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Un conseiller homosexuel athée du FEM craint qu’une réélection de Trump ne porte un « coup fatal » à « l’ordre mondial »


Yuval Noah Harari.

Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube

15 janvier 2024 (LifeSiteNews) — Une personnalité très influente auprès de Klaus Schwab et du Forum économique mondial (FEM) estime que si Donald Trump retrouve la présidence des États-Unis au cours de cette année électorale, cela portera probablement un « coup mortel à ce qui reste de l’ordre mondial ».

Yuval Noah Harari est un juif athée homosexuel de 47 ans, philosophe transhumaniste et auteur populaire. Il enseigne à l’université hébraïque de Jérusalem tout en étant l’un des plus proches confidents de Schwab au sein du Forum économique mondial. Il a suscité l’inquiétude en août 2022 lorsqu’il a déclaré de manière troublante que le monde n’a plus besoin de la « grande majorité » des travailleurs « inutiles » qui seront évincés par les progrès technologiques. Il a également affirmé que les « humains » ne sont plus des « âmes mystérieuses », mais simplement des « animaux piratables ».

Dans une entrevue du 11 janvier, Steven Bartlett, animateur britannique de la chaîne YouTube The Diary of a CEO, a demandé à Harari : « Êtes-vous inquiet à l’idée que Trump puisse être réélu ? »

« Je pense que c’est très probable », a-t-il déploré. « Et si cela se produit, ce sera probablement une sorte de coup de grâce à ce qui reste de l’ordre mondial. Et il [Trump] le dit ouvertement. »

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Selon Harari, les politiciens populistes de nos jours présentent une « fausse dichotomie » entre le patriotisme et le mondialisme.

« À présent, il devrait être clair que beaucoup de ces politiciens présentent une fausse dichotomie, une fausse vision binaire du monde, comme si vous deviez choisir entre le patriotisme et le mondialisme, entre être loyal à votre nation et être loyal à une sorte d’autre gouvernement mondial ou quoi que ce soit d’autre. Et c’est complètement faux ».

Résumant les objectifs du FEM, le président de LifeSite, Steve Jalsevac, a déclaré que l’organisation était « totalement engagée à changer radicalement l’ensemble du système de gouvernance mondiale et à supprimer toutes les frontières, les cultures et les coutumes et [à établir] un seul ordre mondial, dirigé par des entreprises et des gouvernements travaillant ensemble ».

Tout d’abord, « ils doivent tout dévaster », a-t-il poursuivi. « Ils doivent dévaster l’économie mondiale. Ils doivent créer des guerres et nous amener au niveau le plus bas possible de peur, de faim et de désespoir pour que nous les acceptions finalement comme notre sauveur avec leur nouveau système. »

Harari a poursuivi en expliquant que « lorsque nous parlons de coopération mondiale, nous n’avons certainement pas à l’esprit, du moins personne que je connaisse, un gouvernement mondial. C’est une idée impossible et très dangereuse ».

L’année dernière, dans une entrevue au sujet du FEM, Frank Wright de LifeSite, un expert des machinations de l’institution mondialiste, résumait que tout le modus operandi de l’organisation consiste à « attirer des personnes influentes afin de promouvoir un programme de gestion largement imprégné de technologie ».

Une telle idée existe depuis 1941, bien que la technologie n’ait pas été présente jusqu’à aujourd’hui. Ce programme vise à « supplanter le pouvoir étatique et institutionnel par celui d’une classe de gestionnaires internationaux, celle que nous avons aujourd’hui ».

Cette classe de gestionnaires dispose désormais de la technologie nécessaire pour « faire avancer une idée de l’humanité future » qui, selon Wright, équivaut à « la suppression de tout ce qui fait la valeur de l’expérience humaine afin de rendre les êtres humains globalement plus faciles à gérer. “Nous avons un problème de gestion, et c’est l’humanité” de leur point de vue ; mais du nôtre, ce sont eux. »

Trump a défié l’agenda de ce que Tucker Carlson appelle l’« Uniparti » de Washington en nommant des juges à la Cour suprême qui ont renversé Roe v. Wade dans l’arrêt Dobbs de 2022, et en s’opposant à la guerre en Ukraine.

En juin 2023, lors d’un discours à la Conservative Political Action Conference, Trump s’est engagé à « démolir l’État profond ». « Nous expulserons les bellicistes ». Il a poursuivi en promettant : « Je suis votre rétribution. Je vais totalement anéantir l’État profond [...] et nous allons restaurer la république américaine dans toute sa gloire rayonnante ».

Dans une vidéo diffusée en mars dernier, le 45e président a également professé « un engagement total à démanteler l’ensemble de l’établissement néoconservateur mondialiste qui nous entraîne perpétuellement dans des guerres sans fin, prétendant se battre pour la liberté et la démocratie à l’étranger, alors qu’ils nous transforment en un pays du tiers-monde et en une dictature du tiers-monde ici même, chez nous ».



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