40 jours pour la vie -- lancement mardi prochain à 19h00 !
Les 40 jours pour la vie sont de retour à Montréal du 22 février au 1er avril avec un lancement mardi soir prochain à 19h00 au Parc Lahaie ! Soyons nombreux !
Laissez un commentaireLe Devoir parle de l'association pro-avortement ACLC
Qu’est-ce que cette association : Incorporée en 2002, l’Association canadienne pour la liberté de choix (CFC) est un organisme de bienfaisance, sans but lucratif, qui travaille pour que tous les Canadiens et Canadiennes puissent exercer leurs choix en matière de reproduction.CFC imagine un monde où les individus — indépendamment de leur âge, race, genre, orientation sexuelle, lieu de résidence, statut socio-économique ou autre statut — ont accès à l’information, aux ressources et aux services requis pour faire des choix libres sur tous les aspects relatifs à la santé et aux droits sexuels et reproductifs.Le travail de l’Association canadienne pour la liberté de choix porte sur la promotion de l’accès aux méthodes de contraception, la prévention des grossesses non désirées, l’augmentation de la quantité et de la qualité d’information qui circule sur la santé reproductive, l’amélioration de l’accès aux services d’avortements sécuritaires, la formation des médecins et spécialistes de la santé aux thèmes reliés à la santé reproductive, ainsi que l’éducation des femmes, des hommes et des jeunes pour que tous et toutes puissent prendre des décisions éclairées en matière de sexualité et de reproduction. Nous voulons que les familles aient les ressources nécessaires pour élever des enfants heureux et en santé.Nous nous dévouons à :Éduquer et former les professionnels de la santé sur l’accès à des soins de qualité et de meilleurs services en matière de santé reproductive;Sensibiliser et éduquer le public sur tous les aspects relatifs aux choix en matière de santé reproductive;Avancer et supporter la recherche éthique sur les aspects sociaux, légaux et médicaux de la santé reproductive;Rechercher et analyser les politiques qui ont des répercussions sur la santé reproductive; les faire connaître au public et faire le suivi nécessaire pour qu’elles évoluent en fonction du respect des droits fondamentaux;Partager les résultats des recherches sur la santé reproductive avec le public et les professionnels de la santé;Être un centre de ressources et d’information fiable sur les services de santé sexuelle et reproductive;Promouvoir la santé reproductive au niveau international.
Cours ECR en Cour Suprême : Les parents ont perdu !!
La liberté de religion au Canada a reculé avec cette décision de la cours suprême du Canada. Les parents n'ont désormais pas le droit de retirer leurs enfants du cours de lavage de cerveau relativiste Éthique et culture religieuse. Il y aura aujourd'hui à 14h00 à Montréal une conférence de presse animée par des membres de la CLÉ et autres groupes impliqués.
À suivre...
Laissez un commentairePetite histoire amusante sur l'existence de Dieu
(Nous cherchons la source première de cette histoire bien populaire : prière de nous la faire parvenir si vous la connaissez.)
Laissez un commentaireAvis de convocation des médias pour le jugement de la cour suprême sur le cours ECR
Mise-à-jour (17 février 2012): Les parents ont perdu !
Nous avons reçu cette invitation pour cette conférence de Presse que nous vous transmettons. Le Cours d'Éthique et Culture Religieuse sera-t-il imposé aux parents, ou auront-ils la liberté de transmettre leurs valeurs à leurs enfants?
MONTRÉAL, le 16 févr. 2012 /CNW Telbec/ - La Cour suprême du Canada rendra jugement dans la cause « S.L.c.Comission scolaire des Chênes (no 33678)" ce vendredi 17 février à 9h45.
Rappelons qu'il s'agit de la cause dans le cadre de laquelle des parents d'enfants inscrits à l'école publique à Drummondville ont demandé une exemption du programme Éthique et culture religieuse (ÉCR).
Les médias sont convoqués à une conférence de presse :
Quand : Vendredi le 17 février 2012 à 14 h 00 Où : Hôtel Holiday Inn
Salle Diplomate
420, rue Sherbrooke Ouest
Montréal (Québec) H3A 1B4La mère des enfants ainsi que Me Mark Phillips, avocat des parents devant la Cour suprême du Canada, prendront la parole.
Seront également présents des représentants de différents organismes qui ont appuyé la demande, notamment la Coalition pour la liberté en éducation (CLÉ), le Regroupement chrétien pour le droit parental en éducation (RCDPE), l'Association des parents catholiques du Québec (APCQ), ainsi que l'Association de la Communauté Copte Orthodoxe du Grand Montréal (ACCOM).
Il va sans dire que tous et spécialement les familles sont les plus que bienvenues à cet événement si important pour la liberté de conscience et la liberté religieuse au Canada.
Laissez un commentaireLa ministre Beauchamp: enlever le mot Dieu d'une chanson dans une école est un "manque de jugement"
Le journal de Québec du 16 février 2012 donne les commentaires sereins de la ministre Beauchamp devant ce qu'elle qualifie de "manque de jugement". Il y aura une intervention auprès de la commission scolaire de Sorel-Tracy qui avait endossée cette initiative des plus bornées.
Soucieux de laïcité, un professeur a retiré une phrase de «L'Hymne à l'amour» parce qu'elle contenait le mot «Dieu», ce qui a indisposé plusieurs parents d'élèves. La Commission scolaire de Sorel-Tracy a défendu la décision de l'enseignant.
Les ministres du gouvernement Charest sont outrés de cette décision. «Je suis vraiment en désaccord avec la décision, vraiment franchement! Premièrement, on ne change pas les paroles d'une chanson comme ça. Deuxièmement, au Québec, il n'y a pas d'interdiction de dire le mot Dieu, ou Jésus. C'est une chanson qui fait partie du répertoire francophone, il y a plein de chansons québécoises où on parle du bon Dieu», s'est insurgé jeudi la ministre de l'Éducation.
Selon elle, il s'agit là d'un «manque de jugement». Mme Beauchamp a d'ailleurs assuré qu'une «intervention est faite auprès de la commission scolaire» en lien avec cette histoire.
Cela fait plaisir d'entendre une remarque pleine de sens dans la bouche d'un politicien!
Laissez un commentaireLe gouverneur Christie opposera son veto au "mariage" gai pour le New Jersey
Heureusement, il y a aux États-Unis des gens courageux. Le journal Le Soleil du 15 février nous apporte cette nouvelle:
Les députés de l'État du New Jersey s'apprêtaient à voter jeudi en faveur d'un projet de loi autorisant le mariage homosexuel, déjà adopté par le Sénat local, auquel le gouverneur républicain Chris Christie comptait toutefois opposer son veto.
«Le vote aura lieu aujourd'hui, dans l'après-midi ou la soirée», a assuré à l'AFP une source démocrate de la Chambre des représentants du New Jersey.
Les démocrates disposant de la majorité à l'assemblée -46 contre 33 républicains-, le texte a toutes les chances d'être approuvé.
Il a déjà été adopté lundi par le Sénat local, également aux mains des démocrates, par 24 voix contre 16.
Le projet de loi devrait toutefois rester bloqué sur la table du gouverneur de l'État, le républicain Chris Christie, qui a annoncé qu'il opposerait son veto au texte. «Je ne suis pas un grand fan du mariage homosexuel. Ce n'est pas quelque chose que j'approuve. Je crois que le mariage doit être entre un homme et une femme. Telle est ma position. Et ce sera aussi celle de notre État parce que je ne signerai pas une loi similaire à celle adoptée par l'État de New York» le 24 juin, a déclaré le gouverneur conservateur lors d'une récente interview donnée à la télévision américaine.
En janvier 2010, le Sénat du New Jersey, à l'époque également aux mains des démocrates, avait rejeté un projet de loi sur le mariage homosexuel par 20 voix contre 14.
Chris Christie a déjà utilisé son veto pour refuser un financement à Planned Parenthood.
Laissez un commentaireRefusons de payer pour l’avortement par nos impôts !
En ce début d'année 2012, je voulais lancer une grande campagne d'arrêt de financement public de l'avortement au Québec.
Selon moi, trois possibilités s'offraient à nous.
1) Une campagne de pétitions. L'Assemblée nationale accepte les pétitions. Il faut trouver un député qui accepterait la nôtre au nom de l'Assemblée nationale (le député n'a pas à être d'accord, mais doit seulement accepter de servir d'intermédiaire). Nous parcourrions le Québec tout au long de l'année pour faire la cueillette de signatures et nous présenterions nos signatures à l'assemblée. Un comité étudierait la pétition, et puis après ... selon moi, le tout serait probablement jeté à la poubelle, sans grand résultat (ainsi, au début des années 1970, une pétition contre l'avortement de 1 000 000 de noms a été déposée en grande pompe à Ottawa –les pétitions ayant été livrées par 10 voitures, une voiture par province— et le résultat net fut... à peu près zéro !).
Avantage: complètement légal. Désavantage: pas grand effet à court ou à moyen terme et, pour cette raison, ce n'est pas très inspirant comme démarche. Les gens, je pense, n'y porteraient pas grand intérêt…
2) Une campagne de désobéissance civile : Chaque contribuable québécois débourse en moyenne 10$ par année pour l'avortement « libre et gratuit ». Par nos impôts, nous participons matériellement aux meurtres de 30 000 êtres humains innocents par année. Les premiers chrétiens préféraient la mort plutôt que de se permettre de brûler ne serait-ce qu'une miette d'encens aux dieux de la cité. Aujourd'hui, l'État nous fait participer par nos impôts à l'immolation de bébés. Avons-nous raison d'accepter sans protester ? Nous pourrions donc nous engager dans une campagne de désobéissance civile, où nous refuserions de payer ce 10$. Sur notre relevé d'impôts, nous soustrairions 10$ du montant dû et nous enverrions une lettre explicative. Nous tenterions de trouver un bon nombre de gens (disons 100 000) pour faire de même. La province ne pourrait pas poursuivre 100 000 personnes pour la même petite faute !
Avantage : Initiative inédite, les gens suivraient avec beaucoup d'intérêt cette activité cohérente avec nos convictions. Désavantage : activité illégale, les organisateurs seraient arrêtés, probablement assez rapidement (car il faudrait annoncer cette campagne haut et fort pour pouvoir recruter un nombre suffisant de participants), et peu signeraient s'il y avait un risque de conséquences graves (sans parler de tous ceux qui reçoivent un retour d'impôts et qui ne pourraient par conséquent participer à cette campagne).
3) Une campagne d'objection de conscience : Nous payerions 100% de nos impôts mais avec le formulaire d'impôts
nous enverrions une lettre réclamant au gouvernement du Québec de nous rembourser le 10$ (en moyenne) servant au financement de
l'avortement. Donc CQV ferait le tour du Québec (et de l'Internet québécois) pour demander à ceux qui partagent nos convictions d'envoyer une lettre au ministre des finances exigeant le remboursement de leur 10$.
Avantage: 100% légal, et par cette demande en bonne et due forme de remboursement, nous ne participerions plus sans protester au financement de l'avortement par nos impôts.
J'ai finalement décidé ce qui suit : pour la saison d'impôts en cours, je lance une campagne d'objection de conscience à moins grande échelle que ce que nous pourrions faire plus tard. Ici, vous trouverez une lettre que vous pouvez envoyer avec votre formulaire d'impôts ou directement au ministre responsable. Vous n'avez qu'à indiquer le montant que vous voulez qu'on vous rembourse (le montant moyen est de 10$), à la signer et à l'expédier avec vos impôts. Si vous faites vos impôts par Internet, vous pouvez envoyer votre lettre à un des bureaux du Ministre Bachand.
Nous avons un devoir de résistance ! Je vous encourage fortement à faire ce geste qui, bien que symbolique, peut, à la longue, porter fruit.
Pour la Vie !
Georges Buscemi, président
Oui, je veux défendre l'enfant à naître ! Voici mon don pour permettre à Campagne Québec-Vie de continuer de communiquer au Québécois un véritable espoir, le seul qui redressera le Québec.
Laissez un commentaireLe mythe de l'économie du système de garderie...
« Certains pays scandinaves ont adopté partiellement une approche similaire. Notamment, la Norvège qui est le plus “généreux” à cet égard. Toute famille qui a un enfant entre 13 et 35 mois, si elle n'utilise pas les services municipaux de garde, reçoit le montant versé par le gouvernement national aux municipalités par place, la moitié du montant, si la famille utilise les services à demi-temps, et ainsi de suite. Pour 2011, la subvention mensuelle versée à la famille est de 582 $/enfant (pendant au maximum 23 mois). En Finlande, la subvention pour non-utilisation des services municipaux de garde est de 428 $/mois pour un enfant de plus de 9 mois et de moins de 36 mois.Tous les pays scandinaves offrent des régimes de congés parentaux, mais ne subventionnent pas les services de garde pour les enfants de un an ou moins (moins de huit mois en Finlande). La subvention pour garde à la maison (les parents peuvent néanmoins faire garder de façon privée) est vue comme une prolongation des congés parentaux.L'ADQ avait dans son programme mis de l'avant l'idée d'une subvention de 100 $/semaine (5200 $/an). Une telle mesure est tout à fait réaliste financièrement à certaines conditions. Si le gouvernement adoptait l'idée, le montant varierait entre 5447 $ et 12 810 $, ou encore, si on retenait la subvention moyenne par place à 7 $ pour l'année 2009-10, le montant serait de 9000 $. »
Est-ce trop demander qu'on nous laisse la liberté de choisir ce qui convient le mieux pour nos enfants? Ce qui inclut "le luxe" de pouvoir passer du temps avec nos enfants grâce à une allocation parentale plutôt qu'une subvention à la garderie?
Laissez un commentairePauline Marois ne permettra pas un référendum sur l'avortement, même si elle promeut les RIP
Fidèle à elle-même, la chef du Parti Québécois ne permettra pas qu'il y ait un référendum sur l'avortement, peu importe que la population le demande ou pas. Les référendums "d'initiatives populaires" ne serviront que sur des questions précises... que Pauline Marois aura agréées. Voilà la preuve que même un référendum peut-être manipulé pour être un outil partisan et non respectueux de la volonté de la population. Le journal Le Devoir du 16 février nous apporte l'information:
Laissez un commentaireMme Marois s'est faite rassurante quant aux sujets qui pourraient être exclus de consultations réclamées par des citoyens. «Est-ce qu'on pourrait contester le droit à l'avortement? Est-ce qu'on pourrait ramener la peine de mort? Non, on ne va pas jouer dans ce film-là», a-t-elle dit.