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Une mère, alors agée de 18 ans, choisit de garder son fils après avoir découvert la vérité sur l’avortement

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Par Angelina Davis de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

J’avais 18 ans lorsque j’ai conçu mon précieux Benjamin et 19 lorsqu’il est né. Mes plans étaient de poursuivre mes études postsecondaires au sein d’un programme scolaire sport-étude en golf en 2006, mais j’ai été naïve et rebelle… Cela peut paraître stupide, mais je n’ai jamais considéré d’avoir la chance de me retrouver enceinte.

Ma relation avec mon père en a beaucoup souffert. Les rêves qu’il se faisait pour moi en ont pris un coup et j’ai pu ressentir sa déception. Son père biologique ne voulait rien savoir de cet enfant et de mon père. J’avais besoin du soutien et de la protection d’un homme et j’étais donc perdue.

Me voilà avec toutes les raisons auxquelles les gens font appel lorsqu’ils considèrent l’avortement : je n’avais pas d’argent, ma relation avec mon père était souffrante, le père de l’enfant voulait que j’avorte et je devais abandonner l’idée de faire partie de la ligue féminine de golf ou encore de pouvoir continuer mes études gratuitement. Je suis aussi la plus jeune d’une famille de trois enfants et cela m’a rendue plutôt égocentrique et indépendante. Je n’avais même jamais porté un bébé dans mes bras et je n’avais pas d’instinct maternel.

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Un évêque : Satan est particulièrement actif autour des cliniques d’avortement, alors soyez vigilants

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Par Lisa Bourne de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Phoenix, Arizona, le 19 février 2016 – Satan est “spécialement actif” autour des cliniques d’avortement, et donc il est essentiel d’agir avec vigilance, prévient l’évêque catholique de Phoenix un peu plus tôt ce mois-ci.

“Nous pouvons affirmer avec certitude que là où ont lieu des avortements, le démon est très actif,” dit l’évêque Thomas Olmsted, mais “nous ne sommes pas seuls quand nous prions… Nous rendons grâce à Dieu pour cela et c’est pourquoi nous prions ensemble. C’est pour cette raison que nous implorons Notre Dame de la Guadeloupe d’être avec nous et de veiller sur nous.”

Le 4 février dernier, l’évêque prenait la parole durant une messe à la Basilique Sainte-Marie pour commémorer la vigile du printemps des 40 Jours Pour La Vie, et affirmait que “ceux qui se sont engagés à témoigner de l’Évangile de la Vie et qui tiennent à défendre les plus vulnérables sont parmi nous, et que nous ne sommes pas seuls.”

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Une mère australienne enceinte de quintuplés refuse l’avortement

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Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Kim Tucci et son mari étaient déjà les fiers parents de deux petites filles quand ils ont décidé d’avoir un autre bébé, espérant ajouter un garçon à leur famille. Ils n’auraient jamais pensé qu’elle tomberait enceinte de cinq bébés : le garçon qu’ils espéraient en plus de quatre petites filles.

Tucci était transportée de joie d’apprendre qu’elle était enceinte malgré l’endométriose diagnostiquée auparavant. Cependant, comme elle le partage sur Facebook, quand elle a appris qu’elle attendait des quintuplés, elle ne pouvait pas s’empêcher de rire. « [Le médecin] a commencé à compter, UN, DEUX, TROIS, QUATRE, CINQ!!! Est-ce que j’ai bien entendu?? CINQ?? Mes jambes ont commencé à trembler de manière incontrôlable et je ne pouvais m’arrêter de rire. […] Je pouvais lire l’excitation dans le visage de mon mari lorsqu’il m’a dit : “On peut le faire” », raconte-t-elle.

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L'histoire de Katie: Comment j’ai trouvé le pardon pour mes avortements

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Texte original tiré de IAmUntold, publié dans LifeActionNews, 22 janvier 2016, par un contributeur invité, traduit de l’anglais par Dominic Larkin, pour Campagne Québec-Vie.

Après deux avortements et une fausse couche, je ne savais pas si je serais à même d’avoir un jour ma propre famille. Parfois, trouver le pardon en soi-même, ça peut être l'endroit le plus difficile à regarder. 

J’avais 16 ans quand mes parents assis chacun de mon côté, me donnèrent la réponse aux questions que je me posais, à savoir pourquoi depuis peu j’étais si malade. J’avais des nausées matinales, j’étais enceinte. Je leur ai dit qu'ils avaient tort et que ça ne pouvait pas m’arriver à moi. J’ai vécu les deux jours suivants dans la confusion; tout le monde me disait tant de choses et voulaient me convaincre que je n’étais pas prête pour quelque chose comme ça, et que ça ne serait pas bon pour moi.

Deux jours plus tard, j’avais un rendez-vous et ma mère m'a emmenée pour avoir un avortement. J’étais abasourdie sachant ce que je m’étais fait à moi-même à ce moment-là et pour les années suivantes. J’ai chuté en spirale vers le bas, loin de Dieu, duquel j’avais toujours été proche durant mon enfance.

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Une sénatrice pro-vie de l’Indiana soumet un projet de loi pour interdire les avortements basés sur le syndrome de Down

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Par Micaiah Bilger de LifeNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Une sénatrice pro-vie de l'Indiana va de l'avant avec un projet de loi pour protéger les enfants à naître contre la discrimination en raison de leur sexe ou d’un handicap.

 « Ce que nous entendons des médecins est – qu’il aurait mieux fallu que vous ne naissiez pas.» rapporte la sénatrice de l’Indiana Liz Brown au sujet de la pratique de l'avortement discriminatoire. «Si vous naissez, nous vous aimerons et nous pensons que vous avez les mêmes droits et devrez être un membre de la société. En fait, nous avons des Américains avec des handicaps et nous devons faire des accommodements. Mais nous ne voulons pas nous accommoder avant votre naissance, en fait, ce serait vraiment préférable que vous ne veniez pas au monde. "

Indy Star rapportait que Madame Brown a co-écrit avec le sénateur Travis Holdman un projet de loi qui interdirait les avortements fondés sur le sexe ou sur le diagnostic d'un handicap du bébé à naître en Indiana. Le projet de loi du Sénat 313 échoua lors d’un vote du comité du Sénat de l’Indiana à 7 contre 4 mais il passera devant le Sénat au complet pour un vote.

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Une maman pro-vie qui perd un enfant à 13 semaines par fausse-couche est sidérée de voir un bébé parfaitement formé

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Jessica Smith tient son fils Noah Israel, né prématurément à 13 semaines, sur sa poitrine

Par Pete Baklinski de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Dalton, Nebraska, le 20 janvier 2016 - Jessica Smith a toujours estimé être une militante pour la vie. Toutefois cette femme, mère de famille depuis 29 ans, ne s'était pas du tout préparée à ce choc. Après une fausse couche d'un enfant de 13 semaines, le médecin lui demanda si elle voulait voir et tenir son enfant entre ses bras !

« Je m'étais attendu à tenir un agrégat de tissus or je vis une petit bébé parfaitement formé, explique-t-elle dans un interview exclusif à LifeSiteNews. »

« Et il nous a tous bluffé ! Les sages-femmes répétaient : « il est si parfait, il est si parfait ».

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Violée par une personne à qui elle faisait confiance, elle a refusé de se faire avorter et élève maintenant sa fille seule

lauran-and-isabela-672x372.jpgLauran Bunting et sa fille Isabella

Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

2-lauran-verse-201x300.jpgLauran Bunting a fait face à un petit choc culturel lorsqu’elle a commencé à aller au secondaire après avoir fait l’école à la maison. Ayant été élevée dans la foi chrétienne, elle désirait rester fidèle à la morale apprise à la maison, mais avoue l’avoir laissée un peu de côté quand le désir «d’être comme les autres» est survenu. Au moment de sa graduation, elle sera déjà enceinte de neuf mois. Mais personne ne pouvait deviner ce que serait son histoire.

En tant que finissante, Lauran s’était entichée d’un garçon charmant qui lui démontrait énormément de respect. Elle a expliqué à son nouveau petit ami qu’elle attendait de se marier avant d’avoir des relations sexuelles. Il lui aurait alors dit que cela ne le dérangeait pas; il semblait être complètement compréhensif envers son désir d’abstinence. Les parents de Lauran ne voulaient pas qu’elle fréquente ce garçon, mais elle ne les a pas écoutés et a donc commencé à le voir.

 «Une semaine plus tard, nous nous sommes vus», explique-t-elle. «Nous avons joué au basketball. Nous sommes allés par la suite dans son garage pour boire quelque chose. C’est à ce moment qu’il a décidé de changer d’avis; il voulait coucher avec moi, et j’avais beau le supplier et l’implorer de ne pas le faire, il m’a entraînée contre mon gré dans une garde-robe, et m’a forcée à avoir une relation sexuelle avec lui ».

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« Périmètres de sécurité » autour des centres d'avortement du Québec : Campagne Québec-Vie combattra le projet de loi 595 avec tous les moyens dont elle dispose

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N.B. Une première version de ce présent communiqué est parue le 23 février, et a été remplacée le 1er mars, 2016

Montréal, 29 février 2016 -- Campagne Québec-Vie, un organisme à but non lucratif qui offre à l'extérieur de certains centres d'avortement de Montréal un service d'aide et d'écoute pour les femmes enceintes en difficulté, a appris le 23 février que Carole Poirier du Parti québécois présentera un projet de loi pour empêcher que soient offertes des solutions de rechange à l'avortement à l'extérieur des 47 centres d'avortement du Québec. Par la création de « zones tampons », cette dernière espère résoudre les « problèmes d'accessibilité » et de « sécurité » autour des cliniques. 

Sauf que, à notre connaissance: 

  • Il n'y a eu aucune entrave à l'accès aux centres d'avortement du Québec dans les dernières décennies; 
  • ll n'y a eu aucun cas de violence physique ou verbale sur les lieux des centres d'avortement (sauf, bien sûr, pour les dizaines de milliers de meurtres par démembrement ou aspiration des enfants à naître et des blessures physiques, psychologiques et spirituelles faites aux femmes se procurant un avortement); 

D'autre part, nous savons que l'avortement est une intervention qui est elle-même loin d'être « sécuritaire » pour la femme et encore moins « médicale »:

De plus, les zones tampons proposées par le projet de loi 595 n'empêcheront que les personnes pacifiques et respectueuses des lois d'être présentes près des centres d'avortement: Ces cas de violence survenues ailleurs que certains se font un plaisir de rapporter n'auraient nullement été empêchés par des injonctions quelconques, qui enfin ne servent que de bâillon pour empêcher l'expression de vérités impopulaires près des lieux où ces vérités ont le plus besoin d'être entendues.

Campagne Québec-Vie tient à son droit de venir en aide aux femmes enceintes en difficulté, même au stade où elles auraient « décidé » d'avorter leur enfant. Comme nous le témoignent plusieurs femmes, souvent elles avortent sous la pression de leurs proches ou par manque de ressources -- notre présence près des centres d'avortement, loin d'être nuisible, est un bénéfice pour ces femmes et toute la collectivité. Nous combattrons donc ce projet de loi avec tous les moyens dont nous disposons.

Campagne Québec-Vie est un organisme d'inspiration chrétienne à but non-lucratif qui regroupe plus d'un millier de Québécois. Notre mission est de défendre la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

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Avortement : “Il y en a assez du non-dit.” Des femmes témoignent sur leur souffrance après l'IVG

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Par Jeanne Smits

Magnifique et douloureux reportage d'Armel Joubert des Ouches sur reinformation.tv : des femmes ont accepté de témoigner des souffrances qu'elles endurent après une IVG, un souvenir qui ne les lâche pas. L'avortement, elles ne l'ont pas vécu comme un choix, elles l'ont subi, sous la pression du père, de leur famille, du Planning familial. A voir absolument:

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Bébé Jaxon vit encore à 18 mois, lui dont les médecins avaient conseillé d’avorter puisqu’il n’avait aucune chance de survivre

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Par Emily Derois de LifeNews - traduit par Campagne Québec-Vie

LifeNews.com,  le 1er février 2016 --  Le petit Jaxon est né en 2014 ;  une naissance miraculeuse qui ne cesse de réchauffer les cœurs et d’encourager les familles.

Jaxon Buell souffre de microhydranencéphalie, une malformation rare et très grave qui affecte le cerveau. Bien que cette maladie soit souvent fatale, le petit Jaxon a maintenant 1­½ an et ses parents continuent à célébrer sa vie.

Sa maladie incurable limitant son espérance de vie, les médecins conseillèrent à la mère de se faire avorter. Les Buell refusèrent en choisissant la vie et le potentiel que le petit Jaxon pouvait avoir. Bien que chaque jour représente un défi bien réel, les nouveaux parents accompagnent avec joie leur petit garçon.

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