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Un conseiller homosexuel athée du FEM craint qu’une réélection de Trump ne porte un « coup fatal » à « l’ordre mondial »


Yuval Noah Harari.

Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube

15 janvier 2024 (LifeSiteNews) — Une personnalité très influente auprès de Klaus Schwab et du Forum économique mondial (FEM) estime que si Donald Trump retrouve la présidence des États-Unis au cours de cette année électorale, cela portera probablement un « coup mortel à ce qui reste de l’ordre mondial ».

Yuval Noah Harari est un juif athée homosexuel de 47 ans, philosophe transhumaniste et auteur populaire. Il enseigne à l’université hébraïque de Jérusalem tout en étant l’un des plus proches confidents de Schwab au sein du Forum économique mondial. Il a suscité l’inquiétude en août 2022 lorsqu’il a déclaré de manière troublante que le monde n’a plus besoin de la « grande majorité » des travailleurs « inutiles » qui seront évincés par les progrès technologiques. Il a également affirmé que les « humains » ne sont plus des « âmes mystérieuses », mais simplement des « animaux piratables ».

Dans une entrevue du 11 janvier, Steven Bartlett, animateur britannique de la chaîne YouTube The Diary of a CEO, a demandé à Harari : « Êtes-vous inquiet à l’idée que Trump puisse être réélu ? »

« Je pense que c’est très probable », a-t-il déploré. « Et si cela se produit, ce sera probablement une sorte de coup de grâce à ce qui reste de l’ordre mondial. Et il [Trump] le dit ouvertement. »

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Les centres de grossesse pro-vie du Texas ont servi plus de 100 000 femmes depuis l’interdiction de l’avortement à 6 semaines

Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock

16 janvier 2024 (LifeSiteNews) — Un nouveau rapport indique que plus de 100 000 femmes ont été servies par des centres de grossesse pro-vie au Texas après que l’État ait promulgué une interdiction quasi totale de l’avortement.

Selon le rapport Alternatives to Abortion (A2A) 2022 récemment publié — qui est mandaté par le Département de la Santé et des Services sociaux du Texas, l’agence gouvernementale qui a mis en œuvre le programme — les centres de grossesse pro-vie ont aidé avec succès les hommes et les femmes confrontés à des grossesses non planifiées à la suite de la promulgation par l’État d’une interdiction stricte de l’avortement.

Après l’annulation historique de l’arrêt Roe v. Wade en juin 2022, une loi de déclenchement a enfin pu entrer en vigueur. La législation interdit l’avortement tout au long de la grossesse, à la seule exception des cas où il est jugé « nécessaire » pour épargner à la mère un préjudice physique grave. Même dans ce cas, les professionnels de la santé sont tenus de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour donner à l’enfant le meilleur pronostic possible.

« Au cours de l’exercice fiscal 2022, le programme A2A a passé des contrats avec quatre entités : Austin LifeCare (ALC), Human Coalition (HC), Longview Wellness Center (LWC) [et] Texas Pregnancy Care Network (TPCN) », indique le rapport.

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Une femme devenue enceinte à 15 ans à la suite d’un viol témoigne avec force contre l’avortement


Ayala Isenberg.

Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube

11 janvier 2024 (LifeSiteNews) — Une jeune femme qui a choisi la vie pour le bébé qu’elle a conçu à la suite d’un viol s’est élevée contre la rhétorique pro-avortement qui utilise des situations tragiques comme la sienne pour justifier les avortements.

Dans une entrevue accordée à la nouvelle émission en ligne de Students for Life of America « Let’s Talk About Life » animée par Christine Yeargin et Autumn Higashi, la jeune Ayala Isenberg (alors Harrison), âgée de 20 ans, a témoigné du fait qu’elle est devenue militante pro-vie après avoir conçu à la suite d’un viol lorsqu’elle était jeune adolescente et avoir choisi de ne pas se faire avorter.

« Je trouve assez insultant, honnêtement, d’utiliser des femmes comme moi et nos enfants pour alimenter le discours [des partisans de l’avortement], et surtout pour le profit économique de l’industrie de l’avortement », a déclaré Ayala Isenberg. « Je trouve cela insultant parce que je pense que l’on parle de femmes comme moi et de nos enfants. »

Cette jeune mère engagée de Charlotte, en Caroline du Nord, que les animateurs ont qualifiée d’« énergique » et de « pleine de fougue », a raconté son histoire dévastatrice : elle a été « violée plus de fois que je ne peux le compter » au cours de quatre années d’abus qui ont commencé alors qu’elle n’était qu’une petite fille.

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Californie : les jouets « neutres de genre » obligatoires dans les magasins sous peine d’amende

Par reinformation.tv — Photo : StaCheck Photography/Adobe Stock

Ça y est, c’est fait : depuis la fin de la trêve des confiseurs les boutiques de jouets et supermarchés de Californie doivent avoir leur rayon spécial consacré aux jouets « neutres de genre ». S’ils ne se plient pas à la nouvelle loi, la première amende sera de 250 dollars et la deuxième de 500. C’est le gouverneur (démocrate) de l’Etat, Gavin Newsom, qui a promulgué le texte, rédigé par le vieux militant Evan Low, qui est aussi l’auteur d’une loi autorisant le « tourisme de transition de genre » qui vise à faire de la Californie un « Etat sanctuaire » pour les chirurgies de changement de sexe pour enfants et autres thérapies géniques qui peuvent leur être refusées dans d’autres Etats. Pour Low, la « ségrégation » entre jouets pour garçons et jouets pour filles est « l’antithèse de la pensée moderne ». C’est pourquoi sa loi dispose : « Garder séparés des objets qui sont vendus pour les filles et pour les garçons rend plus difficile la comparaison de ces produits, et suggère à tort que le sexe pour lequel il n’est pas vendu ne peut l’utiliser. » Jonathan Keller, président du conseil de la famille de Californie, s’est étonné avec beaucoup de charité chrétienne : « Nous devons tous avoir de la compassion pour les individus qui subissent une dysphorie de genre, mais les militants et le législateur de l’Etat n’ont pas le droit de forcer les commerçants à épouser les messages approuvés par le gouvernement à propos de la sexualité et du genre. »

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L’Hôpital d’Ottawa annonce la création d’un nouveau centre d’opérations de transition

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Art Photo/Adobe Stock

15 janvier 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Ottawa est la deuxième ville au Canada à ouvrir une clinique de « chirurgie d’affirmation du genre » qui mutilera les corps des Canadiens souffrant de dysphorie de genre.

Le 9 janvier, l’Hôpital d’Ottawa a annoncé que sa nouvelle clinique de « chirurgie d’affirmation du genre » acceptait désormais des patients pour des opérations irréversibles de genre, dont des chirurgies thoraciques (mastectomies, construction de seins), génitales (vaginoplastie, phalloplastie), et faciales.

« Nous acceptons actuellement les patients recommandés par les médecins », a déclaré le Dr Nicholas Cormier, chirurgien plasticien en chef et cofondateur de la clinique, dans un communiqué de presse. « Nous sommes prêts à desservir Ottawa et les communautés environnantes ».

Lancée en septembre 2023, la clinique est la deuxième au Canada à pratiquer des amputations, des mutilations génitales et des reconstructions faciales pour les personnes souffrant de dysphorie de genre.

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Grande participation à la Marche pour la Vie de Washington, D.C.

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : March for Life

20 janvier 2024, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Des dizaines de milliers de pro-vie ont bravé le froid* vendredi pour marcher dans la capitale nationale à l’occasion de la 51e Marche annuelle pour la vie, et des vidéos en accéléré montrent maintenant la taille impressionnante de la participation.

Des pro-vie venus de toute l’Amérique et d’ailleurs se sont rassemblés dans le National Mall et ont marché sur un parcours de 2 miles jusqu’à un point d’arrivée situé entre le Capitole et la Cour suprême des États-Unis, célébrant l’infirmation de Roe v. Wade en 2022 et s’appuyant sur cette victoire pour exhorter le Congrès à prendre d’autres mesures.

Parmi les personnes qui ont pris la parole lors de la Marche, en personne ou par le biais de messages de soutien adressés aux médias, on peut citer l’évêque Joseph Strickland, l’entraîneur de football du Michigan Jim Harbaugh, les candidats républicains à la présidence Ron DeSantis et Nikki Haley, et d’autres encore. Les orateurs ont abordé les aspects politiques et culturels de la lutte pour la vie, notamment le rôle des centres de ressources pour femmes enceintes et d’adoption.

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Le président argentin Javier Milei dénonce « l’agenda sanglant de l’avortement » au sommet de Davos 2024


Javier Milei, président d'Argentine.

Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube

17 janvier 2024, Davos, Suisse (LifeSiteNews) — Le président argentin Javier Milei a dénoncé le contrôle de la population et l’« agenda sanglant de l’avortement » lors de son discours au Forum économique mondial (FEM).

Lors de son allocution spéciale, Milei a déclaré qu’« un autre conflit présenté par les socialistes est celui de l’homme contre la nature, affirmant que nous, les êtres humains, endommageons la planète qui devrait être protégée à tout prix, allant même jusqu’à préconiser un mécanisme de contrôle de la population ou l’agenda sanglant de l’avortement ».

« Malheureusement, ces idées néfastes se sont imposées dans notre société. Les néomarxistes ont réussi à prendre le contrôle du sens commun du monde occidental, en s’appropriant les médias, la culture, les universités et les organisations internationales. Ce dernier cas est probablement le plus grave, car il s’agit d’institutions qui ont une influence énorme sur les décisions politiques et économiques des pays qui composent les organisations multilatérales ».

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Le « bioéthicien » antinataliste Matti Häyry défend l’extinction de l’espèce humaine, en toute « humanité »

Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Selcuk/Adobe Stock

Il donne des cours de philosophie morale, politique et de bioéthique philosophique à l’université d’Aalto à Helsinki. Mais Matti Häyry est aussi un fervent défenseur d’une vision résolument antinataliste. Et la très honorable revue Cambridge Quarterly of Healthcare Ethics lui a ouvert ses colonnes, début janvier, pour un long article qu’il faut approcher l’esprit déjà clair — il en sortira moins dérangé. Il y analyse plusieurs approches philosophiques de l’extinction humaine, souhaitable en tant que telle, la sienne étant, bien évidemment, la meilleure.

Inaudible, il y a encore quelques décennies, la cohorte des antinatalistes est l’héritière des malthusiens, puis des néo-malthusiens qui font de la limitation des naissances un droit et un même devoir humains (The Population Bomb de Paul Ehrlich, en 1968). Mais avec eux l’objectif change de nature et, de pragmatique, devient fondamental : c’est la souffrance même qu’il faut éliminer — or la vie est souffrance. C’est la négation pure et simple de la condition humaine imposée par Dieu après le péché originel, à savoir la souffrance vécue par l’homme, de sa naissance à sa mort, dans le but de s’associer à celle du Christ Rédempteur qui souffre pour nous sauver.

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Une femme née par le biais d’une mère porteuse condamne l’« héritage cruel » et « traumatisant » de cette pratique


Olivia Maurel (à droite).

Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Allie Beth Stuckey/YouTube

Une femme, née d’une mère porteuse, s’exprime sur l’impact de cette pratique sur elle et sur son enfance, et sur les raisons pour lesquelles elle souhaite que la maternité de substitution soit interdite.

Olivia Maurel (nommée Olivia Auriol dans un précédent article de Live Action News) a écrit un article pour le Daily Mail, où elle commence par raconter qu’elle ne comprenait pas pourquoi son certificat de naissance indiquait qu’elle était née dans le Kentucky. Sa famille n’était pas américaine, explique-t-elle, et elle n’avait aucun lien avec cet endroit. Sa mère lui ayant menti, elle n’a su la vérité que plus tard : elle était née d’une mère porteuse. Mme Maurel a raconté son histoire à Allie Beth Stuckey dans une vidéo publiée il y a un mois :

« Quelques secondes après ma naissance, j’ai été rapidement enlevée à la femme qui était devenue enceinte de moi — en utilisant ses propres ovules — et qui m’avait portée pendant neuf mois », écrit-elle. « Au lieu d’être placée dans les bras de ma mère biologique pour être nourrie et adorée, j’ai été confiée à un homme et une femme qui avaient, tout simplement, payé beaucoup d’argent pour moi ».

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Un homme atteint d’un cancer voulait le suicide assisté, mais il fut heureux d’avoir choisi la mort naturelle à la place

Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wan/Rawpixel.com

Le suicide assisté continue de faire rage à travers le monde, sa légalisation progressant dans un nombre croissant de pays, à mesure que les organisations de défense de la mort [programmée] font pression pour que les personnes atteintes de cancer, de handicaps et de maladies puissent mettre fin à leurs jours avec l’aide d’un médecin. Un homme avait prévu de se rendre dans une clinique d’euthanasie, mais sa femme l’a convaincu de vivre jusqu’à sa mort naturelle. Elle fait aujourd’hui campagne contre la mort assistée.

Nadine Dorries a écrit, dans une chronique du Daily Mail, qu’elle et son mari Paul ont été choqués et ont eu le cœur brisé lorsqu’on a diagnostiqué chez lui un cancer de l’intestin. Pire encore, le cancer était en phase terminale ; sa tumeur était inopérable et on ne lui donnait que quatre mois à vivre. « Nous avons eu l’impression que le sol s’ouvrait sous nos pieds », écrit Mme Dorries. « Nous avions trois belles filles et nous étions la famille la plus unie qui soit : comment pouvions-nous faire face à cela ? Comment pouvions-nous infliger cette nouvelle dévastatrice à nos filles ? Les larmes ont coulé lorsque le choc nous a soudainement frappés tous les deux. Il m’a fallu du temps avant de pouvoir conduire ».

Son mari, quant à lui, était particulièrement terrifié. « Je ne peux pas faire ça », a-t-il déclaré. « Je ne peux pas faire ça aux filles, ni à toi. J’ai vu comment mon père est mort d’un cancer de l’intestin et ce que ma mère a enduré. Je veux aller à Dignitas. Maintenant, tant que je le peux encore ».

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