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La Clinique 554 d’avortement du Nouveau-Brunswick annonce sa fermeture

Par la Coalition nationale pour la Vie — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : manifeesto/Adobe Stock

La Coalition nationale pour la Vie rend grâce à Dieu, car la clinique privée d’avortement 554 du Nouveau-Brunswick (l’ancienne clinique Morgentaler) a annoncé qu’elle fermerait ses portes à compter d’aujourd’hui et qu’elle ne tuerait plus d’enfants à naître.

« C’est une excellente nouvelle pour les bébés à naître et leurs mères au Nouveau-Brunswick », a déclaré le président national de CNV, Jeff Gunnarson. « Cette entreprise qui tue des bébés ne pourra plus s’en prendre à des mères vulnérables et leur proposer de tuer leurs précieux enfants pour gagner de l’argent ».

L’annonce de la fermeture de la clinique 554 fait suite à une campagne réussie de 40 jours pour la vie à l’automne dernier, au cours de laquelle des bénévoles pro-vie ont prié et jeûné devant le centre pour demander sa fermeture. C’est une ancienne stagiaire de CNV qui a mené la campagne.

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Plusieurs ministres de la santé provinciaux demandent au gouvernement fédéral de suspendre indéfiniment l’euthanasie pour maladie mentale

Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Liubomir/Adobe Stock

Un article de la Presse canadienne datant du 29 janvier 2024 révèle que les ministres de la santé de plusieurs provinces ont demandé au ministre fédéral de la Santé, Mark Holland, de « suspendre indéfiniment » la mise en œuvre de l’euthanasie pour les maladies mentales. Le 29 janvier, Mark Holland a annoncé que le gouvernement retarderait la mise en œuvre de l’euthanasie pour maladie mentale.

La Presse canadienne rapporte que :

Les ministres de la santé et de la santé mentale des trois territoires, ainsi que de l’Alberta, de la Saskatchewan, de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick et de la Colombie-Britannique, ont demandé à M. Holland, dans une lettre datée de lundi, de leur accorder plus de temps pour collaborer.

« Il est essentiel que toutes les juridictions, les autorités sanitaires, les régulateurs et les praticiens (de l’aide médicale à mourir) disposent de suffisamment de temps pour mettre en œuvre ces mesures de protection et pour répondre aux problèmes de capacité qui devraient résulter de l’élargissement », peut-on lire dans la lettre.

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Inscription de l’avortement dans la Constitution française adoptée en première lecture


Emmanuel Macron.

Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Vlada Republike Slovenije/Flickr

La quasi-totalité des députés ayant pris part au vote solennel — oui, solennel — sur l’inscription de la liberté d’avorter dans la Constitution ont approuvé cette idée née dans le cerveau d’Emmanuel Macron alors que les Etats-Unis célébraient une immense victoire pour la vie, le renversement de la jurisprudence Roe v. Wade. Le président infécond a voulu graver dans le marbre la possibilité pour chaque femme d’éliminer son enfant vivant de son sein, faisant de l’« IVG » un élément de la carte d’identité de la République, à rang égal avec sa devise, son organisation politique, ses préoccupations premières, ses « droits opposables ». Bleu-blanc-rouge, liberté-égalité-fraternité et avortement pour tous, voilà les nouveaux logos de la France, le dernier étant en quelque sorte l’achèvement des premiers qui illustrent les droits de l’homme sans Dieu de la Révolution française. Pas de limite au droit des femmes, pas même en faveur de l’enfant à naître : si le Sénat adopte la loi dans les mêmes termes d’ici à la fin février, Macron convoquera son Congrès à Versailles à la date la plus proche possible de la Journée internationale de la femme, le 8 mars. Comme s’il y avait urgence. Et si la loi parvient à cette étape, il n’y a guère de chance pour que cette révision soit rejetée.

Venant de la part de laïcistes affichés, cet attachement aux symboles est riche d’enseignement : ils cherchent, et les mots sont souvent revenus dans les débats, une sanctuarisation, une sacralisation de la liberté de tuer. Derrière ce vocabulaire quasi religieux, on perçoit forcément une forme d’idolâtrie. Il n’est pas difficile de voir qui peut bien en être l’objet : ce père du mensonge au nom duquel on instrumentalise la « liberté » des femmes ; leur détresse comme leur caprice, leurs peurs comme leur égoïsme. Mensonge qui se cache aussi derrière l’emploi du concept de liberté : est-on libre de tuer, de voler, de mentir, d’agresser ? De donner la mort parce qu’on refuse la vie ? La liberté de l’homme est d’aller vers le Bien, de choisir entre plusieurs biens ; choisir ce qui est mal l’asservit et l’aveugle.

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Les pro-avortement préoccupés par la « désinformation »


Photo : asier relampangoestudio/Freepik

Deux nouvelles cette semaine ressortent plus que les autres. La première, c’est l’allocation de 1,4 million à des groupes « pro-choix » (de l’avortement) du Québec par la ministre Martine Biron, responsable de la condition féminine. C’est un aveu d’inquiétude de leur part, car ils visent ainsi à contrer la « désinformation » des groupes comme Campagne Québec-Vie, qui n’hésitent pas à parler franchement au public concernant l’avortement, ce qu’il est et ses conséquences sur les personnes et la société

Deuxième nouvelle, le gouvernement fédéral a décidé d’attendre encore un certain temps avant de permettre l’euthanasie des personnes aux prises avec des troubles mentaux. C’est une bonne nouvelle qu’ils ont décidé de ralentir leur destructive hâte à dépénaliser le suicide assisté, mais ils démontrent néanmoins une grande volonté d’implanter cette terrible mesure.

Finalement, notre événement Étudiants pour la Vie Montréal fut un franc succès. Merci à l’organisateur principal, Brian Jenkins, pour son travail !

 

Souper du 35e anniversaire de Campagne Québec-Vie

35 ans d’existence ça se fête ! Cela fait depuis 1989 que Campagne Québec-Vie se bat pour la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle. Venez fêter en famille avec nous, en toute simplicité : nous tiendrons un souper pour notre 35e anniversaire le samedi 24 février 2024 à la salle de l’église Saint-Ambroise à Montréal (porte latérale située sur la rue de Normandville, église située au 1215 rue Beaubien E, Montréal, QC H2S 1T8) avec nul autre que le président de la Coalition nationale pour la vie, Jeff Gunnarson, et moi-même, Georges Buscemi, président du CQV ainsi que le Dr Paul Saba, récipiendaire cette année du prix Gilles Grondin, pour activiste québécois pro-vie exceptionnel. Soyez des nôtres ! Les portes ouvrent à partir de 16 h 30, le souper commence vers 17 h 30.

Les billets sont de 30 $ chacun et peuvent être achetés en ligne ou par téléphone : 1-855-996-2686 ou (514) 344-2686.

Colloque le samedi, 2 mars à Lévis -- Préparer la société chrétienne de demain

Un colloque est organisé pour le samedi, 2 mars à Lévis, de 10 h 30 à 12 h 30. Trois intervenants montreront trois facettes d’une future société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle : Le Dr Jean-Claude Dupuis, historien, présentera l’économiste catholique et François-Albert Angers (1909-2003), Arpad Nagy, directeur des opérations politiques de CQV parlera de son voyage en Hongrie, ce pays de l’Europe centrale qui défend la culture chrétienne et la vie, de la conception à la mort naturelle. Finalement, Georges Buscemi, président de CQV parlera de la façon dont la première Marche pour la vie à Québec pourrait servir de bougie d’allumage pour une culture de vie ici au Québec et au Canada.

Où : Auditorium de l’école Sainte-Famille, 10425 bd Guillaume-Couture, Lévis, QC G6V 9R6.

Heure : 10 h 30, après la messe du 1er samedi du mois (qui débute à 7 h 45, avec chapelet à 7 h 15)

Café, beignes et autres seront servis. Vous êtes invité à donner ce que vous pouvez à l’entrée.

Pour la Vie,


Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie

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Le gouvernement du Québec dilapide 1,4 M$ pour financer 4 organismes pro-avortement

Billets de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : wirestock/Freepik

Le gouvernement du Québec a annoncé par le truchement de Martine Biron, ministre des Relations internationales et de la Francophonie, et responsable de la Condition féminine, le financement de 1,4 million de dollars accordé à quatre organismes pro-avortement.

Les organismes en question sont SOS Grossesse, le mal nommé, SOS Grossesse Estrie, Grossesse-Secours inc. et l’immanquable Fédération du Québec pour le planning des naissances — branche québécoise de l’International Planned Parenthood Federation.

Mais à quoi va servir argent ?

Selon Radio-Canada, qui rapporte les propos de Mme Biron :

L’aide financière doit permettre, entre autres, « de renforcer la sensibilisation et d’offrir de l’information neutre et véridique, fondée sur des données probantes, en matière de grossesse non planifiée ou de prévention des grossesses non désirées, ainsi que de soutenir les personnes faisant face à une grossesse non planifiée ».

Car, explique Mme Biron, soucieuse que l’infirmation du jugement Roe c. Wade survenu aux États-Unis ne se reproduise au Canada, et donc au Québec :

« Avec l’invalidation de l’arrêt Roe c. Wade aux États-Unis, je suis préoccupée par la protection du droit des femmes de choisir l’avortement. Au Québec, c’est un droit fondamental que notre gouvernement s’engage à préserver. C’est notre devoir de le garantir ».

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Notre événement Étudiants pour la Vie Montréal


L'événement Étudiants pour la Vie Montréal du 26 janvier 2024.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Nous avons tenu cette année notre deuxième événement Étudiants pour la Vie Montréal le 26 janvier 2024, aux bureaux de Campagne Québec-Vie.

Une vingtaine de participants étaient présents, avec pour conférenciers Blaise Alleyne du Canadian Centre for Bio-Ethical Reform, Katie Somers du Toronto Right to Life et Johanne de Verteuil d’Accueil Grossesse, et avec la présence de Julia Bissonnette de la Coalition nationale pour la Vie.

Divers aspects du mouvement pro-vie ont été abordés lors des allocutions, dont l’apologétique pro-vie et l’aide aux femmes enceintes.

Cet événement était également destiné à rassembler les étudiants pro-vie pour qu’ils puissent établir des liens entre eux — objectifs que nous pouvons estimer remplis !

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Le gouvernement canadien reporte à nouveau l’entrée en vigueur de l’euthanasie pour maladies mentales

Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel.com/Freepik

(29 janvier 2024) — La Coalition pour la prévention de l’euthanasie demande au gouvernement canadien d’arrêter l’extension de l’euthanasie aux personnes atteintes de maladies mentales.

La Presse canadienne rapporte que le ministre de la Santé, l’honorable Mark Holland, a annoncé aujourd’hui que le Canada n’est pas prêt à élargir la loi sur l’euthanasie pour y inclure l’euthanasie pour maladie mentale seulement, mais le gouvernement n’a pas encore annoncé combien de temps il a l’intention de retarder l’entrée en vigueur de cet ajout.

Alex Schadenberg, directeur général de la Coalition pour la prévention de l’euthanasie (CPE), a déclaré qu’il se réjouissait du nouveau report de l’entrée en vigueur de l’euthanasie pour les personnes souffrant de maladies mentales, mais que CPE continuerait à exiger que l’extension de l’euthanasie soit non seulement reportée, mais arrêtée.

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Un médecin autrichien condamné à payer les parents d’un bébé qu’ils auraient avorté s’il avait détecté son handicap

Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : olegkruglyak3/Adobe Stock

26 janvier 2024, Vienne (LifeSiteNews) — Un médecin autrichien a été condamné à payer plus de 70 000 € pour n’avoir pas détecté le handicap d’un enfant à naître, suite à un procès intenté par les parents qui affirmaient qu’ils auraient avorté l’enfant s’ils avaient été informés de la déficience.*

En plus des 76 500 euros de dommages et intérêts, la Cour suprême autrichienne (Oberster Gerichtshof ou OGH) a décidé que le médecin devait payer l’intégralité de la pension alimentaire, ce qui pourrait donner lieu à des réclamations supplémentaires de plusieurs centaines de milliers d’euros, selon l’avocat des parents.

Le gynécologue de l’État de Carinthie n’avait pas remarqué que l’enfant était privé de son bras gauche lors de plusieurs échographies, et la fillette est née par la suite sans que les parents fussent au courant de son handicap.

« Le médecin a négligé le grave handicap de l’enfant. Si le diagnostic avait été correct, les parents auraient décidé d’interrompre la grossesse », a déclaré l’avocate des parents, Karin Prutsch-Lang, au journal autrichien Kleine Zeitung.

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L’expansion fulgurante de l’euthanasie au Canada devrait être un avertissement pour le monde entier

Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Shutterstock

Le 15 janvier, Spiked a publié un article approfondi de Lauren Smith intitulé « Le Canada révèle l’horreur de l’aide à mourir ». Mme Smith y raconte l’histoire de nombreuses personnes qui se sont senties forcées d’envisager la mort par euthanasie.

Lauren Smith introduit son article en qualifiant la loi canadienne sur l’euthanasie d’« industrie macabre sanctionnée par l’État ».

Mme Smith déclare :

« Le programme canadien d’aide médicale à mourir (AMM) n’a rien de civilisé. Au Canada, l’aide à mourir était initialement considérée comme un dernier recours pour les patients en phase terminale souffrant de douleurs incurables. Mais en l’espace de quelques années, l’euthanasie a été rendue accessible à pratiquement toute personne souffrant d’une maladie ou d’un handicap. Même les Canadiens confrontés à l’itinérance et à la pauvreté se sentent obligés de mettre fin à leurs jours, plutôt que de “gêner” les autorités ».

La loi canadienne sur l’euthanasie va devenir encore pire avec l’approbation de l’euthanasie pour les maladies mentales en mars 2024.

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36 ans de vide juridique sur l’avortement de l’enfant à naître au Canada

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : gesrey/Adobe Stock

Cela fait 36 ans que le Canada vie dans un vide juridique au sujet de l’avortement depuis que la Cour suprême a rendu le jugement R. c. Morgentaler, le 28 janvier 1988.

Depuis cette funeste décision, plus de 3 millions de bébés canadiens ont été avortés.

Certains, malgré ce massacre inouï et actuel des innocents, clament que l’avortement n’est pas assez accessible...

Le député du PLQ Brigitte Garceau écrit à ce propos sur X :

« Il y a 36 ans aujourd’hui, la Cour suprême du Canada prononçait un jugement historique dans l’arrêt Morgentaler qui décriminalisait complètement l’avortement.

Malgré le droit à l’avortement, l’accès des femmes aux services d’avortement demeure encore très inégal. Nous devons continuer à déployer nos efforts pour prioriser et assurer l’accès à l’avortement dans toutes les régions du Québec. »

L’idée selon laquelle l’accès à l’avortement est « très inégal » au Québec est ridicule si l’on considère le nombre hallucinant d’avortements qui y est perpétré et que l’accès aux vrais soins est très déficient — quand on songe qu’il faut attendre souvent des mois pour obtenir un rendez-vous avec un spécialiste ! Cette promotrice de l’avortement ferait mieux de s’occuper des vraies lacunes du système de santé.

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