imite l’hormone HCG naturelle qui indique aux femmes qu’elles sont enceintes.
« Or, ce vaccin particulier que [l’OMS] avait produit combinait le vaccin contre le tétanos et la βhCG. Et ce qui se passait, c’est que si une femme se faisait injecter ce vaccin, elle produisait des anticorps antitétaniques », explique le Dr Ngare. « Mais, malheureusement, elle produisait aussi des anticorps anti-HCG. Et par la suite, chaque fois qu’elle concevrait, les anticorps feraient muter l’HCG de son sang à un point tel [que son organisme] ne saurait jamais qu’elle est enceinte. »
On estime que 2,3 millions de filles et de femmes kényanes en âge de procréer ont reçu les vaccins contre le tétanos, réalisés dans le cadre d’un effort conjoint entre l’Organisation mondiale de la santé et le gouvernement kényan entre 2013 et 2015.
Lire la suiteLe plan de dépopulation des pays en développement
Photo : Zach Vessels/Unsplash
Les puissances occidentales et de nombreuses entités internationales promeuvent depuis des années la réduction de la population mondiale, ou du moins les moyens qui y mènent, comme l’avortement et la contraception. Divers prétextes sont donnés : le climat, la pauvreté, le chômage, le « droit » de la femme (à tuer son bébé). Mais ces raisons susmentionnées sont-elles les vraies ? Un document produit par le Conseil de la sécurité nationale des États-Unis le 10 décembre 1974, et approuvé le 20 novembre 1975 par le président Ford, le NSSM 200, soulignait la concurrence émergente que représentaient pour les États-Unis les pays en développement à croissance démographique rapide. Le NSSM 200 proposait également les solutions pour contenir ces concurrents autrement inéluctables : réduire la croissance de leur population…
Depuis lors, les États-Unis ont appliqué pendant des décennies le programme du NSSM 200, donnant lieu à d’autres rapports tels que le First Progress Report - 1976, faisant état des progrès des efforts des États-Unis et des subtilités à apporter aux méthodes employées.
L’une des recommandations du NSSM 200 était de recourir à des instances internationales pour promouvoir la réduction de la population, d’où, semble-t-il, les incessants efforts des organismes onusiens à promouvoir l’avortement et la contraception auprès des pays en développement.
Un exemple récent nous rappelle l’actualité de ces manœuvres politiques et de leurs « fruits », la Conférence internationale sur la planification familiale (ICFP) qui a été tenue en Thaïlande du 14 au 17 novembre, et dont l’un des commanditaires était l’OMS, suggérait des méthodes de propagandes auprès des populations africaines afin de leur faire accepter la contraception et l’avortement. Lors de cette conférence, le ministre de la Santé publique de Thaïlande, le Dr Sathit Pitutecha, s’est vanté des « réalisations » de son pays, où la réduction de l’indice de fertilité est tombée de 6,1 en 1970 à 1,5 en 2019…
Encore récemment, les Philippines refusaient de légaliser l’avortement, face aux pressions de l’ONU en sens.
Gilles Grondin, fondateur de Campagne Québec et ancien diplomate canadien, a écrit en 1999 un résumé du document NSSM 200, de sa philosophie, de ses implications et de ses quelques applications concrètes, notamment au sein de l’ONU et de ses diverses branches.
Notez que lorsque M. Grondin emploie des guillemets, ce n’est pas forcément pour faire une citation exacte, cela peut être pour paraphraser ou résumer la pensée d’un individu ou d’un organisme. — A.H.
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Montréal, le 4 mars 1999
LE « BIRTH-CONTROL » DANS LES PAYS DU TIERS MONDE — NSSM 200
En 1991, certains amis ont porté à mon attention un document très étonnant.
On appelle ce document NSSM 200 (c’est-à-dire « National Security Study Memorandum 200 » qui pourrait être traduit en français par « Mémoire du Ministère de la sécurité nationale 200 »). Il fut élaboré par le Conseil de la sécurité nationale des États-Unis d’Amérique il y a plus de vingt-cinq ans alors que monsieur Henry Kissinger était président de cet organisme, sous l’autorité du Président Nixon.
Lire la suiteLa réalité choquante de l'ICFP 2022 : du contrôle de la population au spectacle démoniaque.
Les jeunes Africains influents sur les réseaux sociaux seraient encouragés à réduire leur propre population lors de la Conférence internationale sur la planification familiale. — Photo : Pexels.com
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie)
La Conférence internationale sur la planification familiale (ICFP) est un événement de 4 jours qui s’est déroulé en Thaïlande cette année.
L’ICFP a eu lieu cette année du 14 au 17 novembre à Pattaya City, en Thaïlande, au Pathaway Exhibition & Convention Hall (PEACH). Il s’agit de la « plus grande conférence scientifique sur la planification familiale » au monde. Elle est organisée par « l’Université de Johns Hopkins (JHU) au nom de l’Institut Bill & Melinda Gates pour la Population et la Santé de la Reproduction (“Institut”) de l’École de Santé Publique Bloomberg. »
Bien que les mineurs ne puissent pas y assister en personne, tous ceux qui le souhaitent peuvent y participer virtuellement, car il n’y a pas de restriction d’âge pour la participation en ligne si un parent ou un tuteur signe une décharge. Sur leur site web, l’événement est présenté comme étant plus qu’une conférence, mais une « plateforme, un mouvement et une communauté ». Selon leur site, plus de 125 pays ont participé et leur communauté compte plus de 40 000 membres actifs.
Parmi les principaux commanditaires de l’ICFP, on peut trouver la Fondation Bill & Melinda Gates, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’IPPF, Pathfinder, Women Deliver, les Nations Unies et le gouvernement du Canada.
La cérémonie d’ouverture a débuté par un spectacle de danse mettant en scène des démons, au sens propre du terme. L’hôte de la session d’ouverture de l’ICFP 2022 était Dr Tlaleng Mofokeng, Rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit à la santé. Elle a expliqué que cette « performance incroyable » était « un épisode de la pièce de théâtre sur l’épopée de Ramekin. Il dépeint la bataille royale entre Rama et Laksman d’une part et la Tosca et le démon du roi Lanka d’autre part ». Elle a expliqué une courte histoire sur la bataille et a conclu « Tosca se retire à Lanka avec son armée de démons » et a proposé une salve d’applaudissements pour cette pièce.
Cette représentation a été suivie d’une vidéo promotionnelle qui vantait l’avènement d’un « autre monde » où « les femmes et les hommes peuvent choisir d’avoir ou non des enfants », « les adolescents et les jeunes ont accès aux contraceptifs », « l’accouchement est plus sûr pour les femmes et les bébés » et « tout le monde mérite d’avoir accès aux services et produits de planification familiale », autrement dit à l’avortement et à la contraception. L’idée sur laquelle ils ont insisté tout au long de leur vidéo promotionnelle de la cérémonie d’ouverture et de l’ensemble de la conférence soutenait que « sans planification familiale, il n’y a pas de soins de santé universels ». Car leur thème pour cette année est la réunion de la planification familiale et de la couverture sanitaire universelle en tant que « droits de l’homme ».
Lire la suiteL’OMS est compromise dans le développement et l’utilisation de vaccins stérilisants depuis des décennies
Par le Dr Joseph Mercola (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Zach Vessels/Unsplash
11 juillet 2022
L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL
- L’Organisation mondiale de la santé a commencé à travailler sur un vaccin anti-fertilité dans les années 1970, en réponse à un danger perçu de surpopulation. Pendant 20 ans, le groupe de travail de l’OMS sur les vaccins pour la régulation de la fertilité a travaillé dans une optique de contrôle de la population.
- En 1993, l’OMS a finalement annoncé qu’un vaccin de contrôle des naissances avait été créé avec succès pour aider à la « planification familiale ». Le vaccin anti-fécondité utilise de l’hCG conjuguée (chimiquement liée) à l’anatoxine tétanique utilisée dans le vaccin contre le tétanos. En conséquence, la femme développera des anticorps à la fois contre le tétanos et l’hCG.
- L’hCG est le premier signal qui indique à l’organisme de la femme qu’elle est enceinte. En réponse à ce signal, ses ovaires produisent alors de la progestérone, qui maintient la grossesse jusqu’au terme. En combinant l’hCG avec l’anatoxine tétanique, cette hormone de grossesse cruciale est attaquée et détruite par le système immunitaire de la femme qui a reçu ce vaccin.
- En 1995, la Catholic Women’s League of the Philippines a obtenu une décision de justice mettant fin à un programme de l’UNICEF contre le tétanos qui utilisait un vaccin contre le tétanos contenant de l’hCG. À cette époque, trois millions de femmes âgées de 12 à 45 ans avaient déjà été vaccinées. Des vaccins contenant de l’hCG ont également été découverts dans au moins quatre autres pays.
- Toujours en 1995, le gouvernement kenyan a lancé une campagne de l’OMS contre le tétanos, sous couvert d’éradiquer le tétanos néonatal. Une enquête a révélé que le vaccin administré aux jeunes filles et aux femmes âgées de 15 à 49 ans contenait de l’hCG, et divers éléments suggèrent qu’il s’agissait d’un programme intentionnel de contrôle de la population.
(Mercola) — « Infertilité : A Diabolical Agenda » [L’infertilité : Un programme diabolique] est le quatrième documentaire du Dr Andrew Wakefield sur les vaccins. Il raconte l’histoire d’un programme intentionnel de vaccination destiné à causer l’infertilité mené sur des femmes africaines, à leur insu et sans leur consentement.
Bien que cette histoire ait été balayée pendant des années comme une théorie de conspiration farfelue, des preuves irréfutables montrent qu’elle a bel et bien eu lieu et que cela pourrait recommencer.
L’histoire du passé
Comme l’explique le film, l’Organisation mondiale de la santé a commencé à travailler sur un vaccin stérilisant, sous la direction du Dr G.P. Talwar à New Delhi, en Inde, dans les années 1970, « en réponse à la surpopulation perçue ». Pendant 20 ans, le groupe de travail de l’OMS sur les vaccins pour la régulation de la fertilité a travaillé dans une optique de contrôle de la population.
En 1993, l’OMS a finalement annoncé qu’un vaccin de contrôle des naissances avait été créé avec succès pour aider à la « planification familiale ». La trace écrite révèle qu’en 1976, les chercheurs de l’OMS avaient réussi à conjuguer, c’est-à-dire à combiner ou à attacher, la gonadotrophine chorionique humaine (hCG) à l’anatoxine tétanique, utilisée dans le vaccin contre le tétanos. Par conséquent, lorsque celui-ci est administré à une femme, celle-ci développe des anticorps à la fois contre le tétanos et l’hCG.
L’hCG est une hormone produite par les cellules entourant l’embryon en croissance. Ces cellules productrices d’hormones protègent et soutiennent la croissance de l’embryon et finissent par former le placenta.
Comme expliqué dans le film, l’hCG est le premier signal qui indique au corps de la femme qu’elle est enceinte. En réponse à ce signal, ses ovaires produisent alors une deuxième hormone, la progestérone, qui maintient la grossesse jusqu’à son terme.
En associant l’hCG à l’anatoxine tétanique, cette hormone de grossesse cruciale est attaquée et détruite par votre système immunitaire, car elle est désormais perçue à tort comme un agent pathogène envahissant. L’hCG étant détruite, la progestérone n’est jamais produite et, par conséquent, la grossesse ne peut être maintenue.
Ainsi, si vous êtes déjà enceinte au moment où vous prenez cette infusion de sorcières, vous risquez d’avorter spontanément, et si vous n’êtes pas encore enceinte, vous ne pourrez pas le devenir, car cette hormone de grossesse cruciale est constamment attaquée par votre système immunitaire. Des doses répétées prolongent ces effets, vous rendant effectivement stérile.
Lire la suiteVoici comment l’OMS est manipulée pour promouvoir l’avortement et le contrôle démographique
Communiqué de presse de l’European Centre for Law & Justice — Photo : WavebreakMediaMicro/Adobe Stock
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Human Reproduction Programme (HRP), ont publié de nouvelles lignes directrices consolidées sur l’avortement au mois de mars 2022. Loin de s’en tenir à leur mission d’assistance et de conseil aux professionnels de la santé, le document promeut une libéralisation complète de l’avortement sans précédent dans le monde : il recommande, entre autres, la légalisation de l’avortement à la demande et sans condition jusqu’au terme de la grossesse (pp. 24 et 28), la réduction de la liberté de conscience des professions médicales (p. 41 et suivantes) et de ne pas informer les parents en cas d’avortement pratiqué sur leur fille mineure (p. 43).
En réponse à de telles recommandations, le Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ) souhaite vous alerter contre cette instrumentalisation de l’OMS par des acteurs extérieurs militant pour la libéralisation de l’avortement. L’ECLJ est convaincu de l’importance de la mission de l’OMS et de la nécessité d’assurer son indépendance. Pour cela, nous voudrions vous faire part de trois points fondamentaux pour comprendre et interpréter la publication de ce document :
- Ce document n’a pas de valeur juridique contraignante en droit international, il s’agit de conseils. Il n’a pas été adopté par les États, ni par le Secrétariat de l’OMS, mais par un groupe de travail ad hoc de l’OMS composé majoritairement de militants de l’avortement.
- La valeur scientifique de ce document est relative et critiquable. Le groupe rédacteur reconnaît ne pas avoir d’études scientifiques probantes et définitives pour soutenir 20 de ses 54 recommandations.
- Ce document a été financé et rédigé par des individus connus pour leur militantisme et par de grandes organisations privées et internationales dévouées à la promotion de l’avortement dans le monde. En effet, en 2020, 55 % des ressources du HRP étaient privées avec 20 millions de dollars de la Susan Thompson Buffett Foundation (et 65 % des recettes différées étaient privées avec près de 55 millions de dollars de la Susan Thompson Buffett Foundation) [1]
Comme nous nous proposons de vous l’expliquer de manière synthétique ci-après, ces lignes directrices consolidées sur l’avortement sont en réalité un document de promotion de l’avortement, qui instrumentalise l’Organisation des Nations unies à cette fin.
Absence d’autorité juridique contraignante
Ce document n’a pas de valeur juridique contraignante. Réalisé par un groupe d’élaboration des lignes directrices et de nombreux contributeurs extérieurs, il n’a pas été formellement adopté par l’OMS, ni par les États membres de l’OMS lors d’une réunion spécifique. Il a été adopté par consensus fin avril 2021 au cours de réunions du Groupe d’élaboration des lignes directrices (p. 136). Le document ne contient pas de date précise d’adoption ni de signature du directeur de l’OMS ou d’un chef de département compétent, comme c’est le cas pour un document ayant une valeur juridique.
Les sources juridiques sur lesquelles les rédacteurs s’appuient pour leurs recommandations légales sont également du « droit mou ». Ce sont des avis, des opinions, des rapports, des décisions ou des recommandations de Rapporteurs spéciaux, de Comités d’experts ou de groupes de travail des Nations unies. Il y a une multiplicité de sources visant à faire oublier un point fondamental de droit international que ce document ne change pas : il n’existe pas de droit international à l’avortement. Aucune convention internationale n’oblige les États à légaliser cette pratique.
Lire la suiteC.S. Lewis a prédit la tyrannie médicale dans son exquise trilogie de science-fiction
Cette hideuse puissance — That Hideous Strength — troisième partie de La Trilogie Cosmique.
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie
30 mai 2022 (LifeSiteNews) — Le terme « orwellien » a été appliqué à juste titre au cours des « deux semaines pour ralentir la propagation ». À bien des égards, nous avons vu naître le type de société contre lequel George Orwell avait mis en garde.
Le double langage, la réécriture de l’histoire et la surveillance croissante par le proverbial « Parti » sont devenus monnaie courante. Il semble qu’il y ait chaque jour une nouvelle raison de dire que telle ou telle chose est orwellienne, ou que telle ou telle autre est tout droit sortie de 1984.
La folie actuelle émanant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sous la forme d’un prétendu traité sur les pandémies semble en effet très orwellien ─ bien que nous devions noter que le genre d’idées émanant de l’OMS est monnaie courante pour tous les tyrans de notre époque de tyrannie sanitaire. Fauci, Schwab, Tedros et Tam sont tous taillés dans la même étoffe sulfureuse.
L’avocat Thomas Renz a récemment accordé une entrevue au Gateway Pundit, dans laquelle il décrit les conséquences potentielles de ce qui pourrait arriver si l’OMS obtient ce qu’elle veut.
La carte blanche donnée à l’OMS ─ une organisation pseudo-gouvernementale ─ pour opérer dans des nations souveraines sans avoir besoin d’autorisation, la collaboration mondialiste des élites de tous bords et une vision du monde matérialiste et scientiste obsédée par les virus feront sans doute dire aux commentateurs : « Orwell avait raison ! ».
Mais, en fait, ce n’est pas Orwell ─ ni Huxley avec Le meilleur des mondes, d’ailleurs ─ qui a prédit comment les idéaux d’une tyrannie médicale s’infiltreraient dans la vie normale. Pour trouver le véritable prophète qui a décrit comment une dictature de la santé prendrait racine dans la société, nous devons nous tourner vers C.S. Lewis.
Auteur prophétique
Lewis ─ peut-être plus connu pour son apologétique chrétienne et sa série des Chroniques de Narnia ─ a écrit une trilogie de science-fiction nommée à juste titre La Trilogie cosmique. Les trois livres qui composent la série sont intitulés Au-delà de la planète silencieuse, Perelandra et Cette hideuse puissance. Chaque livre peut être lu indépendamment ; cependant, lus dans leur ensemble, ils sont plus exquis et plus significatifs.
La troisième partie présente un scénario des plus analogues au monde d’aujourd’hui. Nous y trouvons une conspiration mondiale largement dirigée par des universitaires et des scientifiques, qui sont déterminés (littéralement) à instaurer un monde ouvertement sanitaire et exempt de tout germe intellectuel ou biologique.
Lire la suiteUn nouveau film soutient que l’OMS s’est livrée à une « expérience de contrôle de la population » sous couvert d’un programme de vaccination
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
8 juin 2022, Austin, Texas (LifeSiteNews) — Children’s Health Defense (CHD) a collaboré avec le cinéaste et activiste britannique Dr Andy Wakefield et Robert F. Kennedy Jr. pour produire un nouveau film qui vise à prouver que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’est engagée dans une « expérience de contrôle de la population » « menée sous le couvert d’un programme de vaccination » et qui a abouti « à la stérilisation de femmes africaines à leur insu et sans leur consentement ».
Selon un communiqué de presse publié par CHD, le film de 30 minutes intitulé « Infertility : A Diabolical Agenda » sera diffusé en avant-première le vendredi 10 juin à 14 heures sur CHD.TV, suivi d’une table ronde spéciale avec Dr Wakefield, Dr Christiane Northrup, Dr Jim Thorp, Dr Brian Hooker et Dr Liz Mumper.
Les invités sont censés « discuter de l’augmentation spectaculaire des problèmes d’infertilité dans le monde entier ».
« C’est avec une ironie opportune que l’Organisation mondiale de la santé révèle ses vraies couleurs alors qu’elle tente désespérément de prendre le contrôle de la santé mondiale », a déclaré Wakefield, le réalisateur du film, dans le communiqué de presse partagé avec LifeSiteNews.
« Cette histoire est un vrai “WHO” dunnit », a-t-il plaisanté [« Qui l’a fait » « L’OMS l’a fait », double jeu de mots avec WHO (qui) = OMS].
Selon CHD, le nouveau film « révélera la vérité derrière la collaboration infâme de l’OMS avec le gouvernement kényan, dans le cadre de laquelle un vaccin expérimental contre le tétanos, qui s’est avéré par la suite contenir l’hormone de grossesse βhCG, a été administré à des millions de femmes africaines en âge de procréer sans qu’elles le sachent ».
Les groupes pro-vie et les dirigeants catholiques s’inquiètent depuis longtemps du fait que les programmes de vaccination antitétanique parrainés par l’OMS, en particulier ceux qui ciblent spécifiquement les femmes en âge de procréer, pourraient être utilisés comme un moyen de stérilisation.
Au début des années 1990, les soupçons concernant les programmes mondiaux de vaccination contre le tétanos avaient conduit l’organisation pro-vie américaine Human Life International à demander une enquête du Congrès sur le programme de vaccination contre le tétanos en cours au Mexique, disant que ces médicaments pouvaient rendre les femmes vaccinées infertiles.
Lire la suiteUn expert pro-vie combat l’avortement financé par Gates et la tyrannie médicale mondialiste à l’ONU
Austin Ruse.
Par Nick Marmalejo — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : LifeSiteNews/Vimeo
(LifeSiteNews) — Austin Ruse, écrivain et chien de garde de la politique sociale des Nations unies, déclare que les militants pro-vie ont des raisons d’espérer dans la lutte contre le groupe de tyrannie médicale mondialiste.
« Ce qui empêche l’ONU de prononcer un droit international à l’avortement, c’est le fait que l’Assemblée générale n’a jamais accepté d’aller dans ce sens », a déclaré Ruse, fondateur et président du Center for Family and Human Rights, dans une entrevue exclusive avec Jim Hale de LifeSiteNews. « C’est là que le travail de mon organisation et d’autres comme elle entre en jeu, car cela fait maintenant 25 ans que nous aidons les délégations à négocier des documents et que nous veillons à ce que l’avortement ne soit jamais reconnu comme un droit humain international. »
Néanmoins, Ruse affirme qu’il existe une tradition de défiance envers l’Assemblée générale de la part de bureaux et de programmes distincts au sein de l’ONU, tels que l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Fonds international d’urgence pour l’enfance (UNICEF) et le Conseil des droits de l’homme des Nations unies (CDHNU). Ils ont toujours ignoré la volonté de l’Assemblée générale et s’emploient au contraire à promouvoir l’avortement au niveau mondial, en prétendant qu’il existe un droit international à cette pratique dans les documents de l’ONU.
« Il s’agit, bien entendu, d’une fausse affirmation », a expliqué Ruse, commentant le soutien à l’avortement du Conseil des droits de l’homme des Nations unies dans son mémoire d’amicus curiae adressé à la Cour suprême des États-Unis dans l’affaire Dobbs v. Jackson Women’s Health Organization.
« C’est une chose qu’ils ont voulue. C’est ce qu’ils ont essayé depuis la conférence du Caire en 1994, puis Pékin en 95 et de nombreuses autres conférences, mais l’avortement n’est même pas mentionné dans un seul traité sur les droits de l’homme. »
« La santé reproductive n’est mentionnée que dans un seul traité sur les droits de l’homme, à savoir le traité sur les personnes handicapées, et nulle part il n’est demandé que l’avortement devienne un droit de l’homme », a poursuivi Ruse.
« Pourtant, ces “experts” des droits de l’homme prétendent, à tort, devant les tribunaux du monde entier et maintenant ─ y compris devant notre propre tribunal ─ qu’il existe un droit international à l’avortement fondé sur les documents de l’ONU, contraignants ou non. »
Lire la suite4 trottoirs arc-en-ciel à Québec pour la «Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie»
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Vladvictoria/Pixabay
Hier, le Québec s’est revêtu de couleurs arc-en-ciel pour la journée internationale contre l’homophobie et la transphobie.
Établie le 17 mai 1990, cette journée a pour but de « commémorer la décision de l’OMS le 17 mai 1990 de ne plus considérer l’homosexualité comme une maladie mentale », selon Wikipédia.
Malheureusement, notre province « est un leader mondial » de l’action envers les communautés LGBT+ comme l’affirme Manon Massé, députée et porte-parole de Québec solidaire.
Un article de Radio-Canada mettant en lumière le 17 mai rapporte qu’« À l’occasion du 17 mai, le drapeau arc-en-ciel sera hissé pour la première fois à l’hôtel de ville de Québec et il y restera accroché toute la journée. »
De plus, « Les quatre tronçons de trottoirs peints aux couleurs de l’arc-en-ciel ont... pour but de mettre les communautés LGBTQ+ en lumière. »
Évidemment, les mots phares pour la journée étaient l’inclusion, la lutte contre la discrimination, l’accueil envers la communauté LGBTQ+. Le message répété par les médias portait sur le respect des personnes LGBTQ+, victimes de « discrimination, de violences, d’intimidation » comme l’explique la directrice générale de l’organisme québécois Alliance Arc-en-ciel.
Sans aucun doute, toute personne humaine mérite le respect, et toute personne humaine possède une dignité inhérente. Mais encourager les personnes LGBT à nier la réalité sur eux-mêmes, à agir à l’encontre de leur nature, à vivre dans le désordre moral va-t-il vraiment leur apporter le respect qu’ils méritent ? Encourager les personnes à suivre le chemin dérapant qu’est le chemin LGBT, c’est les encourager à rester aveugles à la réalité.
Et comment peut-on être heureux dans l’irréalité ?
Vouloir réellement aider les personnes LGBTQ+, c’est vouloir les ramener à la réalité, et les respecter, non pas comme esclaves du désordre, mais comme des personnes humaines dignes de ce nom.
L’OMS demande aux pays du monde de légaliser l’avortement jusqu’à la naissance, sans limites
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
L’Organisation mondiale de la santé a publié jeudi de nouvelles directives sur l’avortement qui incitent les pays à légaliser les avortements sans limites jusqu’à la naissance et à promouvoir les dangereux avortements par « télémédecine ».
Les lignes directrices de l’OMS sont à peu près aussi extrêmes qu’il est possible, demandant l’absence de limites gestationnelles pour l’avortement, la fin des exigences selon lesquelles seuls les médecins peuvent pratiquer des avortements, l’absence de consentement parental pour les mineures, l’absence de périodes d’attente et la promotion active de l’avortement — y compris des auto-avortements — par les gouvernements.
« Pouvoir obtenir un avortement sans risque est un élément crucial des soins de santé », a déclaré Craig Lissner, directeur par intérim pour la santé sexuelle et reproductive et la recherche à l’OMS. « La quasi-totalité des décès et des blessures qui résultent d’un avortement à risque est entièrement évitable. C’est pourquoi nous recommandons que les femmes et les jeunes filles puissent accéder aux services d’avortement et de planification familiale lorsqu’elles en ont besoin. »
Dans un communiqué de presse, l’agence internationale affirme que l’avortement est un « soin qui sauve des vies ». Pourtant, dans son rapport proprement dit, elle admet par inadvertance que ce n’est pas vrai. À plusieurs endroits, les lignes directrices mentionnent la « mort fœtale », reconnaissant ainsi qu’un bébé à naître est un être humain unique et vivant qui meurt lors d’un avortement, ce qui en fait le contraire d’un acte sûr.
L’OMS voudrait faire croire à la société que c’est la vie des femmes qui compte et non celle de leur bébé à naître. Pourtant, ses propres recommandations en faveur de l’extension des avortements mettraient probablement en danger davantage de femmes ainsi que leurs bébés à naître.
Le communiqué de presse de l’OMS dénonce les « avortements à risque », affirmant que 39 000 femmes en meurent chaque année. Mais il s’agit d’une exagération. Selon son propre rapport, 38 940 est l’estimation haute, et le nombre de décès de femmes dus à l’avortement est probablement beaucoup plus faible, environ 13 865 par an.
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