Avec l'initiative du député Stephen Woodworth, le débat est relancé, momentanément peut-être, mais il est nécessaire que la question de l'avortement reprenne la place qui lui revient dans nos différents sujets de discussions, c.-à-d. la première place.
Nous ne devons pas accepter la fermeture du débat, ni de nous taire, nous n'en avons pas le droit, tant que l'enfant à naître ne sera pas protégé et aimé.
NOUS SOMMES SA VOIX!
N'hésitons pas à parler, quelque soit nos difficultés à argumenter. Notre opposition personnelle est toujours un témoignage d'un refus de l'injustice et de l'inacceptable.
Ne baissons pas les bras, l'enfant à naître sera bientôt reconnu!
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