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Se préparer à la mort pour éviter l'euthanasie

Dans le journal le Nouvelliste de Trois-Rivières du 8 février 2012, les réflexions d'un "aumonier" d'hôpital, Nicolas Rivard, nous informe d'une tendance des plus déplorables. La volonté d'évacuer la pensée de la mort de nos vies, alors que c'est bien la conscience de la réalité de la mort qui permet de bien vivre chaque instant:

 

 

L'intervenant en vie spirituelle du CSSS du Haut-Saint-Maurice estime que la société québécoise gagnerait à modifier son approche des soins en fin de vie. Il se questionne sur les lieux de mort de notre société. «85 % des décès surviennent à l'hôpital. Il n'y a plus de dimension communautaire à la mort. La mort est médicale», souligne-t-il tout en précisant que les maisons de soins palliatifs redonnent de la dignité à la mort et qu'elle est mieux vécue aussi bien par le mourant que par ses proches.

De plus, ce détachement de nos sociétés contemporaines ainsi que la rupture avec la pratique religieuse qui donnait un sens, voire une raison, à la mort font évoluer nos sentiments face au grand repos. «Les sociétés pour qui la mort fait partie du quotidien ne sont pas aussi bouleversées lorsque celle-ci arrive», soutient M. Rivard. «De nos jours, le culte de la jeunesse fait que les aînés sont tassés. On ne veut plus voir la mort alors qu'elle est inévitable.»

«On va tous y arriver. Pourtant, on repousse tout le temps ça à demain. Il y a très peu d'endroits dans la société où on nous donne le temps, le moment de réfléchir sur la mort. Des patients arrivent à 90 ans et ils n'ont pas encore réfléchi à la mort», explique Nicolas Rivard qui croit qu'une personne adulte devrait commencer à réfléchir à ce sujet entre 40 et 50 ans...

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Planned Parenthood: tearing children away from their parents

Imagine being a 14-year old girl in a crisis situation: pregnant and yearning for some help. You take a little trip to the website of the world's largest abortion provider - Planned Parenthood - in search of some assistance.

Upon landing on the site, you turn to the Abortion section. With fear and anxiety running through your mind, the following words catch your attention: "¨Parental Consent and Notification Laws." Under this section, Planned Parenthood insists on making it clear that if you are under 18, you can avoid involving your parents in the abortion decision in three ways: 1) by asking a judge to excuse you, 2) by finding a legal guardian to be notified in place of your parent, or 3) by proving that you are independent of the care of your parents.

My question to you: does this information protect or harm the minor who finds herself pregnant and alone? Suppose I am a 14-year old girl who is pregnant and in shock...does my "freedom" to have an abortion without consulting my parents allow me to make the best, most informed decision?

There are cases where a pregnant girl is abused or neglected by her parents - in this situation, the presence of another caring guardian or school counselor should be enforced with even greater emphasis. However, Planned Parenthood's website is not helping minors to find the assistance they need...it is giving them bad advice and a false sense of security by encouraging the pregnant child to come to the abortion clinic in secret, without an adult. After this, she will have to bear the painful decision she made for the rest of her life.

I remember myself at age 14. I was a lot more impulsive. I made decisions based on my emotions- if I felt happy in the morning, I went out for a walk. If I felt sad and lonely, I'd eat chocolate and watch T.V. Were it not for the help of my parents, I'd probably still be engaging in those unhealthy habits...I wouldn't be who I am today because no one would have been there to nag me about the consequences of my actions and teach me how to respond with courage to life's difficulties.

Whether we like it or not, our parents shape our decisions. Without them, a child simply does not have the guidance necessary to make the best choice. So why does Planned Parenthood insist on conveying to minors that they do not need to involve their parents in the abortion decision? It looks like this baby-killing enterprise does not really want what is best for their underage clients - rather it seeks to push any parental input as far out of the decision as possible...so is Planned Parenthood really trying to "advance the right and ability of individuals and families to make informed and responsible choices"? I think not.

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Un enfant qui voulait vivre!

Sur le site de Riposte Catholique, Jeanne Smits a traduit le témoignage d'une famille courageuse:

C’était un petit quatrième. Sa maman, Kristin, étaient tellement fatiguée par sa famille de trois jeunes enfants (de 2 à 7) ans qu’elle avait refusé de faire un test de grossesse alors même qu’elle avait la certitude d’être enceinte. Peu à peu, soutenue par son mari, elle s’était habituée à l’arrivée d’un nouvel enfant et l’attendait désormais avec amour.

Elle en était à sa 13e semaine lorsque, subitement pendant la nuit, elle perdit les eaux.

Appelé en urgence, son médecin lui dit de n’aller aux urgences que le lendemain matin puisque, selon lui, il n’y avait aucune chance qu’un enfant puisse survivre sans liquide amniotique à ce stade, il n’y avait plus qu’à attendre son décès. 

Allaient suivre une série d’examens échographiques qui tous confirmèrent l’absence de liquide amniotique, mais à chaque fois le cœur de l’enfant battait vigoureusement. Si le premier médecin avait simplement conseillé aux parents de rentrer chez eux, de prier et d’attendre la mort inéluctable du tout petit, d’autres spécialistes se succédèrent ensuite pour conseiller vivement un avortement par dilatation et curetage, pour épargner à la jeune maman la tristesse de devoir attendre une fausse couche ou de donner le jour à un enfant qui ne vivrait pas plus d’un jour. A 16 semaines, un dernier expert accusa Kristin de vouloir laisser sa famille sans épouse et sans mère pour un bébé qui de toute façon n’avait aucune chance de survie : « Votre seule option est de mettre fin à la grossesse. » Car du fait de l’absence de liquide amniotique, elle risquait une infection grave.

Kristin et son mari, Matt, sortirent en larmes de cet entretien. Et commencèrent à chercher une lueur d’espoir sur internet : peut-être d’autres bébés avaient-ils survécu dans une telle situation ? C’était vain, l’arrêt de mort semblait signé. Mais ils trouvèrent tout de même un centre de maternité pro-vie à Fairfax, Virginie – le Tepeyac Family Center – où la naissance de bébés sans espoir de survie n’est pas considérée comme un scandale à éviter à tout prix. Kristin et Matt venaient de prendre la décision de tout laisser entre les mains de Dieu, leur douloureux « Fiat » se résumant à une offrande : que Dieu prenne leur tout-petit, si telle était sa volonté…

Pendant quelques semaines, la grossesse de Kristin fut suivie de près au Tepeyac Family Center : de semaine en semaine, et contre toute espérance, son bébé semblait grandir sans problème. A 26 semaines, après un repos prolongé, Kristin fut transférée vers un hôpital à une heure de route de sa maison ; elle était suivie en permanence pendant que l’enfant grossissait normalement.

 

La famille Page

A 32 semaines et 3 jours, les battements de cœur de Joey devinrent brutalement irréguliers. Après une attente de 24 heures, on pratiqua une césarienne d’urgence – et Kristin se préparait à la mort prochaine de son enfant, demandant juste à Dieu d’avoir au moins deux jours avec lui pour lui dire tout son amour.

Joey naquit tout bleu, et l’on craignit le pire. Le médecin accoucheur – catholique comme les Page – baptisa l’enfant immédiatement : Joseph Charles Page. Matt était là pour couper le cordon.

C’est alors que l’inimaginable se produisit : Joey cria fortement. Il souffrait certes de pneumothorax et il fallut l’oxygéner et lui faire des soins et des examens importants au cours des 7 semaines qui suivirent… Mais il n’avait pas seulement survécu, il allait quitter l’hôpital en parfaite santé. Sa naissance eut lieu le 2 octobre 2006 ; aujourd’hui, c’est un garçon espiègle qui vient d’entrer en maternelle. C’est un gamin plein de vie, toujours prêt à rigoler.

Il a aussi la joie d’avoir une petite sœur…

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Un sondage sur Cyberpresse sur l'ouverture du débat sur l'avortement

N'hésitez pas à aller votez pour l'ouverture du débat sur l'avortement!

Sur le site de Cyberpresse du 7 février 2012, la question du jour est :

"Devrait-on rouvrir le débat sur l'avortement au Parlement, comme le propose le député conservateur Stephen Woodworth?"

Travaillons à maintenir le débat ouvert!

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Le Devoir reconnaît l'ouverture du débat!

Le journal Le Devoir du 7 février affirme que le débat est relancé! Tant mieux!

Appuyons le député Woodworth qui a tenu ses propos d'une vérité cinglante:

 

«N'acceptez aucune loi qui dit que certains êtres humains ne sont pas des êtres humains», a déclaré le député de Kitchener Centre en conférence de presse hier matin. «Qu'importe quels résultats vous tentez d'obtenir avec une telle déformation de la réalité ou quelle philosophie vous défendez. L'histoire est remplie d'exemples désastreux de lois prétendant que certaines personnes ne sont pas des êtres humains».
 

Vous pouvez intervenir au bas de l'article du Devoir

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“Right is right even if no one is doing it; wrong is wrong even if everyone is doing it.”

Today, as I hear Stephen Woodworth's call to reassess section 223 of the Criminal Code of Canada, I draw strength from the popular saying “Right is right even if no one is doing it; wrong is wrong even if everyone is doing it.” According to section 223 of the Code, (1) A child becomes a human being within the meaning of this Act when it has completely proceeded, in a living state, from the body of its mother, whether or not (a) it has breathed; (b) it has an independent circulation; or (c) the navel string is severed.

Do not be ashamed if you were unaware of this absurd definition of human existence- it is likely a discovery for many of us, and thanks to Stephen Woodworth, some light will be shed on this important, urgent issue.

Now, for all the pro-choicers out there, your first reaction at Woodworth's proposal may be scorn and anger...how could he bring up abortion again? Doesn't he get it? The abortion debate is closed, and we won it!

Although it is my firm belief that abortion is a most heinous crime that steals lives everyday, that is not Woodworth's point. Irrespective of faith, politics, or culture, the question at stake here is one that everyone must grapple with: What constitutes a human being? To the pro-choice side, Woodworth may look like a pro-life stinker, but he is nonetheless right in contesting our current definition of when a "child" becomes human.

Let us refer back to section 223. If a child only becomes human when it has completely left its mother's body, then it would be legally permissible to choke a child to death upon the first breath it takes when exiting the womb as long as his lower body is still stuck in his mother's abdomen. Agreed? Of course not! This definition is absurd because it doesn't line up with our most basic intuitions.

But let's get to the root of the issue: are the unborn human or not? Imagine a world where babies were born minutes after being conceived...you know that this tiny organism will grow into a beautiful baby as long as you place it into a warm cave full of nutrients and protection. Would anyone dare to argue that this tiny being would fail to become a child and then an adult? The problem with the current legal definition of a human being is that it is deceitful; it evades responsibility from protecting human life. In short, this bad legislation just soothes the consciences of pro-choicers by masking the truth. If the unborn child were properly referred to as human, then abortionists would have to refer to themselves as murderers- and a country like Canada would have to admit to the legalization of the destruction of human life. 

It is not the first time in history that we undermine the value of human life. During the era of American Slavery, African American people were not given their full rights; they were treated as property to be sold and bought. In those times, slavery was not viewed as the injustice it is. So why are we making the same mistake again? Why are we treating human beings (the unborn) like property to be marginalized and sold in the service of our own ends? The answer is simply that we have the ability to kill unborn children...but it is not because we have the capacity to do something that we are allowed to do it. 

To say that the unborn child is not human till he leaves the mother's womb is a lie. It is a pervasive lie that has diseased the minds of many. I urge you to listen attentively to Woodworth's proposition; though he may seem to have his own political agenda, he is opening a debate that should concern us all.

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Le débat est relancé!!!

Avec l'initiative du député Stephen Woodworth, le débat est relancé, momentanément peut-être, mais il est nécessaire que la question de l'avortement reprenne la place qui lui revient dans nos différents sujets de discussions, c.-à-d. la première place.

Nous ne devons pas accepter la fermeture du débat, ni de nous taire, nous n'en avons pas le droit, tant que l'enfant à naître ne sera pas protégé et aimé.

NOUS SOMMES SA VOIX!

N'hésitons pas à parler, quelque soit nos difficultés à argumenter. Notre opposition personnelle est toujours un témoignage d'un refus de l'injustice et de l'inacceptable.

Ne baissons pas les bras, l'enfant à naître sera bientôt reconnu!

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Vous pouvez écrire au député Woodworth pour le féliciter et l'encourager!

C'est avec beaucoup de joie que nous vous transmettons l'adresse courriel du député conservateur Stephen Woodworth. Les bonnes initiatives valent bien la peine d'être encouragées!

N'hésitez pas à lui faire connaître votre joie, votre soutien pour son désir de protéger l'enfant à naître!

Voici son adresse courriel: [email protected]
Son numéro de fax:613-996-7329
Son numéro de téléphone: 613-995-8913
 

 

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Le courageux député Stephen Woodworth veut actualiser la définition d'être humain

Pour mieux protéger l'être humain, le député conservateur veut redéfinir la notion d'être humain. Radio-Canada du 6 février 2012, nous donne cette information:

 

Le député conservateur Stephen Woodworth a présenté lundi au greffier du Parlement une motion demandant aux membres de la Chambre de se pencher sur la notion d'être humain telle qu'elle est définie dans la loi.

Selon Stephen Woodworth, l'article 223 du Code criminel canadien stipule actuellement que pour qu'un enfant soit considéré comme un être humain, il doit être vivant et entièrement sorti du sein de sa mère.

Une définition qui date de 1642 et qu'il est plus que temps de revoir, selon le député de Kitchener-Centre, en raison notamment des progrès accomplis par la médecine et la science.

Cette fausse représentation de la réalité dans la loi a engendré selon lui « des tonnes de décisions désastreuses au fil des ans ».

Lors d'un point de presse, lundi, Stephen Woodworth a exhorté à plusieurs reprises ses collègues parlementaires à « rejeter toute loi qui vous dit qu'un être humain n'est pas un être humain ». (...)

Dans un communiqué émis en décembre 2011, M. Woodworth écrivait que « la loi canadienne n'offre aux enfants aucune protection avant leur naissance complète ». « Au Canada, un enfant est considéré comme un sous-humain tant que son petit orteil est encore dans le canal utérin, même s'il ou elle respire ».

Le journal Le Devoir du 6 février nous apporte cette même nouvelle que vous pouvez commenter au bas de l'article.

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Denise Bombardier fait l'éloge du féminisme et de "l'amour libre"

Denise Bombardier, dans un article du journal Le Devoir du 4 février, va jusqu’à affirmer :
 
« La seule révolution réussie du XXe siècle, celle qui n’a pas fait de victimes, n’a pas construit de camps de la mort, n’a pas semé la terreur, n’a muselé personne, n’a violé aucune loi et n’a imposé aucune barbarie, c’est la révolution féministe. Le combat pour l’égalité des sexes a bien sûr bousculé bien des hommes; il a aussi permis à des “fondamentalistes” antihommes de sévir dans des écrits en forme de brûlots, mais ces dommages collatéraux dont des vétilles en regard du progrès que le féminisme a entraîné dans nos sociétés. »
 
Si la révolution féministe s’attribue, comme elle le fait souvent, le « droit » à l’avortement reconnu à travers maint pays, comme l’une de ses réalisations, elle peut d’ore et déjà s’attribuer le titre d’idéologie la plus meurtrière de toute l’histoire de l’humanité, avec 55 millions d’enfants torturés et tués dans le monde, ANNUELLEMENT!
 
Le féminisme marxisme a placé la guerre au sein des familles : père contre mère, mère contre l’enfant, la citoyenne contre la famille. Il est certainement l’un des plus grands fléaux de l’humanité à l’heure actuelle et ses fruits, avortements, contraception, divorces, ont asservi la femme au désir masculin. Ce dernier n’a plus besoin de se marier ni de porter une quelconque responsabilité en cas de grossesse. Et il y a des femmes habituellement intelligentes, incapables de s’extirper de la propagande féministe qui recouvre la pensée occidentale, faisant l’éloge de cette idéologie totalitaire!
 
« Si tous les hommes étaient comme mon mari, disait la philosophe Aline Von Hildebrandt, jamais nous n’aurions été assez stupides pour être féministes ».
 
Et l’actrice Madeleine Renaud, de même, affirmait ne pas partager ni comprendre les revendications féministes, elle qui avait vécu pour Jean-Louis Barrault et lui pour elle.
 
Il faudra réaliser qu’en acceptant « l’amour libre », les femmes ont accepté de ne pas être aimées. Denise Bombardier attaque le mariage dans son article sans s’apercevoir qu’elle attaque la seule structure extérieure favorisant l’amour véritable entre un homme et une femme en couple, parce qu’elle est la seule structure ne séparant pas l’amour de la responsabilité qui lui est conjointe.
 
« Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose... -         Je suis responsable de ma rose... répéta le Petit Prince, afin de se souvenir. »
 
Le féminisme, défenseur de « l’amour libre », gagnerait non pas à se souvenir, mais à apprendre ce qu’est l’amour et la responsabilité. Il pourrait dès lors défendre le bonheur des femmes et non pas le détruire en construisant un type de femme totalement anti féminin, antifemme, antifamilial, ce type de femme vieille fille aigrie à la Simone de Beauvoir qu’elle a pris comme modèle, où réclamant l’euthanasie comme une Benoite Groulx, adolescente attardée ayant tentée de jouir de la vie, sans jamais comprendre un instant ce qu’est l’amour dans ses aventures de cinéma aux multiples amants. Des vies pitoyables d’une infinie tristesse que le féminisme présente comme des modèles d’émancipation! À quand le réveil?
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