Le conseiller du Forum économique mondial Yuval Harari est un marxiste qui croit qu’il n’y a pas de vérité, seulement le pouvoir
Yuval Noah Harari.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
16 août 2022 (LifeSiteNews) — Yuval Noah Harari est considéré à juste titre par les personnes réfléchies comme l’un des intellectuels les plus dangereux qui soient.
Le conseiller du Forum économique mondial est déjà connu pour ses déclarations déshumanisantes, ses prédictions dystopiques et son rôle dans une organisation qui semble accélérer leur réalisation (pensez à la recherche numérique des contacts pour freiner les maladies).
Mais comment savoir si les gens ne réagissent pas simplement de manière excessive à une caricature d’Harari ?
La réponse se résume à cette question : Si, aux yeux d’Harari, nous ne sommes pas plus élevés que les animaux et que la « grande majorité » de la population mondiale est désormais inutile, où cela nous mène-t-il ?
À la vue de tous, il nous a donné un avant-goût inquiétant de la formule de la tyrannie débridée. Harari croit en ce qui est considéré comme un principe fondamental du marxisme culturel : il n’y a pas de vérité, seulement du pouvoir.
En d’autres termes, Harari croit qu’il n’y a pas de « vérité » de la manière la plus radicale et la plus dangereuse qui soit. S’il reconnaît l’existence d’une réalité scientifique objective, il a ouvertement rejeté l’existence de valeurs objectives. Il rejette donc les valeurs fermes, telles que le caractère sacré de la vie humaine, comme fondement de la société et de ses lois.
Il l’a clairement exprimé lors d’une récente entrevue avec Chris Anderson, chef du groupe de médias TED, celle même dans laquelle il a déclaré de manière infâme que le monde n’a pas besoin de la « grande majorité » de sa population.
Au cours de leur discussion, M. Harari a décrit de manière éloquente les valeurs sociétales comme des « fictions » ou des « histoires », en citant les droits de l’homme comme exemple. Il a déclaré que les droits de l’homme ne sont « pas un fait biologique », mais une « histoire que nous avons construite ».
En fait, Harari est déjà allé jusqu’à affirmer que « l’Homo sapiens est une espèce post-vérité, dont le pouvoir dépend de la création et de la croyance en des fictions ».
La portée de sa croyance apparaît de manière inquiétante dans son entrevue avec Anderson, lorsqu’il semble prendre totalement ses distances avec les droits de l’homme en tant que principe fixe.
Lire la suiteDans l’esprit inquiétant d’un célèbre homosexuel athée du Forum économique mondial
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
12 avril 2022 (LifeSiteNews) — Dans cet épisode du John-Henry Westen Show, je vais plonger dans l’esprit du professeur Yuval Noah Harari.
Yuval Noah Harari est une figure très influente de la politique moderne, mais pourquoi est-il si impliqué ? En examinant ses principales idées et croyances, nous pouvons commencer à comprendre sa motivation.
Maître de conférences au département d’histoire de l’Université hébraïque de Jérusalem, Yuval Noah Harari utilise l’histoire, la philosophie et la biologie dans ses réflexions sur ce qu’il estime être les défis mondiaux les plus importants auxquels le monde est confronté aujourd’hui, et s’efforce d’orienter le débat public sur ces questions.
Dans ce but, il a écrit cinq livres qui décrivent sa vision du monde et les choses auxquelles, selon lui, les autres devraient donner la priorité. Il a également cofondé Sapienship, une entreprise à impact social qui mène des projets dans les domaines du divertissement et de l’éducation, avec celui qu’il appelle son « mari » et qui fut son agent initial, Itzik Yahav. C’est bien ça, mari. Nous y reviendrons dans un instant. Cette société « milite pour la responsabilité mondiale à travers sa mission : clarifier la conversation mondiale, concentrer l’attention sur les défis les plus importants et soutenir la quête de solutions … et Sapienship met en lumière trois [problèmes] : la rupture technologique, l’effondrement écologique et la menace nucléaire. »
Harari mentionne son « mari » dans de multiples entrevues, et il admet avec fierté que le fait d’être homosexuel affecte ses recherches, ce qui sert d’indicateur majeur de sa vision du monde. Dans cette même entrevue, il rationalise l’homosexualité sous prétexte que « tout ce qui existe est, par définition, naturel ».
Harari soutient que le sexe n’a pas de but, comparant la sexualité humaine à celle du chimpanzé. Il poursuit en affirmant que « l’idée que le sexe n’existe que dans le but de procréer est une absurdité totale inventée par les prêtres et les rabbins ».
« En vérité, nos concepts de “nature” et de “contre nature” ne sont pas tirés de la biologie ; ils sont tirés de la théologie chrétienne », ajoute-t-il.
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