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L'élevage de bébés par les esclaves indiennes, mères-porteuses au service des fortunés de la planète

Sur le site de citoyen et français.fr du 16 avril 2013, l'histoire de ces femmes qui reçoivent 667 euros par mois pour être enfermées comme des poules couveuses dans leur cage:

 

http://rutube.ru/video/embed/6291505

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Ted Hugues à l'origine de deux avortements forcés?

Sylvia Plath et l’amante de Ted Hugues victimes de l’avortement, forcées par l’écrivain britannique?

Le poète anglais Ted Hugues a eu une vie très tourmentée. Wikipédia résume ainsi une partie de sa vie amoureuse :

 

À la fin de son adolescence, Ted Hughes part étudier la littérature anglaise, l'anthropologie et l'archéologie à l'Université de Cambridge, où il rencontre la poétesse Sylvia Plath. Ils se marient le 16 juin 1956 et se séparent à l'automne 1962, après avoir eu ensemble deux enfants, Frieda et Nicholas.

La responsabilité de Ted Hughes quant au suicide de son épouse en 1963 a longtemps été l'objet de multiples spéculations de la part des critiques. À la mort de Sylvia Plath, Ted Hughes devient l'exécuteur testamentaire de l'héritage personnel et littéraire de son épouse. Il supervise la publication de ses manuscrits, notamment celui d'Ariel en 1966. Bien que ce fait n'ait jamais été prouvé, il est suspecté d'avoir détruit le dernier cahier du journal intime de son épouse, qui contenait des détails sur leur vie commune.

Six ans après la mort de Sylvia, le 25 mars 1969, Assia Wevill, la maîtresse de Ted Hughes, se suicide elle aussi, emportant dans la mort leur fille commune, Alexandra Tatiana Eloise Wevill, surnommée Shura, née le 3 mars 1965.

 

Une recension du nouveau roman « Mourir est un art, comme tout le reste » sur la vie de Sylvia Plath parle du possible avortement de la poète :

« Sylvia tomba sous le charme de son futur mari, auteur fort prisé en Angleterre qui la vampirisa à tous les points de vue. Non seulement seul son art à lui avait de l'importance mais encore dut-elle endurer sa conception univoque du couple, lui seul étant autorisé à la tromper et surtout à exiger d'elle des sacrifices tels qu'un avortement auquel elle dut avoir recours au début de leur union. Elle fut ainsi contrainte d'effectuer l'aller-retour en transatlantique pour aller avorter légalement aux États-Unis (la chose était encore interdite au Royaume-Uni), opération traumatisante qu'elle dut affronter seule puisque son brave auteur de mari avait d'autres chats littéraires à fouetter pendant ce temps là. »


Or en 1963, année du suicide de Sylvia Plath, sa rivale Assia Wevill est enceinte de Ted Hugues. Cette grossesse serait la cause du suicide de Sylvia Plath. Mais Assia Wevill subira elle aussi l’avortement cette année-là, accompagnée pour cette procédure par le poète. Assia (sur la photo) se suicidera avec son fils, quelques années plus tard, en 1969,

Est-il légitime de penser que la coïncidence du parcours d’avortement de ces deux femmes trouve son origine dans la volonté du poète de les pousser à l’avortement à ce moment précis de leur vie?

Un mystère demeure. Mais ce qui est sûr, c’est que ces vies où l’avortement a pris place furent des cauchemars.

Le cauchemar des artistes qui croient que leur art est plus important que la vie même...  

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L'euthanasie des enfants et des autres ne pouvant se prononcer, en Belgique

La Belgique est « en avance » d'une décennie. Alors que le Québec veut suivre ses traces en voulant permettre l'euthanasie et en affirmant qu'il n'existe pas de pente glissante dans le domaine, les Belges discutent, eux, d'euthanasier les enfants et certaines personnes qui ne pourraient le demander ou consentir à leur propre euthanasie...  pour leur bien, il va sans dire! Sur le site de euthanasiestop.be du 1er avril 2013 :

D'abord, l'euthanasie des enfants. Par hypothèse, l'euthanasie d'un enfant sera décidée par ses parents, et non par l'enfant lui-même (« les très jeunes patients ne seront pas en mesure d'émettre eux-mêmes une demande d'euthanasie », reconnaît l'auteur de cette proposition de loi sur le site Web de son parti). On excipe de la souffrance intolérable d'enfants malades. Nul ne la conteste et, dans ce crépuscule effroyable de la vie végétalisée qui annonce la mort, les praticiens ne s'acharnent guère. Mais qui ne voit que la consécration d'un droit à part entière ouvrira progressivement les vannes de l'infanticide par commodité ? Même en assortissant ce droit de garanties procédurales, comment éviter que des parents ne posent le choix terrible d'euthanasier leur enfant malade par confort (financier, émotionnel, pratique) ?

Déjà, le confort est déterminant de la plupart des interruptions volontaires de grossesse (IVG), qui devaient initialement ne concerner que les cas de détresse. Les partisans de l'avortement nous avaient expliqué que, dans les premières semaines, l'enfant n'est pas encore constitué et que, dès lors, le droit de la mère prime celui d'un être qui n'est pas tout à fait humain. Cet argument s'estompe avec l'euthanasie des enfants — sauf à considérer que la maladie d'un enfant le ferait régresser à un stade pré-humain. Il s'agit bien, à présent, quels que soient les termes utilisés, d'investir un parent du droit exorbitant de décider de la mort de son enfant.
Voici que l'on débat, plus généralement, de l'euthanasie décidée pour et à la place d'une personne qui, malade, ne serait plus en mesure de former son propre jugement. Là encore, comment éviter que le confort de l'auteur du décret fatal — par exemple, le fils ou la fille de l'intéressé(e) — ne prime d'autres considérations, plus altruistes ? S'en assurer supposerait de sonder son âme. L'un de mes proches est mort d'une tumeur cérébrale. Son épouse l'a accompagné jusqu'au bout et il a rendu son dernier souffle chez lui. Avec la loi envisagée, nul n'aurait pu s'opposer à une demande d'euthanasie, certainement pas l'intéressé, qui avait progressivement perdu l'usage de la parole. Un ami est mort grabataire, après trois longues années de souffrance. Il ne cessait de me dire qu'il attendait la mort. Mais il n'a jamais voulu qu'on la lui administre. La dernière année, il ne parlait plus. N'étaient l'amour et le courage de son épouse, qui, avec la loi envisagée, aurait pu s'opposer à ce que l'on hâte son trépas ?
Ainsi des réformes en apparence étrangères — avortement, euthanasie, euthanasie des enfants, euthanasie pour autrui — sont-elles liées par une vraie cohérence : le droit au confort se hisse au premier rang des droits de l'homme. Triomphe de l'hédonisme, loi du plus fort, appropriation de la personne.

 

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Warawa plie sous la pression et ne réclame plus de droit de parole sur l'avortement sélectif

La pression politique exercée sur le député Warawa l'a poussé à cesser de réclamer le droit de présenter une motion au parlement sur l'avortement sélectif. Mais cette problématique est toujours sur le tapis alors que la prochaine marche pour la vie,  le 9 mai 2013 à Ottawa, sera effectivement sur le thème : «Cessons le feoticide féminin».

À nous d'aller rappeler au parlement que ce n'est pas parce qu'il réussit à faire taire un député que la problématique n'est plus existante et que nous nous tairons!

Le journal La Presse du 17 avril 2013 résume ainsi l'affaire Warawa:

 

(Ottawa) Après que deux comités parlementaires eurent bloqué sa tentative de faire condamner l'avortement sélectif des filles par la Chambre des communes, le député Mark Warawa a semblé changer de cap, mercredi.
 
Le député de Langley, en Colombie-Britannique, a provoqué la controverse, l'automne dernier, lorsqu'il a présenté la motion M-408 qui appelait les députés fédéraux à dénoncer l'avortement visant à empêcher la naissance d'une fille. L'initiative a été décriée comme une tentative déguisée de rouvrir le débat sur l'avortement.
 
Le premier ministre Stephen Harper a maintes fois répété qu'il ne souhaite pas relancer ce débat explosif. Deux comités dominés par les conservateurs ont jugé la motion de M. Warawa inapte à être votée.
 
Dans un communiqué, le député a fait savoir qu'il poursuivra son combat contre cette forme d'avortement avec ses collègues de tous les partis aux Communes. Il entend aussi participer à des débats et prononcer des discours à l'extérieur du Parlement.
 
Mais au plan législatif, il souhaite plutôt parrainer une initiative qui vise à restreindre l'endroit où peut habiter un prédateur sexuel condamné.

 

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Mgr Simard, évêque de Valleyfield, sera de la marche printannière contre l'euthanasie

Sur le site de hebdosvalleyfield.ca du 16 avril 2013:

(Mgr Simard, à gauche, et Mgr Robert Lebel. Espérons que les évêques se joindront aux mouvement de la population contre l'euthanasie au Québec.)

 

 SALABERRY-DE-VALLEYFIELD - L’évêque du diocèse de Valleyfield, Mgr Noël Simard, prendra part à la Marche printanière contre l’euthanasie qui se déroulera à Québec le 18 mai prochain.

 «C’est mon principal dossier présentement», a indiqué Mgr Simard au bulletin électronique Proximo de Radio Ville-Marie.
(...)
Selon lui, l’aide médicale à mourir s’avère une expression déguisée et il s’agit avant tout d’euthanasie.

 

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Embryons humains à vendre, ne ratez pas la dernière aubaine...

Sur le blog de Jeanne Smits du 16 avril 2013:

(Entre un embryon de vache et celui d'un être humain, pour certains, il n'y a qu'une différence de profits)

 

 

 

Une clinique de fertilité de Davis, Californie, vient de lancer une innovation commerciale. Histoire de proposer une procréation médicalement assistée un peu moins chère, elle a décidé de mettre en vente des embryons aux couples stériles en vue de leur implantation. Cela permet de leur éviter toute l'onéreuse procédure de la récolte de gamètes et de la fécondation in vitro, rapporte l'Irish Examiner.
 
Jusqu'ici il était possible aux Etats-Unis d'acheter des gamètes – sperme ou ovules – séparément. La clinique californienne brûle désormais les étapes en créant une « fournée » d'embryons obtenus à partir d'un donneur de sperme et d'une donneuse d'ovules, pour après les vendre à des patients multiples. A 9.800 $ (7.500 €) l'embryon, le gain n'est pas négligeable.
 
Evidemment, les embryons vendus ainsi n'ont aucun lien génétique avec leurs acheteurs. (...)

 

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Gosnell : pourquoi les médias ne s'y sont pas attardés...

 Le silence sur l’affaire Gosnell

Aujourd’hui paraît un article dans le Washington Post défendant la faible couverture médiatique de l’affaire Gosnell : « Je souhaite être conscient de toutes les histoires partout dans le monde, mais je ne peux l’être affirme Paul Fahri, directeur du Post.

Vraiment? C’est quand même bizarre que la totalité des directeurs des journaux américains ait eu la même réaction face à cette histoire. Mais peut-être ont-ils raison, après tout, ce n’est qu’une banale histoire de serial killer qui a tué des centaines de bébés en sectionnant leur cou, une clinique d’avortement qui a drogué et forcé des jeunes filles à avorter, un brave homme qui n’a fait, selon ses dires, que faire des avortements un peu tardifs…

Ce qui explique probablement tout ce silence autour de ces meurtres. Il n’y a pas de quoi faire un plat de cette affaire, on n’est tout de même pas en présence de Jack l’Éventreur!

Et pour ce qui est de jounralistes canadiens, ne nous occupons surtout pas des centaines d’avortements tardifs ratés, des centaines d’enfants laissés sur une plaque de métal à mourir tranquillement au Canada. Pourquoi faire un plat avec quelques centaines d’avortements tardifs dirait la présidente du Conseil du statut de la femme, ou la Fédération des femmes du Québec?

Nous allons toujours plus loin dans la perte de sensibilité. Et les philosophes québécois et occidentaux, enseignant les délires de Peter Singer sur l’égalité des espèces animales et humaines, enseignant qu’un orang-outang a plus de valeur qu’un bébé nouveau-né, ne sont qu’une étape dans le processus de déshumanisation.

Alors qu’un employé pendant neuf ans raconte qu’“il pleuvait des fœtus, des fœtus et du sang partout. Je me sentais comme un pompier en enfer. Je ne pouvais pas éteindre tous les incendies. ”; ou alors qu’une autre employée raconte qu’après que le docteur eut remarqué qu’un bébé avorté respirait toujours, il lui eut sectionné la moelle épinière au niveau du cou, qu’il l’ait placé dans une boîte à chaussures, avec les bras et les jambes qui débordaient sur les côtés, que malgré ces traitements, le bébé bougeait toujours, que le docteur Gosnell  a rassuré son employée en disant que ce n’était que des réflexes, qu’il n’y avait pas de quoi s’émouvoir, et qu’il plaisantait en disant que le petit bébé était assez grand pour marcher jusqu’à l’arrêt d’autobus, non, vraiment, il n’y a pas de quoi s’émouvoir et les journalistes américains l’ont bien compris.

Voilà, malheureusement, la population américaine, ignare, ne l’entendait pas de cette oreille, et la nouvelle fut la plus répandue par les réseaux Twitter. Alors la presse américaine s’est sentie obligée de parler de cet événement sans importance qui ne concernerait surtout pas l’avortement… mais l’infanticide…

Il n’y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir… Et le peuple américain a reçu l'exemple du président Obama qui a refusé de commenter l'affaire : n'a-t-il pas à quatre reprises voté contre l'Acte de protection des enfants nés vivants de l'Illinois, qui cherchaient à protéger les enfants nés vivants après un avortement?

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NOUVEAU SONDAGE : 55 % DES FRANÇAIS S'OPPOSENT AU MARIAGE ET À L'ADOPTION PAR LES COUPLES HOMOSEXUELS

La vérité se défend par elle-même. Encore faut-il la dire... Et voila que la prise de parole de nombreux Français permet aux indécis de prendre conscience de la valeur des arguments contre le « mariage » gai et l'adoption par les partenaires de même sexe. Pour voir le sondage, cliquez ici.

(Si chaque nation a une vocation, celle de la France est de faire resplendir la vérité à travers la planète.)

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La France ne décolère pas contre son gouvernement qui refuse d'entendre son peuple sur la question du « mariage » gai

Nous vous référons ici au site du Salon Beige qui contient de multiples photos et reportages des dernières nouvelles sur ce combat pour la protection du droit des enfants d'avoir un père et une mère, et non pas deux pères ou deux mères.

(Les Français sont toujours dans la rue aujourd'hui pour manifester contre un gouvernement qui ne veut rien entendre et se barricade, interdisant aux manifestants d'aller manifester devant ses locaux.)

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La situation du combat contre l'élimination des enfants à naître en Espagne : de nouvelles protections

Sur le site de come4news.com du 16 avril 2013:

 

(Le ministre de la Justice espagnol, Alberto Ruiz-Gallardon)

 

 

 Le ministre de la Justice, Alberto Ruiz-Gallardon a en effet annoncé hier un durcissement de la loi sur l'IVG. La mise en danger de la vie de la mère devra être plus précisément attestée, les avortements pour raisons de malformations du fœtus seront prohibés et il est question d'interdire aux mineures d'avoir recours à l'IVG.

La cour constitutionnelle espagnole, avec l'appui du ministre de la Justice et de la majorité des parlementaires, pourrait bientôt entamer une révision, beaucoup plus restrictive, de la loi espagnole sur l'interruption volontaire de grossesse (IVG).D'une part, les médecins pourraient plus facilement alléguer des dilemmes de conscience pour refuser de procéder à tout avortement, (...)
D'autre part, pour éviter tout « eugénisme », il serait réaffirmé que la vie est un droit inaliénable dès la conception. Personne n'a le droit de l'interrompre en raison de malformations(...)
De même, il faudrait établir la certitude que la mère soit gravement en danger de mort  pour procéder à une IVG.(...)
 
En octobre 2009, plus d'un million de personnes avaient défilé à Madrid pour réclamer l'interdiction de l'IVG. De fait, depuis le début des années 1990, le nombre des IVG avait doublé en Espagne. Le droit à l'IVG est discrétionnaire durant le premier trimestre de la grossesse, soumis à restrictions après 14 semaines (mais restant possible, conditionné, jusqu'à 22 semaines en cas de risques graves pour la mère ou le fœtus). Cela découle d'une loi de février 2010 entrée en vigueur en juillet de cette année, la précédente, de 1985, étant plus restrictive.(...)
 
Depuis 2011, il existe en Espagne 172 centres d'IVG ayant procédé au cours de cette année près de 120 000 avortements (soit 12,44 pour mille femmes). Les avortements chimiques (pilules du lendemain et autres) ne représentaient (estimation) qu'environ 4 % des IVG en Espagne.(...)

Espérons que ces mesures seront vraiment appliquées et qu'il  n'y aura plus, par conséquent aucun avortement en Espagne, puisqu'il n'est jamais nécessaire d'avorter pour sauver la vie d'une mère en danger.

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